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[RP ouvert]Une île sur l'Armançon

Sylvain_d_aupic
Sylvain se réveilla après un bien long voyage dans une pièce qu'il ne connaissait pas. Le trajet dans le coche l'avait véritablement assommé. Le réveil fut donné par la voix d'un jeune garçon qui semblait avoir une discussion avec Anne.

Bonjour Mère, bonjour à vous, messire. Je suis Sylvain, fils de Dame Anne. Comment allez vous?

Sylvain s'inclina poliment, essayant de mettre en oeuvre toutes les leçons qu'il avait reçu grâce à l'éducation de sa mère et de son précepteur. Néanmoins, il lisait dans le regard du garçon face à lui une lueur bien étrange. Peut être aurait il bientôt la possibilité de vérifier que l'héritage de son père ne se bornait pas au domaine d'Aupic.
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Sylvain d'Aupic
Anne_marie_d_aupic
La fin d'après midi arrivait, et Anne-Marie était en train de prier, sagement et pieusement. Pas tant qu'elle aimât cela, à son âge, mais elle se faisait bien souvent reprendre par sa mère, et l'amour que la petite fille portait à cette dernière la poussait à appliquer à la lettre ce qu'elle demandait.

Enfin, pas toujours. Il y avait bien des moments où elle oubliait la rigueur imposée, d'autant que son frère ainé, de quelques minutes, plus téméraire, prenait plaisir à désobéir, faire des bêtises, s'échapper... Aussi Anne, de temps à autre, le suivait elle dans ses égarements.

Mais pour l'heure, elle priait Aristote de revoir sa mère. Elle savait qu'elle devait rentrer d'un moment à l'autre.

La fin du temps de prière s'annonça, et la petite se dirigea vers les salles communes où l'on donnait le repas.

Une nonne l'attendait, avec ses malles prêtes.

Jeune fille, êtes vous prête car votre mère arrive tantôt à Sémur, nous allons vous y conduire chez la Vicomtesse Marie-Alice sur le champ...
Elle fronça les sourcils. Elle allait voir sa marraine pour la première fois, et cela l'impressionna. Anne, sa mère, en parlait toujours avec beaucoup de déférence, et elle insistait sur le fait que c'était une personne importante...

Anne-Marie ne savait pas trop ce que cela voulait dire, être important.
Mais elle comprenait, au visage de sa mère, qu'il fallait être polie. De toute façon, sa mère lui demandait toujours d'être polie...

Dans ses pensées, elle avait hoché la tête à la nonne, lui répondant un oui faible. Le coche, à présent, arrivait sur les terres qu'elle devait rejoindre.

Elle en descendit, alors que des valets rapides venaient prendre ses bagages et l'amenaient à l'intérieur.

Là, elle vit, outre les servantes, une Dame discuter avec un jeune garçon qui paraissait bien grand -il avait la taille de sa mère- sa mère, justement, qui lui faisait face, et son frère Sylvain, tout près d'eux, dont elle avait entendu la voix en entrant dans la pièce.

Excellance, Messire, Mère...

Sa voix fluette résonnait un peu dans ce grand espace calme, tandis qu'elle saluait, en faisant des révérances, le dos droit comme un bâton et le regard vers le sol.

Puis, elle traversa du pas le plus rapide qu'elle le pouvait l'espace qui la séparait de sa mère, presque en courant, et se jeta dans ses robes...

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Mariealice
[Quelques mois plus tard....]

Enfin Sémur. Enfin la maison sur son île, île qui posait tant de problèmes à Anne mais qui lui donnait un sentiment d'être à l'abri. Enfin revoir son fils, enterrer sa fille, parcourir les rues et voir si la ville avait changé. Enfin...

