[RP] Des choses étranges à Tours

--Ombre

Un cri dans la nuit...

[Durant la nuit dans les rues de Tours]

Cette nuit fut la pire de toute sa vie, elle avait essayé de lui parler... essayé... ça s'était mal terminé. L'Ombre s'était enfuie dès qu'elle avait pu et une fois dehors elle s'était mise à courir, courir sans s'arrêter. Elle trébucha, une fois... deux fois, se relevant toujours et reprenant sa course de peur d'être suivie. Elle finit par s'arrêter dans une ruelle sombre et se plaqua contre le mur rugueux de l’infâme impasse. Là elle cria de toutes ses forces, un cri digne d'une Érinyes. Elle ne s'arrêta de crier que lorsque sa voix vint se briser au fond de sa gorge et que des lumières vinrent illuminer quelques fenêtres plus ou moins proches.

La jeune femme brisée, s'enfuit de nouveau, ne voulant pas subir en plus le courroux de villageois en colère qu'elle avait réveillé. Elle erra dans les rues se demandant où aller. ça et là elle croisa quelques groupes discrets surement en train de planifier un mauvais coup. Elle les évita et se demanda où elle pourrait bien aller. Le jour se lèverait d'une minute à l'autre et elle ne voulait voir personne, ne parler à personne, ne penser à personne.

Il fallait qu'elle se cache quelque part où personne ne pourrait la retrouver. L'Ombre se dirigea quelque part, où? nul ne le sait. Elle évita les zones de lumières, toutes ? Peut être pas... Vêtue très légèrement, d'une robe quasi-transparente qu'elle portait d'ordinaire sous son corset et ses jupons, seule chose qu'elle avait réussi à récupérer dans sa fuite, elle ne devait pas passer inaperçu... heureusement qu'en pleine nuit personne ne la reconnaîtrait.

Jeremi

jeremI s'était levée tot pour allez faire une ronde habituel dans les rues de tours, il aimait ce moment de la nuit, juste avant la levée du jour, ou tout est calme, silencieux; cela lui permettai de ce detendre avant une journée de travail.
il s'apprétait a sortir quand tout a coup il entendit un hurlement.
il se précipita dehors ce demandant ce qui se passait, quelqu'un été t'il attaqué, des brigands, pire?

là, il vit une ombre courir, elle venait de la direction d'où le cri avait surgit, il se mis donc a la suivre et essaya de l'appeller.

hé! attendez! où courrez vous donc?
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--Ombre

[A quelques minutes de l'Aurore]

L'Ombre dans sa course entendit quelqu'un l'interpeller... Non ! Personne ne devait la voir, personne ! surtout pas dans cet état, de quoi avait-elle l'air ? Les cheveux en bataille à peine retenus par une pince, son rimel coulant le long de ses joues, et cette fichue robe transparente ! Non. On ne devait pas la voir.

Reprenant sa course de plus belle, la jeune femme s'engagea dans une ruelle mal famée. Une impasse. Le miaulement d'un chat qu'on dérange d'un coup de pied, une porte qui claque, des voix qui s'élèvent... La ville commençait à s'éveiller. Comment sortir de là sans se faire remarquer ? L'Ombre tourna la tête en tout sens et vit ce qui allait peut être la sauver... Une échelle... Elle grimpa jusqu'au toit et remonta l'échelle avec elle... pas question d'être suivie, déjà l'homme qui l'avait appelée l'avait presque rejointe.

Elle se mit à courir sur les toit, en espérant que les propriétaires des maisons sur lesquelles elle courait n'entendraient pas ses pas au dessus de leurs têtes. Par chance les maisonnées étaient assez proches et l'Ombre pouvait sauter d'un toit à l'autre. A chaque fois qu'elle sautait son coeur s'emballait... la peur de ne pas atterrir de l'autre côté... Épuisée elle s'arrêta, se couchant sur le toit afin de passer inaperçu. Mais elle allait devoir redescendre... Peut être pouvait-elle se rendre là où elle souhaitait se cacher de par les toits ?

Les marchands commençaient à sortir leurs étals... c'était de mauvais augure... Quelqu'un risquait de la voir là haut... Pas loin il y avait une fenêtre, elle s'en approcha furtivement et se rendit compte qu'il y avait là un grenier. Habilement, elle se faufila par la fenêtre, fouilla la pièce sans faire de bruit et trouva une grande cape noire. Elle s'en revêtit et ressortit par le toit. Là elle chercha une façade qui pourrait faciliter sa descente et trouva un balcon dans une ruelle encore vide.

