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Vlaamse kroeg - La gargote Flamande : [Débat d'idées et interpellations diverses] Vox Populi

Kristof
Bien bien messire, "bon vent et bonne mer " comme on dit par chez nous !!

Mais allez donc discutez autour d'une bonne biere en taverne plutôt qu'en place publique alors, comme tout le monde, imaginez en peu si tous nous devions tenir nos réunions en publique, les auberges décrépiraient !!
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Kristof Van Hoedezee,
"A CHANGE IS GONNA COME ! "... MERCI aux Dunkerkois: "YES, WE DID !"

Zorg69
Lettre ouverte à mon comte

Votre grandeur, point de diatribe incendiaire je ne viens vous livrer, pas d’inquiétude, je vous sais à l’ouvrage sur bien des plans et ne souhaite pas vous malmener, une simple requête je m’apprête à formuler.

Je suis certain que vous avez suivi cette malheureuse affaire d’achat de quelques sacs de maïs sur le marché de Ghent pour dépanner les éleveurs de la ville de Bruges, affaire qui a été montée en épingle par le bourgmestre et par votre commissaire au commerce. Si ce n’est pas le cas, je vous suggère de prendre connaissance des faits ici. (http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=266640&postdays=0&postorder=asc&start=155)

J’ai été je crois respectueux des règlements. Ce qui peut éventuellement m’être reproché est d’avoir informé après avoir agit, plutôt qu’avant, encore que ce soit une question de point de vue, et non d’éducation. Je n’avais pas les moyens d’essuyer un refus, et j’ai pris le soin de vérifier que mon « prélèvement » n’aurait aucune conséquence sur l’économie Ghentoise.

Sachez votre grandeur que je me suis fait traité de bandit de grand chemin, de spéculateur, que l’on a écrit que mon comportement était cavalier et bien d’autres « désagréabletés » encore.
J’ai agis ainsi parce que je réclame que l’on approvisionne Bruges en maïs depuis bien longtemps, que ceux qui doivent l’être sont au courant, le CAC en tête, et que devant l’urgence et l’inaction des autres, j’ai décidé d’agir.

Cette introduction pour en venir à ma question qui pourrait s’intituler de l’exemplarité des conseillers….
Quel en est le sujet ?

Le sujet est la réaction disproportionnée, inopportune, publique et gratuite de Dame Adrienne.
Elle n’a cessé de m’invectiver, de m’accuser de tout et de n’importe quoi sans aucune preuve et sans avoir jamais avoir pris la peine de vérifier quoi que ce soit, ni même m’expédier un simple courrier de demande d’explication.

C’est non seulement insupportable mais c’est inadmissible, et du reste je ne l’admets pas. Elle a tenter de me discréditer et de nuire à ma réputation.

J’ajoute qu’essayant ensuite de justifier sa position, elle a interprété comme bon lui semblait le caractère diffamatoire de ses propos. Pour une conseillère juridique, avocate, j’en passe et des meilleures, en bref experte des lois, c’est assez cocasse.

Au-delà de la démonstration dont le tout Bruges se gausse, qu’a-t-elle réussi à montrer ?
Que nous avons un CAC fébrile, qui accumule les contre vérités, les accusations gratuites et les diffamations, qu’elle a préférer porter en place publique une affaire plutôt que de prendre quelques minutes pour en vérifier les tenants et les aboutissants au-delà de ce qui est visible en apparence.

Elle est apparue comme loin des préoccupations du peuple, très procédurière, très préoccupées par le respect de ses prérogatives qui lui paraissent bien plus importantes que la carence de maïs à Bruges et le désarroi des éleveurs dont je suis le réceptionnaire.

Pire elle a réussi la parfaite démonstration par l’absurde, que le CAC ne sert à rien. Elle crie au lèse de la mairie de Ghent si l’on opère en direct, alors que miraculeusement, la même opération, aux mêmes conditions, menées par ses soins ne lèse plus la ville.
Incroyable !!
La conclusion est fausse naturellement, mais reconnaissez avec moi que la démonstration est savoureuse.

Au demeurant au fil de ses interventions je me suis souvent demandé à quel titre elle intervenait : Alternativement CAC, maire de Ghent, procureur, juge.
Si je ne l’arrête pas, dans la foulée, elle allait rédiger un acte d’accusation pour spéculation. Je me suis demandé un temps si je la laissais faire, mais par égard pour vous, j’ai été charitable. C’est un peu dommage, d’ailleurs nous aurions pu rire durablement à Bruges, lors d’un procès mémorable.

Vous savez, quand on n’a rien ou pas grand-chose, le rire est souvent tout ce qui reste.

Quand on sait qu’elle est loin d’être exemplaire, venant piller le marché pour son compte personnel, et quand je dis piller l’emploi du terme est loin d’être outrancier, je considère qu’on n’est pas en mesure d’invectiver son prochain. Je précise que le pillage a été perpétré alors qu’elle était déjà CAC. On est en droit de s’interroger, non ?

Notez notre élégance, sans cette affaire de maïs, vous n’en n’auriez jamais entendu parler.

Au-delà de tout ce qui précède, ce qui est peut être le plus insupportable pour les brugeois, c’est ce coté donneur de leçon, comme si elle s’adressait a une armée de débile en distillant conseils et recommandations, sur ce qu’il convient de faire.

Elle est montée d’un cran dans l’abjection quand elle a publié quelques ordres. En bref il s’agissait pour Franca de récupérer le mandat, de restituer le maïs. Elle produisait pour moi un article du CL ayant trait au marchands ambulants ( ??) et me menaçait non plus d’un procès pour spéculation mais d’un procès pour trouble à l’ordre public. Elle a été avisée je pense de retirer cette communication pour la remplacer par une autre ou elle précise que du point de vue strictement juridique elle s’accorde à penser que j’ai raison, et elle confirme que je n’ai pas commis de faute.

Après cette longue explication, j’en viens à ma requête. Je considère que le CAC est sorti de la reserve necessaire que lui impose sa fonction, et qu'elle a commis quelques fautes extrêmement sévères. Elle a perdu son sang froid, elle m’a diffamé à plusieurs reprises, elle a mené cette affaire sans aucune communication préalable préférant accuser que de s’informer auprès de l’intéressé. Ce n’est sans doute pas là un comportement exemplaire pour un conseiller qui, plus que tout autre citoyen, doit donner l’exemple et traiter les affaires avec calme, sérénité, ouverture, en usant d’une communication prudente et en s’informant au préalable. Elle a largement outrepassé ses fonctions. Je parlerai même d’abus de pouvoir tentant de faire pression en utilisant sa fonction.

En mon nom et au nom des brugeois, qui sont aussi des flamands, je vous remercie, votre grandeur, de bien vouloir lui demander de formuler des excuses publiques en Halle de Bruges. J’admettrai que vous puissiez le faire à sa place pour ne pas lui faire perdre la face.
Sa grandeur, le comte Plasm, savait bien faire cela ….

A défaut, je ne ferai pas d’ingérence, je n’en ai pas les moyens, je vous laisse simplement le soin de réfléchir à la place d’un conseiller qui est capable de se comporter ainsi, au sein de votre équipe.

Zorg
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Etis ater pecalum ideas ferem
Ailleurs et Autrement

La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Sardanapale
Messire,

Voyez combien le surnom dont vous m’avez affublé est fort bien trouvé, puisque vous venez me demander un arbitrage comme un enfant agressé par un camarade ! Cela m’aurait amusé en d’autres temps, mais là je dois dire que je commence à être éreinté par les jérémiades sempiternelles de flamands qui ne savent que s’invectiver, et qui de plus voient toujours midi à leur porte, sans jamais se remettre en question.