Une fois au pied du pont, Marie avait sauté à bas de sa monture pour le parcourir à pieds, marchant lentement et observant l'extérieur des bâtiments, leur état, voir si tout avait été entretenu pendant son absence. Ici, un amoncellement de branches mortes faisait un petit barrage qu'il faudrait nettoyer. Là un rosier sauvage montrait le bout des bourgeons. Doucement la nature sortait de sa léthargie hivernale. Oh il y aurait des tentatives de retour de l'hiver, mécontent et envieux, mais il finirait par abandonner et retourner attendre son tour.

La cour était impeccable et son courrier avait dû faire son effet. Ce qui lui tira un sourire. Elle n'imaginait que trop bien Gerfault secouer tout le monde pour éviter de se faire rentrer dans le lard par une maitresse de maison fort mécontente. D'ailleurs celui-ci s'avançait, chapeau à la main qu'il triturait.


Bonjour Vicomtesse et bienvenue. Tout est prêt, les chambres sont faites, la Jeanne vous a préparé de quoi manger et votre fils vous attend au salon avec sa nourrice.

Hochement de la tête de la brune tandis qu'elle confiait sa jument à un jeune palefrenier, rassurant au passage Minouche, oui il aurait le droit de continuer à s'en occuper.

Et ma fille?

C'est comme vous aviez demandé.

Nouveau hochement de tête suivi d'un soupir avant de se retourner vers la petite troupe.

Si nous allions nous réchauffer et nous reposer?


Sans attendre, elle pénétra dans la maison, se dirigea vers le salon et s'arrêta à la porte. Son fils, cela ne pouvait être que lui, jouait avec un cheval et un château en bois, assis sur un tapis, sous l'oeil de la nourrice. Dieu qu'il avait changé et grandi en si peu de temps. Lentement elle s'approcha et vint s'asseoir dans un fauteuil, faisant signe à la nourrice de ne rien dire, laissant l'enfant jouer, trop absorbé par ses rêves de chasse au dragon et autres bêtes pour s'apercevoir que sa mère était là.
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en cours de mise à jour
Mariealice
[Le surlendemain]

La vie reprenait son cours et ce jour là, le cours en question passait par un entretien entre Charles de Margny et elle pour l'enterrement de Maeve.

Elle avait passé la matinée à faire le tour de la maisonnée, à passer en revue les serviteurs, à parcourir le courrier en souffrance et désormais elle attendait, assise dans le salon, nerveuse. Dernier enterrement de ses enfants. Ou bien avant dernier puisqu'ils mourraient tous. Pour cela qu'elle n'arrivait pas à se comporter normalement avec Merlin, qu'elle agissait la plupart du temps comme s'il n'existait pas. Pourquoi le prendre en compte, l'aimer, puisqu'il partirait, lui aussi.

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en cours de mise à jour
Charles
    Ah le printemps ! La nature se réveille, les oiseaux reviennent, on enterre des donzelles ! C'était tout au moins aussi imagé. A défaut d'avoir les oisillons à venir vous casser les oreilles de bon matin, c'était déjà l'heure de préparer une mise sous terre. Le printemps rimant naturellement avec recommencement. Et ainsi donc, la destinée vers une nouvelle vie, plus douce à l'âme égaré d'un corps pas encore digéré par les vermisseaux.

    C'était donc en toute quiétude que le Baron se rendit chez la Vicomtesse qui l'avait invité cet après-midi afin d'assurer l'entretien qui ferait bonnes notes pour le barbu pour le prochain office. Il aurait été déplacé de venir bâcler le dernier voyage d'une sang bleu, quand bien même elle lui aurait été inconnu. Et bien rapidement, il venait à se retrouver à la bâtisse ou demeurait la mère Alterac ou il se fit annoncer rapidement.


    Je suis le Baron Charles de Margny. Je suis venu ici afin de m'entretenir avec votre maitresse pour les règlements de quelques détails du prochain enterrement de sa défunte fille.
Mariealice
Des pas dans la cours, des mouvements, des voix, l'invité était sans doute arrivé. Elle se leva à l'entrée de la servante qui venait annoncer qu'effectivement c'était le cas.

