Shillia
Tandis que Shillia se préparait dans la sacristie pour une nouvelle Messe, les cloches de l'Église commencèrent à sonner l'appel des fidèles.
Shillia revêtit alors les habits liturgiques et se dirigea vers le porche de l'Église pour ouvrir les portes et accueillir les premiers paroissiens venant à la messe. Elle dit à ceux qui étaient déjà à attendre !.. Je leurs dit!..
Paroissiens de St Dié, la porte de la maison de Dieu vous est ouverte, entrez donc pour la messe et soyez les bienvenus.
Shillia, salua les paroissiens qui venaient assister à la Messe, puis remonta la nef de l'Eglise et se plaça devant l'autel.
Bonjour à tous et Bienvenus dans notre Belle Église St-Gervest de St Dié.
Je suis très heureuse de vous accueillir pour une nouvelle Messe, en ce beau Dimanche vingt deux èmes jour du mois d'Aout de l'an de grâce 1458.
Notre vie paroissiale a été un peu faible ses derniers temps et certains de nos membres assidus sont parti de notre ville.
Cependant, de nouvelles personnes arrivent dans notre ville et certains ont demandé de l'aide donnons leurs notre confiance..
Se ci dit commençons à nous recueillir dans la prière,
récitons la confession
Les villageois se confessaient avec ferveurs les yeux levés vers le ciel ne pensant plus qu'a leur pêchés qui savaient à ce faire pardonnés..
Voila, vos pêchés vont vous êtes pardonner, pour certain bien sur, sur ce!..
ne nous arrêtons pas en si bon chemin!.. récitons la prière du Dimanche comme tout les Dimanches d'ailleurs, que récitons
pendant la messe le Dimanche, qui sais ?..heu..heu.. bon!.. non !..
pas la peine tout le monde le sais...
Maintenant, nos âmes étant plus légères, proclamons notre foi en récitant le credo.
Répétez après moi
Le Crédo..
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.
AMEN
Je remarquais qu'aujourd'hui il y avait de la ferveur à en revendre auraient t ils des choses à ce faire pardonner ça seul le très haut le sais...Shillia se dirigea alors vers la chaire, elle grimpa les quelques marche perdu dans ces pensées!.. je ratais une marche mon nez vint heurter la quatrième marches je me relevais mine de rien .. puis j'ouvris le Livre des Vertus et dit..
Citation:
Livre de la Création
Chapitre IV - « Le Doute »
Le petit groupe décida de sarrêter un moment. Ils sinstallèrent sur une colline verdoyante, où poussaient de superbes fleurs que les abeilles venaient butiner. Une légère brise venait courber lherbe. Les oiseaux chantaient. Les étoiles venaient éclairer les créatures pendant quelles posaient leurs sacs à terre et sasseyaient en cercle. Lambiance était maussade, car elles se posaient toutes la même question.
Toutes les espèces quelles avaient rencontrées était doté dun talent particulier. Les vaches, créatures qui broutaient placidement lherbe, avaient une nombreuse famille. Les moutons avaient une laine douce et volumineuse. Les ailes des oiseaux leur servaient à parcourir le monde en volant. Les chevaux, nobles et fougueux animaux, galopaient à la vitesse de léclair. Les poissons étaient les maîtres des vastes océans. Les cochons étaient puissants et farouches.
Même les végétaux étaient dotés de talents uniques. Les chênes étaient dotés dune longévité qui navait rien à envier à leur taille. Le blé se multipliait à lenvi, couvrant de larges territoires. Le maïs avait ses épis, gorgés de vie. Les fruits avaient un délicieux goût sucré et les légumes des senteurs appétissantes. Et le petit groupe sinterrogeait. Mais pourquoi leur espèce navait-elle aucun talent particulier ?
Certes, les créatures du petit groupe avaient des mains, mais leur force négalait pas celle du cochon. Certes, elles avaient des jambes, mais elles ne les amenaient pas aussi loin que les oiseaux et pas aussi vite que les chevaux. Certes, elles pouvaient procréer, mais pas autant que les vaches ou le blé. Certes, certaines étaient barbues, mais cétait une bien piètre consolation comparé à la volumineuse laine des moutons.
Certes, elles étaient pleines de vie et de santé, mais bien moins que le maïs, les fruits et les légumes. Et elles nosèrent même pas se comparer à la longévité et à la taille des chênes. Toutes ces créatures, animales comme végétales, avaient de sérieux arguments pour affirmer, tel quelles le faisaient, quelles étaient les préférées de Dieu. Leurs talents étaient uniques. Alors, le petit groupe essaya de se trouver un talent qui était propre à son espèce.
Son espèce se tenait debout. Mais quel avantage cela lui donnait ? "Aucun", répondirent de concert tous les membres du groupe. Leurs mains leur servaient à construire des outils, mais cétait pour compenser le manque de griffes ou dautres organes. Ainsi, leur estomac était si faible quil leur fallait cuire la viande pour la manger. Et leurs yeux étaient si peu perçants, contrairement aux chats ou aux hiboux, quil leur fallait séclairer dans le noir. Leur fourrure était si peu épaisse quils devaient sabriter lorsque la pluie, la neige ou la grêle tombaient ou lorsque le vent soufflait trop fort.
