[RP CULTE] Église de Verdun

Elisette

Elisette, vêtue de la robe qu’elle revêtait pour les mariages, et la future mariée, dans sa belle robe blanche de sa propre confection, allaient entrer dans l’église…

Elle ne cessait de répéter à son amie qu’elle la trouvait magnifique. Il était vrai qu’elle était tout de même fière d’avoir eu à l’aider à se préparer, et que le résultat était parfait. Mais, malgré cela, Lavania était angoissée. Et c’était normal ! Le jour de son mariage, tout de même. Certainement le plus beau jour de sa vie, ou sinon un des plus important.

Elisette était honorée de l’accompagner ce jour, pour son union avec Zeiss, son filleul, à qui elle tenait énormément aussi.

Oh, Eli... Il est là... Je dois faire quoi?

Ne t’inquiète pas ma belle, tout va bien se passer…Allez, continuons.

Elle lui adressa un sourire encourageant, et elles reprirent leur marche.

Dans les invités, elle remarqua bien sûr Caoimhim, qui accompagnait Zeiss. Elle lui sourit discrètement, amusée de le voir ainsi habillé.

Il y avait aussi Anaïs, dans cette belle robe qu’elle avait vu quelque part, Phenixo, Tophe et la petite Elandra, Healman, Xaba,…Et Mcchipie, qui, depuis plusieurs jours, semblait avoir changé de comportement envers Elisette, ce qui à la fois la surprenait et l’inquiétait.

Mais elle n’allait pas penser à cela le jour du mariage de ses amis !

Zeiss

Alors qu'il jetait son coup d'oeil à l'entrée,Zeiss croisa le regard de la personne sûrement la plus attendue dans l'église,ou si jamais ce n'était pas le cas,cette personne était au moins la plus attendue par Zeiss.Le jeune homme resta figé en voyant ces yeux bleus qui ne pouvaient appartenir qu'à l'élue de son coeur,il aurait pu reconnaître ces perles azurée entre mille.
Quand enfin le jeune homme réussit à détourner son regard,ce fut pour mieux être subjugué par la beauté de la jeune femme.Il la contempla de la tête aux pieds,et sentit son coeur cogner un grand coup dans sa poitrine.Zeiss ne put détourner son attention d'elle que quand il fut surpris par l'évêque Huet qui prenait position et par les quelques invités qui arrivaient encore,auxquels il adressa un sourire.

Zeiss ferma les yeux quelques secondes et quand il les rouvrit,il vit Heal,qui venait d'arriver accompagné de ses deux chiens.Il ne l'avait pas vu depuis un moment déjà,et il tenait un enfant dans ses bras.Encore un peu secoué par la vue de sa futur femme,le jeune homme se dirigea vers Caoim qui ne se trouvait pas trop loin.

Caoim!J'ai peur!

Zeiss regardait les enfants de choeurs se replacer,essayant de se calmer,mais le rythme des battements de son coeur continuaient d'accélérer.
_________________

Goeri

Jugeant qu'assez de temps avait passé, Huet débuta la célébration.

Amis, fidèles et croyants
Vous n'êtes pas sans savoir que nous voici assemblés dans l'église de Verdun, sous le regard de Dieu, afin de célébrer l'Amour, le vrai. Nos amis, Zeiss et Lavania ont jugé qu'ensemble, ils s'approcheraient encore plus de la vertu.

Se tournant vers eux

Votre amour est pour nous tous un signe incontestable de la magnificence de Dieu. La promesse que vous ferez l'un à l'autre est sans aucun doute, la plus belle qu'il soit. Souvenez-vous à jamais, du jour où avez accepté de traverser dorénavant toutes les épreuves de la vie à deux! Rappelez-vous que cet engagement est indissociable, car le vrai Amour, Lui, ne s'affaiblit jamais.

Monseigneur de Feugères sorti le Livre. Il n'avait guère sorti des sentiers battus quant à la lecture qu'il allait faire. Celle-ci était la traditionnelle, certainement la plus révélatrice sur la réalité du mariage puisqu'elle provenait de Christos même.

Mes enfants, entendez la parole de Christos, répondant à une jeune fille peu instruite sur la théorie, mais fort consciente de la pratique...

Citation:

Natchiachia versa le vin de sa cruche dans la corne de Christos, et lui demanda :
" Maître, je suis en proie à un profond tourment de l’âme. Je voudrais te suivre dans tes enseignements, mais j’aime un homme qui habite ici et qui se nomme Yhonny, je l’aime d’un amour pur comme le diamant… Que dit Aristote sur cette question que dois-je faire ? "

Christos lui répondit: " Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait. Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatchia, choisis judicieusement, car une foi que tu auras épousé Yhonny, vous ne pourrez plus vous y soustraire. "

Comme cette dernière parole frappa d’étonnement l’assemblée, car l’époque était à l’inconstance… Natchiatchia reprit :

" Mais, Maître, serons-nous assez forts pour respecter ce choix et vivre sans pécher ? "

Alors, Christos répondit :
" Sachez que l’humain doute par nature, que l’amour qu’il éprouve pour Dieu et pour son prochain peut connaître autant d’aléas que la vie comporte d’épisodes. Mais la vie vertueuse est un idéal vers lequel l’homme doit tendre. Et, dans son chemin, il peut s’aider de la prière. La prière peut en effet être le moyen pour tous de renforcer cet amour lorsque cela est nécessaire. N’oubliez pas non plus la puissance de la miséricorde, qui est accordée grâce à la repentance. "

Il lâcha le livre derrière lui, croyant y trouver l'autel. Un jeune enfant, sortant des rangs, accourus, attrapa le lourd livre et planta tête première alors que l'évêque débutait son homélie.

Vous avez dans ce texte, la sage parole de Christos décrivant ce qu'est réellement le mariage. Plus que la promesse de fidélité de deux êtres, il est la reconnaissance de l'infinie bonté de Dieu donnée aux humains. Rendant grâce à Dieu, votre union, espérons-le, dur et solide à l'image de notre Église, devra durer jusqu'à ce que l'un de vous soit appelé vers les hautes sphères célestes. Désormais, vous ne serez plus connu que comme étant le complément de l'autre, sous la bénédiction de Dieu. Et par delà les épreuves et les doutes que le mariage engendre, les mariés demeureront grâce à leur foi, leur amour et la prière. Et cet amour permettra à la race humaine d'accueillir de nouveaux membres en toute légitimité !

L'évêque ouvrit grand les bras

Allons! Entonnons tous ensemble, fidèles, le Credo !

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Tophe69

Tophe regardait sa fille et celui qui desormais était son gendre,
Tophe etait à la fois fier et heureux de ce mariage.

la voix légèrement tremblante de bonheur Tophe repris le credo;

Citation:

Elendra qui avait été tres sage pendant toute la cérémonie, commençais à s'agiter,
et montrant du doigt lavania, elle s'esclaffait
Maman
Tophe regardait Elendra, elle venait de dire maman pour la premiere fois,
Chut ma puce, attend.
la scène recommença bien une dizaine que fois,
Tophe se dit qu'il en était trop pour un petit bout comme-ca,
Elendra battait des pieds comme pour marché pendant le cour trajet qui l'emmenait des bras de son grands jusqu'au sol de la nef.

A peine, les 2 pieds avait touche le sol, qu'Elendra essayait de partir en marchant, mais sont grand pere, la retenait, bien heurement car le premier pas aurait bien finit sur le derriere sans le bras protecteur du grand pere.
Doucement ma puce, Doucement, ; en accompagnant les premiers pas d'Elendra

Elendra avançait d'une démarche peu assuré pour parcourir les quelques mètre qui la séparait de ça mère.
Arriver au niveau de sa mere, elle s'écria de sa petite voix
Maman, Maman,

Tophe n'avait qu'une hâte, que la cérémonie ce finissent et qu'il puisse aller félicité sa fille et son gendre a qui il comptais bien laissé quelques consignes.
Le vieux n'allait pas laissé sa fille comme ca non plus !
_________________

Caoimhim

Caoimhim était fièrement installé aux cotés de Zeiss lorsque la mariée arriva

Elle était vraiment resplendissante dans sa robe de mariée

Waouw, elles ont bien travaillé! Jamais vu une mariée aussi jolie!
De dame d'honneur non plus d'ailleurs!

Il regarda les deux femmes remonter l'allée centrale de l'église Ce moment était vraiment magique, on aurait dit deux anges tout droit descendus du paradis

Soudain un de ces anges lui sourit... Caoimhim avala sa salive et répondit au sourire d'Elisette, presque intimidé.

Zeiss le sortit de sa rêverie

Citation:

Caoim!J'ai peur!

Ne t'inquiète pas, tout va très bien se passer! Elle est superbe, petit veinard!

Il fit un clin d'oeil à son ami

L'office commença, Caoimhim le suivit pieusement et entonna le crédo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Anais_ambrosia

Tout le monde était arrivé. Lava était magnifique dans sa robe et Ana eut comme un pincement au coeur en pensant qu'à cet instant elle aurait probablement été elle aussi mariée. Elle n'en montra rien, trop heureuse pour Lavania et jugeant que ça n'avait plus d'importance à présent. La petite blonde écouta l'évêque et quand vint le moment de réciter le Credo elle s'exécuta comme tout le monde.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Elle commençait à le connaitre par coeur. Valait mieux pour elle sinon la frangine se ferait une joie de l'enguirlander à ce propos. Ne jamais vexer une diaconesse. Jamais...sauf quand c'est parfaitement nécessaire.

Ana fit un sourire amusé à Tophe en voyant que sa petite fille n'arrêtait pas de gigoter. La petite était mignonne comme tout et avait visiblement décidé de faire ses premiers pas lors du mariage de sa mère. Autant dire qu'elle avait bien choisi son jour et qu'elle ne pouvait pas faire un plus beau cadeau à Lavania.

C'était bien joli tout ça mais...Ana était quasiment sure que l'ahuri avec sa charrette n'allait pas tarder à partir. A peine avait elle pensé à cela que la porte de l'église s'ouvrit, laissant passer l'adolescent un peu (beaucoup) stupide, les cadeaux bien encombrant sous les bras. La Ambroise aurait bien voulu lui botter les fesses vite fait bien fait, mais c'était pas l'endroit. Elle lui jeta un regard noir (oui avec des yeux bleus mais vous avez compris) tandis qu'il lui fit un sourire tout à fait niais en déposant les cadeaux contre un mur. Niveau discrétion on ne pouvait pas faire pire. Le neuneu sortit, non sans claquer la porte (boulet jusqu'au bout quoi) et Ana soupira d'avoir engagé un tel imbécile tout en espérant que les gens n'avaient pas trop fait attention à son entrée. Ana afficha un sourire crispé montrant bien son mécontentement mais reporta son regard sur les mariés histoire que tous les autres en fassent de même et oublient ce qu'il venait de se passer.

Zeiss

Zeiss écoutait les paroles rassurantes de Caoim,mais cela ne suffisait pas à ralentir son rythme cardiaque qui s'affolait.Il fermait les yeux,tentait de penser à autre chose,mais rien à faire,ça ne suffisait pas.

Essayant toujours de se calmer,la voix de Huet raisonna dans l'église.Zeiss écoutait attentivement chaque paroles prononcées par l'évêque,ce qui contribuait grandement à ralentir ses battements de coeur qui maintenant étaient à un rythme toujours rapide,mais supportable.

Quand le moment fut venu,le jeune homme récita son crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Presque calmé,Zeiss pu remarquer la présence d'un garçon à l'entrée,qui fit légèrement remarquer sa présence.Il vit aussi Ana le regarder avec des yeux plus que révélateur sur ses intentions et ses envies,ce qui fit sourire le jeune marié.
Pauvre petit!Se dit-il.
_________________

Shendus

Shendus arriva en retard apret avoir eu la nouvelle du mariage par courier il avait pris la route pour arrivé a temps une fois devant la grande eglise il replassa son uniforeme et entra dans le batiment poussant la porte il ce trouva une place a l'arriere pour ne pas deranger la ceremonie

Ellebasi

Ellebasi ne pouvant pas etre la avant en étant sur les route cours se changer pour le mariage de ses amis .

Essouffler d'avoir fais vite elle arriva devant la porte de la cérémonie de mariage qui avait déja débuter .

Elle avanca est vis ses amis déja présente moi comme toujours à la traîne pfff c'est bien moi ,je voulez etre discrète je suis servis la .

Elle vit son parrain et alla le saluer

Bonjour Parrain tu va bien et Sab et jean aussi?en lui souriant

Elle fit le signe de crois et dit une prière pour la paix revienne en Lorraine.

Elle regarda les époux résister credo .Elle eu les larme au yeux de voir refléter leur bonheur .

ELLe se place près de son parrain et regarde la cérémonie se poursuive ...
_________________

Xaba

Xaba écoutait la cérémonie, il regardait Lava qui était sublime dans sa robe de mariéé et Zeiss était vétu d'un jolie costume.

Lavania

Lavania se tenait maintenant devant l'autel en compagnie de l'homme qu'elle allait épouser. Tout en écoutant Monseigneur Huet, elle jetait de temps en temps un regard en direction de son futur mari, elle ne l'avait pas remarqué auparavant, mais elle pouvait remarquer maintenant, qu'il avait porter une attention particulière à la façon dont il s'était habiller.

Dès qu'elle s'en rendit compte, elle du tournée la tête et regarder Monseigneur Huet afin de ne pas laisser couler les larmes qui lui montait au yeux. Elle sentait son coeur battre de plus en plus rapidement, mais par chance, le crédo arriva au bon moment et elle put le réciter, se concentrant sur autre chose.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Elle pouvait entendre la voix de Zeiss à côté d'elle réciter le crédo, elle dut se retenir de toute ses forces afin de ne pas tendre la main pour prendre celle de son futur mari dans la sienne.

Du coin de l'oeil elle put voir Elendra s'approcher et l'entendit l'appeler. Elle tourna la tête un moment, lui faisant un beau sourire, et un petit coucou discret de la main avant de reporter son attention sur la cérémonie.

Elle écoutait toujours avec attention ce que Monseigneur Huet disait, faisant tourner à son doigt l'alliance qu'elle allait passer au doigt de son mari. Le moment approchait de plus en plus, elle n'avait fait qu'assister à quelques mariages et pourtant, celui-ci était celui qu'elle préférait, tous ses amis rassembler, sa famille, la personne qu'elle aimait, et c'était bien la première fois qu'elle se rendait à un mariage avec lui.

Goeri

Les dernières notes se dissipèrent dans l'immensité de l'édifice... Il était temps, l'heure de la déclaration ne devait plus tarder...

Se tournant vers les fiancés

Mes chers enfants... La joie qui vous habite à l'instant doit maintenant venir à son paroxysme... Vous allez, dès à présent, prononcer vos voeux de fidélité, l'un à l'autre, devant nous ici assemblés, devant vos témoins, Elisette et Caoimhim, et surtout, devant Dieu...

Zeiss, mon fils, tu es à quelques instants de prendre Lavania que voilà pour femme... Jures-tu de la protéger, de l'aimer et de la chérir, peu importe les aléas de la vie terrestre? Jures-tu cela pour le temps que la vie vous habite et jusqu'à ce que la mort vous sépare?

Lorsqu'il eu terminé, Huet reprit la question pour Lavania

Lavania, ma fille, te voilà devant Zeiss, ton fiancé. Acceptes-tu de le prendre pour mari, de l'aimer et de le chérir, pour le meilleur et pour le pire, et qu'il en soit ainsi tant que la mort ne vienne pas à vous?

Le plus grand silence se fit dans la salle, tous attendant que les fiancés fassent entendre leur voeux.

Zeiss

Zeiss sentit son coeur qui reprenait l'accélèration quand Huet prononça son nom.Le temps que l'évêque termine sa phrase,le jeune homme plongea son regard dans celui de Lavania.Il sentait tout son corps se détendre,son rythme cardiaque ralentir et se stabiliser.

C'est sûr de lui et d'une voix calme et sereine que Zeiss répondit

Oui,je le jure.
_________________

Healman0

Heal regarda zeiss prononcer : oui . il chuchota de facon a se que personne l'entende : tant mieux ce serait debile de dire nan ^^

Heal etait content !!!!! Pourtant c'est pas lui qui se marier mais en tout cas il avait hate de voir la bague de lava ^^

Lavania

Lavania écouta Monseigneur Huet, elle fut surprise de voir qu'ils étaient déjà rendu au moment de prêter serment. Il s'adressa tout d'abord à Zeiss.

Elle n'était qu'à quelques minutes d'épouser l'homme qu'elle aimait, il venait de plonger son regard dans le sien, elle sentait le stresse l'envahir, et si jamais il changeait d'avis... Et à ce moment, dans ses yeux, elle put voir le calme et c'est, l'air sûr de lui qu'elle l'entendit répondre.

- Oui, je le jure.

À ce moment là, plus rien d'autre ne comptait pour elle, la foudre aurait pu s'abattre sur l'église qu'elle ne s'en serait pas rendu compte. Toutes les questions qu'elle avait pu se poser, à savoir s'il répondrait oui ou non venait venait de quitter son esprit.

Monseigneur Huet s'adressait maintenant à elle lui posant la question

-Lavania, ma fille, te voilà devant Zeiss, ton fiancé. Acceptes-tu de le prendre pour mari, de l'aimer et de le chérir, pour le meilleur et pour le pire, et qu'il en soit ainsi tant que la mort ne vienne pas à vous?