Fais le entrer et amène-nous des rafraîchissements.

Elle lissa machinalement sa robe, se redressa et attendit qu'il entre pour le saluer.


Bonjour. Merci à vous de prendre le temps de me rencontrer.

Marie indiqua un siège près d'elle.

Installez-vous je prie.
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en cours de mise à jour
Charles
    Le temps de réaction de la petite maisonnée était plutôt satisfaisant, en tout cas, bien plus probant que les multi-manifestations dont il faut faire preuve du côté de Condé pour que les gens s'affairent exactement à votre demande. Peut être que le champenois n'est pas d'une nature très exécutante, mais rien ne valait le service du bon germain pour remettre tout en ordre.

    Bien vite invité à prendre place dans un siège du salon ou il fut accueilli, le barbu décida alors de prendre parole et de débuter l'entretien.


    Le plaisir est pour moi Vicomtesse, il m'était important de venir vous voir dans ces douloureux instant et vous aider à débuter votre deuil. Je sais bien moi même qu'il est douloureux de voir son sang se perdre à perte de vue, de voir s'éteindre toutes personnes autour de soit ... L'on se sent seul et perdu. Mais il faut garder le courage, nous les retrouverons bien assez vite dans un monde meilleur. Le paradis solaire nous est à tous offert quand nos repentis sont sincère et je ne doute pas un instant que celui de votre fille le fut en son instant.


    Voilà qui devait permettre de bien mettre à l'aise la Dame et de pouvoir ensuite enchainer sur les questions plus techniques ayant rapport a la prochaine cérémonie.
Mariealice
Une fois son hôte assis, elle se posa elle-même dans le siège qu'elle venait de quitter. Mains à plat sur les cuisses, le regard posé sur l'homme en face d'elle, elle écouta sans mot dire. Ces mots là elle les avait déjà entendus, lors de la mort d'Arthur puis d'Aleanore. Elle revoyait Odoacre, rigolard, lui asséner les mêmes propos. Réjouissez-vous, elle est morte. Ses mains se crispèrent sur le tissu, elle pâlit avant de se reprendre et de répondre.

Je ne connais que trop bien tout ceci. La perte, la procédure, l'enterrement. Il s'agit de mon troisième enfant que j'enterre. Alors perdue non... Courageuse... Je ne le suis plus guère mais je fais avec.

De quoi avez-vous besoin pour officier?


Ou comment faire comprendre qu'elle n'avait cure des paroles de réconfort qui depuis bien longtemps ne l'atteignaient plus du tout et avaient même l'effet contraire.
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en cours de mise à jour
--Jeanne_sidonie


[Pendant ce temps, à l'office]

La Jeanne coud. Dans son coin, juste devant la fenêtre, parce qu'à son âge, les yeux, c'est vieux et ça marche pas super bien. Alors pour coudre, parce qu'elle y arrive encore, faut se mettre à la lumière.

Ca fait longtemps qu'elle coud, depuis qu'elle est en âge de tenir une aiguille. Elle en a brodé, rapiecé, cousu des lieues de tissus de tout genre. Même qu'à Limoges, elle a travaillé dans l'échoppe de tisserand que la patronne avait achetée.

Enfin maintenant elle est vieille, quand il fait humide ça la fait souffrir et puis elle en a assez. Elle aimerait bien retrouver son Pierre qu'est mort ça fait une paire d'ans. Un bruit attire son attention et la voilà à devoir recompter ses points, en maugréant... Ah la mémoire c'est comme le reste, ça fout le camp.
Charles
    Une habitué de la visite des mausolée que cette vicomtesse. Elle devait bien être rodé dans l'art d'accompagner ses enfants vers leurs dernières maisons et l'art de décoré les sépultures ne devaient donc plus avoir aucun secret pour cette femme, ce qui aiderait bien le Margny dans cette tâche. Il s'enlevait une épine dans le pied de peur de devoir sévir sur tout ces détails qui le barbaient plus qu'autre chose ... Mieux valait une dégustation de Beaune, bien plus attendu !

