Max_premier
Combien de temps était-il là ? Les mains d'Alphée le caressant se perdant dans sa chevelure sensuellement puis revenant traçant arabesques sur sa peau, son visage, ses lèvres qui tentaient de les happer sans y parvenir, son cou lui procurant légers frissons si doux.
Qui croire ? je dirai mon cur le sait mais pas ma conscience parfois ou ma raison, je le laisse donc souvent juge.
En quoi croire ? au destin, s'il met quelqu'un ou bien un obstacle sur notre voie c'est sans doute qu'il a ses raisons mais nous ne pouvons pas savoir lesquelles.
Si vous n'êtes donc pas celle que je crois c'est que mon cur se sera trompé mais le destin en décidé ainsi et je profite de tous les moments qui nous unissent, de l'instant présent.
Dans cet état de semi-conscience, il ne se rendait pas vraiment compte de ce qu'il faisait ou bien son inconscient le savait mais ce n'était pas dans ses habitudes de mettre mal à l'aise une femme, et il se serait relevé d'une traite à la mise en garde d'Alphée si celle-ci ne l'avait pas embrassé fougueusement.
Excusez moi ma fée, je ne voulais pas... vous le savez, je ne ferai rien sans votre consentement et encore moins pour vous déshonorer. Ce n'est pas pour cela que vous voulez partir je l'espère ? Je vais vous raccompagner, je ne peux vous laisser seule dans les rues à cette heure tardive.
Il était si bien là, près d'elle mais savait qu'elle devait rentrer, il la laissa finir son verre et la regarda devinant son sourire dans la faible lumière.
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Qui croire ? je dirai mon cur le sait mais pas ma conscience parfois ou ma raison, je le laisse donc souvent juge.
En quoi croire ? au destin, s'il met quelqu'un ou bien un obstacle sur notre voie c'est sans doute qu'il a ses raisons mais nous ne pouvons pas savoir lesquelles.
Si vous n'êtes donc pas celle que je crois c'est que mon cur se sera trompé mais le destin en décidé ainsi et je profite de tous les moments qui nous unissent, de l'instant présent.
Dans cet état de semi-conscience, il ne se rendait pas vraiment compte de ce qu'il faisait ou bien son inconscient le savait mais ce n'était pas dans ses habitudes de mettre mal à l'aise une femme, et il se serait relevé d'une traite à la mise en garde d'Alphée si celle-ci ne l'avait pas embrassé fougueusement.
Excusez moi ma fée, je ne voulais pas... vous le savez, je ne ferai rien sans votre consentement et encore moins pour vous déshonorer. Ce n'est pas pour cela que vous voulez partir je l'espère ? Je vais vous raccompagner, je ne peux vous laisser seule dans les rues à cette heure tardive.
Il était si bien là, près d'elle mais savait qu'elle devait rentrer, il la laissa finir son verre et la regarda devinant son sourire dans la faible lumière.
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