Et comme vous n’êtes jamais avare de vos diatribes, quoi que vous puissiez en dire, je vous préviens de suite qu’il est hors de question que je vous accorde plus que de mesure le temps que je DOIS aux affaires essentielles et nécessaires du Comté. Ne pensez pas que je m’épuiserai comme mon prédécesseur à esquiver vos arguties, et ergoter en votre compagnie indéfiniment.

Et pour commencer, je vous prierais de cesser de vous draper ainsi dans votre virginal honneur bafoué. Je crains qu’à force, vous ne trompiez plus grand monde.

Je vais donc être synthétique :
Tant Valentiane qu’Adrienne étaient parfaitement fondées d’imaginer que vous vous apprêtiez à commettre une escroquerie :

Citation:
Op. 2. Des Marchands Ambulants

Article 1.
Est considérée comme marchand ambulant:
| Toute personne vendant au moins une denrée qu’elle n’a pu produire ou obtenir grâce à la spécificité de son village (cueillette, pêche ou découpe de bois )


Citation:
Op. 2. De la basse Justice.
Article 3.
De l’Escroquerie :
| Nul individu ne peut vendre une denrée qu'il n'a pas pu produire lui même sans en avoir reçu l'autorisation écrite du Maire de la ville responsable du marché en question.


L’usage voulant qu’un maire qui mandate un de ses citoyens pour s’approvisionner dans une autre ville en demande au préalable l’accord de son confrère, et comme PERSONNE, ni au Comté ni à Gent n’était au courant de votre mandatement municipal, ces soupçons étaient donc parfaitement de mise, tant que ce point n’était pas éclairci, et je précise de suite que pour ma part, il ne l’est pas encore.

Le Comté peut fournir à tout moment des denrées vitales et manquantes à des marchés municipaux, comme la viande, le lait, les fruits, la laine, et bien d’autres. Mais le blé et le maïs sont des marchandises sensibles, car même avant les nouvelles règles de fonctionnement, et d’autant plus depuis, elles ont leur place dans des filières entières hautement stratégiques.

A cet effet, et pour votre gouverne, je précise que Gent a mis en place depuis plusieurs mandats et sous plusieurs Bourgmestres des filières entières afin de produire pour le compte de la mairie des marchandises à moindre coût, à destination du Comté. C’est pour cette raison que même si vous avez estimé, de votre propre chef, que le marché était suffisamment approvisionné, et n’allait donc pas être lésé de votre délestage, vous n’avez pas tenu compte de ces filières, pour lesquelles tant le blé que le maïs sont essentielles. Jusqu’à présent, tout le monde s’accordait à faire confiance aux maires pour respecter ces règles amicales entre villes, j’espère qu’on ne devra pas en passer par des décrets si ceux-ci se mettent à organiser des raids sur les marchés voisins.

Ça me semble tellement évident que je ne comprends pas que vous ne vouliez reconnaître ce fait.

Par ailleurs, il va m’être assez difficile de vous croire sur parole, dans la mesure où vous avez omis de préciser que vous aviez acheté du maïs, non pas à 3.40 mais à 3.35 !! Ce qui, sur une grande quantité, fait une confortable différence. Mais ceci n’a aucune importance, car la suite me tient plus à cœur.

Dans tous les échanges d’invectives qui se sont produits, c’est vous-même qui m’avez choqué le plus, par l’amoncellement de vos insultes intolérables envers Adrienne. Que vous ne l’aimiez pas ne m’importe guère ! Car non seulement je refuse que vous ignoriez ainsi tout ce qu’elle a offert de labeur et d’effort pour le Comté, et à maintes reprises, à la grande satisfaction des précédents Comtes et de ses collègues, mais je dénonce également votre absence totale de la courtoisie élémentaire qu’un honnête homme se doit d’observer lorsqu’il s’adresse à une femme, surtout lorsqu’elle est de condition. Vous remarquerez, d’ailleurs, qu’Adrienne ne vous l’a même pas reproché, alors qu’à sa place, je vous aurais fait ravaler votre langue où se bousculent les pires insanités lorsque vous êtes énervé.

Ensuite, je pense tout au contraire qu’Adrienne, même dans toute son impulsivité, voire ses excès, est toujours restée dans son rôle de CaC, observatrice et régulatrice du bon fonctionnement des marchés municipaux. Et comme de nombreuses personnes avant elle, elle a stigmatisé l’absence de décret brugeois protégeant son marché. Si la leçon pour le comprendre avait le prix des viandes qu’elle a achetées à Bruges, même si je comprends votre indignation, j’espère que la Bourgmestre ou son successeur sauront la retenir et agir en fonction. Je ne saurais trop vous le recommander. Quand aux viandes, sur simple demande de dame Franca, Adrienne les aurait bien évidemment restituées.

Enfin, je vais finir en vous signifiant que, comme Dame Franca ne s’est toujours pas exprimée sur cette affaire, et que, partant, nous ne pourrons avoir la preuve de la véracité de vos affirmations, je vais vous faire parvenir, via le prévôt, une demande de fourniture de pièces à conviction, à laquelle vous êtes tenu.

S’il apparaissait que vous avez bien acheté ces marchandises à partir d’un mandat spécialement rédigé à cet effet, alors je demanderai à chaque partie de faire des excuses publiques :
1) Des excuses de Dame Franca pour ne pas avoir eu la correction de demander l’autorisation à sa consœur avant de vous envoyer sur le marché de Gent.
2) Des excuses de votre part pour les mots inqualifiables que vous avez utilisés en vous adressant à Adrienne.
3) Des excuses d’Adrienne pour vous avoir accusé à tort, et avoir suspecté une malversation.

A l’avenir, souvenez vous que chaque CaC a la mission d’apporter son aide à chaque mairie en difficulté, pour autant qu’on veuille bien le lui demander, dans les formes, et pas dans les couloirs du parlement. Car nul n’ignore, Messire, les spécificités de votre ville, et les difficultés qui en découlent. Mais des actes disparates, non concertés, et solitaires, ne sont pas la solution à ces problèmes. Bruges est notre capitale, et chacun d’entre nous est concerné par son sort. Beaucoup de villes ont réussi à résoudre le problème de l’approvisionnement en maïs, il n’y a pas de raison que vous n’y parveniez pas, si tant est que vous soyez ouvert aux nombreux conseils que l’on vous prodigue, de Bruges ou d’ailleurs.
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Mehar
Et ben...



Il y aulait tant à dile en léponse que je ne vais pas m'y lisquer en plofondeul poul le moment, le temps me manque.
Mais vite fait comme ça Msieur Le Comte, ne pensez pas que Zolg ne palle que poul lui, j'ai pu le constater hiel en tavelne et au fil de quelques discussions plivées. Peu intelviennent sul la halle sul le sujet qui nous intelesse, mais ils n'en pensent pas moins soyez en sûl.

D'votle intelvention je vais galder plusieuls choses.

Adlienne a vidé le malché de Bluges dans le but de nous faile nous lendle compte que notle ville était mal plotégée... Ce n'est pas l'explication que nous avons eu de sa palt, et quand bien même ce selait vlai, un gland blavo sul la méthode employée !!!(mais le cac n'est sans doute pas au courant que la situation de Bruges est tendue, comme son malché...) Cependant nous ne nous sommes pas offusqué à ce moment là et avons pléfélé nous lenseigner sul le poulquoi du comment de la laison qui fait que, plutôt que d'attaquer glatuitement et publiquement.
Faut il donc que nous inteldisions tout achat extelieul dans toutes les villes de Flandles ? Si je viens à Ghent j'aulais le dloit d'y manger ?

