Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 33, 34, 35, 36, 37, 38   >   >>

Vlaamse kroeg - La gargote Flamande : [Débat d'idées et interpellations diverses] Vox Populi

Zolealie
Citation:
De plus, des documents circulant librement en Flandres, montrent la volonté des AF et des S&H de se débarrasser de Zorg. Comme par hasard, ceux-ci décrivent exactement ce qui s’est passé hier soir.


Messire Doudou, s'exclama Léalie qui venait d'arriver sur les lieux, arrêtez donc de dire des sottises !

La comtesse consort etait outrée de ce qu'elle avait pu entendre.

A peine le comte sur le trône, on apprend la présence d'un, voire de plusieurs traitres au conseil... Alors forcément, on prend des mesures de sécurité. Des mesures largement dites, haut et fort, partout !

Zorg menace publiquement le Comte. Le Baron de Renaix lui explique publiquement que s'il vient à Tournai, il sera massacré.

Le Baron narguait meme Zorg, hier encore, en lui disant qu'il n'aurait pu crier au complot que SI il s'etait jeté sur les FSF à Tournai.

Et comme par hasard, le lendemain même... Zorg fait précisément ce que le Baron le défie de faire...

Et hop ! on crie au complot ? Cessez donc d'insulter notre intelligence, messire Doudou.... Vous avez déjà prouvé maintes fois que vous manquiez de discernement, ne vous ridiculisez pas plus...

Les papiers dont vous parlez, s'ils existent, sont d'autant plus inutiles qu'ils etayent le discours du Baron, non le vostre ! Car ils ne font qu'appuyer les faits : Zorg SAVAIT qu'il etait attendu à Tournai.

_________________


Le premier qui m'appelle Zoléalie se prend une calotte ! ^^
Princesse_blanche
Estienne court chez Blanche la réveiller.

Elle n'a jamais été matinale, loin de la !

Blanche, Blanche ! Dépêche-toi !

Hum...

Blanche ! Y a Zorg ...


Je sais, il est parti.


Non non ..


*se lève d'un bond*


Comment ca non ?
Il m'avait dit qu’il prenait la tangente, faire bronzette !


Il est au sur le bord du chemin. Blessé. C'est Rosa qui le soigne ...


Par Saint Tupi ...


Je me suis dit que tu voudrais quand même être au courant.


*s'habille en quatrième vitesse*
*sort en courant*
*remonte chercher sa couverture*


Montre-moi le chemin !




* sur le bord du chemin, le Baron de Renaix, Madame d'Harlegnan, un peu plus loin, quelques personnes armées avachies *

* le Baron de Renaix lui tournait le dos *


Madame d’Harlegnan …
Je vais m’occuper de lui.


* Se penche sur Zorg *

Mon Némo … Qu’est ce qu’il t arrive ?

Elle le couvre délicatement de la couverture qu’elle a reçue en présent de Zorg
C’’était un soir de Juin, et ils revenaient de Tournai.
Des soirs et des soirs que Zorg lui parlait du Seigneur. Décision fut prise d’aller lui rendre visite a Tournai.
Une première rencontre, certes un peu décevante. Blanche était sortie de la taverne dépitée par leur rencontre. C’était Zorg qui l’avait consolée.
Princesse …
Une deuxième rencontre, quelques jours plus tard. Incroyable tête-à-tête qu’elle n’est pas prête d’oublier !

Ils étaient rentrés à Bruges, Blanche, des paillettes pleins les yeux …. Et amoureuse !
La nuit avait été froide, Zorg partagea sa couverture noire.
Zorg avait fait coudre deux couvertures. Pour la rousse, une brodée « A Mon Fantôme Adoré », mais elle était rose.
Et Blanche n’aimait pas le rose. C’était trop neuneu ..
Elle regardait la couverture noire de Zorg, avec tant d’envie dans les yeux, que Zorg fut bien obligé de lui offrir.
Et c’est sur ce même bord de chemin, qu’ils avaient passé tous les deux la nuit avec pour drap la couverture noire brodée « Mort Aux Cons » et pour couverture un ciel étoilé magnifique.*

*ajuste au corps meurtri de Zorg la couverture « Mort Aux Cons » *

* lève les yeux, croise le regard du Baron de Renaix *

* tourne la tête. Non que les cailloux bordant le chemin soient particulièrement attrayants, mais des perles de pluie étaient sur le point d’éclore.
Et elle n’était pas sure que le Baron sache quoi faire de ses perles. *
Doudou
Léalie, encore une fois vos paroles sont ridicules et montrent que votre présence au conseil n'est due qu' à votre mari et non à vos compétences.

