Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 30, 31, 32, ..., 36, 37, 38   >   >>

Vlaamse kroeg - La gargote Flamande : [Débat d'idées et interpellations diverses] Vox Populi

Slamjack
Un mal de crâne. Voilà ce qui résultait de vouloir écouter le cancanier jusqu'au bout. Le neurone du Seigneur Slamjack venait de sombrer dans une profonde léthargie. Était-il déjà occupé à relever le défi d'Alexandre? Ou tombait-il dans un coma dont il ne se relèverait jamais? Le Cavalier Noir s'assit et se tint le front avec la main.

Sans déconner faut arrêter de chier des mots comme ça. Moi j'émettais souvent des doutes, face aux gueux qui ne parvenaient pas à vous écouter jusqu'au bout, quant à leurs facultés mentales, mais là faut avouer que j'étais dans l'erreur.

Vous êtes une pitié à écouter, Zorg le 69e d'une longue lignée de concierges.

Vous abusez de déviations, de crochets et d'autres subterfuges pour dissimuler totalement l'imposture de vos propos, toujours plus imprécis de jour en jour.

Vous noyez la contrevérité dans un flot, constamment interrompu d'ambages volontaires, de mots dont seuls vous avez connaissance. J'admire votre connaissance de la langue euh... je ne sais pas de quelle langue sont issus les termes bizarres que vous citez, mais si vous voulez qu'on vous comprenne, Maître 69, je vous prierai de parler... le Français.

Pas le Français embrouillé, insupportablement pédant, que vous plébiscitez, mais bien le Français tel qu'on vous l'enseigne à l'université, maraud. Si jamais vous ne savez pas où cela se trouve...

Slamjack se tourna, esquissant un geste indicateur mais se rattrapant.

... euh, je vais vous montrer...

Le Baron regardait à gauche et à droite, à croire qu'il ne savait pas où se trouvait l'université. Il se souvenait pourtant y être allé, au-moins une fois, pour draguer les minettes sur les bancs du cours de latin.

VOUS N'AVEZ QU'A USER DE VOTRE ESPRIT AFFUTE POUR TROUVER L'UNIVERSITÉ!

S'énerva alors le Seigneur de Lys-Lez-Lannoy.

Bon, revenons à nos moutons. Car il y a un monde de différence entre vous et moi, sieur Zorg le commère. Euh, ça se dit "un" commère?

Slamjack se mit à réfléchir tout haut. Il tenait à s'entraîner pour être prêt lors de la confrontation avec le nommé Alexandre 1.

On dit "un commérage" donc... OUI! UN commère!

Un monde de différence, je disais, car moi je ne cache pas mes lacunes sous un "moncha"...

Un badaud lui souffla poliment : "Non, Messire, c'est du patois de Charleroi". Alors le Cavalier Noir rectifia, en prenant un ton suffisant comme son interlocuteur.

... sous un monticule de bavardages.

Allez, qu'on en finisse, amenez-moi cet Alexandre 1 que je lui mette une bonne branlée.

Slamjack sourit. Il avait fait mine de dégainer son épée.

Je vous fais marcher. Je sais bien qu'il n'y a pas d'Alexandre 1 dans ce Comté. Je n'ai connu qu'une Alex, une jolie jeune fille que j'ai tenté de "troncher" plu...

A nouveau interrompu par le badaud féru de langue française : "Non, Messire, troncher c'est du mauvais argot issu de la rue, très irrespectueux". Dommage que cet homme n'intervenait pas aussi souvent dans les causeries du 69e, ses allocutions en seraient plus compréhensibles.

... tenté de séduire plusieurs fois. Mais elle a quitté le Comté. Elle était folle de moi et ce fut un réel déchirement pour elle mais je pense qu'elle s'en est remis.

De quoi parlions-nous?

Ah oui, d'Alexandre 1. J'espère qu'il sait se battre, vous savez que j'ai pas de temps à perdre à répondre à de vils duels lancés par des gueux privés de tout honneur.

Slamjack cracha au sol. Une espèce de grosse boule jaune, gélatineuse avec des reflets kakis. Apparemment, le Seigneur de Lys était malade.

Pardonnez cette interruption, j'ai "choppé la crève".

Encore le badaud : "Messire, on ne dit pas ça". Le Baron commençait à en avoir marre de cet avorton. Mais il se reprit, avec un ton professoral, espérant impressionner son audience.