Pal ailleuls, Il me semble (on m'aulait menti ?) que le CaC s'etait vu demander du maïs pal Zolg... Le CaC y a t il poulvu ?
Devions nous laisser not ville et nos cochons clever, nos habitants aussi tant qu'on y est ?

Enfin Blef, en ce moment le gueux Blugeois se sent de tlop en Flandles, habitant de seconde zone d'une cité qui souffle d'enjeux politiques et économiques. Ce n'est pas là l'avis d'un homme lompu à la politique, juste l'avis d'un paysan qui s'est battu à sa manièle poul Bluges, ainsi que de nombleux autles, et qui commencent à malquer leul ecoeulement.

Bien à vous et aux Votles.



Méhal.


edit: Vais je êtle attaqué pal le comté au title des malchands ambulants, poul avoil levendu à des paysans Blugeois dans le besoin du mais en ma possession ? Si c'est le cas n'hesitez pas Kat se poltela galante que je lui ai vendu mon maïs quand elle n'en tlouvait plus.
Zorg69
Votre grandeur, votre réponse est une honte.
J’ai honte pour vous. J’ai honte que vous représentiez les Flandres, j’ai honte pour les Flandres.

Anéantie en 45 lignes la considération que j’avais pour vous.
A vrai dire, je suis abasourdi.

J’ai longuement hésité à répondre, tant le ton, le contenu, la teneur générale de votre catilinaire, sont rédhibitoire pour moi. Tant de mauvaise foi amène mon cœur au bord des lèvres.

Très insidieusement vous instillez le doute, vous dispensez la calomnie, par une plume qui pour être habile n’en est pas moins félonne. Vous vous inscrivez dans la même démarche que votre CAC préférant calomnier plutôt que de se renseigner. Je ne peux donc laisser choir, et c’est contraint, pour laver mon honneur, que je vais vous répondre point par point et montrer aux flamands, qui, trône en Flandres, qui, est un personnage indigne pour ne pas dire plus...

Messire, je répugne à vous appeler votre grandeur, c’est dire désormais mon mépris, ce titre vous sied très mal. Un titre se mérite et il ne suffit de l’avoir acquis par le bulletin pour bénéficier des qualificatifs qui devraient s’y attacher. Le panache et la grandeur, messire, ne se gagne pas dans les urnes.

Messire donc, je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous, une réponse argumentée à chacune de vos affirmations.
Mais pour commencer quelques commentaires sur votre préalable introductif, que les flamands ont dû apprécier …

Citation:
Cela m’aurait amusé en d’autres temps, mais là je dois dire que je commence à être éreinté par les jérémiades sempiternelles de flamands qui ne savent que s’invectiver, et qui de plus voient toujours midi à leur porte, sans jamais se remettre en question.
Et comme vous n’êtes jamais avare de vos diatribes, quoi que vous puissiez en dire, je vous préviens de suite qu’il est hors de question que je vous accorde plus que de mesure le temps que je DOIS aux affaires essentielles et nécessaires du Comté.


Messire, vous êtes le comte de tous les flamands et que cela vous plaise ou non vous leur devez une réponse. Inutile de vous abritez derrière votre tâche, vous vous moquez de nous, vous trouvez bien du temps pour participer aux sujets de divertissements proposés sur la gargotte ou sur les halles. (J’ai bien noté moi aussi, qu’Adrienne avait un gros point noir sur le nez dans sa nouvelle représentation – Oui je lis moi aussi !)
Donc mettez la en veilleuse avec ça, le coté « Ecoutez pauvres hères, je n’ai pas une seconde à moi, vous ne vous rendez pas compte à quel point ce que je fais est important … » ne trompe personne. Alors répondez quand on vous interroge, vous nous le devez. Ce n’est pas le « fait du roi », c’est une obligation. Qu’on se le dise !

Quelle maladresse, Messire. Ce n’est pas comme cela que vous serez proche du peuple. Mais après tout ce n’est peut être pas un objectif ?
Mais si vous pouviez cesser de me prendre de haut, ca m’irait pas mal. Ce n’est pas parce que je suis un gueux qu’il faut me toiser ainsi. Qu’on se le dise aussi !

Citation:
Ne pensez pas que je m’épuiserai comme mon prédécesseur à esquiver vos arguties, et ergoter en votre compagnie indéfiniment.


J’avais grand respect pour le comte Plasm, que j’ai pourtant malmené, pour le bien des flamands, et non pas pour le plaisir. Il ne s’est jamais départi d’une grande courtoisie, et a toujours répondu patiemment, en me respectant, et en argumentant ses positions.
Nous n’avons pas toujours été d’accord, mais au moins il a su instaurer un dialogue avec son peuple. A sa place, j’apprécierai à sa juste valeur, de savoir que vous considérez qu’il s’est épuisé en calembredaines, au détriment, sous entendu, de ses tâches principales.

Les Flamands apprécieront aussi, que vous considériez comme des chinoiseries (synonyme d’argutie, un peu moins précieux, je préfère), le fait de dénoncer le scandale des mines, les affaires de corruption de Wuggalix et la non-application du CL sur ce cas grave.

Citation:
Tant Valentiane qu’Adrienne étaient parfaitement fondées d’imaginer que vous vous apprêtiez à commettre une escroquerie :
Citation:
Op. 2. Des Marchands Ambulants
Est considérée comme marchand ambulant:
| Toute personne vendant au moins une denrée qu’elle n’a pu produire ou obtenir grâce à la spécificité de son village (cueillette, pêche ou découpe de bois )


Vous commettez la même erreur qu’Adrienne. Si j’achète du maïs pour mon compte personnel, et que je ne le revends pas, je ne peux être considéré comme un marchand ambulant.
Si je le revends sur le marché de Bruges, sans mandat, c’est au maire de Bruges qu’il faut demander la permission de vente, pas à celui de Ghent d’acheter (mon raisonnement fait fi des convenances pour ne pas complexifier le propos). Vous verrez dans le point suivant, qu’il n’est pas faux de considérer, pour le raisonnement, que j’ai agis pour mon compte personnel.

Cessez donc avec Adrienne de brandir des extraits de CL à tort et à travers. Ils ne sont pas applicables.

Citation:
L’usage voulant qu’un maire qui mandate un de ses citoyens pour s’approvisionner dans une autre ville en demande au préalable l’accord de son confrère, et comme PERSONNE, ni au Comté ni à Gent n’était au courant de votre mandatement municipal, ces soupçons étaient donc parfaitement de mise, tant que ce point n’était pas éclairci, et je précise de suite que pour ma part, il ne l’est pas encore.


Messire, vous m’insultez en pensant que ce n’est pas encore éclairci.
Laissez donc Franca là ou elle est. Elle est déjà en grande difficulté sur le reste.
Afin de la soulager sur ce point, je lui ai demandé de me faire un mandat pour aller acheter du maïs, lui expliquant que je m’occupais de tout. Je lui ai précisé le montant que je souhaitais et ne lui ai jamais indiqué ma destination. J’aurais été bien en peine de le faire, je ne savais pas moi-même ou j’allais aller.
J’ai contacté certains amis présents dans les différentes villes de Flandres par MéSaNge pour connaitre l’état des stocks de chaque ville, et me rendre dans celle que je pénaliserai le moins. Je n’ai pu malheureusement adresser que Tournai et Ghent.
Franca était donc bien en peine de prévenir qui que ce soit. Laissez la donc en paix, s’il vous plait. Elle a d’autres chats à fouetter.