Agilement, elle sauta sur le balcon, passa de l'autre côté de la balustrade et sauta de nouveau. Tel un chat, elle retomba sur ses pieds. Bon maintenant... se fondre dans la masse. L'Ombre se faufila entre les Turons sortis faire leurs courses sur le marché et se dirigea vers l'endroit où elle avait initialement prévu de se cacher.

Jeremi

jeremI suivit l'ombre qui courrait.
il la vit monté sur un toit mais trop tard la personen avait enlevé l'echelle.
il vit demi tour pour trouver un moyen de la rejoindre quand il la vit sauter de toit en toit.
il la suivis donc d'en bas.

les gens ouvraient leurs echoppes et il était de plus en plus difficles de suivre cette ombre mystérieuse.
d'un coup elle disparue, jeremI recula dans la rue et chercha s'il pouvait voir au dessus du toit.

la il vit une ombre noir sortir d'une fenetre. il l'avait retrouvé et elle portait une cape noir!
il la vit dessendre et s'elança a sa poursuite, mais les gens le genez.
il sortit son badge de sergent.

ecartez vous! police de tours!

il pu ainsi la suivre et se raprochez et puis ainsi la voir se faufiller...
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--Ombre

[Entre les divers étals]

Police ??? Elle était suivie par la prévôté maintenant ? C'était la meilleure ! Si elle se mettait à courir, on la prendrait pour une brigande... Si elle gardait son allure il allait la rattraper à coup sûr ! Que faire cette fois ? L'Ombre se tourna rapidement pour évaluer la distance qui la séparait de son poursuivant. Il était près... trop près... Le coeur de l'Ombre se mit de nouveau à s'emballer. Non il ne devait pas la voir surtout pas... Et puis elle était devenue aphone à tant crier... impossible d’émettre le moindre son...

L'Ombre se faufila... à quatre pattes sous les étals, plus difficile pour le chef maréchal de la suivre des yeux puisqu'elle était cachée là dessous. Il n'allait tout de même pas là suivre à quatre patte si ?

Elle progressait le plus rapidement qu'elle pouvait, d'écorchant les mains et les genoux sur les pavés, déchirant sa robe transparente qui s'accrochait dans les clous des pieds des étals et la ralentissait. Puis une pensée lui traversa l'esprit. Si jamais le policier avait la mauvaise idée de la suivre là dessous, ça allait faire parler les commères, surtout qu'elle avait bien l'air d'une catin dans cet accoutrement. Il fallait qu'elle sorte. Elle passa la tête sous la nappe. Par chance juste en face d'elle il y avait une petite ruelle. Sortant entièrement de sous l'étal. Ignorant les protestations des vendeurs outrés de la voir sortir de là dessous, elle courut le plus vite qu'elle pu. Oui on allait la prendre pour une voleuse en fuite, mais la belle n'en avait que faire, elle devait se cacher au plus vite.

Le semer... elle devait le semer...

Jeremi

jeremI la suivait, il la vit se tourné, elle savait donc que quelqu'un la suivait. mais elle ne s'arreta pas. pourquoi donc?
bon, au moins les gens s'écartez et lui indiqué ou elle était.
la voila qui disparé a nouveau, ou est t'elle donc passé?

marchand: eh! que faites vous sous mon etal!
un autre marchand: messieur le policier! là, elle est ici!
un dernier : elle est sorti par là! attrapez la!

ah! il savait où elle été passé au moins. dans la ruelle, il fallait vite la suivre alors!
il se mit a courir pour la ratraper, elle avait un peu d'avance mais il courait plus vite. il allait la rattraper...
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--Ombre

[Dans les ruelles]

Dénoncée... Ils l'avaient dénoncée ces abrutis ! Mais elle était épuisée, écorchée de partout et il courait plus vite qu'elle. Que pouvait-elle faire ? Ruser ? Si elle comptait jusqu'à cinq au bout de ces secondes, il aurait attrapé sa main fermement et elle ne pourrait plus s'échapper. Mais elle n'avait plus de voix, il prendrait son silence pour de l'insolence ou autre chose du même genre...

