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[RP] Eglise de Mortagne

Martin_tamarre
Monseigneur Martin_Tamarre sourit à la réponse de l'archevêque.

Bien ! Alors en attendant, étanchons notre soif.

Il se diriga vers un tonneau dans un coin de l'église et remplit quatre chopes qu'il tendit à Odoacre, Syriuss et Aziliz.

Allez, venez trinquer avec nous mes enfants !
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Clelia
[Tard dans la nuit]

Clelia entra à une heure bien tardive dans l'église. Pas âme qui vive dans Mortagne. La porte de la bâtisse grinça quand elle la poussa. Mais qui pourrait-elle réveiller à cette heure ci?

Seules brillaient les flammes des cierges que l'on avait laissés allumés. Avec les quelques écus qu'elle avait dans sa poche, elle en prit un, l'alluma et le planta aux côtés des autres. Elle regarda pendant quelques minutes la flamme danser devant ses yeux.

Une larme roula de nouveau sur sa joue. Elle relut la missive qu'elle venait de recevoir. Sa petite soeur, la petite Mali, venait de mourir brutalement et sa grande soeur était dans un état critique. Les mots avaient été écrit très vite par l'intendant de la demeure de la Croix de Bramafan, signe que son père ou sa mère n'avaient même pas pris le temps de l'en informer eux-mêmes. Ils étaient d'ailleurs l'un et l'autre à un bout du royaume. A la distance morale s'ajoutait maintenant la distance physique.

Mais ce soir, toutes ses pensées allaient vers Mali, Mali qu'elle n'avait pas pris le temps de vraiment connaître mais avec qui elle avait toujours partagé de bons moments, ces moments de l'enfance, de rires et de chamailleries. Et puis, elle était partie, partie suivre une autre voie quand sa famille ne rêvait pour elle que de titres et de "noblesse" d'âme et de coeur.

Elle se mit à genoux devant l'hôtel, tantôt priant, tantôt pleurant pour l'âme d'une petite étoile qui venait de rejoindre le ciel trop tôt. Et pourtant, elle n'avait pas davantage envie de rentrer en Anjou, là où l'enfant parfaite qu'était Mali devait être pleurée et adulée, une fois de plus.
Elle se releva et s'assit sur un des bancs de l'église. Il faisait quand même un peu froid et elle frissonna. Pour autant, elle n'alla pas se recoucher. La journée avait été éprouvante. Elle ne savait plus où aller, elle ne savait plus que faire. Sans repères, elle était livrée à elle-même et se sentait pour la première fois de sa vie cruellement seule. Elle avait décidé de partir, sachant combien les routes étaient dangereuses en ce moment. Mais cela n'avait plus d'importance...

Plongée dans ses réflexions, petit à petit ses nerfs cédèrent. Une dernière vague de chagrin la submergea. Il allait falloir songer à rentrer, la route serait longue demain...
Stephandra
Après midi interminable, où elle guette missives de diverses personnes, messages qui n'arrivent pas ou la seule qui arrive ne lui plait guère, mais il en est ainsi et elle commence à apprendre la patience...

Après midi durant laquelle elle rumine quelques décisions qu'elle a prise, se demandant si elle a tort ou raison d'ainsi s'engager par ici et par là...Mais en même temps elle s'occupe et surtout elle aime cela.

Mystères et secrets qu'elle commence à monter autour d'elle, forteresse qu'elle remonte doucement également, candeur et douceur qu'elle tente d'enfouir mais là, elle est désemparée...Éprouve un profond besoin de se recueillir, c'est plus fort qu'elle.

Alors d'un pas feutré, elle pénètre l'endroit, d'un pas léger, traverse l'allée centrale et va se poser sur un prieur. Elle se pose et commence à parler au Très Haut, nope elle gagate pas mais elle en a un terrible besoin, puis il l'écoute sans jamais l'interrompre et il lui rend le sourire lorsqu'elle a fini de vider son coeur et sa tête...

Après un bon moment de discussion avec Lui, elle se sent plus sereine, étrangement elle ne lui demande jamais rien pour elle, mais pour ceux qu'elle aime cela lui arrive.

Mais surtout entre deux prières, elle papote de tout de rien, surtout de tout ce qu'elle a en tête...Depuis le départ de Mitijo, elle ne se laisse plus jamais aller à exprimer tout ce qu'elle ressent , elle lui parle de ses maladresses, lui dit qu'elle aimerait avoir la force de ne plus en faire...