... je suis fiévreux.

MAIS JE RELÈVE LE DÉFI.


Lança-t-il sans que personne ne s'y attende. Même lui s'étonnait, visiblement. Il tenait son poing en l'air mais ne savait pas ce qu'on attendait de lui. Il sortit un parchemin et une plume.

J'ai pas bien compris ce que vous vouliez... Permettez que je note sinon je vais oublier.

Il griffonna quelque chose. On ne savait pas bien quoi. Un badaud tout proche prétendit même que le Seigneur dessinait.

Laissez-moi quelques temps, parce que là, quand même, mon neurone va "rudement en chier".

TOI TU LA FERMES!

Cria-t-il alors au badaud qui s'apprêtait déjà à le corriger.

Tu ferais mieux d'intervenir aussi souvent quand l'autre péteux raconte des conneries à rallonges! J'aurais moins mal au crâne.

Je vais aller poser mes fesses sur ce banc, là, et je vais vous pondre une récitation, puisque c'est à peu près ce que vous voulez. Mais après je m'occuperai de votre sale tronche qui commence à me sortir du cul et ce, à ma manière. Cela se passera dans la rue, selon mes règles, et tu vas morfler vil gueu.

Slamjack était très très énervé qu'on vienne déranger son neurone fainéant.
_________________
Chevalier°bayard
Juste une parenthèse pour dire que vous ne me coupez pas le sifflet cher Zorg, et ne me faites certainement pas peur. Je n'ai pas beaucoup de temps à vous consacrer en ce moment... car, désolé, en ce moment vous êtes vraiment la dernière de mes préoccupations... mais je reviens... dès lundi, je viendrai réagir à vos interminables palabres... où je m'étonne de votre animosité à mon encontre... aurai-je touché là où ça fait mal? Le réseau zorgien ???
_________________
Marjolaine29
Marjolaine s'était assoupie malgré elle sur l'épaule du Capitaine Bayard. Elle sursauta quand il se redressa pour prendre la parole. Elle se frotta les yeux, se demanda avec confusion depuis combien de temps elle dormait.

Elle se souvenait des premières paroles du sieur Zorg, puis ses paupières s'étaient faites lourdes, tellement lourdes... Jamais un de ses livres d'université ne lui avait fait un tel effet. Les discours de Zorg n'avaient rien à envier à un grand verre d'eau de vie quant à leur effet soporifique. Marjolaine s'étira discrètement. L'épaule de Bayard était confortable, elle se sentait aussi bien reposée que si elle avait dormi dans son lit.

_________________
Zorg69
Zorg écouta Le seigneur noir réagir à ses propos. Au fil de son élocution, son sourire s’élargissait. Mais il est en train de faire du zorg l’animal, et moi le 69ème d’une longue lignée de concierges, j’ai réussi ce tour de force, d’amener le seigneur noir à s’exprimer avec maintes circonvolutions et ambages volontaires, pour reprendre ses mots. Je suis fort !
Mais lui aussi, reconnaissons-le : il a fait long et littéraire. Pour ne pas être en reste, je suis obligé de faire du Slam : court, direct, rugueux, grossier et brutal. Comment c’est-ti qu’j’vais faire ça, moi ?


L’université ?
C’est pour les nobliaux qui n’ont que ça à branler !
Moi j’ai de la cochonnaille à occire, je n’ai pas le temps de le perdre !

Le badaud qui avait interrompu à maintes reprises, le seigneur Slamjack, tenta de s’immiscer …

Messire, « branler », c’est…

Ta mouille, toi, si tu ne veux pas finir fracassé. Tu ne m’interromps pas !

Tu veux faire morfler ma gueule dans la rue, la tringle ?
Pas d’lézard ! Me ferait un plaisir de t’émasculer l’neurone.
Tu prends le risque de ne plus pouvoir sauter grand monde !

Zorg observait le badaud hausser le sourcil à chacune de ses phrases. …

Mais avant j’attends que tu déclames, voir un peu ce que tu nous as chié.
Va p’t’être nous méduser par son ramage, l’nain d’jardin, après nous avoir « ébloui » avec son plumage !