Lavania se tourna vers Zeiss, un sourire aux lèvres, la réponse était maintenant clair dans son esprit et elle savait qu'elle ne le regretterais pas une seule seconde.

Plongeant elle aussi son regard dans celui de Zeiss elle répondit d'une voix claire et convaincue.

J'accepte.

Église de Verdun

Lavania

Lavania avait demandé à la Diaconesse Mellyssa de faire une Messe à l'honneur des défenseurs de Verdun, sans qui Verdun aurait sans doute pu connaître le pire. Quoi que, la peste guettait toujours Verdun... Et elle ne craignait d'être forcée de se réfugier dans une autre ville.

Rhaaa Lava! Penses pas à ça! se dit-elle en marchant vers l'église. Il suffisait de ne pas y penser et de prier! Raison pour laquelle elle se rendait à l'église de Verdun!

Pour prier oui, mais aussi pour rappeler à Soeur Melly la messe. Car, celle-ci lui avait avoué qu'elle risquait peut-être d'oublier. C'est pourquoi en n'entendant pas sonner les cloches en ce dimanche, la jeune femme avait pris elle même la route de l'église.

Peut-être que le coq n'avait pas réveiller la diaconesse ce matin! Il fallait en avoir le coeur nette! Ainsi, Lavania monta les marche de l'église une à une accompagnée de Marie-Erika, seule petite qui était éveillée en ce dimanche matin.

Elle poussa doucement la porte de l'église, déposant sa fille sur le sol, debout, si si, la neige ne l'avait pas empêcher à apprendre à se servir de ses petites jambes! Elle pouvait donc suivre sa maman partout dans la maison et l'embêter deux fois plus! Mais aussi lui dire deux fois plus qu'elle l'aimait! Comme quoi il y a des pours et des contres à tout, n'est-ce pas?

La jeune femme se signa donc et s'avança dans l'allée, jetant des coups d'oeil un peu partout afin de voir si elle ne repèrerait pas la dite Melly. Quand je dis partout, c'est partout! Même au plafond! Car la diaconesse avait caché les denrées de la Mairie Verdunoise dans le toit de l'église! Et il aurait été regrettable qu'elle y soit encore caché!

Et si c'était le cas, elle devait sans doute commencer à maquer de nourriture! Ouais... Valait mieux l'appeler! Quitte à la réveiller, au moins du haut du toit, elle risquait de l'entendre!

Soeur Mellyssa?

Silence...

Soeur Mellysa, c'est Lavania... Je vous avais contacter pour une messe à l'honneur des hommes et des femmes qui ont défendus Verdun lorsqu'elle regorgeait de brigands.... Vous vous souvenez? demanda-t-elle en s'adressant au plafond sans le vouloir, attrapant sa fille par la main avant qu'elle ne se sauve.

Car oui, depuis qu'elle avait découvert la marche, la petite avait aussi découvert la liberté... Et sa mère devait avouer qu'elle y avait prie goût un peu trop rapidement la noiraude!

Amael

Citation:

Avis d'élection au CESE
Appel à candidatures pour l'Évêché Suffragant de TOUL.

Au nom du Concile Épiscopal du Saint-Empire, nous, Monseigneur Arthur de Nivellus, Vice-Primat Francophone du CESE, Archevêque Métropolitain de Vienne, Préfet des Études faisons annonce de :

L'ouverture du dépôt de candidatures pour le poste d'évêque suffragant de Toul, et ce pour une durée de cinq jours à compter de la date
d'affichage Place d'Aristote. Cet appel fait suite à l'annonce de l'évêque démissionnaire.

Les candidats sont priés de nous faire parvenir curriculum vitæ et lettre de motivation par courrier privé. Nous rappelons que les candidatures doivent respecter les statuts du Concile Épiscopal du Saint-Empire.
Seul un clerc théologien ayant exercé pendant au moins quatre mois une charge de Vicaire ou de Curé peut postuler à la charge d’évêque
suffragant. Tout candidat doit être titulaire d’une licence en théologie obtenue dans un séminaire primaire reconnu par la Préfecture
à l'Enseignement Aristotélicien. Il est demandé aux postulants de mentionner leur diplôme dans leur candidature.

Bénédiction Episcopale,

Fait à Rome, le 21 janvier de l’an de grâce 1459

G_de_b

Il replaça les plis de sa robe de bure. Pour l'occasion, il avait revêtu celle de crains gris, bordée de bande en tissus grossier blanche très sale. Au bras de sa robe se trouvé cousu une médaille d‘Aristote en tissus, Il s'avança jusqu'à l'avant puis prit place dans le banc de prière
Il salua les fidèles d'un signe de tête et d'un sourire.
Il était venue pour prier en ce jour de joie, pour rien au monde elle n'aurait manqué cette occasion...la joie d‘être là pour les fidèles. En ce Jour de paix et d'amour

Seigneur, pense à la fragile protection du rocher. Tes enfants ont besoin de toi!

Merci seigneur de m’avoir donné la force de devenir ce que je suis aujourd’hui.

Merci seigneur de me permettre d’aider les fidèles de tous les pays!

Merci seigneur de tes bontés envers moi et envers tes autres enfants.

Merci seigneur de leur pardonné de se trompé et de vouloir toujours faire autrement que les autres juste pour dire qu’ils sont des rebelle.

Merci seigneur de pardonné à tes enfants-adultes de se comporter comme des enfants-enfants.

Merci seigneur de voir que certain essaye d t’utiliser juste pour faire croire qu’ils sont plus marrant et intéressant que les autres en colportant de fausse rumeur sur l’un ou l’autre.

Merci seigneur de me rendre aussi fort et de ne jamais me permettre que la haine s’empare de moi!

--Un_aristotelicien

Un adulte de 12 ans était arrivé. 12 ans trop jeune pour être un adulte et pourtant. Il faisait partit de ces jeunes qui avait un enfant sans être marié.

Il pénétra l'église et s'installa sur une chaise de prieur. Honteux il se cachait sous une cape. Espérant de pas être reconnu des hommes. Même si Dieu voyait tout.

Bonjour bon papa, c'est David, un enfant de toi.
En ce moment tout va bien, enfin cela s'améliore. J'arrête mes bêtises et j'ai renouer contact avec la maman de mon fils aujourd'hui.

Il serra ses mains en prieur.

Je suis invité par elle à boire une tisane, là tout de suite.
Mon Dieu aide moi, je l'aime tellement.

Maximin

Uriel était depuis quelques jours à Verdun, il avait principalement prêché au marche puis vendu ses pains pour le Nancython.
D'ailleurs, le succès escompté avait été atteint, il ferait bien 300 écus entre Toul et Nancy et puis il y avait encore quelques promesses à honorer.

Passant à l'église, il eut un pincement de coeur ... tant de choses s'étaient passées ici, des baptêmes, des mariages, des enterrements, il s'en remémora quelques uns ... Lavania, Isis, Soraya, ... et d'autres encore.
Xaba, disparu, tant d'autres l'avaient suivi ... Verdun avait bien décru en population, comme toutes les autres villes d'ailleurs.

Remontant l'allée centrale, il lui sembla entendre mille rires d'enfants, aujourd'hui devenus grands ; il s'agenouilla à l'autel et commença à prier pour ses proches, ses amis et ... ses paroissiens : les lorrains. Car pour lui, chaque habitant du Duché était comme un enfant à guider vers la Lumière, vers un monde meilleur ...

Maximin

Il avait bien vendu à Verdun. Une fois de plus, les verdunnois avaient montré leur générosité. Uriel en était fort satisfait.
Voici que venait le jour du départ était arrivé, Sybille était prête. Depuis quelques jours qu'ils s'étaient retrouvés, elle le regardait d'une autre manière, avec encore plus de passion qu'à l'accoutumée ; il lui semblait qu'elle souhaitait lui dire quelque chose, mais il ne savait pas quoi mais dans ses expressions, sa manière d'être, il y avait autant de bonheur que d'inquiétude.
Respectant son silence sur le sujet, il ne lui demanda rien, mais lui porta toute l'attention qu'elle avait besoin ... et encore plus.

Le temps était venu, il fallait partir vers Toul ...

G_de_b

Guillaume se mit à une chaise de prieur. En tenu de vicaire. Comme pour une cérémonie, mais là n'était pas la question.

Pas de cérémonie, mais une prière.

Bon Aristote! et Bon christos, Prophéte du Très haut,
Merci pour tout ce que vous m'avez aidé à faire à Annecy et que vous m'aidez à faire à Nancy.
Merci pour notre foyer enfin renouvelé.
Merci pour les amis que tu m'as donné.
Merci pour l'amour que vous nous offrez.
Merci de l'offrir à nos enfants!

Aristote offre s'il te plait ton aide encore une foi à ces paroissiens qui commence a déserté nos messes.
Aristote offre s'il te plait ton aide encore une foi à ces paroissiens pour qu'ils comprennent à qu'elle point la foy en Aristote et la plus noble des choses en cette vie.
Aristote offre s'il te plait ton aide encore une foi à ces paroissiens pour qu'ils retrouvent la force de ne plus se conduire comme des bisounours, et enfin défende la vrai foy.
Aristote offre s'il te plait ton aide encore une foi à ces paroissiens afin qu'il retrouve la route des témoins de l'amour de Dieu.

Aristote guide les dans leurs fréquentation.

Aristote viens en eux! Convertis les tous! Tu me l'as déjà montrer, alors montre ta toute puissante sagesse. Illumine les!

G_de_b

Juste un peu plus tard, pas beaucoup

D'un pas décidé, il pénètre dans l'édifice et va adresser sa prière de remerciement pour ce long voyage qu'était sa vie.
demandant directement à Aristode de le soutenir dans la future tache de Curé de Nancy en cas de route favorable. Il se dit en lui- même qu'il vallait peut- etre mieux recourrir directement à Dieu.
montrant son attachement à Christos et Aristote et le Très Haut.

Guillaume n'était pas desepéré, mais il était fatiguer, il aimerait tant que le peuple écoute.

Saint parmis les saint, grand Aristote,

Entend ma prière, écoute mes demandes,

Protège et inspire chaque habitant de Nancy, et bien sur de Toul en ces heures sombres que vit que la capitale du Duché de Lorraine,

Fais que les femmes, du moin certaine arrête de réflechir comme un mouton, suivant leur homme sans voir les défaux qu'ils peuvent avoir. Ces femmes qui défendent leur homme imfame jusqu'au jour ou il découvre, le coeur en miette, qui ils sont.

Fais aussi que les Fidèles et non fidèles soit moins ingrat. Je sais que c'est mon sacerdoce, mais certain pense encore que je suis leur esclave, seigneur, pardonne les comme je leur pardonne.

Je prie aussi pour tous les morts qui sont, qui vont arrivé devant toi pour être jugé!

Je prie aussi pour le salut de mes frères et Soeurs qui se font agressé et pillé sur les routes!

Il resta encore un long temps recueillit dans le silence en prière pour que soient sauvées toutes les âmes des Habitant de cette ville finissant par le crédo Aristotélicien, puis il se résolu à quitter ce lieu de plénitude pour retourner veiller sur la Foy Aristotelicienne Romaine, se dirigea vers le reste du village, espérant voir des amis, des frères, des soeurs, des fidèles en taverne.

Caoimhim

IL était tôt ce matin là quand Caoimhim arriva dans le cimetière qui entourait l'église de Verdun. Les retrouvailles avec son amour perdu étaient toujours un moment fort en émotions pour lui. Il portait a la main un petit bouquet fait de branches de houx et de gui, le fleurs ne sont pas faciles a trouver en cette saison.

Il se dirigea directement vers la tombe de Kerta et s'agenouilla dans la neige.

Bonjour ma Kerta.. ca fait longtemps que je ne suis plus passé, mais tu ne me quittes pas tu sais... Je ne passe plus guère a Verdun, c'est comme ca.

Aodh est passé à Verdun, je suppose qu'il est venu... Il va très bien, c'est un homme, un vrai maintenant! IL est indépendant, fort, bon, je suis fier de lui.

Moi je vais bien... je me demande ce que tu dois penser de ma vie de là ou tu es... ca n'a rien a voir avec celle que j'imaginais avec toi. Je fais ce que je peux... et je crois que je suis presque heureux, et je ne croyais pas pouvoir l'être dans des conditions telles que celles ci... La vie est bizarre et j'espère ne pas me tromper.

Il resta encore là longuement, a se souvenir de sa belle disparue. Il versa même quelques larmes en se souvenant de sa disparition et de la période noire qui l'avait suivie.

Il déposa son petit bouquet et se releva.

Il passa encore se recueillir sur la tombe des enfants de Catha et déposer une branche de gui pour chacun d'entre eux.

Amael

Citation:

Du Couronnement du Duc de Lorraine, Sa Grâce Ludwig von Frayner

Aux fidèles aristotéliciens du du Duché de Lorraine et du Saint-Empire !

Nous, Amaël von Ried-Reuss, Evêque de Metz par la volonté du Tout-Puissant et la bénédiction du Sa Sainteté le Souverain Pontife Eugène V,

Que le Très-Haut vous garde et que Saint Nicolas vous guide !

Monseigneur Amaël von Ried-Reuss

Ysalis

Bientot La Saint Noel , j'allais partir en voyage je décidai d'aller à l'église pour prier Aristote de me protéger. Je mis ma cape de peau , descendis le chemin qui m'amenait au lieu de prière. arrivée au parvis j'ouvris la porte et entrai...

Le béniter attendais mes doigts, je pris l'eau et me signai. J'avançais sous la voute de Pierre et m'avancai vers l'autel. De ma tete je fis une inclinaison et m'agenouilla. En premier de mes lèvres sortis le Credo

Ensuite mes lèvres murmurèrent une prière, demandant Au Très-Haut de bénir la ville de Verdun d'apporter joie et paix aux habitants pour la Saint Noel et la nouvelle Année Bénie qui se profile déjà à l'horizon. Doucement je me mis entre ses mains pour mon voyage dans Le Royaume Rennaissant , je le remerciais de ses bienfaits pour ma personne.
je me levais et m'approchai de L'autel, là je plaçai quelques fleurs sur la nappe de brocart blanche

Ainsi qu'une chandelle qui veillerai sur les habitants de Verdun

En me tournant je vis un beau sapin de Noel brillant

Mes yeux se portèrent sur une crèche majestueuse

Auprès de celle-ci je laissais à mes amies et amis de Verdun un panier de rotin ou j'ai déposé des douceurs de Noel, enveloppé dans une nappe rouge.

Il était temps d'allez me préparer, je sortis de l'église et repris mon baton pour retourner dans ma demeure préparer mon baluchon

Bonjour Image trop lourde supprimée .
600 pixels de long
400 pixels de haut
Pour un poid total de 400 Ko maxi.
Vous pouvez la remettre à ces dimensions.
Salutations, Bon jeu.
{Oculi_dei}

Satineduval

La jeune damoiselle revint pour la seconde fois en l'église de Verdun pour y achever le travail de nettoyage entrepris il y a quelques jours déjà. Elle était d'autant plus motivée qu'elle avait entendu dire que la paroisse allait reprendre du service bientôt.

Satine s'élança sans plus attendre dans un ballet de balais, virevoltant avec son compagnon imaginaire d'un coin à l'autre de la bâtisse.

En souriant intérieurement, elle s'imaginait déjà au bal de la foire, emportée par une farandolle des plus folles...
La poussière s'élevait dans les rayons blafards du soleil qui filtraient à travers les vitraux, créant ainsi un jeu de lumière scintillant de milles feux.

Aaatchoum!!! ah oui l'allergie à la poussière.... AAatchoumm!!

Satine se frotta le bout du nez, puis s'en alla ouvrir la porte de l'église en grand afin de permettre une bonne aération. L'air qui pénétrait était glacial et mordant, laissant augurer l'arrivée prochaine de la neige.

Frissonnante, la noiraude reprit de plus belle sa tâche. Elle se perdit dans ses pensées et ne vit pas le temps passer à grande vitesse.

Satine arriva enfin au bout de sa peine. Elle s'octroya une courte pause pour calmer son ventre qui criait famine. La jeune femme sortit du pain et une pomme qu'elle croqua à belles dents tout en évaluant la besogne accomplie.

Mouais...il manque quelque chose... dit-elle tout bas.

Une idée germa dans son esprit.

oui... une petite décoration pour rendre le lieu plus accueillant !

Ni une, ni deux, elle sortit rapidement chercher du matériel dans sa roulotte, puis se posta devant l'autel. Elle y disposa harmonieusement du gui et du houx qu'elle avait cueilli en forêt lors de son voyage à Toul.

De même, Satine posa une bougie dont elle alluma la mèche...une lueur pour les âmes égarées...
Elle fit un petit pas en arrière pour regarder d'un oeil critique sa décoration. Finalement, elle trouva tout à son goût; humble, mais fort joli.

Du moment qu'elle était au pied de l'autel, la jolie noiraude fit une courte prière à voix basse:

Très-Haut, pose ton regard bienveillant sur ton peuple le plus pauvre
fait que les voyageurs et les vagabonds soient acceptés dans le coeur des villageois
et non rejetés comme des malpropres, surtout en cette période hivernale des plus dure à vivre...
apprend aux gens le partage et la générosité, illumine leurs coeurs !
Ainsi soit-il...

Rassemblant tout son matériel, Satine songea qu'elle avait eu de la chance en rencontrant sa marraine; celle-ci avait accueilli la vagabonde qu'elle était, avec une grande bonté d'âme. Elle souhaitait vraiment que d'autres comme elle puissent faire une rencontre semblable.
Elle comprenait bien que l'inconnu attirait souvent la méfiance, mais il fallait quand même donner sa chance à tout le monde et tendre un main charitable.