Stéph lui signifie sa déception d'avoir chu, ce sentiment de culpabilité de ne point tenir assez sur ses jambes face aux viles...Elle lui en dit tellement qu'elle s'étonne qu'il ne lui ait pas encore intimé de se taire!

Voilà, elle a tout dit, tout sur tout, sans s'épancher mais en énonçant les choses clairement...Soulagée de tous ces poids, elle lève les yeux vers l'autel et lui dit simplement


Mercé!

La jeune femme se redresse, se lève , toute souriante, s'incline face à l'autel...Tourne les talons et se dirige en chantonnant vers la sortie...Dans l'espoir de croiser bientôt son époux.

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Martin_tamarre
Monseigneur Martin_Tamarre se leva de très bonne heure ce dimanche matin. En faisant route vers l'église de Mortagne pour y officier, il apprécia chaque endroit de ce beau village qu'il aimait tant. Le ciel était gris mais l'amour qu'il portait à ce village remplacait ces derniers par un grand soleil.

Arrivé à proximité de l'église, il en ouvrit grand les lourdes portes pour pénétrer à l'intérieur. Il avança jusqu'à l'autel pour préparer tout ce qu'il fallait pour la messe dominicale. Puis une fois terminé, il alla jusqu'au parvis de l'église pour faire retentir les cloches dans tout Mortagne, pour signaler aux fidèles, le début de le messe. Tout en faisant résonner les cloches il regardait autour de lui pour accueuillir ces derniers.





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Stephandra
Dimanche...
Jour du Très Haut...
Les cloches appellent les villageois à se recueillir..

Seule, partagée entre la tristesse et la joie, paradoxale mais bien son état d'âme. Elle décide de se rendre la tête haute en traversant la ville, croisant ici ou là quelques fidèles.

Arrivée sur le parvis, Stéphandra incline la tête vers l'officiant


Bonjorn mon père

Puis lentement, pénètre dans le lieux saint après lui avoir adressé un petit sourire franc et sincère.

Se trouve une place discrète et s'installe en priant en attendant le début de l'office.

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Donotach
Arrivé à Mortagne en ce dimanche, voyage triste au final, il passa la ville cherchant l'église. Il s'arrêta en taverne quelques instant, instant qui fut sans doute de trop puis il entreprit de trouver cette église arpentant la ville et demandant ici et la son chemin.

Il trouva enfin le lieu qu'il cherchait et s'en approcha.

Une fois arrivé sur le parvis il saluât d'un signe de tête


Bonjour mon père, enchanté de voir que vostre église est ouverte pour la messe.

Puis souriant il entra dans l'église et la contempla. Il vit une personne qu'il reconnu tout de suite qui se recueillait. Mais il n'allait pas la dérangé, peut-être la croiserait-il à la sortie de l'église.

Il s'avança donc et se signa et prit place.

Puis il se recueillit en attendant que l'office ne commence et demanda pardon pour ce qu'il venais de faire.

Puis après un moment il pensât à sa soeur et ses amies en Genèvre et priât fort pour eux. Il priât également pour sa filleule en Franche-Comté

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Martin_tamarre
Monseigneur Martin_Tamarre accueilla deux fidèles qui passaient le parvis de l'église pour pénétrer à l'intérieur.

Bienvenue mes enfants, entrez et installez vous, j'arrive de suite.

Une fois tous les fidèles entrés, il décida de commencer l'office et ferma délicatement les portes. Comme à son habitude, il les laissa ouvertes pour les retardataires qui pourraient arriver.

Il passa ensuite parmi les fidèles pour rejoindre l'autel et il se plaça face à ses derniers pour s'adresser à eux.

Bonjour à toutes et tous et bienvenue en l'église de Mortagne. Je suis très heureux d'être en votre compagnie, aujourd'hui, pour prier le Très-Haut.

Il leva ensuite les bras en direction des fidèles pour qu'ils se lèvent.

Commençons tout d'abord par demander pardon pour nos péchés en récitant la prière du pardon.





Maintenant que nos âmes sont plus légères, récitons ensemble le Credo.


