Sindya
[ Palace des Enjôleuses]
Il y avait du mouvement au Palace, et pas des moindres..
Toute la racaille des environs, du brigand de grand chemin à la petite frappe des venelles se côtoyait dans un joyeux bordel.
Peuple essentiellement masculin en sus, qui beuglait comme un goret, réclamant à grand cris à boire, encore et toujours, plus de vin, de bière, de calva et autres liqueurs vaporeuses et éthyliques ayant pour but de nous défoncer la tête à coup de massues.
Et là, au milieu de ce bourg mal famé, trônait fièrement une femme, blonde, pulpeuse, aguicheuse et...Teigneuse.
Les 35 printemps bien tassés, le regard hagard et vitreux, un corps sculpté par les année de galère à bourlinguer le noble dans un bordel peu commun, elle était belle.
Peu commune. Mais belle.
Et tavernière aussi.
On l'appelait Sindya.
Nom de famille inconnu.
Et elle servait donc, comme elle le faisait depuis son arrivée, sa prestance naturelle, son verbe bien tanné, ses manières peu commune avaient plus à la propriétaire des lieux qui l'avait engagée une heure après qu'elles se soient rencontrées.
Une main inquisitrice qui se pose sur le séant et la voila qui beugle de sa voix ferme et légèrement enrouée par les cahots de la vie:
"Bouge moi t'main d'là où j'te la fait bouffer!! Pecnot!!!"
Et une pression sur la dite main, vivement retirée, égratignée par les ongles de la blonde.
Inutile de préciser qu'elle était qui plus est dangereuse. Ayant passée sa vie dans les ruelles parisiennes, elle avait acquis depuis son jeune temps les différents préceptes d'une survie à la dure, les moments où elle avaient due corriger quelques clients un peu trop audacieux n'étaient pas rare...
Une nouvelle chope est donc posée sur une table, et la voila qui sert son plus beau sourire au mâle qui se tenait devant elle:
C'vous f'ra 1 écus!
Ecus vite empoché et glissé dans son corsage alors qu'à l'entrée se succédaient les entrées et les sorties des clients.
Il y avait du mouvement au Palace, et pas des moindres..
Toute la racaille des environs, du brigand de grand chemin à la petite frappe des venelles se côtoyait dans un joyeux bordel.
Peuple essentiellement masculin en sus, qui beuglait comme un goret, réclamant à grand cris à boire, encore et toujours, plus de vin, de bière, de calva et autres liqueurs vaporeuses et éthyliques ayant pour but de nous défoncer la tête à coup de massues.
Et là, au milieu de ce bourg mal famé, trônait fièrement une femme, blonde, pulpeuse, aguicheuse et...Teigneuse.
Les 35 printemps bien tassés, le regard hagard et vitreux, un corps sculpté par les année de galère à bourlinguer le noble dans un bordel peu commun, elle était belle.
Peu commune. Mais belle.
Et tavernière aussi.
On l'appelait Sindya.
Nom de famille inconnu.
Et elle servait donc, comme elle le faisait depuis son arrivée, sa prestance naturelle, son verbe bien tanné, ses manières peu commune avaient plus à la propriétaire des lieux qui l'avait engagée une heure après qu'elles se soient rencontrées.
Une main inquisitrice qui se pose sur le séant et la voila qui beugle de sa voix ferme et légèrement enrouée par les cahots de la vie:
"Bouge moi t'main d'là où j'te la fait bouffer!! Pecnot!!!"
Et une pression sur la dite main, vivement retirée, égratignée par les ongles de la blonde.
Inutile de préciser qu'elle était qui plus est dangereuse. Ayant passée sa vie dans les ruelles parisiennes, elle avait acquis depuis son jeune temps les différents préceptes d'une survie à la dure, les moments où elle avaient due corriger quelques clients un peu trop audacieux n'étaient pas rare...
Une nouvelle chope est donc posée sur une table, et la voila qui sert son plus beau sourire au mâle qui se tenait devant elle:
C'vous f'ra 1 écus!
Ecus vite empoché et glissé dans son corsage alors qu'à l'entrée se succédaient les entrées et les sorties des clients.
Rp ouvert à tous! Je cherche juste à créer des liens à ma blonde, n'hésitez pas!