Une armée ne sait donc pas se contrôler en Flandres ?
Qui la contrôle d'ailleurs?
Le baron décide donc seul de qui est ennemi et qui ne l'est pas ?
Bizarrement , je ne vois çà nul part dans nos institutions.
C'est au conseil entier de décider et je ne vois aucune annonce sur ce sujet.

Zorg annonce publiquement son départ des Flandres et même le baron l'entend...
Alors quel est l'intérêt de cette boucherie ?
_________________
Rosa
Rosa surveillait régulièrement l'état de santé de son patient, prenant sans cesse son pouls, inquiète lorsque celui-ci faiblissait. Par Dieu (pardon Aristote), elle avait faire la guerre, mais avait en horreur de perdre un homme confié à ses soins. Elle se battrait jusqu'au bout pour sauver celui-ci. Quelle ne fut pas sa stupéfaction lorsqu'elle vit débouler Lucie, l'air complètement défaite, se jeter sur Zorg, puis se mettre une dague en plein coeur. Un "Nooooon" mourut sur ses lèvres. Trop tard, il était trop tard. Bon sang, pourquoi tant de sang, de haine, de passions? Rosa ne put que constater la vie qui s'éloignait de Lucie. Elle lui passa encore la main sur le front, dégageant une mèche blonde qui lui barrait le visage, comme en un geste d'apaisement, lui ferma les yeux et la tint serrée contre elle un moment... Puisse-t-elle trouver le repos de son âme.
Une prière à Aristote et Sainte Illinda pour elle, puis la déposa délicatement auprès de Zorg, déplia sa main de sa dague et posa une couverture sur elle.

Peu après, survint Blanche, qui n'avait jamais autant mérité son nom que ce jour. Elle alla droit vers Zorg et lui dit:


Madame d’Harlegnan …
Je vais m’occuper de lui.


Rosa s'éloigna un peu, afin de les laisser seuls, sachant que Blanche veillerait sur lui. Mais elle restait assez près pour qu'elle puisse venir en cas de besoin. Elles ne seraient pas trop de deux pour le sauver... L'une par les potions, l'autre...par l'amour.
_________________
Laudanum
* http://www.dailymotion.com/video/x3u34n_doctor-who-docteur-rose-doomsday_creation *

Les effusions de la veille avaient assombri son humeur. La gueuse n’aimait pas faire tâche d’huile, et encore moins tapisserie. Les fioritures d’la bourgeoisie, c’était pas son truc. Elle avait laissé son atome à ses affaires, et elle s’en était retournée aux siennes. Les vapeurs glaciales se condensant dans l’air vespéral lui anesthésiaient l’esprit, et calmaient sa réflexion.

Contemplant l’ascension de la lune à mesure que les minutes s’égrenaient, elle fut sortie de sa léthargie par la chaleur de ses lèvres piquantes. Au creux de son oreille il murmura sa détermination. Elle se tût, pouvant sentir les fourmillements dans son souffle, mais chacun avait ses décisions à prendre. Elle l’aimait dans ses silences, il l’aimait de ses plus beaux mots. Lorsqu’il disait Oh, elle disait J’aiMe. Et entre les silences il inspirait ses pensées, agonisant dans la blancheur d’un soupir.

Ils prendraient donc la route ensemble, mais l’annonce de leur départ s’était révélée moins aisée qu’elle ne l’aurait cru, et elle prenait soudain conscience de son statut…

Et puis, il fallait déjà arriver jusqu’à Tournai. Ils avaient bien été prévenus de la présence du nabot et de ses clébards, mais leur plan dévoilé à tous, elle espérait qu’ils pourraient se tirer de ce comté de pourris sans encombre. Mais c’était sans compter la noblesse à étrons qui se pointa alors qu’elle était à la traîne, occupée à écrire à la lueur d’une bougie quelque missive urgente.