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Stephandra
L'officiant arriva et Stéphandra l'écoute et lorsqu'il envoie le confiteor alors elle le récite doucement

Je confesse à Dieu tout-puissant,
je reconnais devant mes frères
que j'ai péché en pensée, en parole,
par action et par omission;
oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
les archanges et tous les Saints,
et vous aussi mes frères,
de prier pour moi le Créateur

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
qu'il nous pardonne nos péchés
et nous conduise à la vie éternelle
dans le paradis solaire.
Amen.


Et la suite logique arrive avec le crédo qu'elle récite respectueusement, également

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Regardant le bout de ses bottes humblement, puis elle redresse la tête sourire aux lèvres

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Donotach
Sortant de ses prières Dono vit passé le célébrant, il inclina de nouveau la tête. Puis il écouta ses paroles.

Lorsque celui-ci leurs demanda de ce lever, il le fit nonchalamment.

Puis il croisa ses deux mains et il se confessa

Je confesse à Dieu tout-puissant,
je reconnais devant mes frères
que j'ai péché en pensée, en parole,
par action et par omission;
oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
les archanges et tous les Saints,
et vous aussi mes frères,
de prier pour moi le Créateur

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
qu'il nous pardonne nos péchés
et nous conduise à la vie éternelle
dans le paradis solaire.
Amen.


Puis il récita son credo en pensant à ses amis

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Relevant la tête il écouta le célébrant attentivement
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Martin_tamarre
Le Credo étant récité, Monseigneur Martin_Tamarre prit le Livre des Vertus pour en lire un passage à l'assemblée.



Au cours des prochaines messes, nous allons ensemble revoir comment tout à commencé et comment tout s'est déroulé. Pour cela, je vous lirai à chaque fois des passages ou chapitres du Livre des Vertus.

Aujourd'hui, nous allons commencer par les deux premières parties expliquant "La création", partie 1 "L'Univers" et partie 2 "La vie". Dans ces lectures, vous pourrez comprendre comment fut créé l'univers et la vie.


Citation:
Le Livre des Vertus --- Livre 1. Le mythe Aristotélicien --- La création --- Partie I - L'Univers

Au commencement, il n’y avait que Dieu.

Il n’y avait encore ni matière, ni énergie, ni mouvement. Il n’y avait même pas le vide, comme celui qui aujourd’hui sépare le monde des étoiles, car même le vide est quelque chose. Non, ce qui Le composait alors, c’était le Néant. Cela ne se définit pas comme l’absence de toute chose car, lorsque l’on dit de quelque chose qu’il est absent, nous avons conscience de la possibilité de son existence. Le Néant, c’est lorsque même l’idée de l’existence est impossible. Sauf pour Dieu.

Mais Dieu est supérieur à tout, y compris au Néant. Il n’a pas de commencement ni de fin. Il est donc l’Infini et l’Eternel. Il est l’Être Parfait, sur qui rien n’a de prise, rien ne peut agir, rien ne peut interférer. Il Lui suffit d’une simple pensée pour que quelque chose passe du Néant à l’Existence et d’une autre simple pensée pour que cela retourne de l’Existence au Néant. Tout Lui est donc possible et tout Lui doit donc son existence.

Dieu est la Matière Première à partir de laquelle tout est créé. La matière, l’énergie, le mouvement et le temps sont eux-mêmes composés de Lui. Ceci fait que tout ce qui existe, ainsi que le Néant lui-même, fait partie de Lui. Il est aussi le Créateur de toute chose. C’est Lui qui crée tout ce qui existe et lui donne sa forme et son contenu. Il est enfin le Très Haut, car Il est la cause même de l’existence de toute chose, y compris du Néant.

De ce fait, Dieu sait tout, car le savoir même fait partie de Lui, est créé par Lui et trouve sa cause en Lui. On dit ainsi qu’Il est omniscient. De plus, Il est partout car, aussi loin que l’on aille, on se trouve toujours en Lui. On le qualifie donc d’omniprésent. Enfin, Il peut agir partout car, étant partout et sachant tout, rien ne peut entraver Son action.

Dieu pensa et un point minuscule apparut. Ainsi, par la création de cet unique minuscule point, Il venait de faire disparaître le Néant. Dorénavant, Il serait composé de l’Existence et du vide, mais plus du Néant. Il décida de nommer ce point minuscule “univers” et le fit exploser en une myriade d’étoiles, qui vinrent peupler le vide. Jamais plus, elles ne cessèrent de resplendir au firmament céleste.