Ellebasi

Allant vers le presbytère elle contourna le chemin et entra dans l'Église allumer un cierge pour tous les villageois .

Entrant lentement elle vit un parchemin ou étais inscrit:

La paroisse de Verdun va retrouver une activité régulière. Les offices dominicales et secondaires seront à nouveau célébrer, par l'évêque de Metz lui-même, afin que les fidèles de Verdun retrouvent Foi et Bonheur sur le chemin de la Vérité et de la Lumière.

Ho ,sa va faire un grand bien à notre village et à ses paroissiens .

Elle trempa sa main dans 'eau bénite et fit le signe de crois et s'installa sur le banc et méditer sur tout se qui avais traverser sa vit depuis ma naissance .

Es je bien agit avec mon prochain .
Aide moi notre père tout puissant à suivre la bonne route et a prendre soins des villageois et villageoises et les enfants .
Protège mon fiancé et les personnes chère à mon coeur mon fils et mon bébé.
Pardon des péchés que j'ai pu commettre par omission

Ella murmura donc sa prière :

Citation:

Très-Haut, protège ton peuple de la famine, de la maladie, de la guerre et des pillards.
Pense aux pauvres âmes égarées et vagabondes, guide-les au mieux.
Que l'amour illumine nos mondes et y disperse joie et entraide, il y a tant à apprendre les uns des autres...
Merci de tendre une oreille bienveillante à ma demande
Qu'il en soit fait selon ta volonté !

Amen et fit le signe de crois à la fin de sa prière .

Elle baissa la tète en retrouvant la paix de l'esprit qui chassa tout doute de mon esprit .
_________________

Amael

Citation:

De la Paroisse de Verdun et du Conseil diocésain de Metz

Aux fidèles aristotéliciens du Diocèse de Metz, du Duché de Lorraine et du Saint-Empire !

Nous, Amaël von Ried-Reuss, Evêque de Metz par la volonté du Tout-Puissant et la bénédiction du Sa Sainteté le Souverain Pontife Eugène V,

Que le Très-Haut vous garde et que Saint Nicolas vous guide !

Monseigneur Amaël von Ried-Reuss

Satineduval

Satine, armée de toutes ses affaires, retourna à l'église en faisant le moins de bruit possible.
Elle déposa balais et brosses dans le coin le plus reculé du bâtiment, puis sortit encore une fois chercher de l'eau au puits.

Elle se sentait bien de pouvoir donner un coup de main afin de rendre l'endroit plus accueillant et surtout changer l'air lourd qui régnait dans l'église. Elle y aurait bien mis quelques fleurs, mais la saison était déjà passée depuis belle lurette, on allait sans doute voir les premiers flocons de neige faire leurs appartition.

La noiraude retroussa ses manches, puis commença par passer un coup de balai près du confessional, là où il n'y avait personne à déranger. Elle y alla avec vigueur, coup de balai part-ci part-là . Elle laverait à grande eau par la suite, mais d'abord prendre la poussière...

Satine s'attela à la besogne tout en fredonnant une petite chanson....elle adorait ça, chantonner en faisant son travail.

Rosana45

Rosana entra dans la belle église puis silencieusement se signa et alla s agenouillé ^pres de l allée centrale .

Elle se mit a prier avec ferveur en commençant par le credo qu elle recita doucement .

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Puis pria pour tous ceux qui souffraient ainsi que pour tout ceux qu elle aimait . E lle avait tant d'espoir en elle et voulait le partager et l apporter à ceux qui se trouvaient dans la tourmente .

Elle resta agenouillé pres d une heure puis se leva et alla s assoir sur un ban pour continuer ses réflexions silencieusement
_________________
Signature trop haute.
Une admin forum

Aby_la_chipie

Elle entra dans l'église pensant y trouver son ami. Il y avait du monde, mais ne reconnut pas sa silhouette imposante dans la foule.

Elle s'assit près de la porte pour surveiller ceux qui allaient entrer. Elle le savait très pieu. Elle l'avait déjà vu prier à Argonne alors qu'elle était cachée dans un coin sombre de l'église, n'ayant plus envie de se nourrir.

Elle regarda Christos sur sa croix, ne sachant pas prier, elle lui adressa un sourire reconnaissant. Christos avait su lui ouvrir les yeux, elle lui devait bien ce sourire.

Satineduval

De bon matin, Satine avait préparé des chiffons, un seau et un balai, puis elle prit le temps de déjeuner un petit quelque chose. Fallait jamais entreprendre des travaux le ventre vide, mais ça c'était son opinion personnelle.

La noiraude partit avec sa petite roulotte pour se rendre à l'église pour y donner un bon coup de balai...la dernière fois qu'elle y avait passé, il y flottait comme une odeur de refermé et elle s'était dit qu'une bonne aération du lieu serait la bienvenue.

Quand elle poussa la porte de l'église, la jeune femme aperçu une dame perdue dans ses pensées. Ne voulant pas déranger une personne en pleine prière, Satine se fit toute discrète et alla s'assoir à un banc dans un coin paisible de l'église. Elle fit une petite prière de son cru car elle ne connaissait pas le credo, elle l'avait entendu quelque fois sans pour autant le retenir...fichue mémoire...une vrai passoire !

En même temps elle se dit que n'importe quelle prière était importante pour autant qu'elle vienne du coeur...

La femme murmura donc sa prière :

Très-Haut, protège ton peuple de la famine, de la maladie, de la guerre et des pillards.
Pense aux pauvres âmes égarées et vagabondes, guide-les au mieux.
Que l'amour illumine nos mondes et y disperse joie et entraide, il y a tant à apprendre les uns des autres...
Merci de tendre une oreille bienveillante à ma demande
Qu'il en soit fait selon ta volonté !

Satine se releva, puis sortit prendre tout son matériel de nettoyage, sans faire de trop de bruit pour ne pas déranger la dame en prière.

Elisette

Enfin le retour à Verdun après des longues semaines d'absence, de longs mois si l'on ne tenait pas compte des rapides passages n'excédant pas une semaine.
Cette fois-là, et si Ersinn le voulait bien, ils resteraient un moment !

Elisette avait milles choses à faire, à voir, à redécouvrir, mais celle qui lui semblait la plus importante l'invita à prendre dès son entrée dans la ville le chemin de l'Eglise, afin de publier les tant attendus bans, qui mèneraient bientôt les deux amoureux devant l'autel...

Ecureuil

Ecureuil avait toujours admiré de loin l'église sans trop s'approcher. Cette fois la curiosité l'emporta et il décida d'entrer. Sans faire attention à l'ameublement intérieur, il fût saisi par la sérénité du lieu. Il s'approche de l'annonce d'un ban et lu
Ah oui...je me souviens d'eux...c'est pour ça qu'ils semblaient tellement heureux
Après une courte pensée pour les fiancés, il s'avance vers une chapelle latérale. Il ne connaissait aucune prière mais s'y risqua
Protège ceux que j'aime, protège les plus malheureux d'entre nous, Amen
Après un moment de méditation, il se lève et s'en va

Satineduval

Un sentiment de tristesse touchait le coeur de Satine en ce froid matin.

La jeune femme traversa le village rapidement pour se rendre à l'église, elle sentait monter en elle l'envie de faire une prière pour une pauvre âme qui se laissait mourir...

Satine entra dans l'édifice, puis se pencha pour faire une révérence devant l'autel. Ce faisant, un petit parchemin s'échappa de son corsage : il s'agissait d'un dessin, d'une magnifique exécution, représentant une plume noire et blanche, entrecroisant sa pointe avec celle d'une épée sertie de pierres précieuses...La plume et l'épée...Splendide...

Satine fronça les sourcils...Ceci était le seul lien avec son passé qu'elle avait oublié suite à l'agression de bandits de grands chemins. Elle ne savait pas si elle avait elle-même exécuté ce dessin ou si on le lui avait offert, mais il devait avoir de l'importance parce que les nonnes qui l'avaient aidée à se remettre d'aplomb avaient trouvé ce dessin sur la noiraude en la déshabillant. Depuis, Satine le portait toujours sur elle, un peu comme un porte-bonheur...Elle plia le feuillet et le remit dans son corsage.

Satine se mit à genoux et pria pour son ami qui ne donnait plus signe de vie, malgré ses pigeons envoyés pour le retrouver en taverne. Sans doute bouffés par les renards, les pauvres pigeons !

Très-Haut, veille sur ceux que j'aime ...je m'en remets à ta volonté, fais ce que tu penses être juste, mais s'il meure, il restera toujours gravé dans mon coeur...

Ils avaient partagés peu de temps ensembles, mais ces moments-là l'avaient touchée plus que de raison...Satine se releva, une larme perlait au bord de ses cils... Elle lui avait dit de manger de la soupe, peut-être une pomme aurait fait l'affaire..

Une vrai tête de mule...je lui avais dit que les pommes c'est bon pour la santé !bougonna-t-elle.

La jolie noiraude sortit de l'église, désorientée quand à ce qu'elle devait faire... S'en remettre au destin sans doute...

Satineduval

Satisfaite ! Ben oui, Satine s'en revenait de son périple toute guillerette d'avoir bien vendu ses plantes et autres herbages. Le temps avait été plutôt clément, les gens accueillants et elle avait même réussi quelques parties de cache-cache avec les jeunes novices du couvent.
Bon, la Mère Supérieure avait bien poussé une gueulante, mais elle ne restait jamais longtemps fâchée contre Satine, sa petite protégée.

Elle arrivait en vue de Verdun, mais avant de prendre des nouvelles de sa marraine Ellebasi, elle avait promis de faire halte à l'église du village pour une prière de remerciements.

Un sourire flottant sur ses lèvres, elle essaya d'arrêter son convoi devant le bel édifice, mais Fauche le cheval ne l'entendait pas de la même oreille : la jeune femme fit trois fois le tour de la bâtisse avant que la bête ne comprenne ce que l'on attendait d'elle…
Le sourire se transforma en soupir d'exaspération, la jeune femme pesta contre la vieille carne, se dit que tout ce tintouin ressemblait à un rituel sorcier vu de l'extérieur, maudit encore une fois l'animal, puis mis enfin pied à terre.

Dès son entrée dans l'église, Satine sentit une odeur de vieilles pierres humides lui monter au nez et elle laissa la porte grande ouverte pour aérer la moindre. Il semblait que le temps avait suspendu son vol dans la demeure du Très-Haut, il y régnait comme un sentiment de vide, d'abandon…
La noiraude posa ses yeux bleus sur l'autel, constata que celui-ci n'avait plus servi depuis un bon moment à en juger l'épaisseur de la poussière. Elle se dit qu'elle viendrait un jour donner un coup de balai, mais pas à présent, elle était là pour prier.

S'agenouillant, elle leva le regard vers les vitraux et murmura avec conviction :

Merci d'avoir gardé un œil bienveillant sur ton enfant pendant tout ce temps
Accorde ta protection aussi à ceux qui me sont chers
Préserve mon village des maladies, de la famine, de la guerre et des pillards
Qu'il en soit fait selon ta volonté !

Satine resta perdue dans ses pensées encore un moment puis se releva mais ne sortit pas tout de suite de l'église, elle avait envie d'en découvrir tous les recoins, admirant la haute voûte et les arcades…

Lavania

Il y avait de cela trop longtemps qu'elle n'était partie de chez elle. Trop de temps elle avait passé chez les nonnes et pourtant, elle se rendait à l'église, comme quoi elle n'avait pas assez prié durant sa retraite.

Elle tenait dans ses bras, la petite dernière née et les trois autres suivaient en marchand derrière leur mère. Tous trois bavardant gaiement, de tout et de rien.

L'innocence de l'enfance... se disait leur mère tout en avançant à pas lent vers l'église de Verdun.

Ils entrèrent tous les cinq dans l'église, les petits cessant de parler à la demande de leur mère, tandis qu'ils s'avançaient vers l'avant de l'église.

Lavania aida Prunille à s'asseoir sur le banc tandis que Ike et Elendra, maintenant devenu grand le faisait d'eux-même.

Elle commença par réciter le crédo, le murmurant tout bas afin que ses enfants répète avec elle.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Elle pria ensuite un moment, en silence avant de se lever et de quitter l'église en compagnie de ses enfants.

Wielstadt

Wielstadt entra dans l'église; tout était calme, il n'y avais encore personne.
faisant le tour du lieu saint, Wielstadt s'apperçut que la poussière commençait à gagner du terrain sur toutes choses.
Prenant une pièce d'étoffe, il n'étoyat un banc et prit place.
pour passer le temps, il commança à réciter le crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Munella

Munie avait besoin de se retrouver dans le lieu saint. L Eglise de Verdun était de toute beautée elle y entra et alla s'installer à genoux, les mains jointe puis se mis a réciter le Crédo en murmurant .

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Munie pria pour sa famille , pour son père qu elle venait de retrouver , pour sa mère qui était malade et qu elle voulait revoir , pour l homme qui était dans son coeur , pour ses amis , pour Verdun et toute la Lorraine .

Elle resta la longtemp plongée dans ses priers pour chacun .

_________________

Munella

Dans ce lieu saint , le silence regnait, tout était illuminé par les rayons de soleil qui traversaient les vitraux multicolors. Munie priait . Elle était concentré par ses pensées , elle avait besoin de prier pour tout ceux qu elle aimait , pour sa famille qu elle ne connaisait pas encore et pour ceux qu elle avait apprit a connaitre.

Elle pria pour Verdun et la Lorraine , duché qu elle affectionnait tout particulierement. Depuis peu , elle était tavernier de la taverne municipale et elle prennait cette tache trés a coeur .

Elle avait voyagé et voulait maintenant trouver sa place et s impliquer à Verdun. Beaucoup d'habitant étaient parti et d'autre s'étaient éloigné pour un certain temp.

Il fallait maintenant trouver la force et le courage de trouver des solutions et de les appliquer pour retrouver la vie en cette ville formidable.

Elle resta dans l'église a réflechir durant quelques heures . Le temp passait sans qu elle ne s en apperçoive .

_________________

Zeiss

Zeiss avait accepter d'accompagner sa femme à l'église.Celle-ci ne lui avait pas dis pourquoi elle souhaitait se rendre en ce lieu religieux,mais le jeune homme se doutait bien des raisons qui l'amenaient à venir prier.

Ainsi,ils arrivèrent,lui,Lavania,et Elendra,main dans la main,dans silence quelque peu oppressant.Mais quoi de plus normal dans cette situation?Le mieux était d'avancer sans rien dire.Même la petite fille,elle qui d'habitude était plutôt bavarde,s'était appliquée à cette "règle".

Ils entrèrent tout trois dans le bâtiment.Le visage de Zeis était inexpressif,seuls ses yeux montraient de la tristesse,peut-être étaient-ils un peu rougis,aussi...

Zeiss s'agenouilla avec sa femme et sa fille,et se mit à prier.D'abord pour Spb,un ami qu'il n'avait pas vu depuis longtemps,et que malheureusement il n'avait pas eu le temps de revoir.

Puis il pria pour Lavania.Il pria avec ferveur,comme il ne l'avait jamais fait avant,il pria pour qu'une solution existe,il pria le Très Haut,Christos,Aristote,et même tout les anges dont il se rappelait le nom.Il priait pour que la vie lui épargne cette insupportable épreuve qui se préparait.Il priait,mais paradoxalement,il avait aussi envie de maudire le ciel pour ce qu'il leur faisait subir.
_________________

Caoimhim

Caoimhim arriva au cimetière dans l'après-midi. Il avait emporté de quoi nettoyer la pierre tombale de Kerta, brosse, seau, eau, savon.. Il se dirigea directement vers la tombe et fut surpris de la trouver parfaitement entretenue.

Il déposa donc son matériel avant de s'agenouiller a coté de la pierre tombale, y déposant le bouquet de fleurs d'aubépines qu'il avait amené.

Bonjour ma Kerta, je suis désolé de ne plus venir aussi souvent mais tu sais que j'ai déménagé de Verdun et que j'habite a Epinal maintenant, mais tu sais tout ca... Je vois que quelqu'un prend soin de toi, j'en suis heureux. J'en ai des choses a te raconter, les plus belles et les pires... je ne suis toujours pas plus malin tu sais. Heureusement que tu es là et que tu veilles sur moi... Qu'est-ce que ce serait...

Aodh va bien, mais il se plait un peu trop chez les moines a mon gout, j'ai l'impression qu'il pense a entrer dans les ordres. Si c'est son choix et que c'est là qu'il trouve son bonheur, je ne m'y opposerai pas.

Caoimhim continua longuement a lui parler, lui expliquant sa vie, son mariage, la naissance de ses derniers enfants... et les tempêtes qu'il traversait.

Il lui demanda enfin d'aider les gens qu'il aimait et qui souffraient... sa femme, ses enfants et ses amis avec en pensé particulière pour certain d'entre eux.

Il resta encore là, juste là sans plus rien dire, envahi par une par une immense tristesse, se rappelant celle qui avait été son premier amour. Un amour absolu, un amour qui ne mourrait jamais... même s'il avait laissé la place a d'autres, tout aussi forts bien que tous différents.

Il fini par essuyer ses larmes et se relever. Il resta encore un peu debout devant la tombe promettant à Kerta de revenir, de ne pas l'oublier et de ne jamais cesser de l'aimer.