Elle marcha toute la nuit, mais son atome était introuvable. Son inquiétude allait de façon croissante, et elle lui fouetta les entrailles lorsqu’elle croisa l’armée de mercenaires flamands qui manœuvrait au loin. Son instinct la conduisait à s’y rendre, il s’était passé quelque chose, il ne pouvait pas l’avoir abandonné…

Au loin, un bruit de sabots résonnait, l’armée se déplaçait, enfin. Pourtant, des feux transperçaient la nappe de brouillard matinal, il y avait toujours quelqu’un là bas….

Le néant !

Le néant s’était emparé de son âme, vision cauchemardesque qui s’étalait devant ses yeux qui refusaient de voir. Son atome...Sa fusion nucléaire …La flamme qui avait réussi à faire fondre les glaces de son cœur. A présent c’est lui qui était emporté dans les profondeurs du grand nord…

Tout son corps appelait au secours et menaçait de s’effondrer sous le raz de marée qui venait de s’abattre sur ces terres. Ses yeux ne pouvaient se détacher de ce visage meurtri, des plaies qui hurlaient au crime. Pendant quelques instants, qui paraissaient une éternité, elle demeura là, hagarde, pétrifiée par l’incompréhension.

Le regard se porta ensuite vers ce corps qui se trouvait si près, et dont elle avait jusque là occulté la présence.
Comment était-ce possible ? Confusion. C’en était trop ! La tête lui tournait. Et puis des murmures s’élevaient près des flambeaux. Elle n’avait pas remarqué les ombres présentes. A présent elle entendait.

*Suicidée…*

Elle comprenait enfin ! Elle n’était donc qu’un moyen… Des larmes naissaient, manifestation d’un cœur désemparé. Mais une seule s’échappa, essuyée d’un revers de main. La souffrance qui la consumait, toute la peine qu’elle ressentait, tout n’était plus que haine, colère, et mépris.

Dans un crissement métallique son bras empoigna la garde de son épée et la fît glisser du fourreau. Et ce fut avec la force du désespoir, et le poids de la trahison qu'elle transperça la masse agonisante, pour lui faire rendre son dernier souffle. Qu’elle disparaisse à jamais.


Allez au diable !!!!

L’poison du Nord était passé de l’autre côté. Elle avait fermé la porte à tout ce qu’il y avait de bon en elle. C’en était terminé de lauda. Elle quitta les lieux sans se retourner, n’échangeant pas un regard avec les badauds qui arrivaient, de plus en plus nombreux. Amis…ennemis…tout ça n’avait plus d’importance. Tout était fini.

Sur la ligne d’horizon s’étendaient les remparts de Tournai, comme un ennemi prêt à l’affrontement. Un instant elle les vit s’effondrer, implorant la justice de pardonner pour la vermine à qui elle avait donné gîte et couvert sans trembler. ..
[/url]
_________________
Que sera...sera
K.tchoo
Katchoo avait été réveillée par les tambourinements à sa porte.
Elle n’avait entendu que les mots « Zorg », « Slam », « fossé »…
Titubante, elle était sortie en trombe de chez elle, et avait couru, pieds nus dans l’herbe gelée, un châle vite jeté sur ses épaules, jusqu’à la sortie de la ville.

Elle vit d’abord Zorg étendu, pantin inerte et blafard au sol, le public autour, puis son regard se posa sur le Baron et sa première pensée fut brutale, spontanée, sans équivoque
: « Le con, il s’est cru dans Guignol! »

Elle courut s’agenouiller à côté de Blanche, laissant courir un regard embué sur le corps tiède de son ami au corps ensanglanté de Lucie...
Et tandis que les plus puissants orateurs débattaient déjà de «
Devait-on ou pas bousiller Zorg pour son bien-être personnel, celui des Flandres et de son peuple, une œuvre masturbatoire mais ô combien instructive sur les actes des Tout Puissants, Volume1 », la jeune femme entendait déjà crépiter les flammes du prochain spectacle des enfants brugeois
_________________
Forgeron, élève des cochons, ex-Tavernière des Trois petits cochons, Gardienne de fûts de bière de l'équipe de Soule de Bruges, a égalisé le record d'Anvers de "*hips* dans la même phrase" , fière détentrice de feu Luchadore, cochon de 26 jours...
Braellock
Zorg tombé...