Bon à la revoyure, baron. Tu fais signe quand t’es prêt.
Et n’oublie pas de m’pousser l’adresse, de la rue !
Ca s’rait dommage que j’te rate.
M’en vais sécuriser l’périmètre des pucelles flamandes, moi !
_________________
Etis ater pecalum ideas ferem
Ailleurs et Autrement

La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Slamjack
Voir un précieux se la jouer mauvais garçon, c'était toujours d'un profond ridicule. Cela ressemblait à ces hommes mûrs, gâtés par la routine de la vie, qui tentaient de s'exprimer comme les jeunes, usant et abusant de termes qu'ils pensaient dans l'air du temps. Ou un vieux garçon qui fréquentait encore les endroits adulés par les jeunes, tentant de s'habiller comme eux.

Tout simplement risible.

Le Cavalier Noir leva un oeil en direction du gueu qui s'excitait tout seul, semblant apparemment pressé de se prendre une râclée. Mais Slamjack était un homme patient. Sous ses faux airs impulsifs, le Prédateur était extrêmement réfléchi et, même s'il savait rendre coup pour coup - une vieille habitude acquise dans les arènes - il savait également attendre le meilleur moment pour mettre son adversaire au tapis.

Car tout ici n'était que confrontation. Et lui seul excellait dans le domaine.

Concentré sur le problème qu'on venait de lui soumettre, le Seigneur marmonna quelques mots.


Fais le malin, espèce de pitre, tu finiras comme les autres.

Les Flandres en avaient vu défiler des individus comme Zorg. Orateurs ou bagarreurs, mais défiant toujours le Cavalier Noir pour tenter de se faire un nom, incapable de se bâtir une Légende autrement. Et ils revenaient, sporadiquement, en fonction de la lune. Entraînant dans leur sillage quelques pèquenauds frustrés. Zorg et sa clique n'avaient rien d'original : pour les Anciens, c'était même du déjà vu.

Mais où étaient donc leurs prédécesseurs!? Poser la question, c'était y répondre. Ces individus ne faisaient jamais long feu dans le Comté.

_________________
Zorg69
M’en vais sécuriser l’périmètre des pucelles flamandes, moi !

Zorg sortit de sa tribune.
Il entendit, le seigneur Slamjack dire
« Fais le malin, espèce de pitre, tu finiras comme les autres. »

Hum… Tu prends des risques dans cette confrontation. Mais en même temps, ta longévité exceptionnelle te lasse un peu. Les confrontations précédentes ont été si décevantes. Elles tournent toujours peu ou prou à ton avantage, et personne n’a jamais résisté jusqu’au bout. Ca manque de sel. Tu as toujours su au fond qu’une ultime confrontation t’attendait… Lui seul pouvait … Non pas seulement. D’autres aussi, au féminin, mais tu ne peux pas avec une femme. Tu préfères les aimer. Ton éclair aurait pu ... T’aurais eu drôlement du mal !

Bon en attendant faut que je foute un coup de peinture sur cette tribune. Ca fait bien longtemps qu’il n’y a pas eu d’interpellations diverses et de débats d’idées. Voyons voir ce qu’on pourrait peindre sur le fronton

- Insomniaque ? Ici le remède !

Ah pas mal !
Mais non au final, manquerait plus que de rendre hommage à toutes les « Marjolaines » qui sombraient au premier oxymore venu !

- Laudanum.

Un bel hommage à sa moitié, dont le nom était un mensonge, doublé d’un clin d’œil à tous ceux qui le trouvait soporifique. Mais cela présupposait des connaissances en pharmacopée … Trop subtil !

- L’antre de la flamboyance

Nan trop trivial !
Un hommage à ma Kat ?

- Cochon un jour, cochon toujours

Nan trop confidentiel !

- Invention de mots en tout genre.
- Vracs de mots

Nan trop étroit, la tribune avait d’autres usages.

Zorg esquissa un sourire, il avait trouvé !
_________________
Etis ater pecalum ideas ferem
Ailleurs et Autrement

La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Ascalon
Ascalon, adossé à un pilier des arcades qui entouraient la place, écoutait, chope à la main, le discours de Zorg. De temps en temps, il portait à la bouche son délicieux breuvage.

Humm, une bonne brune, et on peut rester des heures ici… se dit-il à voix très basse.