    La vie parait toujours injuste ... Mais le Très-Haut à ses raisons, que seul la raison saurait définir sur l'ondée de la lumière divine. N'ayez pas de dépit, cela serait le premier pas vers l'oubli.

    Il était maintenant question de la raison réelle de sa présence. Sans doute la Violette trouverait les réflexions du brun sombrement idiote, futile, voir complétement inutile ... Elle n'avait peut être pas tort, mais le brun n'avait jamais enterré personne.


    J'aurais voulu connaitre un peu plus précisément la vie de votre vie, ses passions, ses amours, ses volages ... La connaitre, pour offrir à l'auditoire présent l'image qui saura le mieux la représenter. Bien évidemment, ceci n'exclue pas les interventions des gens qui voudront laisser mots à votre fille.

    Devait-il parler tout de suite des propositions de teintures florales ? Peut être pas.
Mariealice
Le coup du Très Haut et des ses raisons elle le connaissait par coeur. Et si au début, elle avait acquiescé, maintenant elle se contentait d'hocher la tête pour faire comme si. Cela évitait les discussions où on lui expliquait que si et que non mais que oui... Bref, tout ce qui l'énervait plus que rapidement désormais.

Elle est morte très jeune, à peine 16 ans. Un accident semble-t-il, elle s'est noyée.

Elle aimait les cailloux, la mer, rêvait de devenir chevalier, de se battre pour une cause lui semblant juste. Elle avait dû faire face très tôt au mal en la personne d'un routier qui lui avait laissé une balafre sur la joue et aurait fait bien pire sans l'intervention de licorneux. Elle avait été élevée au départ en Normandie où elle avait rencontré un enfant, un peu plus âgé qu'elle, Leandre. Ils sont devenus très vite amis, puis amoureux mais elle a fini par changer d'amoureux pour vouloir se fiancer à mon filleul, Gaspard, que j'ai élevé à la mort de ses parents.

Maeve était comme toutes les jeunes filles, pleine de rêves, d'envies, même si elle avait mûri très vite suite à son agression.

Pour les interventions, j'ai peur qu'il n'y ait pas grand monde sur place à part sa famille proche. Peut-être Cassian et son père Eusaias viendront-ils...

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en cours de mise à jour
Charles
    Et voilà que la vie de la jeune fille qui avait quitté ce monde s'étalait au grand jour aux yeux d brun. Courte vie pour une sang bleu, mais presque tumultueuse, sans aller dans un abus contextuel et tout ceci venait à mener à une mort étrange.

    Non pas qu'il désirait se muer en agent de prévôté en recherche d'indice pour une mise en procès viable, mais ce détails sur le décès avait tout de même de quoi lui faire remonter certaine interrogation.


    Une noyade ? Ou cela s'est-il passé ?


    L'idée d'une noyade était assez surprenante. Que le corps soit retrouvé l'était encore plus, voilà qui devait être bien plus qu'une banale sortie champêtre ou le bain dans la marre aurait mal tournée. Quitte à remuer le couteau dans la plaie, autant le faire bien ...

    Y'avait-il des gens auprès d'elle à cet instant ?
Mariealice
Charles ou l'art et la manière de remuer effectivement le couteau dans la plaie. Il lui posait exactement les questions auxquelles Marie n'avait nulle réponse. Elles étaient souvent revenues dans ses cauchemars les première nuits, s'y invitaient bien trop encore. Elle ne put rester assise et se leva, allant se poster devant la fenêtre pour regarder au-dehors, le temps au moins de retrouver un semblant de calme.