Une porte qui s'ouvre... Une aubaine... L'Ombre se faufile à l'intérieur de la maisonnée bousculant la pauvre vielle qui venait d'ouvrir sa porte pour sortir faire son marché. D'un regard elle se montre désolée, suppliante, elle ne pouvait dire un mot, rien ne sortait de sa gorge. Elle trouva rapidement l'escalier et monta à l'étage. Là une pièce unique. Levant les yeux au plafond elle vit une trappe qu'elle ouvrit et se hissa par là en montant sur une chaise. Elle se retrouva dans un grenier... encore un... Dans un instant de panique elle cru qu'il n'y avait pas d'issue... mais si. Au fond une petite lucarne laissait entrer la lumière. Elle essaya de l'ouvrir sans succès. En bas elle entendait des bruits de pas qui se rapprochaient. Elle n'avait pas le choix. Elle brisa la vitre d'un grand coup d'épaule, laissant échapper un gémissement de douleur, puis elle se hissa à travers le trou qu'elle venait de faire, se coupant au passage.

De nouveau sur les toits elle se remit à courir. Elle aurait aimé qu'il ne la suive pas là haut. Sa fatigue devenait dangereuse, elle risquait de se louper lors d'un saut et de se casser quelque chose en s'écrasant par terre ou pire... Avec un peu de chance il ne passerait pas par l'ouverture trop petite pour lui ? Rapidement elle regarda sa robe blanche, sale, opaque et déchirée qui se tintait de sang. Aie... elle s'était bien entaillée ce coup-ci...

Jeremi

elle entra dans une maison, bousculant une ville femme, qui voyant la plaque de jeremI lui indiqua ou elle était passé. il monta vite a l'etage, et la vis se hisser par une trappe, elle avait pousser la chaise, le temps qu'il la remette en place et monte elle avait eu le temps de briser la vitre et passer.
il du finir de briser la vitre, pauvre vielle femme, il faudra la rembourcer, et passa par la fenetre, elle était juste mais reussi a s'extirpé de la.

là! en face, il la vit qui courrait sur les toits, il s'elanca a sa poursuite.
elle c'était coupé et reussi enfin a la rattrapé, il l'attrapa par le bras et l'arréta.

eh! pourquoi avez vous donc fuis? avez vous un probleme?

elle était toute sale et semblais mal au point, comme elle ne lui repondait pas il lui donna de l'eau, il se doutait qu'elle n'était pas une voleuse ni une criminel, elle était trop frele, et fatigué.
elle semblais avoir froid et ses vetements tombait en lambot. il la couvrit donc de sa cape.

elle été recroquevillé et ne pu voir qui c'était.

qui etes vous?
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--Ombre

[Sur les toits de Tours]

Elle courait lorsqu'elle sentit une main d'homme la harponner et la retenir. C'était fichu... Qu'allait elle dire ? Comment le dire d'ailleurs puis qu'elle était muette... Comment faire pour qu'il ne la reconnaisse pas ?

Elle prit l'eau qu'il lui tendait, bu une gorgée veillant à ce qu'il ne voie pas son visage cachée sous l'ombre d'un chaperon. Cette main sur elle qui l'empêchait de fuir à nouveau lui rappela l'horrible nuit qu'elle avait passée entre les mains d'un homme à qui elle n'avait pu échapper parce qu'il avait utilisé sa force pour la retenir, un homme qui l'avait totalement brisée cette nuit là... Alors l'Ombre se mit à trembler. Personne ne devait savoir, elle devait trouver un moyen pour échapper au chef maréchal.

Tout d'abord, cacher son identité. Elle posa sa main sur l'une de ses blessures et la passa ensuite sur son visage pour le rendre méconnaissable ainsi maculé de sang. Posant de nouveau un doigt sur sa blessure, lentement elle s'accroupit et écrivit sur une ardoise le mot "muette". Il comprendrait ainsi qu'elle ne pouvait pas parler même si elle l'avait voulu.

Jeremi

jeremI vit qu'elle continué a trembler.... il se souvient du cri, c'était peu etre de la peur.
il la vit écrire "muette" avec son sang, elle saignait donc beaucoup.

a d'accords, bon, je vois que vous etes blessez et que vous ne pouvez parlez.

il vit qu'elle semblez mal a l'aise qu'il la tienne.

ne vous inquiétez pas, quoi qu'il vous soit arrivez je veux vous aider.
il ne faut pas que vous ayez peur de moi. je vous lache mais vous ne vous effuyez plus, sinon je devrais nouveau vous attrapez, et vous etes blessez et fatigué. d'accords?

il sortit un chiffon de son sac et le montra a la jeune femme.

puis je bander votre blessure? il faut que cela arrete de saignez.