Il regardait les bourgeois et notables locaux qui déambulaient, et faisaient mine d’écouter l’orateur public. Il y avait de jeunes enfants qui jouaient et courraient partout, ce qui le fit sourire, mais il y avait aussi d’autres jeunes enfants qui passaient les mains dans les poches notables pour les délester de leur bourse. Ascalon regardait tout ça, sans réagir, mais d’une oreille, il écoutait toujours, tout en restant vigilant.
Tout à coup, on parla de cour martiale, ce qui lui fit recracher une bonne gorgée. Il tendit ensuite l’oreille pour obtenir de plus amples informations. Il avait auparavant entendu parler le Capitaine lui-même de cette affaire, mais par simple bride. Ce qu’il entendait là, lui permit en regroupant les données de mieux comprendre les faits.
Il racla lui aussi sa gorge et cracha un énorme mollard sur le pavé tout en avançant, chope à la main, et il interpella Zorg.

Messire, ne vous faites plus l’avocat d’Ali. Je crois que je sais comment le sortir de cette affaire. Ne vous en faites pas, je vais agir de ce pas, je vais en avertir le Défenseur de la cause soldatesque !

Il s’en retourna, finissant sa bière et la jetant au sol. Il ne pensait pas seulement à son ami Alinéaire, mais aussi au lieutenant de Bruges.
Tout en marchant, il baragouinait quelques mots. Un enfant le regarda, un regard insistant. C’est enfant, il l’avait déjà vu, mais il ne savait pas où.

Oui ? Désolé, je n’ai plus que quelques deniers, mais je dois les garder pour le palefrenier.

L’enfant sourit.

Messire, je n’ai que faire de vos deniers. Je vous reconnais, je vous vois des fois au Parlement.

Haaa très bien… dit Ascalon, car il venait de "remettre" ce jeune visage. Un enfant des rues qui traîne dans le quartier du Parlement, avec des dizaines d’autres orphelins. Ascalon continua son chemin en papotant sur la tête blonde du garçonnet.

Je vous ai entendu Messire… Oui, quand vous vous parliez à vous-même, rétorqua-t-il en se recoiffant tant bien que mal.

Ah bon ?

Oui oui. Vous vous rendez à la tribune de Sang et Honneur, pour parler au Cavalier Noir. Mais vous faites une erreur…

Comment ça ? Je ne fais aucune erreur, garçon. Je vais avertir le défenseur des soldats flamands qu’un des leurs va être traduit en cour martiale, et pas n’importe qui, le Lieutenant de Bruges !

C’est bien ce que je dis, vous vous fourvoyez messire… Celui que vous nommez et contre le Lieutenant de Bruges.

Que dis-tu ? Arrêtes, tu n’entends rien à la politique toi… tu dois confondre…

Pour sûr que j’ai raison ! C’est le Baron et son ami qui crie tout le temps qui en ont parlés au messire qui fait que parler.

-Mais que dis-tu ? Quel messire qui fait que parler ? Qui crie tant que ça ?

Le garçon se tourna et montra du doigt Zorg qui continuait à parler et haranguer les passants.

Lui là, il parle tout le temps !

Ahh, dit Ascalon en souriant. Et le messire qui crie tout le temps, il serait pas écuyer ?

Voilà, vous y êtes, Messire, lui répondit le garçonnet.

Le Baron de Renaix et son écuyer Toffie... Mais il ne peut en être ainsi.

Si si, je vous assures. Allez et vous verrez! lui lança le jeune garçon, qui malgré sa petite taille le toisa du regard.

Ascalon esquissa un sourire et lui jeta 30 deniers. Il ne comprenait pas le pourquoi de tant d’assurance chez cet enfant.

Reprenez Messire, lui répondit-il en sortant de son manteau miteux un bourse à moitié pleine. Pour votre palefrenier...

Ascalon lui sourit et prit la direction de la place où se regroupait les partisans de Sang et Honneur.

J’espère qu’il se trompe… Le Baron de Renaix ne peut participer à cette mascarade de cour martiale. Il a bien trop d’honneur et de parole pour, de la sorte, s’attaquer à un officier de l’Ost alors qu’il prône le respect des gens en armes… Donc a fortiori leurs officiers…
Que Sang et Honneur, soit vraiment une liste pour la soldatesque, sinon qu’elle soit rebaptisé Sans Honneur sur le champs !