Si je le savais... Je sais juste que c'est Kilia qui m'a ramené le corps, alors qu'elle l'a retrouvé. Où exactement? Je l'ignore. Si Maeve était seule quand elle s'est retrouvée à l'eau? Je l'ignore. Si elle est tombée ou si on l'a poussée? Je l'ignore. Je sais juste que ma seconde fille est morte et cela m'est assez à porter.

Une longue inspiration avant de reprendre sa place, le visage un peu plus pâle, les traits un peu plus creusés. Allait-il continuer à la torturer à loisir encore longtemps.
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en cours de mise à jour
Charles
    Il devait être sadique, au moins animé d'un sadisme, peut être une passion intrinsèque à la volonté de servir au sein de la maison du Très-Haut. On ne fait pas son coming out des bons sentiments lorsque l'on prononce le souhait de servir cette institution, mais il existe peut être un sorte d'arrière gout à l'ivresse de la dépendance sur les âmes d'autrui.

    On savait bien le Margny un peu spécial, voir même totalement déluré, prêt à froisser mots pour mieux arriver à ses fins et mettre les gens à terre devant lui. Une once de malveillance hérité de son paternel qui avait tout pour être un homme d'exception pas une histoire déjà peu banal entre son abandon et le fait de renier celui qui était son second père. Quel ironie quand on sait que Charles devrait légitiment être Comte de Morteaux si l'histoire avait tourné autrement, mais l'important était que son appartenance à la famille Margny soit revendiqué, le détail fromager intervenait assez peu.

    C'est donc dans cet état d'esprit pas toujours très saint qu'il suivait du regard la vicomtesse se lever, reprendre un souffle qui se perdait dans les souvenir, alors que lui, bien qu'une certaine mine déconfite accompagnait ses questions -une sorte d'habitude chez lui- c'était un sourire en coin qui apparaissait sur ses lèvres aux tressaillements de la Violette.


    Kilia ? La duchesse démise de son droit de siéger à la pairie ?


    Un instant de réflexion, un peu pour lui, peut être un peu plus pour que la questionné puisse penser à la question posé. Et pour relâcher un peu l'étreinte sur les suspicion qui pouvait flotter, il continua.


    Quoiqu'il en soit ... Le Très-Haut jugera. Tant les égarements de votre fille que cette impromptue baignade s'il n'en est.
Mariealice
Un instant elle se demanda si tout ceci ne l'amusait pas. Ce sourire qui étirait un côté de sa bouche, une petite lueur au fond des yeux. Elle ne le connaissait que peu cet homme, mais déjà commençait à ressentir une certaine envie de lui rentrer dans le lard. Ce n'était pas le premier homme d'église à lui donner pareil sentiment. Odoacre à l'enterrement d'Aleanore, avant encore le Camerlingue en osant l'excommunier, plus ceux qui avaient vu son fils mourir à petit feu mais ne l'avaient prévenu que bien trop tard pour qu'elle arrive à temps pour le voir une dernière fois et maintenant celui-ci pour Maeve.

Oui, celle-là même. Pourquoi? Le fait qu'elle ne soit plus Pair en fait un être moindre? Mes filles l'aimaient bien. Et c'est une mère, comme moi.

Et pour Maeve, se noyer n'est pas ce que j'appelle une baignade. A moins que vous ayez des informations sur la mort de ma cadette que je n'ai point?


Son regard se durcit. Elle était certes une mère en deuil mais elle était aussi une femme politique, ce qui impliquait une certaine poigne et l'habitude de se reprendre en main très vite.

Maintenant, si vous permettez, le ton employé signifiant que c'était plus une question théorique que réelle, j'aimerai à mon tour avoir quelques renseignements.

Quelle est votre fonction exacte au sein de l'église? Avez-vous déjà procédé à une cérémonie de ce genre? Quand pensez-vous pouvoir procéder?


Le ton se faisait plus doux, même si une certaine tension était encore palpable alors qu'une servante venait porter les rafraichissements demandés.

Merci. Tu peux nous laisser.
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