Il passa ensuite prier sur la tombe de Théo et sur celle d'autres amis a lui qui étaient tous enterrés dans ce petit cimetière... Mc, Aza, Pierre,... et fini par passer sur la tombe des enfants de Catha.

Il fini par entrer dans la petite église mais apercu Zeiss, Lava et Elendra a genoux devant l'autel et il préféra s'éclipser discrètement, les laissant en famille.

Domi2309

Le dimanche était là, le grand jour pour l'office et Domi s'y présenta.
vétu de son costume de Capitaine Episcopal, il se devait de donner l'exemple.
C'est donc ainsi vétu qu'il rejoignit l'Eglise au son du tocsin.
Il y avait déjà foule et il dut se frayer un chemin, il se signa et s'agenouilla humblement, une fois, l'huis passé.

Il se glissa vers un strapontin et attendit le début de l'office.
Il reconnut quelques têtes, ça et là, il les saluât d'un opinement du chef ou d'un clignement de l'oeil.
Enfin, la cérémonie débuta et il put se recueillir en écoutant les paroles tirées du livre de la vertu.

Allessia

Ëlisées, entra et alla s'installer à genoux Les mains jointe puis se mis a réciter le Crédo tout bas..

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Cathaschtroumpf

Après être passée au cimetière pour apporter quelques fleurs sur la tombe de ses enfants, la jeune femme se précipita dans la petite église. Elle entra les larmes coulant sans jamais s'interrompre sur ses joues. Catha alla se signer devant l'autel et se mit à prier pour tous les enfants a qui elle avait donné naissance, et plus particulièrement pour deux d'entre eux qui lui avaient été enlevés. A peine quelques heures au avant il lui restait trois enfants, et maintenant encore un lui avait été retiré. La jeune femme se refermait de plus en plus sur elle même et devenait de plus en plus cruelle. Sa vie entière n'avait été que malheur sur catastrophe. On lui avait reproché d'etre devenue sanguinaire depuis la mort de son oncle qu'elle aimait particulièrement. Aujourd'hui elle se rendait compte que la petre de Einar allait la transformer définitivement. La jeune femme pria pour que ses enfants soient heureux ou qu'ils soient et qu'ils ne manque de rien et surtout pas d'amour. Elle se releva et rentra chez son époux.

Lavania

Lavania avait appris, le décès d'un de ses amis. Quelqu'un qui lui avait été cher et qui était le parrain de sa fille aînée. C,était l'une des raisons qui la menait à l'église en ce 15 mai, veille de la fête de la petite fille qu'elle tenait par la main.

La seconde raison était plus personnelle, quoi qu'ayant un certains lien avec sa présence à l'église de Verdun. C'était la raison pour laquelle elle avait demandé à son mari s'il voulait l'accompagner.

Alors qu'elle montait les marches en tenant la main de son mari, elle n'arrêtait de penser à une solution à ce qui pourrait arriver, une façon de changer le cours des choses...

Mais elle ne voyait d'autres moyens que de prier. Elle avait encore les yeux bouffis d'avoir tant pleuré, d'avoir tant prié ne trouvant pas le sommeil. Elle était silencieuse, tout comme sa fille qui devait ressentir le poids du chagrin de ses parents, elle qui trouvait toujours un mot à dire lorsque sa maman semblait triste. Cette fois, c'était différent...

La jeune femme serrait la main de son mari, comme si on tentait de l'arracher à lui.

Elle poussa les portes de l'église et montra à sa fille comment se signer, avant de s'avancer dans l'allée.

Elle s'agenouilla devant l'autel prenant une grande respiration.

Si tu veux dire au revoir à parrain Spb ma puce... c'est le temps... Lui dit-elle doucement, avant de fermer les yeux et de se mettre à prier, pour le parrain de sa fille d'abord, puis pour son mari ensuite.

Majoie

Majoie sourit en voyant la Diaconnesse en grande conversation avec elle-même et aurait bien donné 100 écus pour ses pensées qu'elle devinait tordantes ...elle chassa ses pensées joyeuses et récita:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Lavania

Lavania se réveilla en plein milieu de la nuit. Tout était silencieux... Elle entendait le souffle de son mari près d'elle et sourit, se libérant de son bras autour d'elle pour se lever et enfiler ses chausses.

Elle était réveillée depuis un bon moment et réfléchissait à toute sorte de choses, lorsque l'envie soudaine lui pris d'aller à l'église! Il y avait quelque chose qu'elle devait faire absolument!

Elle se dépêcha donc d'enfiler des braies et une chemise par dessus sa robe de nuit, sortant à pas de loups, passant devant la chambre de ses enfants qui dormaient profondément.

Elle se dirigea ensuite à pas rapides vers l'église et y entra silencieusement, se signa et s'avança devant l'autel.

Après avoir adresser une courte prière, elle murmura:

Merci... Merci de me l'avoir ramener... De m'avoir donné la force de l'attendre tout ce temps...

Merci... dit-elle doucement en se relevant et se dirigeant vers la porte.

Le jour allait bientôt se lever et elle devait dormir, une grosse journée à la mairie l'attendrais encore demain, fort probablement.

Lavania

Lavania regarda ses trois petits enfants qu'elle trouvait tout aussi adorable les uns que les autres, surtout lorsqu'il ne décidaient pas de transformer la maison en champs de bataille.

Suivant ses deux petits anges cornus qui avaient choisis un banc, elle se rappella qu'elle devrait trouver quelqu'un qui accepterait de confectionner l'uniforme de l'équipe de soule avant son premier match. Puisque la jeune femme avait réussit non seulement à remonter l'équipe presque dans son entier, mais aussi à apporter quelque nouveauté à celle-ci et grâce à l'initiative qu'elle avait pris d'inviter le responsable de la Soule dans les bureau du CCL, elle avait reçu la proposition d'un match les opposant à Toul.

Surprenant n'est-ce pas, comme deux personnes qui se connaissent à peine peuvent penser, à un intervalle de temps si court, à pratiquement la même chose? Il y a de ces coïncidences en ce bas monde!

Un petit coup de main au petit Ike qui du haut de ses trois pommes avait un peu de difficulté à escalader les hauts bancs d'église, alors que sa grande soeur y arrivait en s'aidant des braies de ses voisins habituellement depuis l'âge de deux ans.

Une fois toute la famille assise, la messe commença, débutant comme toujours par la prière du pardon.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. commenca-t-elle alors que Prunille se mis à tirer sur les cheveux de sa maman, qui en souriant, attrapa la main de la petite et fit mine de la manger en murmurant.

Hep hep hep ma cocotte! Tention! Maman va te manger si tu continues!!! Elle termina cette phrase, ma foi! Pleine d'amour en posant tous pleins de baiser sur le bedon de sa fillette, la chatouillant par le fait même. La petite laissant échapper un rire qui résonna un peu trop fort dans l'église et qui ramena la jeune mère à l'ordre.

.... Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés. Finit-elle par rattraper alors qu'elle tenait la main de la petite Prunille qui ne pouvait rester tranquille deux secondes. Qu'est-ce que ce serait plus tard ce petit paquet de nerfs? Seul l'avenir le lui dirait...

Elle entendit alors Elendra dire: AAAAmen.... ce qui arracha un petit sourire à sa mère. Même pas trois ans et pourtant!

Rozenn.

Ah... C'bien c'qui lui semblait que y'avait pas trois gamins la dernière fois.
Par contre, y'avait juste un hic dans la proposition d'la mairesse, c'est qu'la dernière fois qu'elle avait tenté d'animer un peu Verdun, elle s'était joliment faire rembarrée par la dite mairesse.
Qui d'ailleurs en parlant de ça, n'avait toujours rien faire pour la soule verdunoise !

Bref passons.....
C'était pas le sujet, pis ça l'intéressait pu la soule, l'avait bien d'autres chats à fouetter la Mellyssa.

Elle vit arriver Majoie et retroussa le nez après lui avoir rendu son signe de tête.
Puis, elle entendit l'Evêque dire un truc du genre "bon euh, et si on allait dedans histoire de voir ma chère et unique diaconesse se vautrer ?" (ah il a pas dit tout ça ? J'aurais cru pourtant héhéhéhéhé !)

-Ja ! Allons y !

Un peu d'allemand au sein de l'Empire, ça faisait pas d'mal, et s'engouffra dans l'église après s'être croisée (du verbe "faire une croix" toujours hein) et fila derrière son autel d'amouuuuur.

Elle attendit que tout le monde... du moins... Trois pelés, un tondu et Monseigneur, soit rentré avant d'écarter les bras pour dire, pas encore tout à fait habitée entièrement pas le petit esprit (ça se remarque vite quand il est pas entièrement là... Y'a l'humour vaseux made in Melly qu'est encore de mise...)

-Chères Soeurs, Cher Frère, Monseigneur, nous sommes ici réunis afin de fêter la Sainte Pâque. Je m'excuse d'ailleurs si vous m'attendiez devant la porte de l'église hier au matin, j'étais entrain de peindre les oeufs, afin de les avoir secs pour ce jour. Je crains que vous n'en ayez assez pour faire une omelette pour quinze jours, j'avais ma foi prévu de voir un peu plus de monde.....

C'était vachement marrant de peindre des n'oeufs... Surtout quand on en achète 50 au marché, qu'on arrive avec 42 à la maison parce que y'en a 8 qui se son jetés délibérément du panier (oui... des oeufs dépressifs qui voulaient en finir avec la vie très certainement), qu'on ne réussit à en peindre que 36, les pauvres ayant été malencontreusement pris avec un peu trop de force et ayant terminé sur les jupons de la diaconesse.
Tout ça pour arriver avec 29 oeufs dans l'église, 7 autres ayant préférer mourir éclatés sur la route que d'être vus dans un état pareil (ben ouais, elle pensait pas que tous les oeufs seraient pas consentants à ce qu'elle les peigne, du moins, elle avait pas prévu qu'ils s'en suicideraient !)

-Tout d'abord, afin de nous laver de tous nos péchés, récitons ensemble la Prière du Pardon.

-Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
_________________

Graoully

L'abbé sourit devant les trois enfants qu'on lui présentait. A la plus téméraire, il lui rendit son sourire.

Bonjour grande fille !

Le deuxième alla se cacher dans les jupons de sa mère.

Bonjour mon grand !

Quant à la troisième, l'abbé alla lui caresser la joue.

Bonjour toi !

S'adressant à la mère, ayant écouté plus ou moins ses paroles pendant qu'il saluait les enfants, il continua.

Vos enfants sont tout à fait adorables !

Essayant de comprendre ce que la femme lui a dit pendant qu'il n'écoutait qu'à moitié.

Excellente votre idée ! Je suis tout à fait ouvert à cette proposition.
Je serai ravi d'en parler avec vous deux, mais peut-être après la messe, que nous pourrions commencer ? Ainsi, vos enfants pourrons jouer ailleurs que dans l'église quand nous discuterons, et pourront profiter du beau soleil à la sortie si celui-là veut bien rester.

Majoie

Majoie arriva à l'église en retard ce qui n'était pas dans sa nature mais elle avait pour principe de n'avoir jamais de rendez-vous précis avec son Créateur elle venait à sa rencontre selon ses besoins car il pouvait être pénible ce monde parfois pensa-t-elle

Elle vit la nouvelle maîresse Lavania accompagnée de ses enfants qui discutait avec la diaconnesse Melly et les salua d'un bref hochement de tête...elle vit aussi ce qui lui semblait être un evêque du moins il en avait les habits....elle le salua discrètement en s'approchant du bénitier et y tremper le bouts des doigts et se signa.

Ses occupations politiques et ses diverses autres occupations lui avait prit beaucoup de temps dernièrement mais maintenant elle pouvait se permettre une petite pause en venant écouter la messe de Melly....

Pourquoi pas Seigneur!!! j'ai toujours aimé Melly moi... je la trouve colorée et j'adore sa façon de faire toute particulière à elle....j'ai été très contente de mon baptême et m'y suis même amusée alors pourquoi ne pas rester ici et l'écouter...de plus...

...Seigneur c'est pas un reproche la mais ca fait un méchant bail que l'Église de Verdun est désertée...à cause de qui...hein??? faut pas s'attendre à ce que la donzelle soit fidèle si le galant n'est jamais au rendez-vous pas vrai???

Bon trèves de mondanités Seigneur je vous laisse vos choix comme j'ai les miens...

Majoie avisa un banc plutôt potable et alla s'y asseoir en attendant que la diaconnesse Melly commence sa liturgie.

Lavania

Lavania sourit en entendant la remarque de la diaconesse.

Je sais pas c'est quand la dernière fois que je suis venue, mais c'est fort possible que la dernière fois ils étaient pas trois... dit-elle en regardant la petite Prunille.

Elle vit ensuite arriver l'évêque, qui la salua. Après qu'il se fut présenté, elle en fit de même.

Bonjour, enchantée de vous rencontrer, j'avais entendu parler d'un nouvel évêque, cependant je n'avais pu vous rencontrer. Je m'appelle Lavania et ce sont mes enfants, Elendra, Ike et Prunille. dit-elle en posant une main maternelle sur leur tête, alors qu'elle nommait leur nom, sa petite fille de deux ans, presque 3, son petit garçon d'un an et demi et sa benjamine âgée quelques mois seulement.

Enchantée de vous rencontrer, ajouta-t-elle. On dit bonjour à Monseigneur de la Louveterie mes trésors?

La petite Elendra qui aimait bien rencontrer de nouvelle personne, leva les yeux vers l'évêque et avec son beau sourire d'enfant, dit joyeusement.

- Bonjouhe!

Le petite Ike quant à lui, était un peu plus timide que sa soeur. Il se rapprocha donc des jupes de sa mère en faisant un petit sourire qu'il s'empressa de cacher dès qu'il eut l'impression que l'évêque le regardait.

Prunille, encore trop petite pour comprendre, venait de mettre son pouce dans sa bouche, posant son autre bras sur l'épaule de sa maman. Bien installée la petite blondinette!

Lavania entendit par la suite des brides de conversations entre la diaconesse et l'évêque. Il discutait d'un sujet qui ma foi... ne la laissait pas indifférente...

Si je puis me permettre... J'ai déjà remarqué le phénomène... Je suis conseillère à l'animation depuis un bon moment déjà... Et les Verdunois... Ça en prend pas mal pour les faire bouger... Et... Pas que les verdunois... Les Lorrain aussi en général... dit-elle alors qu'elle avait laissé ses deux enfants allaient choisir une place dans l'église.

Peut-être que... Je ne sais pas si ça vous intéresserait, mais... Peut-être qu'on pourrait s'entraider... Je sais pas, peut-être qu'à deux on y arriverait plus... Ça vaudrait peut-être la peine d'essayer... Qu'est-ce que vous en dites? demanda-t-elle, en enlevant la petite main qui tirait ses cheveux.

Graoully

Dans sa soutane verte, et dans un tenue simple mais marquant sa fonction d'évêque, l'abbé arriva devant l'église où le diacre allait célébrer la messe. Il s'approcha de celle-ci, qui venait d'être rejointe par un dame avec de jeunes enfants. Il sourit.

Bonjour mes enfants ! Je suis ravi de venir assister à une de vos messes ma fille.

Se tournant vers Lavania et ses enfants.

Quant à vous, il ne semble point vous connaître, vous et vos enfants j'imagine. Je suis Monseigneur de la Louveterie, le nouvel évêque. Je suis tout nouvellement arrivé en Lorraine, mais sachez que j'y suis né dans le manoir de feus mes parents, près de Metz. Ainsi, je suis tout, de même un enfant du pays. L'évêque messin d'alors a fait beaucoup de choses pour moi, voilà pourquoi je suis très honoré d'être à sa place désormais.

Rozenn.

Hé beh.... Comme d'habitude, y'aurait... Lavania à la messe. Ca changeait de d'habitude tiens !
Elle se demandait même si elle avait déjà vu quelqu'un d'autre dans cette Eglise pour une messe.
Sa frangine une fois.... Forcée d'y aller, le Frère Uriel..

-Bonjour Soeur Lavania... Hé beh... Z'avez encore plus d'enfants que la dernière fois où j'me fais des idées.. ?

Oh fion ! L'évêque !
C'était l'inconvénient d'avoir qu'une seule paroisse dans le Diocèse, c'est qu'elle était forcément dans le même village que son évêque. Ce qui fait qu'elle le verrait probablement souvent, n'ayant donc qu'une seule église dans le Diocèse de Metz.
Pffff.... Tu parles d'un coup de cul d'être tomber sur le seul diocèse du royaume avec un seul clerc dedans...
Ah ? Je m'égare ?

-Bonjour Monseigneur ! J'suis contente de faire une messe d'vant vous et.... Dame Lavania. Comme d'hab' y'aura qu'elle sur les bancs.... Ca m'bouffe le désintérêt des Verdunois quomême ! Pis j'sais même pas quoi faure pour qui viennent, c'pas dur pourtant.. Vu l'heure en plus..

Il était pas foncièrement tôt..... Les gens y dormaient pas encore quand même ! Ce serait abusé de dormir encore plus que la Diaconesse !
_________________

Lavania

Lavania avait entendu les cloches de l'église sonner alors qu'elle finissait de rédiger un petit courrier pour les habitants de Verdun. Et c'est à ce moment qu'elle se rendit compte que...

Wouha! C'est trop génial être maire!! dit-elle tout haut alors que le dernier pigeon contenant un petit courrier dont elle était fière partait.

Bon... ajouta-t-elle en se levant jetant un coup d'oeil par la fenêtre qu'elle avait laissé ouverte pour entendre ses deux enfants qui jouaient dehors, tandis que sa benjamine faisait un petit roupillon dans le fauteuil du maire.