Alors qu'aucune annonce du Comte ne le condamnait à ce sort. Rien n'autorisait les FSF a listé un Flamand sans l'accord du Comte (publique cela va de soit)
C'était une belle boucherie et une belle connerie. En espérant que ce crime ne reste pas impuni. Car même si des menaces avaient été proférées, rien n'autorisait l'assassinat, un exil forcé des Flandres peut etre mais pas un assassinat.
_________________
*s'incline*

Soldat de la Garde Comtale des Flandres
Président du Parlement Flamand
Zorg69
La vie, la mort …

L’instant était pavé d’une noirceur absolue, abîmes d’obscurité, abysses de silence.

Bulles de conscience … qui jaillissent des limbes …
Pensées éphémères qui s’agitent désordonnées, …

Une lumière l’avait éblouit.
Suivre la lumière et la regarder rayonner… nouvelle quête, existentielle …

Ses mots n’avaient jamais été empêchés …
Son action entravée, le jour où l’on décide de ne plus dire…

Réminiscences …


« Le froid, la nuit, … des ombres qui filent, des ombres qui frappent … Embuscade ! …. Mais pourquoi ? … le délai dépassé … Le comte … « Zorg vous êtes officiellement un ennemi » … Guignol … prémonitoire … »

Le silence conquérant repousse la conscience … Les bulles s’éloignent … La conscience défaille … La conscience inconsciente au seuil de son agonie…

La vie, la mort … un fil … ténu … dont rien ne pouvait présager qu’il n’allait pas rompre

_________________
Etis ater pecalum ideas ferem
Ailleurs et Autrement

La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Princesse_blanche
* Blanche, Kat agenouillées devant les corps inertes de Zorg et Lucie*
*Zorg recouvert de la couverture noire, Lucie la couverture rose *


Trouve pas ca un peu décalé d’avoir recouvert Lucie de la couverture « A Mon fantôme Adoré » ?
Ca fait un peu épitaphe, non ?


* Blanche détache ses yeux un instant de Zorg *

Un peu, en effet. Tu veux qu’on retrouve la couverture ?

Les deux Loréal n’eurent pas le temps de résoudre ce souci logistique, que Lauda, la Brunette, l’Empoisonneuse du Nord arriva.
Blanche et Kat se turent et se levèrent.



La Brune titubait.


Une larme.
Une seule.



Epée levée, fission imminente.

Implosion d’une étoile pleine de vie.
Luminosité aveuglante.
Libération des énergies.
Onde de choc ressenti jusqu’aux confins du Royaume.
Un grain de sable, un seul, avait subi la gravité.


Supernova à effondrement de cœur.


Un cri.
Déchirant la brume. Le soleil n’avait daigné se lever.


Lauda. Tournay. L’étalon.
C’est cela, la Nébuleuse faisait route vers la Toute Puissante.





Egrainage des secondes.
















Bousculade des questions.





Des couleurs.






Les yeux devenus pays où il ne pleut pas.







Gestes lents et douloureux.
Yeux révulsés.


Soldats, chirurgiennes, mercenaires, Baron, gueuses,
Silencieux.
Respect ? Ennui ? Amertume ? Choc ? Habitude ?


Les chirurgiennes de l’Ost attendaient certainement un signe de la part des Brugeoises pour intervenir.
Mettre de coté son amour propre et lever la main.



Non. Pour le Sang.


Si. Pour l'amour.


Non. Pour l'Honneur.


Si. Pour la vie.





Alineaire
A l'annonce de la m... de son ami Zorg, une larme était tombée. Pas le genre d'Alineaire pourtant.

Il regarda les ordres du comte sur les brigands à arrêter dans les FLandres. Le nom de Zorg n'y figurait pas sur les papiers officiels.

Qui l'a assassiné ???

Alineaire sortit de son bureau en criant contenu, JUSTICE

_________________
Chevalier°bayard
Au petit matin, le Capitaine de l'Ost apprit la nouvelle en sortant de chez lui. Maussade, il n'aimait pas sortir dans le froid du matin, alors qu'il faisait si chaud dans sa couche, auprès de sa belle...

Un soldat l'attendait devant sa porte, pour le prévenir que l'homme qui avait fait irruption, armé, au milieu du camps des FSF, et qui n'en avait pas survécu, avait été identifié. Et l'homme tendit au Capitaine un papier, avec un nom griffonné.

Zorg.