Alors Dieu créa les deux mouvements : les choses lourdes iraient vers le bas et les choses légères vers le haut. Il créa également les quatre éléments. Le plus lourd était la terre. Puis venaient l’eau, le vent et le feu. Il les disposa dans l’ordre hiérarchique de leur pesanteur. La terre se trouvait donc au centre. Elle fut recouverte par l’eau, elle-même recouverte par l’air. Enfin, le plus léger des éléments, le feu, vint couvrir le tout.

Cette boule de matière, Dieu la nomma Monde. Afin que mouvement se fasse, Il entreprit de défaire l’ordre hiérarchique des éléments. Il plaça le feu au centre de la terre et l’eau dans le ciel, au-dessus de l’air. Les éléments bougeaient, alternant ordre et désordre, retournant systématiquement du désordre à l’ordre. Dieu se plaisait à voir comment Sa création se mouvait pour correspondre à l’ordre hiérarchique de leur pesanteur.


Citation:
Le Livre des Vertus --- Livre 1. Le mythe Aristotélicien --- La création --- Partie II - La vie

Mais Dieu était parfait, alors que Sa création était imparfaite. Alors qu’Il était conscient de Lui-même, Sa création ne pensait pas. Alors qu’Il choisissait ce qu’Il faisait, Sa création ne faisait que s’adapter. Alors qu’Il était capable de créer, Sa création ne faisait que se suffire à elle-même. Alors qu’il voulait aimer Sa création et être aimé d’elle en retour, elle en était incapable.

Dieu réunit alors l’amour qu’Il avait en Lui. Il en fit l’esprit, qui ne pouvait être ni touché, ni vu, ni senti, ni goûté, ni entendu, car il était différent de la matière. L’esprit contenait l’intelligence, composée de la raison et des sentiments. Dieu y avait mis le plus de Lui-même: la capacité de choisir et celle de ressentir. Le Très Haut associa la matière à l’esprit, pour que ce dernier puisse exister en harmonie avec le monde, et nomma le tout "vie".

Mais la vie était imparfaite. Bien que créée par Dieu et composante de Lui, elle n’était pas Lui tout entier. Sa capacité de choisir était partielle, car son savoir et son pouvoir n’était pas illimités. Sa capacité de ressentir était tronquée, car elle était composée de matière, neutre et impersonnelle. Mais Dieu voulait aimer la vie et que la vie l’aime en retour.

Mais, pour que Dieu et la vie puissent s’aimer mutuellement, il fallait que cette dernière s’efforce constamment de se rapprocher de la perfection divine. Car elle était incapable de l’égaler. Le Très Haut créa donc le troisième mouvement: les choses supérieures iraient vers Dieu. Ainsi, la matière dont la vie était composée étant une chose lourde, elle fut posée sur le monde, car elle allait vers le bas. Mais, comme elle était aussi composée d’esprit, qui était une chose supérieure, elle tendrait vers la perfection divine.

Et sur le monde, la vie prit une multitude de formes, des plus petites aux plus grandes. Les végétaux s’emplissaient de la lumière des étoiles, couvrant ainsi le monde d’une couche de verdure. Les animaux gambadaient ou voletaient entre les végétaux. Ainsi, alors que Dieu semblait immobile, la vie se manifestait par un mouvement incessant. En effet, Dieu, étant éternel, n’était pas soumis à ce besoin perpétuel de mobilité qui faisait que la vie était sans cesse en activité. Il paraissait ainsi être immobile. Mais c’est cette action ininterrompue que Dieu aimait par dessus tout observer dans Sa création.

Mais Dieu n’avait pas conçu le mouvement de la vie comme une force infinie et, pour qu’il se perpétue, il fallait que l’animal broute le végétal, que le prédateur dévore la proie, et que les cadavres d’animaux pourrissent pour nourrir les végétaux. Ainsi, la mort faisait partie intégrante de la vie. Mais, pour que cela ne détruise pas Ses créatures, Dieu partagea chaque espèce en deux principes complémentaires, qu’il appela masculin et féminin. Tous deux étaient égaux et devaient se rechercher pour s’unifier, et ainsi perpétuer la vie.