il avait dans son sac une miche de pain, il aimait prendre son petit dejeuner lors de sa balade du matin et avait donc toujours un petit quelque chose a manger dans son sac. il la pris et la tendit a la jeune femme qui seblez mal au point.

voulez vous manger quelque chose?

jeremI avait vu que la fugitive était efffrayé et essaya donc d'etre le plus doux possible pour ne pas qu'elle soit appeuré par lui, il voulait juste la proteger, la pauvre avait du passé un vraiment mauvais moment vu son cri et sa peur
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--Ombre

[Toujours sur le toit]

Pourquoi était-il si gentil avec elle ? Elle l'avait fait courir dans presque toute la ville, avait cassé une vitre, fuit alors qu'il l’interpellait... Autant de raisons qui lui donnerait le droit de l'emmener dans les bureaux de la prévôté pour l'interroger et la mettre en examen. Mais non, au lieu de cela il lui proposait de quoi manger.

L'Ombre devait bien s'avouer qu'une telle course poursuite l'avait rendue affamée, mais elle avait peur d'abuser de la gentillesse de cet homme. Elle le détailla, comme si c'était la première fois, alors que ce n'était pas le cas. Il avait un charme certain mais elle n'était pas vraiment en état de s'en rendre vraiment compte.

Elle ne fuit pas lorsqu'il la lâcha. Restant sagement près de lui, elle l'observait. Après tout peut être qu'au fond elle avait besoin de soutient et de réconfort ? De sa main gauche moins sale que la droite et surtout moins ensanglantée, elle prit la miche de pain. Elle mordit dedans à environ la moitié et tira dessus pour couper la miche en deux. Elle rendit l'une des deux moitié à son propriétaire l'air de dire "on partage ?" puis prit l'autre moitié qu'elle tenait dans sa bouche.

Elle l'invita à s'asseoir sur les ardoises et lorsqu'il se fut installé elle se posa à côté de lui pour manger sa demi miche.

Jeremi

jeremI était soulagé qu'elle accepte de manger un peu et qu'elle ne fuis pas.
il laissa la miche ou elle été, il n'avait pas faim et devait s'occuper de ses blessures.
il prit le chiffon et le ouilla et le sera sur la blessure que la jeune fille avait au bras. pas trop fort pour ne pas lui faire mal, mais suffisament pour qu'il ne tombe pas.
jeremI regarda ce qu'il avait fait et sourit

voila, comme sa ça ne saignera plus.
bon, je doit vous avouer que je devrais vous emmener au poste de police, mais plus tard d'abords reposez vous, detendez vous et mangez.

il vit qu'elle tressaillit quand il évoqua le poste

oh, non, ne vous inquiétez pas. vous semblez plus etre une victime qu'un coupable. cela sera pour m'expliquer les faits que je puisse les enregistrés. enfin, quand vous aurez retrouvé la voix.

jeremI realisa alors dans l'état dans lequel elle était.

hum... peut etrre voulez vous allez chez vous pour vous netoyer?
par contre je vais etre obligé de vous accompagner, pour l'enquete, vous comprenez?
quand vous serez prete on ira. ne vous pressez pas.
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--Ombre

[Avant de quitter les toits]

Aller au poste ??? L'Ombre n'avait aucune envie d'aller au poste même pour déposer plainte. Elle ne pourrait pas faire ça c'était... impossible. Même si ce qui s'était passé était inadmissible, elle ne voulait pas ressasser ça, elle n'y était pas prête.

Néanmoins elle se leva, lui prit le bras pour lui montrer sa bonne foi et surtout qu'il ne pense pas qu'elle allait encore fuir. Elle lui montra le sol du bout d'un doigt. Ils devaient descendre. Lorsqu'elle fut certaine qu'il avait comprit elle le prit par la main et l'emmena avec elle jusqu'à trouver un endroit où ils purent descendre sans trop d'acrobaties.

Une fois en bas, elle hésita... devait-elle l'emmener chez elle ou juste se rendre au lavoir le plus proche ? Chez-elle là elle pourrait peut être trouve le moyen de le dissuader de l'emmener au poste...

Le tirant doucement, elle l'emmena jusque chez elle.

Des choses étranges à Tours

--Ombre

Un cri dans la nuit...

[Durant la nuit dans les rues de Tours]

Jeremi

--Ombre

Jeremi

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Jeremi

--Ombre

Jeremi

--Ombre

Jeremi

--Ombre

Jeremi

--Ombre

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