"Foutredieu!" Il avait été jusqu'au bout. Bayard entendait déjà dans sa tête les mots qui seront employés par certains... "complot", "assassinat"...
Zorg avait réussit. Il avait fait le geste d'opposition au pouvoir le plus fort qu'il pouvait. Comme il l'avait dit au Baron Slamjack, il voulait "gagner"...

Car on ne pouvait faire croire au Capitaine que ce n'était pas voulu par Zorg... Il aurait voulu quitter le pays en paix, il serait passé par Dunkerke, et non par Tournai où il savait que les FSF stationnait pour protéger le Comte, au vu des menaces que le brugeois avaient proférées contre le patriarche des Clairambaults, et affichés à Brugge... Comme d'autres, qui n'étaient pas ses amis, lui aussi aurait voulu que Zorg soit au Sud, les doigts de pied en éventail, les laissant travailler au bien des Flandres.

Il fit une boulette avec le morceau de parchemin, et la jetta rageusement à terre. Oui, Zorg avait "gagné". Le début du mandat de Wuggalix comme Comte allait être pourri par une mauvaise ambiance, les débats du Conseil seraient loin d'être serein...

Rageusement, il jura encore, puis marcha d'un pas décidé vers le camps des FSF.

_________________
Doudou
Doudou entendit en taverne l'armée lancée une propagande, un mensonge éhonté comme Quoi Zorg avait attaqué l'armée..;
il prit la parole ainsi:


Je réitère ma demande d'enquête.
Les seules personnes qui annoncent que zorg a attaqué sont précisément ceux qui l'ont tué.
J'ai passé la dernière soirée en compagnie de Zorg et laudanum en taverne. ET ils n'avaiten aucune intention belliqueuse. Ils avaient justement attendu la fin de l'ultimatum du "baron" pour être tranquilles, croyant qu'au moins le "Baron" avait une parole...

De plus, Zorg a une connaissance de l'armée et du combat physique inversement proportionnelle à la taille de ses discours. Il est totalement stupide de penser qu'il aurait attaquer un groupe armé. Il est totalement stupide de penser qu'un homme qui n'a manié de toute son existence que la plume, ne pouvait être désarmé sans être mortellement blessé plusieurs fois, d'autant plus que le "baron" se vante d'avoir avec lui la crème de la crème de l'armée...

La seule explication est que l'armée "FSF" avait la ferme intention de faire taire à jamais Zorg. Les questions sont maintenant de savoir si le comte en place avait donné son accord ou non, si le conseil avait donné son accord ou non et de savoir si les FSF reçoivent des ordres et doivent des comptes ou s'ils jouissent d'une impunité sans limite.

Conseillères, Conseillers, mon Comte, nous attendons vos réponses !
_________________
Devillepier
Le mercenaire se baladait, la tête basse, regardant son épée toute propre, lorsqu’il entendit une personne demander des comptes au conseil et plus principalement au Comte des Flandres.

Houla mon gars, t’es dans l’erreur l’ami. Ton Zorg, l’est arrivé avec des intentions qu’tu connais même pas.
J’t’assure mon gars, l’a même voulu m’attaquer, et j’t’assure aussi que j’lui aurais bien transpercé l’poitrail s’il n’était pas d’jà au bout d’l’épée du Baron.

On a fait qu’défendre comme l’aurait fait la milice t’sais. Lui attaque, nous on défend. C’simple non ? S’il est assez bête pour partir au suicide, c’pas not’ problème hein !


Mehar
Comme dit plus haut, inutile de se demander qui a attaqué, le Balon ayant lui même avoué avoil intelplété sa venue comme une attaque dans sa delnièle intelvention. Le tout est de savoil si ceux qui dictent les lois s'essuient les pieds dessus, chacun poulla se faile sa plople idée au legald de ce qui vient de se passer...
En fait me demande si quelqu'un dilige le comté. Pas un mot du conseil, lien de lien... Le conseil a poultant l'habitude de s'émouvoil poul bien moins que ça... Faut cloile que nos têtes pensantes s'emeuvent plus de la démission d'un maile ou d'une allégeance hols nolme que de l'assassinat d'un de leuls habitants. Une nouvelle manièle d'agil en politique est donc née avec les delnièles élections, avec l'aval silencieux de beaucoup visiblement.
Zolg avait peut êtle told. Les Flandles ne sont pas seulement sclélosées, mais aussi collompues pal un conseil qui a fait de l'almée une milice au selvice des intélêts de quelques uns...

