Akane
[ RP fermé, peut participer qui en fera la demande par MP, merci
]
Après tant dévénements qui se sont bousculés dans la vie dune brune
Tant de choses, tant de faits, prise dans le tourbillon incessant de la vie
Tant et trop pour la normande qui peu à peu sétait oubliée, et uvrait pour son Duché, qui pour oublier une blessure à la jambe qui lui affligeait par périodes de terribles douleurs, se noyait dans son travail.
Mais ce jour là, ce serait autrement Ce jour là, un jour de grand vent, elle voulait en finir avec ce mal qui la tourmentait tant de fois, ce mal insidieux qui lui faisait grincer des dents et lempêchait de continuer ses entrainements militaires ce mal qui la faisait boiter légèrement depuis si longtemps.
Elle était épuisée aussi, depuis le jour où Anya lui avait fait une belle frayeur.
Un jour où « elle en a gros » en quelque sorte, mais cela devait cesser, et vite.
Une idée sur la question, vu que sa mère adoptive lui avait enseigné quelques notions dherboristerie mais aussi médicales dès son plus jeune âge. Lui restait à trouver comment se procurer le précieux remède De son nom latin « Papaver somniferum », autrement dit du pavot De fil en aiguille, elle obtient le renseignement et se rendit en chevauchant, dans une officine en rase campagne Normande, une officine à en faire froid dans le dos rien quen y entrant. La tempête y trouva une vieille femme voutée légèrement véreuse, qui ainsi en léchange dune somme bien rondelette, lui remit une petite fiole de lessence même de la plante sans chercher à trop comprendre.
Retour vers Caen, direction les pommiers, descente de la monture. En un geste, la brune avale un tiers de la fiole, et se laisse glisser le long dun arbre, se retrouvant ainsi le séant à terre. Petit à petit, le mal cesse, petit à petit, elle se sent comme invincible. Une envie, celle de prendre sa batarde et desquisser quelques mouvements, passe darmes sans adversaire Ou du moins réel, et elle passe ainsi toute sa haine, sa hargne, accumulée des jours durant.
Le jour séchappait au fur et à mesure, et la brune épuisée, de réaliser quelle commençait à avoir un peu froid malgré tout. Une douce sensation dapesanteur de bien être lenvahissait. Elle regroupait ainsi quelques branchages secs dun pommier et fit un feu, sans réaliser que non loin de là, un garde du castel de Caen lavait repéré et reconnu et quil irait informer Meleagre de ce quil se passait.
Comme hypnotisée par la vision du feu quelle venait de faire naître, la normande sen approchait dangereusement Déjà la flamme léchait le poignet de sa main droite , et coupée de toute réalité, elle ne réagissait pas
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Par la plume, et l'épée !
Après tant dévénements qui se sont bousculés dans la vie dune brune
Tant de choses, tant de faits, prise dans le tourbillon incessant de la vie
Tant et trop pour la normande qui peu à peu sétait oubliée, et uvrait pour son Duché, qui pour oublier une blessure à la jambe qui lui affligeait par périodes de terribles douleurs, se noyait dans son travail.
Mais ce jour là, ce serait autrement Ce jour là, un jour de grand vent, elle voulait en finir avec ce mal qui la tourmentait tant de fois, ce mal insidieux qui lui faisait grincer des dents et lempêchait de continuer ses entrainements militaires ce mal qui la faisait boiter légèrement depuis si longtemps.
Elle était épuisée aussi, depuis le jour où Anya lui avait fait une belle frayeur.
Un jour où « elle en a gros » en quelque sorte, mais cela devait cesser, et vite.
Une idée sur la question, vu que sa mère adoptive lui avait enseigné quelques notions dherboristerie mais aussi médicales dès son plus jeune âge. Lui restait à trouver comment se procurer le précieux remède De son nom latin « Papaver somniferum », autrement dit du pavot De fil en aiguille, elle obtient le renseignement et se rendit en chevauchant, dans une officine en rase campagne Normande, une officine à en faire froid dans le dos rien quen y entrant. La tempête y trouva une vieille femme voutée légèrement véreuse, qui ainsi en léchange dune somme bien rondelette, lui remit une petite fiole de lessence même de la plante sans chercher à trop comprendre.
Retour vers Caen, direction les pommiers, descente de la monture. En un geste, la brune avale un tiers de la fiole, et se laisse glisser le long dun arbre, se retrouvant ainsi le séant à terre. Petit à petit, le mal cesse, petit à petit, elle se sent comme invincible. Une envie, celle de prendre sa batarde et desquisser quelques mouvements, passe darmes sans adversaire Ou du moins réel, et elle passe ainsi toute sa haine, sa hargne, accumulée des jours durant.
Le jour séchappait au fur et à mesure, et la brune épuisée, de réaliser quelle commençait à avoir un peu froid malgré tout. Une douce sensation dapesanteur de bien être lenvahissait. Elle regroupait ainsi quelques branchages secs dun pommier et fit un feu, sans réaliser que non loin de là, un garde du castel de Caen lavait repéré et reconnu et quil irait informer Meleagre de ce quil se passait.
Comme hypnotisée par la vision du feu quelle venait de faire naître, la normande sen approchait dangereusement Déjà la flamme léchait le poignet de sa main droite , et coupée de toute réalité, elle ne réagissait pas
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Par la plume, et l'épée !