[RP]Le bonheur des uns fait le malheur des autres

Xéres et Pelipa c’étaient retrouvé ils étaient heureux l’un avec l’autre à voyager tranquillement sur un beau cheval. Xéres rayonnait de bonheur depuis qu’il avait trouvé sa perle son amour son âme sœur. Il s’était juré de la protéger et pourtant …..

Alors qu’il chevauchait doucement dans la forêt, ils furent obligé de ralentir la pénombre était tombé et chevaucher à pleine vitesse comportait de grands risques avec les branches des arbres et les racines sur le chemin.

Xéres avait ces sens aux aguets étant chasseur il sait très bien que d’un moment à l’autre un prédateur tant animal que humain peut sortir d’un bosquet et les charger.

Soudain deux femmes sortirent du bois et leur barrèrent le chemin si bien que le cheval se cambra Xéres réussit à le retenir afin de ne pas tomber et

il descendit du cheval.

Xéres leur dit sur un ton ferme :

Que voulez-vous ? Laissez nous passer !

Voyant que ces dames n’avaient pas l’air décidé à les laissés passé il mit la main sur la garde de son épée et s’empara de son bouclier, d’ordinaire il ne frappait pas les femmes mais là c’était un cas de force majeur, il se préparait aux combats en regardant les deux femmes fixement.

Pélipa serrait très fort la taille de Xérès. La tête posée contre son dos, le vent faisait voler ses cheveux, sa main qui se posait doucement sur les siennes de temps en temps. Elle aimait cet homme plus que tout.

Elle remarqua le changement d'allure de la monture, relevant la tête, elle aperçue la forêt. Frissonnant, elle resserra la pression autour de Xérès.

Soudain, elle les vit, la réaction du cheval faillit l'envoyer manger la poussière.
Sentant la tension du cheval, Pélipa décida de descendre.
Elle se plaça derrière Xérès, fit reculer le cheval et lui parla doucement pour le calmer.
Tenant fermemant les rennes, attentive à ce qui allé se passer, elle écouta.

L'angoisse la prit lorsqu'il sortit son arme. Elle s'éloigna un peu, attachant le cheval non loin. N'ayant jamais combattue, elle mit gauchement son bouclier. Sans arme, déjà perdu lors d'une précédente attaque, elle ne pouvait rien faire juste éviter les coups mortels.

Cela faisait plusieurs jours que les deux cousines s'étaient postées dans la forêt séparant Thouars de Saumur.
La route la traversant était assez fréquentée, la végétation y était dense, permettant une bonne planque au deux brigandes en herbe.
En clair l'endroit idéal.

La nuit était tombée, il était temps pour la rouquine et la brunette de quitter le campement et de rejoindre le lieu qu'elles avaient pris soin de repérer et qu'elles avaient testé déjà la veille.
Point stratégique offrant le meilleur effet de surprise.
Un remblai de terre s'était formé naturellement leur permettant ainsi de rester invisible au yeux de ceux qui sillonnaient la route, insouciants des dangers que cela pouvait représenter.
Les arbres largement fournis et les hautes fougères, eux faisaient office de camouflage.
Il n'y avait qu'à attendre patiemment que les victimes pénètrent dans leur périmètre.
Presque trop facile.

Le croissant de lune menait sa course le long du ciel assombri tandis que le doute s'installait lentement à mesure que le temps s'écoulait.
Elwenn fixait cette source lumineuse qu'elle distinguait à peine au travers de l'épais feuillage quand enfin les sabots d'un canasson martelèrent le sol.
Les deux cousines échangèrent un bref regard, le bruit des pas était devenu plus proche, si proche que ce fut le signal.

La rouquine s'extirpa de son trou, rapidement et avec une certaine agilité vint se poster au milieu du chemin, surprenant la monture et ses deux passagers.
Un fin sourire étira ses lèvres alors que sa main agrippait le manche de sa hache instinctivement.

L'homme descendit immédiatement de son cheval et leur fit face, la femme l'imita mais resta en retrait se doutant certainement qu'ils n'iraient pas plus loin sans s'alléger de leurs affaires.
Maigre tentative du voyageur pour les dissuader de les laisser passer ce qui dessina à nouveau un large rictus sur la frimousse tachetée.

Amusée de cette vaine tentative, Elwenn leur lança simplement quelques mots qui voulaient tout dire.