Faisant ce sinistre constat, les créatures du petit groupe se mirent à pleurer. Ils étaient persuadés que leur espèce était le moins aimée de Dieu, quIl les méprisait, quils étaient la lie de Sa création. Un silence pesant sétait installé, alors que tous se regardaient mutuellement, chacun cherchant dans les regards des autres une réponse à ses questions. Mais ces regards ne portaient aucune réponse. Ils étaient juste dégoulinant de larmes.
Mais lun deux était resté à lécart du groupe. Il regardait vers les étoiles. Tous les membres du groupe le négligeaient, le considérant comme un faible desprit. Il leur répondait souvent "Heureux les pauvres en esprit...", mais ne savait que rajouter à cette réplique. Pourtant, de tous, il était le seul à se demander ce que Dieu désirait, au lieu de se plaindre de son sort. Cet homme sappelait Oane.
Spyosu
Chapitre IV - « Le Doute »
Le petit groupe décida de sarrêter un moment. Ils sinstallèrent sur une colline verdoyante, où poussaient de superbes fleurs que les abeilles venaient butiner. Une légère brise venait courber lherbe. Les oiseaux chantaient. Les étoiles venaient éclairer les créatures pendant quelles posaient leurs sacs à terre et sasseyaient en cercle. Lambiance était maussade, car elles se posaient toutes la même question.
Toutes les espèces quelles avaient rencontrées était doté dun talent particulier. Les vaches, créatures qui broutaient placidement lherbe, avaient une nombreuse famille. Les moutons avaient une laine douce et volumineuse. Les ailes des oiseaux leur servaient à parcourir le monde en volant. Les chevaux, nobles et fougueux animaux, galopaient à la vitesse de léclair. Les poissons étaient les maîtres des vastes océans. Les cochons étaient puissants et farouches.
Même les végétaux étaient dotés de talents uniques. Les chênes étaient dotés dune longévité qui navait rien à envier à leur taille. Le blé se multipliait à lenvi, couvrant de larges territoires. Le maïs avait ses épis, gorgés de vie. Les fruits avaient un délicieux goût sucré et les légumes des senteurs appétissantes. Et le petit groupe sinterrogeait. Mais pourquoi leur espèce navait-elle aucun talent particulier ?
Certes, les créatures du petit groupe avaient des mains, mais leur force négalait pas celle du cochon. Certes, elles avaient des jambes, mais elles ne les amenaient pas aussi loin que les oiseaux et pas aussi vite que les chevaux. Certes, elles pouvaient procréer, mais pas autant que les vaches ou le blé. Certes, certaines étaient barbues, mais cétait une bien piètre consolation comparé à la volumineuse laine des moutons.
Certes, elles étaient pleines de vie et de santé, mais bien moins que le maïs, les fruits et les légumes. Et elles nosèrent même pas se comparer à la longévité et à la taille des chênes. Toutes ces créatures, animales comme végétales, avaient de sérieux arguments pour affirmer, tel quelles le faisaient, quelles étaient les préférées de Dieu. Leurs talents étaient uniques. Alors, le petit groupe essaya de se trouver un talent qui était propre à son espèce.
Son espèce se tenait debout. Mais quel avantage cela lui donnait ? "Aucun", répondirent de concert tous les membres du groupe. Leurs mains leur servaient à construire des outils, mais cétait pour compenser le manque de griffes ou dautres organes. Ainsi, leur estomac était si faible quil leur fallait cuire la viande pour la manger. Et leurs yeux étaient si peu perçants, contrairement aux chats ou aux hiboux, quil leur fallait séclairer dans le noir. Leur fourrure était si peu épaisse quils devaient sabriter lorsque la pluie, la neige ou la grêle tombaient ou lorsque le vent soufflait trop fort.
Faisant ce sinistre constat, les créatures du petit groupe se mirent à pleurer. Ils étaient persuadés que leur espèce était le moins aimée de Dieu, quIl les méprisait, quils étaient la lie de Sa création. Un silence pesant sétait installé, alors que tous se regardaient mutuellement, chacun cherchant dans les regards des autres une réponse à ses questions. Mais ces regards ne portaient aucune réponse. Ils étaient juste dégoulinant de larmes.
Mais lun deux était resté à lécart du groupe. Il regardait vers les étoiles. Tous les membres du groupe le négligeaient, le considérant comme un faible desprit. Il leur répondait souvent "Heureux les pauvres en esprit...", mais ne savait que rajouter à cette réplique. Pourtant, de tous, il était le seul à se demander ce que Dieu désirait, au lieu de se plaindre de son sort. Cet homme sappelait Oane.
Spyosu
Que la nature est belle sachons la préservée, sachons nous humains la respectée, l'aimée et sur tout, la gardée en bonne état pour nos enfants qui la découvre comme nous, nous l' avons découverte, belle est verdoyante. Nous quand nous aimons on offre des fleurs, Dieu lui, nous a offert le plus gros bouquet de fleur qui puisse exister la nature avec cet millier de fleurs de toute les couleurs sachons nous arrêtez et regardons l"à..
Jespère que vous entendrez là le message du Très-Haut.
Je vous invite maintenant à la communion, approchez vous mes enfants.
Il me reste à vous souhaiter à tous un agréable dimanche mes amis, allez en paix dans la foy Aristotélicienne.