Ainsi, de la vie Dieu créa le temps, où la mort succède à la vie, la vie à la mort, et la progéniture à ses géniteurs. De même, l’eau rejoignait le ciel pour descendre sur terre et alimenter les rivières, et le feu sortait des volcans pour alimenter la terre, qui s’accumulait pour nourrir le feu en son sein. Le monde tout entier était uni dans un mouvement perpétuel de vie, alors que Dieu paraissait immobile, échappant aux contraintes du temps.


Après la lecture, il ferma délicatement le Livre des Vertus et s'adressa à l'assemblée.

Je vous invite, maintenant, à venir partager ensemble le pain et le vin, symbole de l’amitié Aristotélicienne.
Prions ensemble au moment de ce partage, prions le Seigneur pour ses biens faits, pour son amour et sa grande générosité.


Il prit alors la corbeille de pain et arracha les miches et servit également le vin. Après avoir communié, il se plaça devant l'autel, face aux fidèles, pour les faire communier à leur tour.


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Stephandra
L'officiant fait lecture de deux textes du livre des Vertus, deux parties qu'elle a maintes fois lues lors de ses études jamais terminées... Esquisse de sourire à l'idée qu'il lui faudra tout reprendre un jour...

Ensuite, il les invite à la communion...lentement elle s'y rend adressant un sourire à l'officiant et en regagnant sa place, Stéph croise un visage connu.

Messer croisé, rencontré en Touraine, Capitaine de l'époque, l'est il toujours ou pas? Petit pincement au coeur en repensant à cette période, qui correspond à sa rencontre avec son époux. Stéphandra incline la tête en souriant à l'attention de Donotach, murmurerait bien un "bonjorn" , mais se dit qu'ils auront probablement l'occasion de converser à la fin de l'office, sur le parvis de l'église.

Pour l'instant, elle retourne à sa place se recueillir à nouveau...

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Martin_tamarre
La communion terminée, Monseigneur Martin_Tamarre se replaça derrière l'autel, face aux fidèles. Il déposa la corbeille de pains et le pichet de vin dans un coin de ce dernier. Il s'adressa ensuite une dernière fois aux fidèles.

Mes enfants, je vous remercie d'avoir pris le temps de venir prier en ce dimanche matin et je vous souhaite une excellente journée !

Que les paroles de Christos et Aristote vous accompagnent et vous guident.

Que le Très-Haut vous protège ! Allez en paix !


Il passa au milieu des fidèles pour rejoindre le parvis et faire sonner les cloches de l'église, signe de la fin de l'office. Il en profiterai pour saluer les fidèles à leur sortie.
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Flily
Au petit matin, Flily c'était reveillée le grand jour approchait et elle sentait de en plus une atmosphère lourde dans son village. Après s'étre incliner devant l'autel elle allat allumer un cierge avant de se receuillir, de prier pour Nate, sa marraine et ses enfants....
Pour ceux qu'elle aimait, pour l'âme de ce village qu'elle aimait tant.

Fermant les yeux elle prit même à prier pour pardonnez au personne qui n'avaient entrainé que souffrance.
Avant de reprendre a faible voix ces mots, car à n'en pas douter sur certain actes passé elle avait pêcher....


Je confesse à Dieu Tout-puissant,
À tous les Saints
Et a vous aussi, mes Amis,
Parce que j’ai beaucoup péché,
En pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
Et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L’absolution et la rémission de tous nous péchés.


Se relevant après ses prière, elle allat prendre place quelques minutes sur un banc le tems pour elle de trouver un legere quiètude en ces jours tristes.
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Archiviste Judiciaire d'Alençon
--Adelaide_de_linster
En milieu d'après-midi alors que les parents finissaient de décorer le jardin et la maison Adélaïde elle sorti discrètement de chez elle pour passer a l'église...
    - Mon père vous z'êtes là??
Elle allat allumer un cierge pour ses parents, comme lui avait apprit son père en attendant le prêtre qui allait marier ses parents. Apres une longue attente la petite fille fis demi tour en attachant sur chaque banc coté allé centrale une rose blanches et une rose rouge.
Avant de sortir de l'église et rentrer.


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--Adelaide_de_linster
En milieu de matinée, Adélaïde dans sa belle robe vint prendre place à l'entrée de l'église pour accueillir les invités au mariages.

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