Citation:
Le Comté peut fournir à tout moment des denrées vitales et manquantes à des marchés municipaux, comme la viande, le lait, les fruits, la laine, et bien d’autres. Mais le blé et le maïs sont des marchandises sensibles, car même avant les nouvelles règles de fonctionnement, et d’autant plus depuis, elles ont leur place dans des filières entières hautement stratégiques.


A Bruges nous sommes contents de l’apprendre. Nous manquons de tout !

Citation:
A cet effet, et pour votre gouverne, je précise que Gent a mis en place depuis plusieurs mandats et sous plusieurs Bourgmestres des filières entières afin de produire pour le compte de la mairie des marchandises à moindre coût, à destination du Comté.


Les gens de Ghent sont admirables !
Les Brugeois sont tous des cochons.
N’y a t’il pas un ménestrel, qui pourrait mettre ce refrain en musique ?

Citation:
C’est pour cette raison que même si vous avez estimé, de votre propre chef, que le marché était suffisamment approvisionné, et n’allait donc pas être lésé de votre délestage, vous n’avez pas tenu compte de ces filières, pour lesquelles tant le blé que le maïs sont essentielles. Jusqu’à présent, tout le monde s’accordait à faire confiance aux maires pour respecter ces règles amicales entre villes, j’espère qu’on ne devra pas en passer par des décrets si ceux-ci se mettent à organiser des raids sur les marchés voisins.


Messire la marie de Bruges est dédouanée puisqu’elle n’a pas été informé. Je doute fort en plus que notre bien aimée maire, Franca, qui débute dans sa fonction, soit au fait de TOUS les accords tacites et non mentionnés explicitement. Elle a eu du mal à ingurgiter le fonctionnement de base d’une mairie, ayant été laissée seule et sans assistance, vous n’allez tout de même pas lui reprocher ça ! Quand elle m’a établi le mandat, elle ne s’est donc logiquement pas inquiétée de la question.

Quant à moi, si je vous dis que ça ne m’a pas effleuré qu’un marché considéré comme libre d’accès à l’achat, puisse ne pas l’être, parce qu’il constitue en réalité une réserve pour le comté, me croyiez vous ?
Je pense que vous allez préférer cette version. Zorg par pure esprit de lucre et devant le considérable bénéfice qu’il allait réaliser, se dit qu’il allait piller la mairie de Ghent de 100 sacs de maïs. Il assouvissait aussi un vieux rêve, celui d’ennuyer prodigieusement le CAC et le comte en même temps. Ca vous va mieux ?

Trêve de taquinerie, si le comté veut constituer des réserves, qu’il les sorte du marché et qu’il les stocke dans les greniers de la mairie. Rien ne peut empêcher un visiteur de passage d’acheter des denrées, sauf à faire des décrets, mais là, cela devient insensé.

Citation:
Ça me semble tellement évident que je ne comprends pas que vous ne vouliez reconnaître ce fait.


C’est parce que je suis plus idiot que la moyenne sans aucun doute, messire.
C’est pour cela que je suis laid, bête, gueux et paysan et que vous êtes beau, intelligent, noble et comte.
Je ne vois que ça !!

Citation:
Par ailleurs, il va m’être assez difficile de vous croire sur parole, dans la mesure où vous avez omis de préciser que vous aviez acheté du maïs, non pas à 3.40 mais à 3.35 !! Ce qui, sur une grande quantité, fait une confortable différence. Mais ceci n’a aucune importance, car la suite me tient plus à cœur.


J’ai découvert que vous n’aviez aucun panache et aucune classe, vous êtes en plus inélégant.

Justifions-nous encore une fois, on n’est jamais tombé aussi bas !
Enfin …
Buvons le calice jusqu’à la lie.

Pardonnez-moi, je ne parle que des 100 sacs achetés dans le cadre du mandat.

Au moment de partir, figurez vous que je disposais d’une poignée d’écus dans ma poche. Mes sous à moi, dûment gagnés à la sueur de mon front. Je pars en effet toujours avec quelques écus, ne serait-ce que pour éventuellement pouvoir me nourrir sur place. On n’est jamais trop prudent.
Et … que vois-je, sur ce magnifique marché, bien fourni de Ghent, je vous le donne Emile, 11 sacs à 3,35. Un maïs magnifique et tellement pas cher. Mon sang n’a fait qu’un tour, je l’ai pris, pour ma consommation personnelle. Je sais c’est mal ! Je m’en veux d’ailleurs. Je m’apprêtai à revendre les sacs à 3,40 à mes amis éleveurs et garder 11 sacs à 3,35 pour moi tout seul. Aristote me pardonnera t’il ?
Et je vous ait pas tout dit encore, comte. Plus tôt dans l’après midi j’ai aussi acheté 5 carcasses pour moi toujours. Je sais je suis un gros égoïste, et 7 fruits pour Franca, parce qu’elle me l’avait demandé, il paraît que c’est bon pour son teint. Vous croyez que je vais aller en enfer pour tout ca, comte ?

D’ailleurs je vais vous faire rire, après tant d’émotion, devant de si belles affaires, vous savez quoi, je me suis endormi sur le bord du chemin et donc ne suis pas parti.
A 20 écus par jour de manque à gagner, va finir par me couter cher le maïs Ghentois !!

J’aurais du demander à Franca de demander au CAC, vu qu’au parlement Adrienne mets des boules quies. Ca m’aurait couté moins cher !!
L’a pas un sous de jugeote l’Zorg.

Bon récapitulons : 107 sacs de maïs + 7 fruits + 5 carcasses. Vous croyez qu’on peut appeler ça un pillage, comte ?

Je me moque un peu, hein, il l’a bien compris au moins le comte ?

Citation:
Dans tous les échanges d’invectives qui se sont produits, c’est vous-même qui m’avez choqué le plus, par l’amoncellement de vos insultes intolérables envers Adrienne.


Messire, pour quelqu’un qui maîtrise aussi bien l’échange épistolaire et le verbe en général, je suis fort étonné. Pas l’ombre d’une insulte dans mes propos. J’ai beau me relire… je ne vois pas. Je vous accorde peut être Comissaire à la Connerie qui était un peu outrancier, mais tellement drôle !
Vous trouvez donc insultant d’avoir ironisé sur le dos du CAC.
Mais dans ce cas, messire, qu’est-ce qui est le plus insultant. D’user de sarcasmes ou bien de vilipender en place publique un pauvre paysan qui essaye d’aider son prochain sans même avoir pris la peine de lui demander un mot d’explication, de le menacer tant et plus en produisant des textes de lois inapplicables dans les circonstance et en pariant sur l’aura de la fonction et la peur qu’il aurait dû éprouver.
Je vous laisse juge.

Pour être encore plus démonstratif : Si je disais « Le comte est un porc aviné et sournois, qui se prends pour un aigle, mais qui n’en a pas les moyens », je vous insulterais. C’est naturellement pour l’exemple, je n’en pense pas un mot.

Rhaa je suis incorrigible, qu’est ce qui est le plus insultant au fait : le « porc aviné et sournois » ou bien le « qui n’en a pas les moyens » *rit*
(Je n’en pense vraiment pas un mot, juste envie de vous taquiner un peu, vous l’avez largement mérité)

Citation:
Que vous ne l’aimiez pas ne m’importe guère ! Car non seulement je refuse que vous ignoriez ainsi tout ce qu’elle a offert de labeur et d’effort pour le Comté, et à maintes reprises, à la grande satisfaction des précédents Comtes et de ses collègues, mais je dénonce également votre absence totale de la courtoisie élémentaire qu’un honnête homme se doit d’observer lorsqu’il s’adresse à une femme, surtout lorsqu’elle est de condition.