Elle sourit en la regardant, s'approchant doucement puis s'assoyant sur le bord du fauteuil.

Prunille... ma belle... On va aller faire un petit tour à l'église... Réveille toi ma puce... dit-elle doucement en caressant ses cheveux, tandis qu'elle entendait les exclamations d'Elendra et d'Ike.

Alors que la petite ouvrait les yeux, sa mère la pris doucement dans ses bras, tandis que la petite toute endormie posait sa tête sur l'épaule de sa maman.

Doucement, elle sortie du bureau du maire et alla chercher ses deux plus vieux dehors, un peu découragée en les voyant couvert de terre. Mais bon, elle n'avait pas le temps de les changer.

Tant pi, je leur apporterai d'autre vêtement pour la prochaine fois, si dit-elle.

Ike, Elendra... on va à l'église mes cocos... dit-elle doucement alors que Prunille commençait à peine à se réveiller.

Et c'est donc avec une petite fille toute endormie, une grande fille et un grand garçon les genoux et les mains pleins de terre que la jeune femme monta les marches de l'église, sommes toute de fort bonne humeur.

Mais un instant...

La jeune femme tourna les yeux vers ses enfants et remarqua leurs mains pour la première fois. Aussitôt, elle s'arrêta et s'accroupi, retenant Punille avec une main en l'appuyant sur son genoux.

Venez ici mes amours dit-elle doucement en sortant son mouchoir. Alors que les petits accouraient croyant qu'elle allait leur donner des petits bonbons. He bien non! Les bonbons c'est pour les enfants aux mains propres!

On va laver vos mains hein... Parce que sinon la diaconesse elle vous laissera pas entrer dit gentiment leur maman en essuyant la petite terre sur leur nez en y posant un bisou une fois tout propre et en essayant leurs mains.

Les deux petits monstres n,était pas d'une propreté impeccable, mais au moins il ne salirait pas tout ce qu'ils toucheraient se disait-elle.

Bon! On y va! Maintenant que vous êtes beaux comme des coeurs! Dit-elle en souriant se relevant doucement alors que Prunille se frottait les yeux.

Bonjour Mellysa, dit-elle poliment à la diaconesse près de la porte. Elle remarqua alors que ses enfants ne serait pas les seuls à ne pas être impeccable en ce jour de Pâques, ce qui la fit sourire.

Désolée pour le retard... ajouta-t-elle en entrant dans l'église.

Rozenn.

[Promis, demain y'aura une messe

]

Allez au boulot, à force de rester à l'Archidiocèse, elle ne venait même plus à l'église de Verdun, qui était pourtant son église.

Elle posa un truc sur la porte.

Pis elle repartit, fallait aller le mettre partout ce truc là...
_________________

Rozenn.

[En fait demain la Messe... Pour la Pâque

]

_________________

Rozenn.

Mouahahahaha.... Elle était encore en retard. C'est quand même dingue ça de pas arriver à joindre les deux bouts même au niveau du temps !
Décidément, elle aurait pas dû rester au chevet de sa frangine des heures durant, des semaines durant, sans pratiquement fermé l'oeil.
Vous imaginez un peu ?
Ne pas fermé l'oeil pendant trois semaines de temps ?!
Premièrement, vous devez vous demander comment elle a fait, et deuxième vous devez vous dire que cette diaconesse est tout bonnement une grosse tarée dans sa tête.
Ben pour vous répondre, c'est une grosse tarée dans sa tête ! Ce qui répond donc à la première interrogation...

Donc alors ! Aujourd'hui, c'était la messe de Pâque, aujourd'hui donc elle avait prévu de donner des jolis n'oeufs bien décorés à la sortie de la messe.
Hé ouais ! Hier, la Brune elle a passé sa journée à peindre des oeufs pour ses fidèles.
N'est-ce pas qu'elle est attentionnée hein ?

Et pourtant, malgré cette bonne attention, ça sentait la catastrophe à 100 lieues à la ronde.
On connait tous Melly, on sait donc tous qu'elle est d'une délicatesse sans égal.....

En tout cas, pour l'instant, pas de casse ! Et ça... Si c'était pas un miracle mes amis, j'sais pas c'que c'est !

Elle entra rapidement dans la bâtisse afin de préparer un peu son office. Elle prit soin de déposer ses jolis oeufs joliment décorés à côté de l'autel et couru sonner les cloches.

DOoOOOooooOOOOOoooonG ! DOoOOOooOOOoooOOOooooOOOng ! DooooooooooooOOoOOOOooooOOOONg ! DOOOOOOOoooOOOoooooOOOooNG !

Oui, que quatre... C'est super fatiguer de sonner les cloches quand on fait 5 pieds de haut.
Et hop !
Elle redescendit les escaliers en toute vitesse... Trop vite même... Que rendue dix marches avant la fin, vous savez là où on se dit "oh ouais, j'suis bientôt arrivée, plus rien peut m'arriver !"
Ben en fait si.........
Robe toujours trop longue oblige, à force d'empressement, elle se prit les pattes dedans et..... (oh ouais, j'ai envie de vous faire la scène au ralenti.)

Le premier pied se prend dans la robe, il est trop tard, la vitesse est trop forte.
Le deuxième pied se prend donc inévitablement dans la robe, la chute est imminente.
Dans la tête de la brune on peut entendre "Rhooooooo j'vais encore me gauffreeeeer !"
On peut entendre aussi "Naaaaaaah j'vais encore faire un trou dans ma robe ! Fion !"
Un réflexe...
Les deux bras vinrent au niveau du visage de la brune, histoire de conserver le peu de neuronnes qu'elle avait encore après toutes ces chutes.
En bas ?
On retrouve une petite boule toute poussiéreuse....
La seule chose que l'on réussis à obtenir de la Melly après cette vertigineuse chute de dix marches !

-Va vraiment falloir que j'fasse la poussière de c't'Eglise, c'est crade !

Même pas mal héhé !
Un peu plus tard, c'est une Melly pleine de poussière et les cheveux en bataille qu'on retrouve devant la porte, pour accueillir les fidèles.
_________________

Gaudefroy

seigneurbaz alla pour la premeir fois as cette eglise en découvrant que que celle de toul est pas mieu en effete mais puis que je suis ici as me la monter sur moi meme je vous prie mon dieu de me rendre plien de garce comme marie
puis il s en alla se pensa a sa maraine qu il amie merci mon dieu pour l avoir placer sur mon cheamin elle ma apporter beaucoups
il tourna les talon et s en alla en courant

Munella

Munella entra et alla s installer a genoux Les mains jointe près du visage puis se mis a réciter le Crédo dans un murmure..

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN
_________________

Mun

Peut de monde se présentait ne sachant si il devait partir ou attendre puis Mun vit une Jeune damoiselle monter les marches. Un regard échangé à peine visible. Un frisson lui parcouru le dos comme si il ressentait les mains de son aimée connaissant ses faiblesses corporelles.
Secouant un peu les épaules comme pour chasser cette agréable sensation et aussi incompréhensible.
Le Vice Dominus Vétéranus tourna la tête un instant la voyant entrer dans l’Eglise.
Seule paroissienne de Verdun qui venait en ces lieux.
Rapidement Mun retrouva ses esprits.
Son regard fut à nouveau lointain posant sa main sur son épée de Vidame.

Healman0

fdfdf

Majoie

Majoie regarda le pauvre homme se sauver...haussa les épaules ....on ne peut aider que lorsque l'on veut être aidé....se dit-elle en regardant une dernière fois Son Créateur et l'avisant de ses derniers besoins...

Mun

Aucunes cloches ce dimanche.
Mun se dirigea vers l’église de sa ville étant revenu en ses terres.
Poussant quelques détritus qui encombraient les marches.
Se retourna vers la place attendant les fidèles.

Munella

Munella arriva devant les marche de l 'Eglise et vit l homme qui se tenait seul . Elle ressenti un pincement au coeur sans savoir pourquoi .

Elle entra dans la grande et belle église , s installa a genoux pour prier ............

Elle en avait grand besoin .........

Bjorn_le_fou

Le vagabond se retourna d’un bond en entendant une voix derrière lui. Une femme ! Ecarquillant ses yeux injectés de sang, il la dévisagea de haut en bas ne semblant même pas comprendre ce qu’elle pouvait lui dire. Le pouilleux recula d’un pas lorsqu’il la vit mettre la main dans un sac puis recula à nouveau d’un autre pas en la voyant lui tendre un morceau de pain. Il renifla la chose qu’elle lui proposait, elle avait l’air honnête et ne semblait pas vouloir l’empoissonner. Il s’approcha alors à nouveau pour se saisir de ses mains sales le morceau de pain dans lequel il enfonça ses dents cariées. Lorsqu’on lui parle d’eau et de nettoyage et qu’elle lui toucha la main, il afficha une grimace puis réagit enfin …

- Pas l’eau … Pas l’eau … J’aime pas l’eau …

Sans demander son reste, il s’enfuit en courant de l’église laissant la charitable dame derrière lui …

Majoie

Voyant que le vagabond ne répondait pas à ces questions Majoie lui prit la main pour le faire sortir de sa torpeur...

Alors Sire venez-vous?

Bjorn_le_fou

Non loin du parvis de l’église, une tête ronde et lisse comme une balle de … euh … soule, dépassait d’un tonneau dans lequel une personne semblait avoir élu domicile. Le vagabond regardait tout autour de lui d’un air visiblement décontenancé. Depuis le début de la matinée, il n’avait pas vu la moindre personne rentrer la Maison du Très Haut ! Les hérétiques ! Entre deux jurons, l’étrange individu sorti de son tonneau pour se diriger vers les portes de l’église de Verdun dans laquelle il s’engouffra.

Après avoir traversé la nef d’un pas plus que rapide, il se laissa tomber à genou devant l’autel.

- Ô Très- Haut ! Pourquoi cet édifice était il vide ! Ils t’ont tous oubliés (En désignant la porte) ! Mais pas moi Tout Puissant ! (Tic nerveux de l’épaule) Malgré mes poux et mon estomac vide je prie tous les jours ! Mais pourquoi remplis-tu les ventres de ceux qui ne viennent pas te voir ?! Pourquoi ?!! Qu’ai-je fais Ô Très Haut ? Mais je suis l’instrument de ta volonté …

Majoie

Majoie vit un homme pauvrement vêtu entrer dans l'Église et prier...il semblait épuisé et cherchait visiblement du réconfort...comme elle s'apprêtait à quitter son banc pour l'acceuillir... le vit quitter l'Église

Zut j'aurait dû faire plus vite....chuchota-t-elle en se rassoyant.

Majoie entendit la porte de l'église claquer derrière elle et un homme visiblement sale, affamé et surtout un peu mélangé...il déclamait au Très Haut des phrases incompréhensibles d'où elle était...elle s'approcha lentement de lui pour ne pas l'effrayer et lui dit doucement...

Mon bon Sire auriez-vous besoin d'aide??? Je connait très bien Verdun et je peux vous conduire à quelqu'un qui saura répondre à vos besoins mais d'abord le plus urgent...

...elle sortit une miche de pain de sa besace et lui tendit en disant...Je ne crois pas que notre Créateur vous en voudra de manger dans cette Église...dommage je n'ai que de l'eau, il ne me reste plus une goutte de lait et pas de viande non plus ce qui ne vous aurait pas fait de tort croyez moi.

Dîtes-moi si je vous embête je pourrait aussi vous amener vous baigner un peu et aussi nettoyer vos vêtements à la rivière qui coule un peu plus loin c'est un peu frisquet mais ça remet les esprits en place faites-moi confiance...alors qu'en dîtes-vous?

Grenoi

Il paraît que les Eglises sont ouvertes à tous ceux qui désirent y réclamer l'asile, de jour comme de nuit.Péniblement, Grenoi poussa les lourdes portes en bois de l'édifice. La neige continuait inlassablement à s'entasser sur le sol, recouvrant la nature d'un épais manteau blanc: il n'était pas encore temps pour l'hiver de laisser sa place aux beaux jours.Il pénétra dans le bâtiment, et s'assit sur un banc pour prier. Aristote avait préservé sa vie des aléas du voyage, et il devait reconnaître que la Lorraine était plutôt tranquille...Après quelques minutes d'un paisible et doux moment de prière, il quitta l'Eglise pour trouver sommeil dans un misérable taudis, un peu à l'exterieur de la ville...Après tout,il ne demandait pas plus...

Maximin

De passage rapide à Verdun, Uriel s'en alla visiter l'ancienne église dans laquelle il avait tant officié.

Entrant dans l'édifice si calme, il eut soudain quelque nostalgie à tous ces souvenirs.

Récitant son Crédo, il pria pour les habitants, pour qu'ils ne succombent aux tentations de la jalousie et du sans-nom.

On lui avait rapporté récemment quelques problèmes, des jeunes gens qui tentaient de brise l'amour des autres. C'était tellement dommage de gâcher des amitiés de la sorte ...

Majoie

Majoie entra dans l'Église...un grand besoin de réconfort lui vrillait les entrailles....plusieurs à Verdun lui tenaient la draguée haute pour lui faire ainsi dire payer pour ce qu'elle osait dire tout haut et que plusieurs pensaient tout bas.

Elle déposa ses doigts dans le bénitier et se signa...elle rejoignit un banc au fond(pas difficile de paraître inaperçue ici)...elle s'agenouilla et fit comme elle avait toujours fait et entreprit un dialogue silencieux avec Son Créateur afin d'apaiser son âme blessée...

Duissane

Duissane avait fini sa pastorale avec son Professeur Uriel. Ce dernier lui avait dit de contacter Monseigneur Huet pour son baptême. Ce qu'il avait fait: il lui avait envoyé un courrier il y avait quelques temps déjà. Comme il n'avait pas encore eu de réponse, il se dit que peut-être il pourrait trouver l'évêque dans son église.

Il entra, poussant doucement la porte. Il n'était pas depuis longtemps à Verdun et il devait bien reconnaître qu'il n'en avait pas encore visité l'église. Cela changerait, bien sûr, une fois qu'il serait baptisé, et serait entré dans cette communauté aristotélicienne.

Il avança doucement dans l'allée centrale, regardant autour de lui, s'imprégnant de l'atmosphère calme et sereine. Il se recueilli un instant devant l'autel majestueux, puis prit place, se disant que l'endroit était beau, et qu'il pouvait attendre un peu ici.

Duissane

Duissane finit par se lever et sortir discrètement de l'église. Monseigneur Huet n'vait toujours pas répondu à son courrier, et il n'était visiblement pas dans cette église....

Lavania

Lavania montait les marches de l'église. Et alors qu'elle s'approchait de la bâtisse, elle se disant qu'elle avait de la chance d'un côté... et de l'autre... Elle avait l'impression d'être la personne la plus frappée par la malchance.

Ainsi donc, elle se disait que peut-être elle n'avait pas assez prié, peut-être était-ce pour ça qu'elle avait raté son mari la seule fois où il était venu depuis les trois derniers mois. D'autres l'avaient vu et cela l'avait rassurer, mais tout de même...

Elle poussa donc les portes de l'église, se disant qu'elle avait bien des choses à se faire pardonner et bien des gens pour qui prier.

Elle commença tout d'abord par la prière du pardon, elle avait dit des choses ces derniers temps qu'elle regrettait et espérait de tout coeur qu'on lui pardonne ses paroles.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen

Elle continua par la suite, le coeur plus léger.

Permettez lui de revenir... Quelques fois seulement...
Permettez lui de voir nos enfants... Ils sont si grands vous savez...

Elle continua ainsi, pendant un moment, priant pour son enfant à naître. Elle savait qu'elle avait très peu dormit et manger ces derniers temps, elle n'était donc pas au mieux de sa forme et le petit semblait presser de rejoindre le monde, ce qui inquiétait grandement la maman...

Elle pria aussi pour un ami, priant pour que ses souhaits à elle soient exaucés, égoïste qu'elle était... Elle croyait mieux connaître son bonheur que lui et était convaincu d'avoir raison...

Amen...

Elle se releva, marcha vers la porte. Décidément, chaque fois elle ressortait d'ici le coeur plus léger. Elle n'était pas plus en forme, ni moins fatigué, mais au moins, elle avait la tête vide et le petit dernier allait pouvoir rejoindre la famille sous peu et il y serait accueillit comme il se doit. Mieux que s'il était arrivée deux jours au paravent...

Goeri

Huet écouta la dernière remarque de Lavania et se félicita d'avoir répondu avec diligence à la demande de Caoimhim voilà quelques jours.

Hum... je crois que l'on s'adresse à l'évêque local... Dans tous les cas, ce n'est pas votre situation. Vous avez un évêque droit et ordonné qui prend toujours bien soin d'archiver de tels documents.

Archives de l'archidiocèse
Archives de Rome

Rozenn.

_________________

Lavania

Lavania fut soulagée de voir qu'elle s'était trompé, visiblement elle avait dû faire l'erreur et ne pas avoir vu correctement l'acte de leur mariage bien en ordre. Elle sourit à l'évêque.

Par chance que nous avons un évêque droit et ordonné, sinon nous aurions bien des ennuies!

Je vous remercie pour tout Monseigneur, finit-elle par ajouter après un petit moment de silence.

Je tâcherai de suivre vos conseils. Et elle quitta l'église le coeur un peu plus léger et l'esprit tranquille, maintenant qu'elle avait une idée de l'approche qu'elle allait prendre à l'avenir, pour les prochaines semaines du moins...