_________________
Plus haut tu construis ton piédestal, plus dure sera ta chute.
Plus haut tu places ton idéal, plus vaine sera ta lutte.
Toffie
Edit.
_________________
(en construction)
Toffie, écuyer du Castel de Lys-Lez-Lannoy
Zorg69
Edit
_________________
Etis ater pecalum ideas ferem
Ailleurs et Autrement

La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Zorg69
- Votre avis M. Spock ?
- Oui capt’ain Kirk : société médiévale dominée par un seigneur cruel et brutal. Un homme du peuple, tente de se dresser, et…

Gzzz Gzzz

- Spock, revenez, une interférence électromagnétique

Nouvelle séquence

[Université de Berkeley – Californie – Congrès sur l’évolution des langues – Interpellation de la délégation française par Alex Smith (linguiste –USA)]

Well gentlemen, Le ploblem with you, les flançais, c’est que votle accademy n’a ajuté que 17 words cette an dans le dictionary, là où les anglais en ont ajutés 3700. To google – chelcher. Funny, no ? Pour continiouer d’exister une langue doit évoluer. Le flançais finira par clever de tant de ligidité !

Nouvelle séquence

Une femme s’apprête à écrire, une autre brasse les fêlures de son passé …

Nouvelle séquence


Tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac

Un enfant agite frénétiquement l’une contre l’autre, deux boules reliées par une ficelle. Sur la première il a collé un dessin de Slam, sur l’autre une esquisse de Wuggalix

Tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac tac

Nouvelle séquence

Un vieux juge poudré, portant une perruque, lève son marteau et ..

« Mais il a une tête de cochon » dit un enfant dans l’assemblée

- Zorg je vous condamne à faire des alexandrins dans les geôles de Tournai, pour avoir produit des textes à deux niveaux, l’un pour le chaland, l’autre pour … Pour qui d’ailleurs Zorg ?
- C’est une moitié de secret, votre honneur
- Condamné !

Bang

Nouvelle séquence

Une femme s’endort sur l’épaule d’un chevalier, qui pourtant vitupère

- Pourquoi cette animosité Zorg ?
- Pas d’animosité, Bayard, simplement ce que j’ai lu est indigne de vous !

Nouvelle séquence

(*)Waterloo , Waterloo Waterloo, morne plaine
Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine…


- Mais ce ne sont pas des alexandrins !
- Tais-toi Napoléon, tu vas réveiller Monto !

Nouvelle séquence – Accélération - Flashs

- Messire, ne vous faites plus l’avocat d’Ali. Je crois que je sais comment le sortir de cette affaire.
- Messire je ne joue plus avec ceux qui lisent dans mes pensées.
- Wuggalix ne passera pas, Wuggalix ne passera pas.
- Alors j'ai eu ouïe dire que tu envisageais une révolte à tournai. Si c'est le cas je serais flatté de t'accompagner ! Ca me donnera l'occasion de me servir de mon épée avant de la ranger

- Zorg ?
- Oui
- Tu mélange tout là
- Oui. C’est comme dans un rêve. Pourquoi tu as la tête de Mehar, Kat ?
- Je ne sais pas, Zorg, tu l’auras dans 5 jours ton épée.
- D’accord, je te les prends demain tes carcasses.
- Et princesse elle y va à Tournai ?
- Oui Mehar me prête son bras et son épée !

Nouvelle séquence

Tête de Slam en gros plan, bave aux lèvres, bouche tordue, une hache dans la main

- Vais te les faire bouffer par l’fion tes alexandrins d’pucelles !


Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

Cri dans la nuit, réveil brutal, sueurs, regard apeuré, tremblements, mains qui le prends aux épaules, visage qui se penche, murmures qui émergent

- Zorg mon chéri, qu’est ce qui se passe ?
- R … Rien
- Mais si, tu viens de crier, c’est un cauchemar Zorg
- Oui un rêve. Je fais des rêves étranges. Je ne les comprends pas. Ils n’ont aucun sens. je vois des choses qui n’existent pas qui se mélangent avec des choses que j’ai en tête !
- Oui c’est souvent comme ça mon ange, les restes diurnes se mélangent à ton imaginaire fourmillant. Calme-toi. Viens dans mes bras. Tu es si perturbé en ce moment. C’est ton altercation avec Slam qui te met dans cet état ? Viens là. Oui là. Doucement.
- Oui dans tes bras. C’est encore la ou je me sens le mieux ! C’est parfois tellement irréel d’être dans tes bras, et tellement bon …

…Rêves Zorgien ou l'art de traiter les objections - Toffie va pas être content *sourit*

(*) Victor Hugo
_________________
Etis ater pecalum ideas ferem
Ailleurs et Autrement

La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Chevalier°bayard
Zorg ayant perdu son rôle de "libre penseur" vu son attachement soutenu à certains partis politiques, sa tribune perd du coup tout attrait.