La bourse où la vie braves gens?!

Cela fit son effet, le gazier se mit sur la défensive, main au pommeau, bouclier en position.
Sa compagne, elle, se recula de quelques pas, nouant les rennes du bourrin autour d'un tronc à sa portée et se para à la différence près qu'elle n'avait pas d'arme.

La rouquine s'avança prudemment d'une enjambée en prenant cette fois ci sa hache à pleine main.
Soutenant le regard de l'homme, elle réitéra sa menace, elle ne voulait pas frapper sans être sûre qu'il n'y avait d'autres solutions pour arriver à ses fins.

Alors, la bourse où la vie?!!!

Il détaillait la jeune femme qui avancé vers lui hache en main, c'est à ce moment qu'il regretta lui même d'avoir échangé sa hache contre cette épée étant beaucoup plus habitué à la hache le combat aurait été sans doute différent.

Il soutint le regard de la femme qui sans doute n'attendais que sa réponse pour se lancer à l'assaut, sa phrase résonné dans sa tête Alors, la bourse où la vie?!!!.

Allait il laissé sa bourse docielement de toute manière il n'y avait rien dedans mais il se doutait qu'elles prendraient les besace aussi et sa il en était hors de question.

Plutôt que de répondre Xeres fonça sur la jeune femme en dégainant son épée espérant profiter de l'effet de surprise mais son coup fut parer par l'épée de sa collégue c'est alors que le combat débuta

Et hop, le poisson prit dans les filets ! Y avait plus qu'à ferrer et ramener le butin sur le bord.

Un homme et une femme, un cheval et surtout quelques besaces bien remplit. L'homme sauta à terre dès qu'il les aperçut. La rouquine explica rapidement la situation d'un magnifique : La bourse ou la vie ? La gamine espéra que ça ne se passerait pas trop facilement quand même, un peu d'animation pendant un vol lui donnait toujours plus de valeur.

L'homme n'attendit pas longtemps et démarra les hostilitées d'un coup d'épée vers Elwenn. Ni une ni deux, la gamine plongea épée à la main pour parrer ce coup envoyé en traitre. La femme s'était terrée à quelque distance du combat, laissant l'avantage du nombre à leurs assaillantes. Le combat ne serait pas équilibré, bien qu'elles aient en face d'elle un homme, le simple fait de pouvoir attaquer de deux cotés à la fois faisait pencher la balance.

Les yeux de Laell se fixèrent dans ceux de leur victime. Elle était déterminée à s'emparer de leurs biens, qu'ils se laissent faire ou non. Elle continua d'occuper son adversaire, laissant libre court à sa cousine pour l'assommer ou s'occuper de la femme et du cheval.

Xéres n'était pas décidé à laché quoi que sa soit à ses voleuses. Il regarda la femme qui venait de parer son coup d'épée et aussitot se recula pour éviter le coup de hache lancé par sa complice.

Il voyait bien que le combat n'allait pas être de tout repos et il savait que son entrainement de soldat chez les dragons allez lui servire.

Les coups fusé tantot il parait tantot il donnait mais il avait de plus en plus de mal à parer et au fil du combat les lames passé de plus en plus pret de sa peau arrachant parfois le tissu de ses vétements.

Les tintements des épées et des boucliers se faisait entendre ceux ci raisonnant dans la foret dénué de tout bruit. Intérieurement il espérait que quelqu'un passe par là afin de l'aider à mettre en déroute ses deux brigandes

Pélipa sans arme, que pouvait-elle faire ?
Elle était collée au cheval et observait le combat.
Contre des armes elle ne pouvait rien faire.
Se faire tuer était possible et elle ne voulait pas.
Elle ne pouvait pas le laisser seul, l'abandonner.

Elle vit la jeune femme s'approcher menaçante.
Péli chercha partout ce qu'elle pouvait lui envoyer à la figure.
Rien pas de caillou, pas de branche... Mauvaise saison !
Elle s'affola en la voyant s'approcher.
La sueur coulait de son front.
Une envie de se défendre mais avec quoi.
Les sacoches derrière elle.
Elle la laissera pas passer, quitte à se battre à main nue.

Elle bouillait intérieurement de ne pouvoir rien faire.
Elle mit son bouclier devant elle et le cheval et attendit de voir la réaction de la brigande.