Mais quelle idée ? Qui vous a dit que je n’aimais pas Adrienne ?
Ce n’est du reste pas le sujet.
Je n’ai pas aimé son comportement, et son abus de pouvoir. Je le lui ai fait savoir, par la voix qu’elle-même avait choisie, de son propre chef, pour m’interpeller, à coup de calomnies.
Rien à voir avec sa côte d’amour, rien à voir avec ses états de service, rien à voir avec ses apports passés pour les Flandres.

Quand à la courtoisie élémentaire, mon cher, rengainez vos leçons. La courtoisie s’arrête là ou l’agression commence. Le fait que ce soit une femme n’excuse pas tout. Je répugne à le faire d’ailleurs, si je n’y suis pas obligé.

Et quand on est de condition comme vous dites, il me semble qu’on se doit de donner l’exemple en matière de courtoisie. Pourquoi inscrirais-je dans mon code d’honneur ce qu’elle-même n’a pas pris en considération.

Allez, disons que vous avez dit une ânerie supplémentaire

Citation:
Ensuite, je pense tout au contraire qu’Adrienne, même dans toute son impulsivité, voire ses excès, est toujours restée dans son rôle de CaC,…./…


Adrienne excessive ?
Rhooo comme vous y allez ! *rit*

Citation:
Et comme de nombreuses personnes avant elle, elle a stigmatisé l’absence de décret brugeois protégeant son marché. Si la leçon pour le comprendre avait le prix des viandes qu’elle a achetées à Bruges, même si je comprends votre indignation, j’espère que la Bourgmestre ou son successeur sauront la retenir et agir en fonction. Je ne saurais trop vous le recommander. Quand aux viandes, sur simple demande de dame Franca, Adrienne les aurait bien évidemment restituées.


Est-ce que vous vous rendez bien compte de ce que vous venez d’écrire ?
Dame Adrienne, serait venue à Bruges uniquement dans le but de donner une leçon à l’ensemble des bourgmestres qui se sont succédé et qui ont omis de protéger leur marché ?

Savez vous que nous avons des maires qui se sont appelés Farena, Jyscal, Yoz, Alineaire pour ne citer que le passé récent.
Certains sont encore dans votre équipe. Peut être pourraient-ils s’exprimer devant l’énormité de l’insulte que vous leur faite et que vous venez de faire au Brugeois.

Tout ça pour quoi ?
Pour absoudre Adrienne qui est venu faire ses courses à bon marché à Bruges.

Tiens c’est marrant elle a fait la même chose que moi. Le seule différence est dans le bénéficiaire. Son petit cul (pardonnez la vulgarité, mais je suis tellement sur le mien, que j’en commets des écarts de langage) pour elle, une communauté d’éleveur pour moi et le bien de ma ville.

Et vous nous dites que c’est normal !!
Tout juste si vous ne la félicitez pas !!

Vous rendez vous compte à quel point c’est sidérant et atterrant ?
Non seulement vous être en train de dire qu’il y a deux poids deux mesures, mais en plus vous félicitez presque Adrienne pour son action personnelle (j’exagère à peine) et vous me calomniez copieusement bien qu’insidieusement pour une action désintéressée.

« Si la leçon pour le comprendre … » la tournure est inouïe !!
Nous sommes des petits enfants pas sages sur lesquels vous vous autorisez une petite fessée de temps en temps histoire de les remettre dans le droit chemin.

« j’espère que la Bourgmestre ou son successeur sauront la retenir et agir en fonction … »
Et faites gaffe les gars, rentrez dans le rang …sinon …

J’ai une question comte, vous avez fondu les plombs ? C’est les responsabilités qui vous pèsent et qui vous font perdre votre bon sens ?

Devant cette démonstration de votre fatuité et de votre mépris, j’en reste sans voix.
Mais franchement pour qui vous prenez vous pour donner ainsi des leçons à tous les bourgmestres de Bruges ? Et pas des moindre en plus ?

« Quand aux viandes, sur simple demande de dame Franca, Adrienne les aurait bien évidemment restituées »
Là vous êtes carrément cynique.
C’est du premier degré ou bien un humour qui m’échappe ?

Sur ces propos, si vous aviez un peu d’honneur, vous présenteriez votre démission aux flamands. Il ne manque pas de talent pour reprendre votre poste au sein du conseil.
Vous êtes indigne de cette charge.
Vous êtes un guignol. Et je pèse harpagonesquement mes mots.

Je ne comprends pas que personne n’ai réagit à ca.
C’est incroyable non ? Une telle déclaration, un tel mépris…

Les brugeois, n’ont déjà pas grand-chose.
Ils viennent d’apprendre en plus qu’ils sont méprisés par le comte des Flandres.
C’est absolument inouï, les mots me manquent…

Vous êtes répugnant, c’est tout ce qui me vient.

Citation:
Enfin, je vais finir en vous signifiant que, comme Dame Franca ne s’est toujours pas exprimée sur cette affaire, et que, partant, nous ne pourrons avoir la preuve de la véracité de vos affirmations, je vais vous faire parvenir, via le prévôt, une demande de fourniture de pièces à conviction, à laquelle vous êtes tenu.


Dame Franca à une mairie à gérer, et dame Franca n’a pas que ça à faire que de s’exprimer sur de telles horreurs.
Ne vous donnez pas cette peine, regardez donc ce qui suit.

Zorg est un homme d’honneur. Pas un bouffon qui s’improvise comte et qui n’en a pas les moyens.
Je ne suis pas à mon premier mandat, pour faire la même chose, aux mêmes endroits.
Le problème du maïs est récurent à bruges. Comment croyez-vous qu’on se dépanne spuis toujours ?
Interrogez donc Jyscal, Yoz et Alineaire sur ce sujet, avant de publier des inepties qui laisse à penser que … et demandez leur qui je suis et comment j’agis en général.

Citation:
S’il apparaissait que vous avez bien acheté ces marchandises à partir d’un mandat spécialement rédigé à cet effet, alors je demanderai à chaque partie de faire des excuses publiques :
1) Des excuses de Dame Franca pour ne pas avoir eu la correction de demander l’autorisation à sa consœur avant de vous envoyer sur le marché de Gent.
2) Des excuses de votre part pour les mots inqualifiables que vous avez utilisés en vous adressant à Adrienne.
3) Des excuses d’Adrienne pour vous avoir accusé à tort, et avoir suspecté une malversation.


Je présente à Dame Adrienne mes excuses sur deux points : Pour avoir dit qu’elle était fourbe, ce n’était pas gentil, d’avoir voulu faire de l’humour avec « Commissaire à la Connerie ». Pour le reste, je n’ôte pas une virgule.

J’attends :
- Vos excuses aux Brugeois, et à leurs Bourgmestres successifs, Messire
- Les excuses d’Adrienne, telles que vous les avez formulé
- Votre démission, si le mot honneur signifie quelque chose pour vous

Je ne vous salut pas,
Zorg
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Etis ater pecalum ideas ferem
Ailleurs et Autrement

La santé de l'esprit est une imperfection ! (Bukowski)
Adrienne
Je me dois d'intervenir à mon tour car cette affaire prend une ampleur complètement disproportionnée. Messire Zorg, je connais votre propension à vouloir créer des polémiques à la moindre occasion, mais cessez de parler au nom des brugeois car à part votre ami boucher, je n'ai entendu personne d'autre que vous s'offusquer des faits ! Vous ne vous distinguez que par la contestation et c'est déplorable.