Bayard offre son bras à la charmante abesse de Tournai... Il pense lui offrir une bière... derniers moments de calme avant le travail... Car il y avait mieux à faire maintenant que l'AF était passé en tête - une fois de plus - Beaucoup de travail pour le Comté...

_________________
Marjolaine29
Le Capitaine Bayard a offert son bras à Marjolaine. Mais elle le sent occupé... préoccupé...

Messire Bayard, je ne veux point être une charge pour vous, je presens que vous avez beaucoup de travail. Je peux rentrer toute seule. Tous ces discours m'ont assommé, je n'aime point les personnes qui ne parlent que pour montrer qu'elle savent manier la langue et la rhétorique. Tout cela m'ennuie au plus haut point. Bien qu'ayant profité de votre épaule pour un repos bien mérité, je n'aspire qu'à retrouver mon oreiller.
_________________
Ascalon
Ascalon regardait la scène amusé, puis il dit à voix basse.

Humm, je connaissais des curés défroqués, mais pas des abbesses…. Quel triste spectacle….

Avant d’être frappé pour hérésie, il quitta la place.



Ps : juste pour infos, cette « tribune » a été crée ya bien longtemps et à l’époque elle était le lancement, d’un nouveau parti… Vox Dei Vox Populi, d’où le nom actuel… Et, ici je ne vois aucune affiliation à un parti politique ..mais seulement des attaques plus virulentes sur certains… Je ne suis pas idiot, je sais que vous pensez que Zorg est de FIL, mais je peux vous assurer qu’il n’en est rien… il ne l’est plus depuis un certain désaccord, qui a d’ailleurs été rendu public…
_________________
Plus haut tu construis ton piédestal, plus dure sera ta chute.
Plus haut tu places ton idéal, plus vaine sera ta lutte.
Zorg69
Merci infiniment messire Ascalon de rappeler cet historique et de rétablir une vérité durement acquise au fil des mois. Oui Zorg est définitivement un esprit libre, et celui qui l’enfermera dans un parti, un mouvement, n’est pas encore né, Bayard.
Par pur amitié pour alinéaire et doudou je condescends parfois à boucher un trou à la douzième place de la liste FIL. Cela ne fait pas de moi un membre actif. Je ne le suis pas, et comme vous m’écoutez avec régularité, vous le savez fort bien.

Encore une fois, je souligne la tentative de désinformation.
Au demeurant, Cher Bayard, je vous ai lu, à l’OST, et j’ai vu le cynisme qui vous animait.
Evitez-moi désormais, vous voulez bien ?
Vous n’avez ni les épaules, ni le talent d’un Slam pour endosser le mauvais rôle que vous êtes en train de nous jouer. Redevenez le pertinent parlementaire que j’ai connu, le type intelligent qui s’opposait en dialectique construite, et je reconsidérerai ma position. En militaire demeuré et cynique, passez votre chemin. On en a déjà un et vous ne pouvez soutenir la comparaison !

Pour conclure sur ce chapitre, on me suspecte souvent de manipuler l’information ou d’énoncer des contre-vérités. Même le grand Slam s’est laissé tenter à se réfugier dans cette voix.
Je m’inscris en faux. Je l’affirme, haut et fort, je l’ai souvent dit, je le répète, je ne pipeaute jamais, et mes oppositions sont élaborées sur des faits concrets, réels et avérés.

J’admets qu’on peut trouver ma présentation orienté. Elle l’est, je le revendique, mais elle est toujours construite à partir de vérités et dorénavant je ne tolérerai plus qu’on me fasse un procès d’intention systématique.

Vous êtes sur de votre fait ? On règle ca au tribunal ! Dans le cas contraire vous n’insinuez pas et vous vous taisez, sur ce thème.

Je le redis pour la nième fois, tous ceux qui ont essayés se sont cassé les dents. Demandez donc à la caquetante, celle qui a fini mauvaise comtesse et qui « repointe » ses miches.
Bonjour comtesse, en mal de baffes Zorgiennes ?