Lavania

Lavania écouta encore une fois avec attention le discours de l'évêque, après tout c'était pour ça qu'elle était venue, il aurait été stupide de ne pas en faire ainsi.

Vivre aujourd'hui sans penser à demain, en quelque sorte, c'était ce qu'il lui conseillait de faire. Jusqu'à présent, elle avait plutôt fait le contraire, vivre en l'attente de demain et cela n'avait pas tout à fait bien fonctionner, c'était plutôt une catastrophe pour être exacte et les idées noires avait profiter de sa faiblesse.

Cependant en entendant le discours de l'évêque, les petites idées sombres avaient été chassé tranquillement, révélant chacune des petites bêtises qu'elle aurait pu faire...

Ainsi donc, le plus difficile n'était peut-être pas d'attendre, mais bien de savoir comment attendre.

Elle allait devoir se concentrer sur autre chose, et il était vrai que lorsqu'elle avait une occupation autre qu'attendre, le temps passait beaucoup plus vite, même si parfois elle ressentait une petite nostalgie en voyant les autres couples qui eux ne vivaient pas comme elle...

Mais maintenant elle savait, que son amour pour son mari était plus fort que tout et qu'elle était heureuse avec lui. Même si on avait réussit à lui glisser dans la tête ces derniers temps que l'annulation de son mariage serait une bonne solution, elle n'avait jamais pu s'y faire réellement à l'idée. Comment aurait-elle pu le remplacer? On en remplace pas l'homme de sa vie...

Elle sortie de ses pensées, regardant l'évêque avec un petit sourire sur son visage, à l'instant elle ne remarqua pas sa demi-ivresse, bien que quelque instant plus tôt, si elle n'avait pas été si troublée elle aurait sûrement dû d'en rendre compte. Mais tant pis, les rumeurs à propos d'un évêque saoul serait pour une autre fois!

Je vous remercie Monseigneur, je vais essayer de faire comme vous dites, ça ne peut que fonctionner... finit-elle par répondre après un long moment de silence.

Elle allait tourner les talons et rentrer chez elle lorsque tout à coup elle se souvint de quelque chose qu'elle voulait vérifier.

Monseigneur? Si jamais, par exemple, un mariage n'est pas dans les archives de l'archidiocèse, ni celles de Rome... Qu'est-ce que ça fait? Elle regarda le plancher un moment après avoir posé la question puis releva la tête avec une petite couleur rose sur les joues.

Était-ce à ça qu'une femme qui attendait son mari devait passé son temps? Fouiller si leur mariage était dans les archives? Certainement pas, mais semblerait que toutes les femmes ne sont pas les mêmes...

Lavania

Lavania écouta les paroles de l'évêque, soulagée de ne pas avoir dit de bêtises. Résumer le tout en un seul mot, elle savait bien de quel mot il s'agissait, ou du moins, elle croyait savoir.

Ne serait-ce pas le mot Amour Monseigneur, qui peut résumer tout ça?

Goeri

L'évêque sourit en coin. Souriant de la réponse de Lavania et de la maîtrise de son apparence malgré sa demie-ivresse.

L'amour... n'est-ce donc pas là ce que vous attendiez ? L'amour, seul, suffit à l'attente de l'aimé au loin. L'amour de Dieu mène également à une compréhension de l'esprit humain, au Salut de l'âme, aux sept vertus divines...

Le temps vous est long sans votre mari? Sachez l'user à bon escient. Certains affirment que la vie est trop courte pour attendre... Telles ne sont pas les paroles d'un sage. À qui sait élever son âme dans la connaissance utile et la foi, la vie terrestre s'étend suffisamment loin. Sachez tempérer votre âme et patienter vos envies, cesser de penser au lendemain qui ramènera votre doux et vivez aujourd'hui dans la plénitude.

Goeri

Lavania souriait timidement après avoir affirmé ce à quoi elle avait durement réfléchi. L'évêque répondit du sien.

Vous avez le talent de l'esprit, il ne fait aucun doute. Vos paroles sont sages et vraies. Mais allons ensemble un peu plus loin. Le fait de compter les uns sur les autres, d'affronter les obstacles de la vie ensemble, de ramener un ami dans le chemin du Salut, quel est le vecteur commun de tout cela ? Par quel unique, mais divin, mot pouvons-nous résumé ces relations entre les humains et... Dieu ?

Lavania

Que désirait Dieu pour sa création? Quel est le sens de la vie pour chacune des espèces? Deux questions à laquelle elle devait trouver une réponse... Deux questions qu'elles ne s'était jamais posées. Ce qui expliquait fort bien son petit air confus. Comment répondre à une question dont on ignore tout de la réponse.

Bien entendu, elle était persuadée de ne pas tout ignorer de la réponse, elle n'y avait sûrement pas en encore assez réfléchit, tout simplement.

Si elle s'y mettait sérieusement, elle était certaine de pouvoir donner une réponse convenable, c'est pourquoi elle faisait tourner le petit hamster qui se cachait dans sa caboche pour percer le grand mystère des questions qui venait de lui être posées.

Au bout d'un moment et après la phrase rassurante de l'évêque, l'informant qu'il était normal qu'elle cherche, elle tenta un petit quelque chose.

Alors... Si... Si je pars du fait que pour "survivre" chaque animal ou encore céréale, arbres et autres choses, elles doivent être en groupe... Comme s'ils forment une famille? articula-t-elle en levant les sourcils, signe qu'elle réfléchissait très fort. Et c'est bien connu que de levée les sourcils aide à mettre de l'ordre dans ses idées, non? Enfin bref, elle ne se rendait même pas compte de son expression tout à fait ridicule alors pourquoi s'y attarder?

Et peu importe ce qui arrivera... Il y aura toujours quelqu'un sur qui compter... Ici cela s'applique plus aux animaux qu'aux plantes je crois... Continua-t-elle... Et alors vont le moment de répondre à la première question....

Et donc Dieu cherchait à ce que... chacun puisse compter sur... ses semblables... Et sur les autres espèces également... réussit-elle à dire très lentement avant de pouvoir s'avancer sur une piste de réponse pour la deuxième question qui était nettement plus complexe.

Donc le sens de la vie que Dieu à voulu donner à chaque espèce, ne serait-il pas... De compter les uns sur les autres pour faire face aux obstacles que la vie mettraient sur notre chemin? Chacun ayant sa raison d'être... Sa place dans le monde qu'il a créé...

Et ainsi donc était le petit cheminement qu'elle avait fait dans sa tête. Et même si ce n'était pas la bonne réponse, peu lui importait... Elle avait découvert que ce que ces amis lui répétait sans cesse ne devait pas être des sornettes...

S'ils lui disaient qu'il seraient toujours là pour elle, c'était qu'il souhaitait réellement l'aider... Et ils étaient là justement pour l'aider à faire face aux obstacles que la vie avaient placé sur sa route...

Elle finit par se taire et regarder l'évêque.

Est-ce bien ça Monseigneur? Lui demanda-t-elle timidement. Après tout, peu lui importait d'avoir la bonne réponse maintenant qu'elle s'était rendu compte qu'une chose, mais valait quand même mieux vérifié à savoir si elle était complètement dans le champ ou s'il ne lui manquait que quelques petits détails... Allez savoir si ce qu'elle avait pu dire n'était que sottises, si elle ne le sais pas, je ne le sais pas plus qu'elle...

HRP:Partie faire le MA en lorraine, peut retarder un peu la réponse de la dame. Merci HRP/

Lavania

Lorsque Monseigneur Huet la laissa seule de nouveau pour aller chercher autre chose qui répondait peut-être mieux à ce qu'elle cherchait, elle resta dans un silence le plus complet, se demandant encore si une telle chose pouvaient arriver à son mariage. Elle était persuadée que cela ne lui arriverait jamais, mais il était vrai qu'elle avait déjà tellement vu de mariage se terminer de la sorte... En serait-il ainsi du sien aussi? Elle osait croire que non...

Le lourd silence fut briser par la porte qui s'ouvrait de nouveau, laissant apparaître Monseigneur Huet avec un feuillet? Jamais elle n'avait vu quelque chose du genre dans sa vie, du moins pas dans une église et à la façon dont l'évêque le lui tendit,elle voyait bien qu'il avait une grande importance.

Elle le pris donc avec délicatesse, faisant bien attention en le lisant, se remémorant la question à chaque paragraphe et lorsqu'elle en arriva à la fin, elle fut un peu confuse et relu la dernière partie plusieurs fois...

Que cherchait Oane? Il se demandait ce que Dieu désirait... Mais il devait y avoir plus que ça... se disait-elle.

Elle releva les yeux vers l'évêque et lui remit le feuillet, se disant qu'il serait peut-être un peu plus rassurer s'il l'avait en ses propres mains.

Il... Il cherchait ce que Dieu désirait... Mais... ce ne peut être que ça... Finit-elle par articuler après un court moment de silence.

Goeri

L'évêque eut un demi-sourire, il n'avait été assez clair. Décidément, un problème de communication profond existait entre ces deux êtres !

Bien ma fille, il cherchait effectivement ce que Dieu désirait. Mais que désirait Dieu pour sa Création ? Quel est le sens de la vie pour chacune des espèces ?

L'évêque regarda Lavania confuse

N'ayez de craintes, il est normal que vous cherchiez et cherchiez. La réponse n'a de sens que si c'est vous que la découvrez.

Goeri

Monseigneur eut un bref mouvement du sourcil gauche. Il tapota vivement le Droit Canon alors que Lavania se confondait en excuses et en explications. Lorsqu'elle eut terminé, il tenta de perçer sa pensée. Il haussa les épaules, on y viendra de toutes manières, aussi bien l'avoir fait maintenant, ce sera fait pour la prochaine fois.

Oui... Oui... Veuillez me pardonnez...

Et il repartit, cachant son embarassement et, donc, oubliant de cacher sa demie ivresse. La porte se referma derrière lui. Lavania restait seule. Un silence lourd de sens. Puis la petite porte s'ouvrit
nouveau. L'évêque tenait ce que seul les membres du haut-clergé possèdent : un exemplaire du Livre des vertus en feuillets. En fait, il en tenait un en sa main. Une corde en pendait, frappée du sceau papal.

Voilà qui devrait vous faire plaisir. Vous savez très certainement la réponse à la question que je vais vous poser. Cette réponse est également la, pourtant très simple, chose à laquelle vous devriez vous rattacher.

Huet tendit le parchemin à Lavania d'un geste cérémonieux indiquant qu'elle devait le manipuler du plus grand soin.

Lisez. Que cherche donc Oane d'après vous ?

null

Livre de la Création
Chapitre IV - « Le Doute »

Lavania

Lavania entendit le soupire de l'évêque avant qu'il ne se lève, elle soupçonna même qu'il avait voulu qu'elle l'entende. Elle le regarde partir, attendant patiemment son retour.

Il revint un livre en main et elle s'en approcha afin de mieux voir ce dont il s'agissait. Elle n'eut pas à en lire beaucoup pour comprendre qu'il y avait eu malentendu.

Section B: Annulation du sacrement...

Son coeur manqua un battement et ses yeux restèrent rivés sur ces deux seuls mots, annulation et sacrement... Il y avait sûrement eu un malentendu... Ce n'était pas possible... Il devait absolument y avoir d'autres solutions... Au moins une autre avant celle là... Elle parcouru rapidement du regard tout le texte, secouant la tête à chaque fois qu'elle lisait une phrase.

Certainement pas ça... Ça non plus... Encore moins ça! Hoo non mais quelle horreur! Se disait-elle tout en survolant le texte.

Le bruit que fit le livre en se refermant fit sursauter la jeune femme, la faisant lever les yeux vers l'évêque, de grands yeux bleus totalement horrifiés.

Monseigneur Huet a écrit:

Allons donc ma fille, répondez-vous d'une extinction ou d'une dissolution... Depuis combien de temps votre époux ne s'est-il pas présenté ?

Elle n'avait pas tout à fait retenu ce qu'était chacun de ses termes, mais savait que le tout dernier... l'annulation... Était le plus horrible de tous! Elle devait parler, avant qu'il ne soit trop tard et qu'on n'exécute une de ces.. ces choses sans qu'elle ne puisse protester.

Mon... Monseigneur... Je... Je crois qu'il y a eu mésentente... Mon ... Mon époux.... nous... Nous ne voulons pas... Elle pris une grande respiration, consciente que cela ne menait à rien du tout.

Ce n'est pas pour cela que je suis venue ici... Il y a deux mois que mon mari est parti et je n'ai pu lui dire au revoir, mais croyez moi... Jamais je ne voudrais qu'une telle choses arrive à notre mariage... Je suis venu ici afin de savoir si dans le livre des vertus, il y avait un passage ou je ne sais quoi... qui aurait pu... m'aider à poursuivre mon attente Monseigneur...

Elle le regarda avec sérieux, un eu craintive tout de même. Avait-elle réussit à se faire comprendre cette fois?

Goeri

L'évêque prit un air grave. Combien des mariages qu'il avait célébrés finissaient ainsi ? Une bonne moitié assurément. Il soupira suffisamment fort afin que Lavania entende bien. Il savait bien que le discours tenu par les prélats devant la foule était que c'était impossible, mais que l'on avait habillement habillé le Droit Canon de manière à ce que ce soit possible d'une certaine façon... Haussant les épaules, il se retourna et, chambranlant, il se dirigea dans une pièce annexe d'où il rapporta le texte des lois de la Très Sainte Église de Dieu.

Ma fille, vos paroles sont empreintes de tristesse et de découragement. Je vous crois en vos efforts de retrouver Zeiss, votre époux. Observez donc ce que voilà avec moi. Nous y trouverons, qui sait, peut-être votre rédemption...

null

Section B : de l'annulation du sacrement

Article 1 : Toute demande d'extinction, de dissolution ou d'annulation du sacrement du mariage doit passer en première instance devant l'Officialité Épiscopale locale ou compétente.

Extinction du sacrement du mariage.

Article 2 : L’extinction du sacrement du mariage est une procédure automatique ne nécessitant qu’une constatation de l’officialité diocésaine.

Article 3 : L’extinction du sacrement du mariage n’est applicable que dans deux seuls cas :

- Article 3.1 : Le décès d’un des deux conjoints.

- Article 3.2 : L’entrée dans les ordres d’un des deux conjoints.

- Article 3.3 :Lorsque l’entrée dans les ordres est le motif invoqué, l’extinction du sacrement du mariage implique une suspension définitive des devoirs conjugaux.

- Article 3.4 : Lorsque l’entrée dans les ordres est le motif invoqué et qu’il y a eu procréation, l’extinction du sacrement du mariage n’implique pas une suspension des devoirs parentaux.

Article 4 : Lors d’une extinction du sacrement du mariage, le mariage est reconnu valide et légitime, mais ne produit plus d’effets dans le futur. Les effets survenus dans le passé sont légitimes et gardent leur pleine légitimité à perpétuité.

Dissolution du sacrement du mariage.

Article 5 : La dissolution du sacrement du mariage est une extinction de ce dernier suite à la décision des époux de se séparer et de mettre fin à leur vie de couple.

Article 6 : Les motifs invoqués pour une dissolution du sacrement du mariage sont :

- Article 6.1 :La disparition des sentiments amoureux entre les époux,

- Article 6.2 : L’adultère commis par l’un des deux époux ; le conjoint fautif étant frappé d’interdiction de remariage.

- Article 6.3 : L’abandon du domicile conjugal par l’un des deux époux pendant un temps supérieur à 3 mois. Le conjoint reconnu coupable de négligence conjugale est passible de l’impossibilité de remariage.

- Article 6.4 : La disparition de l’un des deux époux pendant un temps supérieur à 3 mois.

Article 7 : La dissolution du sacrement du mariage implique la levée des obligations matrimoniales entre les époux.

Article 8 : En cas de dissolution, et lorsqu’il y a eu descendance, les obligations parentales demeurent.

Article 9 : Lors d’une dissolution du sacrement du mariage, le mariage est reconnu valide et légitime, mais ne produit plus d’effets dans le futur. Les effets survenus dans le passé sont légitimes et gardent leur pleine légitimité à perpétuité.

Article 10 : Toute demande de dissolution de mariage est déposée devant l'Officialité Episcopale dont le ou les conjoints demandeurs dépendent avant d’être transmise devant le Consistoire Pontifical compétent.

- Article 10.1 : Il revient à l'Officialité Episcopale de statuer et de publier un avis sur ladite demande, ainsi qu’une peine punitive et expiatoire. Cet avis sera ensuite déposé auprès du Consistoire Pontifical compétent afin d'être validé ou rejeté.

Article 11 : Les Consistoires Pontificaux, dans les territoires soumis à leur juridiction, ont toute autorité quant à la dissolution du sacrement du mariage, à l’imposition d’une peine punitive ou expiatoire, à la révision de celle soumise par l’Officialité, aux interdictions frappant l’un ou les conjoints.

- Article 11.1 : Les Consistoires Pontificaux, dans les territoires soumis à leur juridiction, sont habilités à réviser leur jugement après douze mois de délai expiatoire.

Annulation du sacrement du mariage.

Article 12 : L’annulation du mariage reconnaît de facto le mariage comme nul rétroactivement. Il n’a de ce fait, aux yeux de l’Eglise, jamais existé.

Article 13 : Lors d’une annulation du sacrement du mariage, le mariage est reconnu invalide et illégitime. Les effets survenus dans le passé sont illégitimes et reconnus comme tels de façon perpétuelle.