Flamands, acceptelez vous cet état de fait ou vous joindlez vous à la demande de Doudou poul exiger que toute la lumiele soit faite sul cette affaile?
Lespectelez vous la loi que le législateul bafoue ?
Aspilez vous à un état paltial et totalitaile?
Vous souviendlez vous que le conseil est élu poul faile plospéler le comté, et non poul selvil l'olgueil et les noils desseins de quelques uns ?
Vous souviendlez vous seulement de ce joul ou l'assassinat est devenu une institution Flamande ?
L'acceptelez vous ?
Wuggalix
Arrivant sur les lieux le Comte des Flandres fit ralentir sa monture que le fidèle Saturnin avaict prit peine à habiller d'Or et de Sable alors que le Patriarche s'activer à se préparer... La scène n'estait point épique et n'avaict rien d'un champ de bataille ou l'on entendait les râles des mourants et les bruits des armes qui se taisent, seul le calme et la solennité recouvraient l'endroit, aux frontières de Tournai.

Le bourgeois tournaisien descendit de cheval et se rapprocha de l'endroit d'un pas rapide, la neige n'été pas très haute et ses bottes n'avaient aucun mal à parcourir sur le sol.
Il arriva donc devant deux masses corporelles allongées, du rouge perlait alentours, tachant l' immaculée blanc du sol qui n'avaict non plus esté épargné par les nombreuses traces de pas et autres chutes...

Une Rousse et une austre brugeoise estaient agenouillées auprès des deux corps, dans celui de la blonde estait indécemment encore planté une épée, qui de part son pommeau Wuggalix remarqua qu'elle n'appartenait point à l'Ost des Flandres...

Il se pressa alors vers le Lieutenant des Forces Spéciales Flamandes...



Baron, mon domestique m'a prévenu et faict venir au plus tôt, il m'a également dict que la demoiselle s'estée "bléssée" toute seule, que faict donc cette épée dans son dos ?
Pensez vous que le sieur en vous attaquant souhaitait vous oster la vie avant de prendre celle de vostre Comte ?


Se tournant alors vers l'un des badauds qui se délectaient de la scène, qu'il soit admirateur ou non des discours de celui qui gît le Patriarche entendait lui trouver plus grande utilité que celle de voyeur.

Allez quérir une charrette prestement, et que l'on transporte les coprs en la capitale.


Retournant à sa monture, le Comte donna quelques ordres à ses soldats quand au nettoyage des alentours, il répugnait à voir couler le sang en l'intérieur des Flandres et estimait qu'il ne le fallait point laisser celui-ci fertiliser les terres.
Une fois sur son cheval, il se dirigea vers l'Armée et dict alors...



Je souhaite savoir pourquoi il vous attaqué, ce qu'il s'est passé cette nuit et si nous avons à craindre encore pour la sécurité des Flandres, et ce au plus tôt. Vous me trouverez en le Castel van Bruges.



D'un coup de botte l'étalon s'en alla pour la Venise du Nord, le Comte savait que les bruits devaient déjà courir dans toutes les Flandres et il entendait bien rassurer son peuple quand à leur sécurité. Les menaces contre les villes de Flandres s'estaient calmées ses derniers temps mais la Hollande avaict bafoué le traité de paix en formant une armée, les traitres !

La capitale estait déjà animée de quelques paroles et débats alors qu'il arrivait, et le Patriarche se rendit vers le borgne qui semblait crier devant un auditoire d'une demi douzaine de personnes...



Ahhh, Audernarde !

Croyez le, une enquête sera bien menée pour éclaircir cette affaire.
Quand à d'éventuelles sanctions (contre l'assaillant, je crois que ce ne sera plus la peine) contre le Seigneur des Lys; le conseil votera dans la journée pour décider de cela.

Je présume que vous serez cependant heureux, d'apprendre que les fuites du Conseil se sont - il semblerait - estompées depuis quelques jours.


Wuggalix ne jugea pas utile à préciser que c'estait depuis que Doudou s'estait faict reprendre les clés, mais il pensait également que ce dernier n'avaict point esté le seul à fournir les informations aux Brigands.
"Lumière sera faicte sur cela aussi !" pensa t-il en se rendant aux écuries comtales.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 33, 34, 35, 36, 37, 38   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)