Je vous avouerai d'ailleurs ne pas avoir eu le courage ni le temps d'écouter votre interminable monologue, comme la plupart des flamands d'ailleurs. Ceux-ci ne sont pas dupes et aux verbiages incessants ils préfèrent les actes, comme nous avons pu le constater lors du verdict des urnes.

Votre sans-gêne ne vous autorise pas à apostropher sa Grandeur de la sorte, ni à exiger quoi que ce soit de sa part. Estimez-vous déjà honoré qu'il vous ait consacré de son précieux temps pour répondre à votre interpellation. Sachez qu'il doit apaiser un grave conflit qui menace nos contrées et gérer une équipe de conseillers, donc comprenez que vos pleurnicheries concernant vos sacs de maïs sont loin d'être sa priorité à l'heure actuelle.

Alors pour faire cesser tout ce grabuge et pouvoir continuer à travailler dans la sérénité au bien des Flandres, je vous présente à mon tour des excuses, sincères, pour vous avoir soupçonné à tort de spéculation, ignorant que vous êtiez mandaté pour se faire. J'aurais du me renseigner au préalable auprès de Dame Franca puisqu'elle n'a pas jugé utile de le faire. Je désapprouve malgré tout votre manque de courtoisie et votre initiative, prise sans concertation malgré mes recommandations. J'exhorte les Ghentois à ne pas tenir rigueur à l'ensemble des brugeois pour le manque de civisme d'un villageois et à poursuivre la collaboration entretenue depuis longtemps avec la capitale.

Je suis quant à moi blessée de vos insinuations à mon égard concernant mon honnêteté et mes compétences. Elles sont injustes compte tenu de la générosité et de la disponibilité dont je fais preuve pour venir en aide aux bourgmestres et approvisionner nos Flandre de manière à ce qu'elles ne manquent de rien. Tous pourront le confirmer.

Enfin, je suis ravie que mon intervention ait au moins permis à Dame Franca de prendre conscience du rôle du CAC et je lui fais confiance pour passer par moi à l'avenir. Dès le soir même, elle venait frapper à mon bureau et a été livrée sur le champ en bois, minerai de fer, fruits et maïs que j'avais pu lui mettre de côté suite à notre conversation au Parlement et grâce à l'aide de Valentiane. Je lui ai également donné quelques pistes pour rétablir son marché de la manière la plus efficace possible, sans devenir dépendante des autres villes. J'espère de tout coeur que les brugeois l'aideront dans ce sens, et feront passer à l'avenir l'intérêt de leur ville avant le leur ...
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Sardanapale
adrienne a écrit:
Estimez-vous déjà honoré qu'il vous ait consacré de son précieux temps pour répondre à votre interpellation.


[HRP :oui, heu....... faut pas exagérer non plus! Sarda n'a pas pris le melon quand même! Et j'ai pas tout à fait cette conception du rôle!]
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Tokagero
Qu'est-ce qu'il me lourde celui-là! Rien qu'à l'entendre gueuler, il m'en donne mal au crâne.

Après moi, Wuggy, Adri, Sarda le prochain c'est qui? C'est bizarre, mais je ne peux que constater que ce sont toujours ceux qui proposent des idées, ceux qui essayent réellement d'aider les gens qui se font agresser verbalement. Et toujours aussi bizarrement, c'est toujours les grandes gueules qui ne font que dal a part hurler à la mort, qui se disent défenseurs du peuple et qui ne font que ressasser le passé qui viennent essayer de faire des leçons.

Je crois qu'il n'est pas besoin de vous rappeler quel crédit les Flamands vous accorde vous et vos amis.
En parlant de ceux-ci. Il est étrange que vous trouviez la défense du Comte un peu déplacé en tant que noble ou bien celle d'Adrienne. N'est-ce pas vous qui vous baladez presque main dans la main avec la pire noblesse de France?

Vous êtes bien pitoyable de croire que l'on vous appréciera si vous mettez le doigt sur une possible erreur et que vous alliez le montrer devant tout le monde comme un enfant montrant à sa mère un dessin. Vous voulez faire quelque chose? Essayez d'avancer des idées concrètes et non utopique pour faire avancer tout ce bordel -puisque vous semblez croire que s’en est un- ou alors taisez-vous et retourner chez les moines.
_________________
Ancien Juge d'Armagnac-Comminges
Ancien Maire de Lectoure

Et Ancien beaucoup de chose en Flandres et en Limousin.
Mehar
J' vais me tenter à une léponse qui sela sans doute la delniele.
Il ne semble pas de bon aloi d'algumenter poul se défendle visiblement, ni de faile palt de son lessentiment en galgotte...
Oui peu soutiennent Zolg, pal éclit ... Vu l'opplobe que l'on jette sul lui et ceux qui le soutiennent, lien d'étonnant.
Je lapelle quand même que ni moi ni Zolg ne sont à la base de cette affaile poltée en place publique avant même que les intelléssés ne se soient vu demander des explications. Je connais d'autles pelsonnes qui se selvent en maïs et autles denlées sans autolisation et sans êtle inquiété. Et poul leul consommation pelsonnelle, pas pal altluisme. Du coup je me demande si ce n'est pas juste le nom de Zolg qui a plovoqué cette lévée de boucliers.
Je connais aussi d'autles pelsonnes qui se selvent à Bluges en vidant littélalement les ploduits qui nous manquent le plus, sans plévenil et sans que celà ne choque pelsonne, n'ayant que foutle des ploblèmes dues à la spécificité de Brugges.
Dans cette affaile point question de défendle Zolg qui n'a besoin de pelsonne poul ce faile, mais on a quand même de quoi etle choqué de voil que ce qui vaut poul Bluges ne vaut pas poul Ghent (et vice versa) .
Le paysan que je suis lepalt donc la queue entle les jambes, ses illusions peldues et avec un sale alliele goût dans la bouche.

Quand à vous Tokagelo, je ne vois pas ce que vous appoltez au débat dans vos intelventions, vous invectivez sans lien appolter et lefusez à d'autles le soin de se defendle de climes qu'ils n'ont pas commis, alols que vous vous défendez de vos elleuls même quand celles ci sont avélées. A moins que vous ne souhaitiez faile oublier votle passé en faisant cloile que le mal, c'est Zolg! Le bien c'est vous ! Alléluia.

Le vilain canald qui a l'audace de soutenil Zolg et sa ville en public vous salue bien bas. Puisque seule la coulbette est tolélée, mais pas la contladiction...



Bien à vous
Méhal.
Tokagero
Citation:
et lefusez à d'autles le soin de se defendle de climes qu'ils n'ont pas commis,


Pourquoi devrait'il se défendre s'il ne se sentait pas coupable de quelque chose?

Citation:
A moins que vous ne souhaitiez faile oublier votle passé en faisant cloile que le mal, c'est Zolg!


Au vu des actions passés et présentes, pour le moment, votre Zorg n'a rien apporter de bien.
_________________
Ancien Juge d'Armagnac-Comminges
Ancien Maire de Lectoure

Et Ancien beaucoup de chose en Flandres et en Limousin.
Zorg69
Citation:
Je me dois d'intervenir à mon tour car cette affaire prend une ampleur complètement disproportionnée.

A qui la faute ? Il fallait réfléchir un peu avant de m’agresser publiquement.
C’est vous qui lui avait donné cette ampleur. Gonflée de me le reprocher, vous êtes !