- Article 13.1 :Seuls le Souverain Pontife ou son délégué peuvent légitimer de manière exceptionnelle les effets survenus lors de cette vie en concubinage illégitime.

Article 14 : Le Sacré Collège des Cardinaux, au nom du Souverain Pontif, a seul, autorité quant à l’annulation du sacrement du mariage.

Article 15 : Toute demande d'annulation de mariage est déposée devant l'Officialité Episcopale locale et transmise au Consistoire Pontifical compétent qui juge de sa pertinence. Il la transmet ensuite au Sacré Collège des Cardinaux.

Article 16 : Il revient au Consistoire Pontificale de statuer et de publier un avis sur recevabilité de ladite demande. Cet avis sera ensuite déposé auprès du Sacré Collège des Cardinaux qui statuera.

Article 17 : Les causes d’une annulation de mariage sont définies par la recevabilité de la supplique et se cantonnent presque exclusivement au vice de procédure grave dans l’octroi du sacrement du mariage, à l’abus de confiance ou la tromperie de la part d’un des conjoint lors du mariage.

L'évêque referma lourdement le livre et posa la main dessus. Soutenant le regard de Lavania, il lui dit:

Allons donc ma fille, répondez-vous d'une extinction ou d'une dissolution... Depuis combien de temps votre époux ne s'est-il pas présenté ?

Lavania

L'autel sur l'évêque... Voilà une question qui méritait tout de même qu'on y réfléchisse. Ce n'était pas fou en soit... Restait simplement à savoir, qui état arrivée en premier... L'évêque ou l'autel...

Elle fut toute fois ramener à l'ordre et couper dans sa réflexion par les paroles du dit évêque. Il n'avait pas tort, elle n'était pas tout à fait venu pour répondre à cette question ci.

Elle remarqua un froncement de sourcil de la part de l'évêque en direction de l'allée et se tourna discrète, enfin le plus discrètement qu'elle pu afin de voir si quelqu'un n'entrait pas dans l'église, mais elle ne vit rien. Pourquoi se froncement de sourcil alors?

Bien entendu, si elle avait vu la crosse de Monseigneur elle le lui aurait apporter, ou alors s'il la lui avait demandé, mais comment aurait-elle pu le savoir? Ne le sachant pas, elle ignora ce petit détail et reporta son attention sur le pourquoi de sa présence.

Oui, je suis venu vous voir à propos de... de mon mariage... Je... J'aurais quelques question pour vous... Ou alors une seule... Elle baissa les yeux un moment, puis les releva.

Je me demandais si... dans le livre des vertus, ou ailleurs... On ne parlait pas de... ce qu'on doit faire si... si la personne qu'on a épouser est absente... Elle s'arrêta un moment, mais senti le besoin de se justifier et poursuivit donc.

J'ai tout essayer ce à quoi je pouvait penser... Voyage, prière... et plein d'autres choses qui ne me vienne pas à l'esprit en ce moment, mais... Elle ne savait pas trop quoi ajouter d'autre et se tut donc, s'il voulait en savoir davantage, il le lui demanderait sûrement.

Goeri

De sous l'autel. C'est une manière de voir les choses... Et si nous disions que l'autel était sur moi plutôt ? Ne croyez-vous pas que cela faisait plus de sens ?

L'évêque sourit maladroitement

Laissons là la discussion hautement philosophique, j'imagine fort bien que vous voilà pour une raison tout autre ? Eh puis, je m'ennuie fort de ces temps-ci. Vous savez, les autels sur les épaules, voilà qui n'est pas un gai passe-temps...

Huet voulut s'approcher d'elle et chercha donc sa crosse un instant. Il la vit couchée au sol, en travers de l'allée principale. Il fronça les sourcils et décida de rester en place plutôt que de tenter un mouvement qui pourrait le perdre.

Allons donc la belle, dites-moi donc ?

Goeri

Bonjour... Je suis désolée d'interrompre votre sommeil sacré... Maître de ces lieux... Mais je cherche à parler à Monseigneur Huet... Je... Je m'appelle Lavania... Il ... Il a célébré notre mariage, à mon époux et à moi... il y a quelques mois déjà... J'étais simplement venue... lui demander conseil... Mais je peux repasser plus tard vous savez...

L'évêque, couché, ouvrit grand les yeux. Combien de temps avait-il pour sortir de sous la nappe recouvrant l'autel et se soustraire au regard de Lavania ?

Huet ferma les yeux, roula hors de sous la table et se releva, feignant de ramasser la coupe.

Ah bonjour Lavania ! Hahaha ! Haaaaa... Bonne blague n'est-elle pas ?

Huet prit équilibre, s'appuyant sur l'autel et combattant le tournie.

Lavania

Lavania vit sortir l'évêque de sous l'autel. Enfin sortir... Il avait plus rouler de sous la table, pour ramasser une coupe. Elle le regarda, son visage marquant un grand étonnement. de tous les endroit où elle avait cru entendre venir la voix, elle ne se serait jamais ô grand jamais douté qu'elle puisse venir de sous la table.

Son étonnement fut un peu plus grand lorsqu'elle entendit les paroles de l'évêque, elle eut même la vague impression qu'il avait de la difficulté à tenir sur ses jambes, mais qui était-elle pour juger un membres de l'église?

Hoo! Bonjour Monseigneur! Je dois avouer que je ne me serais jamais imaginé vous voir sortir de... de sous l'autel... lui répondit-elle en souriant.

Est-ce que je vous dérange? Je peux revenir une autre fois vous savez... S'empressa-t-elle d'ajouter, en pointant la sortie.

Goeri

Un de ces silences... pur... Que les échos de la foi emplissant l'édifice, le froissement des draperies par le vent s'engouffrant par la porte entrouverte et les cliquetis des quelques volatiles s'étant infiltrés à l'insu du bedeau.

Monseigneur de Feugères, cet homme plein de grâce et de ayant gagné le respect de tous, était près de l'autel. Une proximité telle qu'il reposait, en fait, dessous ledit autel. Un bras derrière la tête, l'autre pendant, las, à ses côtés. Là, une coupe renversée et ce qui fut son contenu imbibait à présent la riche robe de l'évêque. On aurait dit un nourrisson tant la situation en était attendrissante. Huet était revenu de taverne en soirée et c'était mis en tête de donner la messe de minuit. Sans public, il s'était endormi en plein sermon et c'est ainsi que nous le retrouvons à l'aurore.

Monseigneur.... Monseigneur.... Monseigneur.... Monseigneur.... Monseigneur.... Monseigneur....

Un vague écho parvint aux oreilles de l'évêque de Metz. Ouvrant l'oeil, il posa naturellement sa main gauche au front qu'il massa douloureusement.

Qui ose profaner le sommeil sacré du maître de ces lieux... ?

Lavania

Qui ose profaner le sommeil sacré du maître de ces lieux... ?

Une voix sortie de nulle part, prononçant des mots plus qu'effrayant. Profaner le sommeil sacré du maître de ces lieux...

Déjà qu'elle sentait mal de venir profaner tout court. Profaner le sommeil de quelqu'un c'était encore pire, mais là profaner le sommeil sacré de quelqu'un, ouille ouille ouille... Et encore! Ce n'était pas tout! Profaner le sommeil sacré du Maître des lieux... Valait mieux s'enfuir avant qu'il ne la voie!

N'importe qui qui aurait lu dans ses pensées en ce moment aurait pu croire qu'elle se moquait de la voix qui venait de parler, hors c'était tout à fait le contraire, en l'entendant elle avait sentit un frisson la parcourir.

Une partie d'elle lui disait de partir avant qu'il ne soit trop tard, mais une autre la retenait en ce lieux de culte. Elle était venue, elle ferait fasse

Oups, j'aurais peut-être pas dû venir, s'était-elle dit avant de faire un pas en avant malgré tout, regardant partout autour d'elle, cherchant d'où venait la voix qui s'était adresser à elle.

Bonjour... Je suis désolée d'interrompre votre sommeil sacré... Maître de ces lieux... Mais je cherche à parler à Monseigneur Huet... Je... Je m'appelle Lavania... Il ... Il a célébré notre mariage, à mon époux et à moi... il y a quelques mois déjà... J'étais simplement venue... lui demander conseil... Mais je peux repasser plus tard vous savez...

Elle s'arrêta de parler, ayant peur d'en avoir trop dit. Elle attendait, prête à quitter l'église à tout moment.

Lavania

Lavania avait entendu parlé du retour de l'évêque au village depuis quelques jours. Elle n'avait pas eu la chance de le croiser, mais espérait que peut-être en se rendant à l'église il serait présent.

Il était celui qui avait célébré son mariage plusieurs mois au paravant, elle avait toujours trouvé qu'il savait trouver les mots justes. Alors peut-être que celle fois, pourrait-il lui indiquer la voie à suivre, elle qui ne savait plus trop quoi penser.

En marchant en direction de l'église, elle se remémora sa journée d'hier. Elle avait passé par toutes sortes d'émotions, de la tristesse la plus grande, à la colère la plus cruelle pour ensuite relire une vieille lettre et reprendre espoir. Sourire comme elle n'avait jamais sourit de puis ce jour. Elle y avait cru... Elle avait cru en son retour.

Mais comme chaque fois où elle avait le malheur de retrouver espoir, elle s'était réveiller ce matin. Le matin qu'elle espérait être le bon...

Elle l'avait chercher... Mais bien entendu... Il n'était pas là... Et elle avait fait quelque chose qu'elle s'était refuser depuis longtemps.

Elle avait pleurer... Il n'était toujours pas revenu... Qu'est-ce qui devait arriver dans ses moments là? Que devait-elle faire? Il la forçait à être plus forte qu'elle ne l'était...

Une solution c'était donc imposer à elle. Monseigneur Huer était de retour? Soit, elle irait le voir...

C'est donc, quelques jours après la nouvelle année que la jeune femme monta les marches de l'église et pénétra dans l'édifice.

Monseigneur? demanda-t-elle à voix basse, lorsqu'elle eut refermer les grandes portes derrières elle.

Ines

Les mains jointe près du visage je récitais le Crédo dans un murmure..

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Goeri

La matinée du premier de janvier pointait joyeusement son nez. Ô la veillée avait été tout aussi joyeuse pour les habitants de Verdun. Çà et là traînaient quelques bons amis, embrassés dans une étreinte d'ivrognes. Adossés à l'église du village, ces quelques gaillards eurent la vision d'un homme, courbé sur son bâton, sortant du bois.

-Rhaaa.... Bon Dieu, t'aurions pas vu ce qui c'est qui s'amène... !?

-O ce ne serait pas le... le... ouais le... lui là...

La discussion philosophique fut entravée par l'arrivée à proximité de l'homme.

-Ohé survenant !

-Mes sieurs, salutations

L'homme passa son chemin. Les bonnes gens se regardèrent un brin. Haussèrent les épaules et replongèrent dans leur traditionnelle ivresse. Ce qui devait être un vaillant évêque contourna le bâtiment et y pénétra. Là, il mit de côté sa vieille robe de bure, posa son bâton et renifla un peu l'air ambiant. Ce n'était pas le cierge brûlait qu'on reniflait, mais le doux parfum du cèdre, du sanglier à la braise et du vin de pays à peine renversé. Remettant le bain à plus tard, il devrait bien le faire de toute façon avant de rejoindre le conseil épiscopal, il se dirigea droit à l'auberge y raconter ses histoires de pêche et ses aventures ayant égaillé ses quatre mois à l'extérieur de la civilisation.

Monseigneur de Feugères était revenu et ce dernier se dirigeait vers la taverne la bourse pleine.

Rozenn.

Mellyssa, trèèèès tard dans la nuit.. Parce qu'un pigeon c'est idiot et ça vient faire suer les gens trèèèèèèèès tard dans la nuit.
Enfin tôt d'ailleurs... Ca dépend du point de vue tout ça finalement.

Ni une ni deux, elle ne prit pas le temps de répondre au Frère Uriel. D'toute manière à une heure pareille... Sur qu'il lui répondrait pas l'Archidiacre..
Et se rendit donc à l'Eglise de Verdun afin d'y afficher, ce qu'elle avait à y afficher, sans l'avoir même lue... Plus tard qu'elle lirait, bien plus taaaard. Après avoir fait un gros dodo.

L'heure étant toujours aussi tardive, ou "tôtive" (excusez mon manque de vocabulaire, mais j'suis sure que tout l'monde il a compris ), toujours selon le point de vue, elle ne resta pas plus longtemps à poireauter le fidèle qui pourrait se pointer à l'improviste.
A c't'heure là ! Nan mais oh ! Faudrait pas pousser mémé dans les orties nan pu...

Et hop... Elle était déjà retournée dans son plumard et... *roooooonpchiiiiii*
Etonnant non ?
_________________

Sybille_von_frayner

Fihafihafiha

C’est dans le Soleil levant qui donnait naissance au jour qu'un homme de grande taille, accompagné d'un jeune page près de lui, s'approcha de l'église, légèrement fatigué sur sa monture tout en se tenant le bras gauche d'une certaine douleur. De loin, à ce temps, le soleil brûlait assez le regard pour qu'on puisse le contempler longuement afin de savoir qui c'est, et c'était inutile de s'en approcher pour le moment, son épée brillait assez fort pour prévenir les quelques petits malins de ce qu'ils pourront voir, ou ne pas voir ...
Romy, tu restes ici ... Dit-il à son page avant de sauter de sa jument, puis lui confier son épée et son chapeau.

Le baron grimpa la parvis jusque dans l’église, contemplant une décorations sobre et parfaite de l’endroit, toujours aussi fatigué. Arrivé devant l'autel, le brun au milieu de ses trentaines s'agenouilla tout en se signant, croisant ses mains devant lui tout en fixant la croix, symbole d'aristotélisme, devant lui.
Le visage du natif l'Italie se fendit d'un sourire de sérénité à ce moment, ceci faisait longtemps qu'il n'était pas venu dans une église pour lui, et lui seul, hormis les cérémonies qui étaient des plus pathétiques ... Ça faisait un mois qu'il n'assistait plus qu'à des couronnements, des mariages pour des titres ou encore, des massacres en plein église pour deux hommes de politiques qui se disputent leurs raisons. Mais après tout, c'est dans cette église qu'il fût baptisé par son parrain par la douce Bethany ... Que des souvenirs lui passèrent à la tête.

Après une longue nostalgie et un rafraichissement d'une mémoire perdue entre les pages d'une vie qui ne peut être considérée paisible, le brun ferma les yeux tout doucement, comme s'il essayait de connecter son esprit avec d'autres dimensions, plus calmes qu'une vie tantôt rose d'amour, tantôt rouge de guerres, puis se mit à réciter ce qu'il avait tant répété sans aucune vraie raison, mais cette fois, c'était la bonne ...
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Ceci finit, il se chuchota comme par amour du lieu quelques mots davantage afin de rester le plus longtemps possible avant de relever sa dépouille extrêmement fatiguée, commençant à saigner du bras gaucher goutte par goutte. Il n'en avait qu'à faire, ce n'était pas ça qui le préoccupait ...
C'est alors qu'il sortit à pas légers de la bâtisse religieuse rejoindre le page qui l'attendait avec les deux montures, il monta la sienne puis scruta du regard une dernière fois l'édifice.

Votre bras saigne, seigneur ... lui dit-il le page
Je sais, ne t'en occupes pas.
Et la dépouille de l'homme ? ...
Je ne l'ai pas tué, ne t'en fais pas. Mon épée est trop sainte pour s'occuper de ce genre de malfrats ... Maintenant, partons.

Sans attendre, il reprit la route en direction de l'ouest Verdunois afin de rejoindre quelques affaires qu'il avait ...

Lavania

Décidément, plus le temps passait, plus elle avait de raisons de venir à l'église. Cette fois cependant, la petite Elendra l'accompagnait, lui reposant la même question depuis le début du trajet.

- Mamaaaaaa? L,est où papa?

Elle avait discuter avec son père, monsieur le maire, ne sachant pas trop comment lui expliquer ça. C'était complexe et à son âge, il n'était pas surprenant qu'elle ne comprenne pas tout à fait bien le concept de la mort...

Papa il est parti en voyage au ciel, ma chérie. Lui répondit-elle doucement en serrant sa main dans la sienne.

- Pou longtemps? Avait ensuite demandé la petite.

Oui, ma puce... Il va rester là très très longtemps.... Avait-elle répondu en l'aidant à monté les marches de l'église.

On va lui dire au revoir toutes les deux... Ajouta-t-elle en poussant l'une des deux grandes portes, faisant entrer sa fille d'abord.

Elle la tint par la main, tout le long de la rangé jusqu'à un banc un peu à l'avant. Sa fille s'y glissa et s'y assis sans un mot, regardant tout autour d'elle.

La jeune mère était là pour sa petite, elle aimait son père. Et un jour, elle aurait sûrement regretté de ne pas lui avoir dit au revoir.

- L'est où papa? Demanda-t-elle de nouveau en regardant partout à sa recherche.

Lavania soupira, comment lui expliquer ça... Quand une idée lui vint. Elle posa son doigt à l'endroit où se trouvait le coeur de la petite.

Tu vois ma chérie... Ton papa il est juste là... Dans ton coeur....

La petite intriguée avait baisser les yeux, posant sa main sur celle de sa mère.

Il est partie au ciel ton papa... Mais il t'aime toujours tu sais... C'est pour ça que tu dois lui dire au revoir... Finit-elle en posant un baiser sur son front.

Elendra, s'arrêta un moment, comme si elle était plongé en grande réflexion. Au bout d'un moment, elle avait levé la tête au plafond, et levé la main pour le pointé.