Pour finir Bayard, merci d’emmenez avec vous « machine » là, celle qui tombe de sommeil à tout bout de champ. J’ai toléré ses premiers bâillements. Je réagis rarement à la médiocrité. Mais elle pousse le bouchon, à y revenir.
C’est quoi le truc ? L’a pas pris sa baffe par Zorg alors elle est frustrée. Mais chère enfant, ce n’est pas avec trois bâillements et une critique à la « mord moi le noeud » que je vais vous mettre une baffe. Le fait même que je parle de vous est une hérésie. Alors allez vous coucher avec votre doudou et lâchez moi. *sourit*
Une interpellation de Zorg ça se mérite ! Travaillez donc un peu votre rhétorique, beaucoup trop faible en l’état.
Ca vaaaaaa, j’ai pas trop causé compliqué, j’ai pas trop montré ma maîtrise de la langue, elle a tout cooooompris ?
Allez hop circulez ya rien à voir !

*éclate de rire*

Zorg s’étira satisfait de lui-même. Ca fait du bien de se la péter un peu.

Bon passons aux choses sérieuses.
J’ai vu le résultat des comtales.
Alors là, flamandes, flamands, je suis atterré !

Pas tant par le résultat qui était prévisible. Avec quatre listes, - celle de Slam n’ayant été créée que dans cet objectif, c’était couru d’avance. Non, ce qui m’a atterré, c’est la composition du conseil !

Wuggalix vient de perdre le peu de crédibilité qu’il avait encore à mes yeux.
Mettre la gentille Joie au conseil !
En voilà une idée qu’elle est bonne !

Mais Wugg, elle a massacré Bruges en deux semaines, par maladresse !
Comment je vais dire ça sans être blessant.
Disons que c’est un très bon tribun, accueillante, gentille, toujours prête à aider son prochain, mais les bases économiques et les différents leviers d’une mairie, ce n’est clairement pas son truc.

Du reste elle déclarait, à Bruges, et ce n’est pas vieux, le 27 novembre : « Je suis meilleure quand je vis au jour le jour, c'est terminé je ne prendrais plus de responsabilité importante. »

C’est donc un aveu. Le conseil est une farce, et tous les pantins s’y précipitent.
J’ai vu votre appel à fêter l’événement. Je comprends votre liesse. Mais vous fêtez quoi au juste ? Le triomphe du « human being » sur le « human thinking » ou autre chose ?

Deux attitudes sont possibles face à cette disposition.
Jeter l’éponge, et partir vivre d’amour et d’eau fraiche, … ou appeler à la rébellion, au soulèvement, à la révolution.

Sourit narquoisement

Quelle est ma nature, mon p’tit Wugg ?
Bingo !

On va rire !

Premier temps. Il y en aura d’autres.

S’adressant aux nouveaux conseillers élus n’appartenant pas à la guilde hégémonique Tournaisienne

Elus de FIL, élus de fut, vous aimez les Flandres ? Vous voulez aider le flamand, démissionnez, quittez ce conseil fantoche, élu sur des voix rémunérées par les plus grosses fortunes flamandes.

Et rentrez dans l’opposition !

Opposez-vous avec fougue, sur le terrain politique, au joug de nos oppresseurs, qui noyautent les Flandres depuis si longtemps.

Sus à l’envahisseur.

Deuxième temps, à venir !

Zorg se dit que c’était bref mais clair.
Il devait se constituer un petit fond de vocabulaire révolutionnaire, ca sentait un peu l’improvisation.
Mais l’idée était excellente. Laisser le conseil avec les « AF extended », comme seuls conseillers !
Il espérait qu’il serait entendu.

_________________
Etis ater pecalum ideas ferem
Ailleurs et Autrement

La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Wuggalix
Citation:
Deux attitudes sont possibles face à cette disposition.
Jeter l’éponge, et partir vivre d’amour et d’eau fraiche, … ou appeler à la rébellion, au soulèvement, à la révolution.


Vous n'estes absolument pas de ceux qui partent en voyage à l'autre bout du royaume, vexé par une défaite aux municipales...

Z'avez un curieux sens de la démocratie Zorg !


Quand à vostre affiliation à FIL et au fait que vous protégez toujours vostre ami Alineaire (ça devient dur, il les accumulent^^) vous ne trompez personne en vous auto-proclamant libre et n'appartenant à aucun parti...

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 30, 31, 32, ..., 36, 37, 38   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)