Citation:
Messire Zorg, je connais votre propension à vouloir créer des polémiques à la moindre occasion, mais cessez de parler au nom des brugeois car à part votre ami boucher, je n'ai entendu personne d'autre que vous s'offusquer des faits !

En l’occurrence, c’est vous qui avez créé cette polémique. Moi, j’étais tranquille, avec peu d’envie de m’y recoller tout de suite.
Quant à ce que dis Mehar, je le connais assez, pour savoir qu’il ne fabule pas. Il a sans doute croisé deux ou trois personnes qui lui en ont parlé. Mais je n’ai aucune illusion sur ma popularité, ne vous inquiétez pas.
J’assume mon impopularité, ce qui ne m’empêche pas parfois de la trouver injuste, mais c’est un choix délibéré. On ne peut pas être populaire quand on dénonce, ... parfois des icones.

Je suis par contre étonné de vous voir affirmer n’avoir entendu personne s’offusquer en n’étant pas présente à Bruges. Avez-vous le don d’ubiquité ?

Citation:
Vous ne vous distinguez que par la contestation et c'est déplorable.

Mais non madame, ce n’est pas déplorable. La contestation est un mode d’expression. C’est aussi un moyen de faire avancer les choses.
Guillaume de Jeneffe disait récemment aux parlementaires, je le cite

Citation:
n'hésitez jamais à vous exprimer en ces lieux. Toute idée est bonne à prendre. Au pire, vous comprendrez ce qui la rend inadéquate ou impossible à adapter, et dans les autres cas, vous aurez aidé les Flandres à avancer.

Grand respect, j’ai pour cet homme là.
Je suis dans la même logique avec un outil supplémentaire, la contestation, qui est un moteur puissant pour le peuple, le seul capable de soulever des montagnes, de faire des révolutions, de renverser des tyrannies, de galvaniser le peuple.

En rien déplorable donc …
… juste désagréable quand on est dans l’œil du cyclone.

Quand on choisit de m’interpeller ou de me répondre madame, il convient d’être bien armé, et solidement ancré dans une logique infaillible et sans incohérence. Et surtout, il ne faut rien avoir à se reprocher.
Pourquoi croyez-vous que je m’autorise une telle liberté de ton. Parce que je suis irréprochable, madame. On ne peut pas jouer le jeu de la contestation avec honnêteté, si l’on a soi même des montagnes de secrets à cacher.
Nulle prétention dans mon propos, juste une rigueur d’esprit. L’humilité, contrairement à ce que peut laisser croire mon « verbiage » comme vous aimez à le nommer, l’humilité disais-je, est un mode de vie. Je n’oublie jamais qui je suis et d’où je viens : Un gueux, naît les deux pieds dans la boue.

Après ... je pratique aussi la provocation. Mais ça, c'est uniquement de l'humour, même s'il n'est pas toujours aisé de le déceler.

Citation:
Je vous avouerai d'ailleurs ne pas avoir eu le courage ni le temps d'écouter votre interminable monologue, comme la plupart des flamands d'ailleurs. Ceux-ci ne sont pas dupes et aux verbiages incessants ils préfèrent les actes, comme nous avons pu le constater lors du verdict des urnes.

Vous avez tort ! Si vous expurgez mes propos des petites taquineries que je distille à l’envie, si vous faite abstraction du style, toujours un peu provoquant, c’est ma signature, vous constaterez qu’il m’arrive de dire des choses qui ne sont pas dénuées de fondement, si vous prenez la peine de vous y pencher, plutôt que de tout rejeter en bloc.
Relisez ce passage par exemple, je serai curieux de connaitre votre position. Celle du comte est inqualifiable et honteuse.

Citation:
Citation:
Et comme de nombreuses personnes avant elle, elle a stigmatisé l’absence de décret brugeois protégeant son marché. Si la leçon pour le comprendre avait le prix des viandes qu’elle a achetées à Bruges, même si je comprends votre indignation, j’espère que la Bourgmestre ou son successeur sauront la retenir et agir en fonction. Je ne saurais trop vous le recommander. Quand aux viandes, sur simple demande de dame Franca, Adrienne les aurait bien évidemment restituées.


Est-ce que vous vous rendez bien compte de ce que vous venez d’écrire ?
Dame Adrienne, serait venue à Bruges uniquement dans le but de donner une leçon à l’ensemble des bourgmestres qui se sont succédé et qui ont omis de protéger leur marché ?

Savez vous que nous avons des maires qui se sont appelés Farena, Jyscal, Yoz, Alineaire pour ne citer que le passé récent.
Certains sont encore dans votre équipe. Peut être pourraient-ils s’exprimer devant l’énormité de l’insulte que vous leur faite et que vous venez de faire au Brugeois.

Tout ça pour quoi ?
Pour absoudre Adrienne qui est venu faire ses courses à bon marché à Bruges.

Tiens c’est marrant elle a fait la même chose que moi. Le seule différence est dans le bénéficiaire. Son petit cul (pardonnez la vulgarité, mais je suis tellement sur le mien, que j’en commets des écarts de langage) pour elle, une communauté d’éleveur pour moi et le bien de ma ville.

Et vous nous dites que c’est normal !!
Tout juste si vous ne la félicitez pas !!

Vous rendez vous compte à quel point c’est sidérant et atterrant ?
Non seulement vous être en train de dire qu’il y a deux poids deux mesures, mais en plus vous félicitez presque Adrienne pour son action personnelle (j’exagère à peine) et vous me calomniez copieusement bien qu’insidieusement pour une action désintéressée.

« Si la leçon pour le comprendre … » la tournure est inouïe !!
Nous sommes des petits enfants pas sages sur lesquels vous vous autorisez une petite fessée de temps en temps histoire de les remettre dans le droit chemin.






















Êtes-vous sur la même ligne que le comte ?
Avez-vous voulu donner une leçon au Brugeois et à leurs bourgmestres ?
Ou bien allez vous nous avouer enfin, que vous avez, comme cela est parfaitement votre droit, bénéficié de prix attractif sur le marché de Bruges. Si vous avez agit à titre personnel, ce n’est pas contestable. Si vous avez agit en tant que CAC, je m’interroge. Nul n’a été prévenu de votre prélèvement. Notez que nous le savions et n’en avons jamais fait état. Notez aussi la différence de réaction entre la votre et la mienne, pour le même fait. « On voit toujours la paille dans l’œil du voisin … »

Citation:
…/… ils préfèrent les actes, comme nous avons pu le constater lors du verdict des urnes.

Hum…
Cela fait plusieurs fois que cet argument revient.
Depuis quand l’expression d’un courant devrait-elle mesurer son intérêt à l’aulne de la popularité de son porte parole ? Quelle étrange idée. Devrions-nous cesser de nous exprimer parce que le % d’adhésion n’est pas assez significatif selon vous. Quelle étrange idée à nouveau ?

Très chère Adrienne, je vais vous faire une lecture un peu différente de l’événement, pour qu’on en finisse avec le résultat quantitatif qui mesure une seule chose : Le niveau de notoriété de Vox Populi dans la population adressable (c’est à dire celle qui lit le forum et qui est non affiliée à un parti) par rapport aux suffrages exprimés totaux.

A quelques jours de la clôture de l’élection il manquait encore près de 600 écus pour boucler l’inscription. Un appel sur la gargote et le problème s’est réglé en 24H. Ni Louis Hubert, ni moi n’avons sorti un écu supplémentaire. Nous n’en avons pas eu le temps. Méditez là-dessus.

Avec 5% je crois avoir fais le plein des gens qui fréquentent la gargotte et les halles et qui ne sont pas affiliés à un parti, en n’étant pas présent, en outre, sur les premières journées de l’élection. Je suis un inconnu en Flandres, ma petite notoriété ne dépassant pas le cadre de Bruges (la ville qui pèse le moins en voix), ou alors quand je suis connu c’est uniquement sous l’angle de la contestation, pas toujours comprise, et pas toujours admise, surtout quand on écorne la réputation d’une icône.

Pour faire mieux, il faut être très présent en taverne pour informer ceux qui ne vont jamais sur les forums, il faut envoyer des courriers personnalisés, ou acheter le vote comme l’a pratiqué en son temps Wuggalix à Tournai.
Peu structuré et peu nombreux nous n’avons rien fait de tout cela.
Relativisez le résultat dans ces conditions et reconnaissez avec moi, que départ from scratch, 5% ce n’est pas si mal.

Enfin, sur ce thème et je n’y reviendrai pas, pensez-vous réellement que le verdict des urnes soit la sanction de mon action personnelle, sur laquelle d’ailleurs, je ne communique jamais. Je ne fais étalage d’aucun titre et d’aucun de mes actes. Cela ne signifie pas qu’il n’y a rien derrière. Ce n’est pas parce que quelque chose ne se voit pas que cela n’existe pas !
Quand je me présente aux urnes, c’est avec un discours et des idées, pas en sortant une carte de visite à rallonge.

Voilà ! Débat clos en ce qui me concerne. Laissez tomber l’argument, il ne vous sert pas spécialement.

Citation:
Estimez-vous déjà honoré qu'il vous ait consacré de son précieux temps pour répondre à votre interpellation. Sachez qu'il doit apaiser un grave conflit qui menace nos contrées et gérer une équipe de conseillers, donc comprenez que vos pleurnicheries concernant vos sacs de maïs sont loin d'être sa priorité à l'heure actuelle.

Je ne crois pas me rappeler que les flamands ait mis un quelquonque couteau sous la gorge du comte pour qu’il se présente. Alors que l’on cesse de nous rebattre les oreilles avec sa charge de travail. S’il est débordé, fatigué, usé, qu’il démissionne, mais qu’il cesse de se plaindre y compris par conseiller interposé. Du reste il vous a répondu lui-même sur ce point assez clairement je crois.

Citation:
je vous présente à mon tour des excuses, sincères, pour vous avoir soupçonné à tort de spéculation, ignorant que vous êtiez mandaté pour se faire

J’accepte vos excuses madame, sans triomphalisme aucun. Je les accepte sincèrement, aussi sincèrement que j’ai pu vous présenter les miennes.

Citation:
Je suis quant à moi blessée de vos insinuations à mon égard concernant mon honnêteté et mes compétences. Elles sont injustes compte tenu de la générosité et de la disponibilité dont je fais preuve pour venir en aide aux bourgmestres et approvisionner nos Flandre de manière à ce qu'elles ne manquent de rien. Tous pourront le confirmer.

Madame, je n’ai jamais mis en cause vos compétences. Je vous aie épinglé sur votre démarche hasardeuse, d’autant plus que vous êtes CAC.
Quant à votre honnêteté, que dire ?
Vous avez fait très exactement ce que j’ai fait dans les mêmes conditions. La différence réside uniquement dans le fait que j’ai prévenu Valentianne de l’avoir fait. Pas vous.
Expliquez nous cette affaire là, comme je vous l’ai demandé plus haut, et nous jugerons de votre honnêteté.

Je vais conclure madame,
Cessez donc de me voir uniquement comme un trublion qui vilipende sans fondement. Je ne me lève pas le matin en me demandant qui je vais assassiner de mes mots. Mes actions ne sont jamais gratuites. Soit elles sont toujours motivées par une indignation ou par une injustice, par un scandale, ou bien parce que je suis réactif sur une agression.
Alors, je vous le demande, lisez-moi mieux, avec le bon filtre qui vous permet de trier le grain de l’ivrée, et vous constaterez, que je ne dis pas que des sottises.

Et pour finir, puisque ce malappris de comte, qui au passage n’a rien trouvé à dire à ma réponse argumentée qui démontait toute ses insinuations douteuses, a eu l’outrecuidance d’insinuer que je ne vous aimais pas, je vous précise ce soir, qu’il n’en est rien.

Je vous salue madame.
Zorg
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Mon père, gueux parmi les gueux, mais sage homme quand j’y repense, avait coutume de dire :
« Mon fils, si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence, tait toi »

Zorg
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Tokagero
Citation:
Parce que je suis irréprochable, madame


Légalement, sûrement; moralement, nullement.

Citation:
Je ne fais étalage d’aucun titre et d’aucun de mes actes


Sûrement d'aucun titre, vous n'en avez pas. Mais d'actes, je doute. N'est-ce pas vous qui vous ventez avoir soi-disant dénoncer l'affaire des Mines? Vous l'avez encore fait plus haut. C'est un acte, et vous le dîtes quand vous pouvez le faire. Donc, vous en faites étalage.

Citation:
Quand on choisit de m’interpeller ou de me répondre madame, il convient d’être bien armé, et solidement ancré dans une logique infaillible et sans incohérence.


La logique de chacun est différente d'autrui. Je crois qu'il est donc normal de dire qu'Adrienne a sa logique, que vous avez votre logique, que j'ai ma logique, etc.
Donc par exemple, pour vous, vous croyez avoir gagner sur tous les points de ce "débat" alors que d'autre pensent tout à fait le contraire et que d'autres encore pensent que c'est mitigé. Nous sommes donc en présence de trois logiques différentes.

Vous savez Zorg, moi, j'écoutais mon père et j'applique souvent ce qu'il me dit. Pourquoi ne faîtes vous pas la même chose et obéissez à votre père?
Peut-être est-ce là encore une logique différente!
_________________
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Ancien Maire de Lectoure

Et Ancien beaucoup de chose en Flandres et en Limousin.
Mehar
Et sinon, m'Sieur le Géant des Flandles ? A palt des plopos hols sujet, vous avez ptet un avis algumenté et constluit sul ce qui a plovoqué tout ce lemou?
En faisant abstlaction des pelsonnes incliminées j'entend. Juste sul le fond...
Il me semblait, à vous avoil lu il y a longtemps, que vous étiez plus plompt à défendle l'injustice, n'etait ce là que de vains mots, qui ne s'appliquent qu'à vous et vos ploches?
J'ose espeler que vous avez bien suivi l'affaile avant de vous plononcer à ce sujet, et que les motivations qui vous animaient lolsque vous vous disiez défénseul du peuple et de la justice sont toujouls de mise...
Ou le conflit de pelsonnes vous semble t il plus plofitable que de débattle sul le vlai sujet, à l'instal de celtains que vous avez eu déclié en d'autles temps ?
Z'etes assez oppoltuniste et levenchald poul le coup, peu léfléchi, et sans avis.
Le sens clitique et le lible albitle vous aulait t il abandonné, l'envels de votle veste est il plus confoltable ?


Y aula t il quelqu'un capable de faile la palt des choses et de legalder,comme Dieu le Pèle dans son infinie sagesse, les faits, sans des olnieles paltisannes, et avec le sens clitique et le lible albitle qu'Alistote nous a offelt ?
Je clainds que non, on lepond à coté, à ce qu'on veux poul satisfaile son égo, ses amis, ou se convaincle soi même du bienfondé de sa pensée.

Et on me demande poulquoi je ne me plais qu'à côté de mes cochons....

Bien à vous.

Méhal.
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