- là? Papa en haut?

Sa mère avait hocher la tête, ne sachant trop quoi ajouter d'autre. Regardant la petite qui était sa fille à n'en pas douter et pourtant ses cheveux et ses yeux si clair témoignaient qu'elle était bien la fille de son père également.

La petite avait commencer à secouer sa main, faisant un au revoir au plafond en s'écriant.

- AU VOIIII PAPA!

Son cri avait fait sursauter sa mère qui se retourna pour voir s'il n'y avait pas de gens qui priait dans l'église, par chance celle-ci était vide... Elle termina sa prière et pris sa petite par la main.

Aller on y va ma jolie.

Elles avait marché en silence tout le long de l'allée, mais ce ne fut que sur le pas de la porte que la petite demanda timidement.

- Plus de papa Elendha??

Sa mère ferma doucement les yeux, et s'agenouilla devant la petite pour être à sa hauteur, la prenant doucement par les épaules.

Tu vas toujours avoir un papa ma jolie... Et tu sais... C'était difficile à dire, elle ne voulait pas lui imposer l'homme qu'elle avait choisis. Et pourtant celui-ci aimait la petite plus que tout.

Tu as encore un papa, si tu veux ma grande... Il a été le premier à te prendre dans ses bras... Il a joué avec toi... Tu es sa petite Elendra à lui aussi... Tu sais qui c'est?

Sans y penser plus longtemps, la petite avait regarder sa mère un petit sourire aux lèvres?

- Issss? Isss mon papa à moua? Comme Ake?

La jeune maman hocha la tête en prenant sa fille dans les bras, la serrant contre elle.

Si tu en a envie ma jolie... Il sera toujours là pour toi...

Maximin

Comme le temps passait vite ...
Voici déjà plus d'un mois qu'il était à Verdun, il lui fallait repartir, maintenant.

Mais avant cela, il se rendit à l'Eglise pour prier pour ses amis et amies.

Lavania

Seule cette fois, la jeune femme se redit à l'église. Il était tard, mais elle n'arrivait pas à dormir. Elle avait enfiler sa vieille cape rouge qui avait été rapiécé plusieurs fois, mais qui parvenait toute fois à la tenir encore au chaud lors des froides journées telles que celle qui venait de se terminer.

Elle avait monté les marches de l'église une à une, prenant son temps en poussant les portes de l'église, elle se signa en entrant et s'avança le long de l'allée. Elle s'assit dans l'une des rangées à l'avant en silence. Fermant doucement les yeux et récitant la prière du pardon à voix basse.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

AMEN

Déjà, elle se sentait un peu mieux. Elle savait que certains ne lui pardonneraient pas, elle pouvait vivre avec ça... Elle n'avait pas trop le choix de toute façon, elle l'avait mérité en quelque sorte.

Elle venait d'apaiser, en récitant cette prière, l'un des poids qui l'empêchait de dormir. Mais il en restait toujours un... Bien présent. Celui-ci ne laissait pas un poids sur les épaules comme l'autre. Il laissait un vide, un très grand vide qu'elle ne parvenait pas à combler.

Elle commençait à s'y connaitre... Ce n'était pas la première fois qu'elle était confronté à ce genre de grand vide, bien au contraire...

Elle lui en avait voulu terriblement... Elle l'avait ensuite pleurer. Pleurer toutes ses larmes, mais le vide n'avait pas disparu. Ni maudire, ni pleurer ne fonctionnait, alors elle c'était mise à prier.

Pas prier pour qu'il lui revienne, elle savait que même le Tout Puissant, n'avait aucun pouvoir là dessus... Elle priait simplement pour qu'il reste en vie... Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir avait-elle entendu un jour...

Elle avait terminer d'adresser sa prière.

Amen, fut le mot qu'elle prononça en se relevant. Elle marcha l'allée dans le sens inverse d'à son arrivé, enfonça le capuchon de sa vieille cape sur sa tête et sortit de l'église. Elle descendit les marches, les yeux secs.

Regardant les étoiles, qui brillaient dans le ciel elle murmura tout bas...

Je t'aime Zeiss...

Maximin

Uriel avait attendu que l'office soit terminée avant de prendre la parole. Il se leva et vint se placer face à l'autel.

Bien.
Après ce que je viens d'entendre, il est de mon devoir de clarifier certaines choses.
Certaines paroles innocentes peuvent être mal interprétées et nos oreilles troublées par les murmures du Sans-Nom.

Ainsi, il ne s'agit nullement d'un appel à la révolte, tout le monde l'aura compris.

Ce que la Diaconesse Melly a voulu dire, c'est que parfois, les hommes emploient des mots déplacés, blessants.
Beaucoup d'entre nous prennent ces paroles comme des coups, et cela - à juste titre - les perturbe énormément, ils sont déstabilisés et marqués.
Mais chaque homme, chaque femme est bien égal devant l'Eternel au moment de sa mort, cela, avec humilité, nous ne devons point l'oublier.

Mais chaque société, comme l'a montré Aristote, a besoin de personnes pour les guider, que ce soit dans le domaine du spirituel, ou dans le domaine des affaires temporelles.
Les deux doivent bien entendu collaborer, au mieux, et main dans la main, ils sont les deux côtés d'une même pièce, chacun œuvrant pour le bien du peuple.
Ces deux faces sont complémentaires.

Ainsi, si les personnes de Foi sont désignés entre elles et parfois par Dieu ; le choix est autre pour les guides temporels.
Ce choix revient au peuple, et il faut choisir judicieusement, prendre le temps de connaître les gens, de savoir ce qu'ils ont fait pour le bien de tous et ce qu'ils comptent faire pour faire progresser la société.

Il y a quelque temps, nous avons vécu des heures sombres, révoltes, changement de pouvoir, notre conviction en nos dirigeants a été affaiblie.
Mais fort heureusement, la stabilité est de nouveau retrouvée depuis plus d'un mois et c'est je le pense, en ce sens que doit évoluer la Lorraine.

L'Eglise Aristotélicienne a couronné le Duc, je vous le rappelle ; et de facto, il possède donc, tacitement, notre assentiment.
Et si cela devait changer, nous le ferions savoir, mais - à cette heure et pour le futur - il n'y a absolument aucune raison que ce soit le cas.

il soupira puis attendit que les gens aient quitté la messe pour se retourner vers la diaconnesse.

Vous avez perdu la tête ou quoi ?
Je ne veux plus entendre de discours à connotation politique pendant les messes ou les sacrements !

Nous sommes des représentants de l'Eglise et force spirituelle, mais nous ne sommes pas là pour juger le pouvoir en place, quand bien même ce serait juste - et pour l'heure il ne convient pas de le faire car je ne vois pas en quoi il serait critiquable.
Cette intervention était déplacée.

Votre charge ne vous le permet plus ! Vous devez peser chaque mot, chaque phrase, afin qu'elle soit claire et dénuée de double sens.
Encore un peu, cela ressemblerait à une rébellion. Si Gnaaz a blessé votre orgueil, je le comprends, ces choses seront discutées en temps et en heure, mais n'associez pas un seul homme à tout un groupe.
Vous devez faire preuve de tempérance et de sagesse. Vous avez une responsabilité morale, vous devez prendre garde à vos paroles.
N'oubliez pas que vous ne parlez plus en votre nom propre, maintenant.

Le ton du premier archidiacre était dur, mais dépourvu de colère. Il expliquait les choses clairement et sainement, et même si les mots étaient parfois tranchants, il le fallait, afin qu'ils trouvent leur chemin dans les esprits et qu'ils les marquent.

Maximin

Arrivé au début de la messe, Uriel s'assit dans les premiers rangs et l'écouta avec intérêt.
Il salua Lavania et les enfants, se demandant si Zeiss allait bien, puis vint Anaïs, la soeur de Melly, il avait peu entendu parler d'elle et ne la connaissait pour ainsi dire pas.

Maintenant que la petite avait été nommée diaconesse, fallait qu'elle assure.

Il tiqua un peu au discours semi-politique, mais bon c'était pardonnable, car au vu du comment le nase de Gnaaz lui avait parlé, elle avait gardé de la rancoeur.
D'ailleurs, il se demandait comment un tel gars avait pu arriver au CD, sans doute qu'il était tombé là par hasard ...

Le Premier archidiacre récita la prière de la confession, puis enfin, le Crédo

Waow, quel souffle, Melly enchainait phrase sur phrase, tout en direct.
Faudrait qu'il lui dise de faire une pause car sinon, elle finirait la prochaine messe toute bleue, faute de ne pas avoir respiré !

Il était assez satisfait de la messe, car c'est en forgeant qu'on devenait forgeron et en forquant qu'on devenait ... enfin bref ...
Tout cela venait avec la pratique et l'écoute des autres.

Il se rappela tout à coup la messe faite avec Monseigneur Bender.B.Rodriguez, où ils avaient chanté le Crédo ...

Anais_ambrosia

Ana avait eu vent de la première messe de Melly. C'est amusée qu'elle s'y rendit, ayant hâte de savoir comment elle allait se débrouiller. Elle se souvenait de l’impatience qu’avait Mellyssa, lors de leur voyage, à aller à la messe. Quand cette dernière n’était pas célébrée elle avait toujours cet air tristounet sur le visage qui faisait grimacer sa blonde de sœur. Maintenant, c’était elle qui les célébrait et ça allait probablement être drôle.

En s’asseyant et en regardant sa jumelle, Ana ne lui trouvait pas de signe d’inquiétude particulier même si elle se doutait qu’à l’intérieur d’elle la brunette avait le trouillomètre à zéro. La frangine débuta la messe et rapidement on passa à la confession. Ana comme les autres répéta après Mellyssa qui dirigeait le « navire ».

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

AMEN

Elle écouta ensuite son sermon aux nuances un poil politique mais néanmoins très intelligent. En parlant d’intelligence, Ana nota que sa sœur ne s’exprimait pas comme d’habitude. Son élocution était plus évidente et compréhensible, et la blondinette se douta que cela devait être l’effet du Très-Haut. Vint ensuite le moment de réciter le crédo,

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Dans un silence quasi-parfait, la cérémonie se termina sur l’explication du texte et sur le partage du pain et du vin. Tout c’était très bien déroulé et Ana était fière de sa sœur, pour une première messe il n’y avait selon elle aucun problème. Tout comme Lavania, elle alla voir Mellyssa , le sourire sur les lèvres

- Félicitations pour la messe, pour une première c’est réussi. J’espère qu’Uriel sera satisfait.

Lavania

Lavania entendit les cloches sonner en ce dimanche matin. Il y avait longtemps qu'elle ne les avaient pas entendu. Elle n'allait pas rester là à rien faire, la messe allait commencer et pour une fois, elle aimerait bien ne pas arriver en retard.

Elle alla réveiller ses enfants, les habillants de leur habit du dimanche, installa la petite à la table avec une pomme et un morceau de pain avant d'aller se préparer elle-même. Une fois toute la petite famille réunit, enfin presque toute la petite famille puisque l'un d'eux manquait à l'appel depuis quelque temps, tous se rendirent à l'église. Elendra insistant pour marcher sans tenir la main de sa mère.

Monter les marches de l'église sans tenir la main de sa mère s'avéra une autre paire de manche, mais à quatre pattes on peut arriver à tout. Et tant pis pour la petite robe...

Ils entrèrent dans l'église et juste au cas, Lavania les fit assoir au fond de l'église, près de la porte, avec des enfants on ne sait jamais quel "drame" peut survenir et il faut toujours être prêt à envisager la possibilité de partir très rapidement.

Une nouvelle diaconesse, c'était la première fois qu'elle allait assister à une de ses messes, mais selon la façon dont cela commençait, cela ne semblait pas bien différent des autres auxquelles elle avait assister.

Tenant toujours le petit Ike dans ses bras, elle se pencha vers Elendra lui récitant la prière du pardon en lui expliquant, tout bas bien entendu, qu'elle devait apprendre ce passage par coeur et le dire quand elle venait à l'église pour que Dieu lui pardonne toute les fois où elle avait taper son petit frère, toute les fois où elle avait lancé des choses à ses parents et fait toute sorte de bêtises dans le même genre.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

AMEN

La petite qui était bien jeune encore, ne devait pas comprendre la signification de ce que récitait en coeur les fidèles, mais elle connaissait quelques mots qu'elle récita avec un grand sourire.

.... Namis
....Namis..... moua!

MEN!!!

Un petit sourire se dessina sur les lèvres de la jeune mère, glissant à l'oreille de sa fille.

Amen...

Namen....

Aaaaaaamen.....

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAMEEEEEN!!!! S'écria la petite avec beaucoup de conviction, ce qui fit sourire de nouveau sa mère, qui vit quelque tête se tourner en leur direction. Elle camoufla son sourire et reporta son attention sur ce que la diaconesse disait.

Au moment du sermon, la petite s'était couché sur le ban de l'église, la tête appuyé sur sa mère et au moment du crédo, elle venait de quitter la salle pour aller rejoindre Morphée.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Elle se réveilla en sursaut juste à temps pour marmonner un "Namen..." et se rendormir aussitôt. Pendant que Lavania écoutait le passage du livre des vertus, le petit Ike venait d'ouvrir les yeux et la regardait l'air de se demander ce qui se passait, elle lui sourit, caressant doucement sa joue, puis reposa son attention sur la messe, pourvu que ça finisse bientôt...

En écoutant ce que la diaconesse dit après avoir lu le passage du livre des vertus, Lavania baissa les yeux vers son fils. Il lui ressemblait tellement...

... pas vous plaindre sans comprendre pourquoi Dieu ne vous a pas fait ce don.
Vous ne devez en aucun cas vous plaindre, ou geindre tant que vous n'avez pas compris le pourquoi du comment vous vous plaignez.

Avait-elle une raison de se plaindre... Elle glissa son doigt sur la joue du petit.

Il y a une chose que vous pouvez faire pour essayer de comprendre ce qui vous échappe encore, c'est de venir comme ce matin, de venir à la messe et peut être trouverez-vous une réponse.

C'est exactement pour cette raison qu'elle était venu. Ou alors pas exactement, elle n'était pas venu pour comprendre, mais bien pour prier Dieu de protéger son mari et de le lui rendre le plus vite possible. Il avait prier pour elle quand elle avait été malade, c'était maintenant son tour de prier afin que tout se passe bien.

La messe tirait à sa fin, Lavania en profita pour adresser une prière en espérant qu'elle soit entendu.

Puissiez-vous veillez sur notre famille,
Gardez le en vie... permettez lui de revenir, après tout ce que nous avons fait pour y arriver... Permettez moi de le voir au moins une dernière fois, ne serait-ce que pour lui dire au revoir...

Amen...

Elle réveilla sa fille qui allait sûrement vouloir aller partager le pain avec les autres. Elle se leva, guidant sa fille en la tenant par le main cette fois, la menant devant l'autel, que la petite regardait impressionnée.

Félicitations pour votre messe.

Madame... Madame la diaconesse, elle n'en avait aucune idée alors elle préféra s'abstenir.

Ils quittèrent donc tous l'église, la petite Elendra bien reposée, le petit Ike affamé et Lavania le coeur un peu plus léger.

Rozenn.

Nous étions donc Dimanche ! Dimanche..... Le jour de la messe et précisément ce Dimanche qu'elle redoutait assez de par le fait qu'elle n'avait jamais fait de messes.
Ceci dit, elle était tout de même pressée un tantinet.
Ce matin, elle arriva assez tôt à l'eglise et grimpa les marches pour aller sonner la cloche !

Elle redescendit une fois que ceci fut fait, afin d'accueillir les fidèles dans la bâtisse.

Une fois qu'elle eut accueillit un certain nombre de personnes, elle se rendit à sa place derrière l'autel et entama donc la messe.

-Pour commencer, confessons nous, car nous avons pêché. Le seul moyen pour que le Très Haut nous pardonne est de se confesser. Alors allons y.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

AMEN

Ensuite, elle tenta de se souvenir de ce qu'il fallait faire... Hum oui le sermon ! Heu.... Elle avait pas préparé ça.. Bon ben, à la one again !

-Vous devez savoir chers fidèles, que cela fait plus d'un mois que vous avez élu le Conseil Ducal. Ce qui veut dire bilan de mi-mandat. Pour le moment, cela n'a rien de bien méchant, sauf quand certains de ces conseillers se pensent supérieurs à vous. Alors qu'il est Homme tout comme vous, et qu'il n'a la possibilité de se croire supérieur que parce qu'il a un pouvoir temporel supérieur au votre. Cependant, ce pouvoir il ne l'a que grâce à vous ! Il ne tient qu'à vous de le lui retirer mes chers Fidèles. Vous n'êtes en aucun cas obligés d'être rabaissés par qui que ce soit du moment qu'il est ce qu'il est grâce à vous. Si vous avez des remarques à faire à ce conseil ducal, vous pouvez les faire parvenir par l'intermédiaire du Frère Uriel ou de moi même qui sommes soit disant les plus habilités à comprendre ce qu'il peut bien se dire au niveau ducal. Même si certains peuvent prétendre que je ne suis pas une représentante de l'Eglise, je le suis bien évidemment. Sinon je ne vous ferrais pas cette messe ce matin. Alors n'hésitez certainement pas.

Alors après..... c'était le crédo.. Alors oui.... Le Crédo.

-Ensemble, récitons le Crédo à présent.

Citation:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

La petite Melly, continua sur un passage du Livre des Vertus. Elle l'avait choisi, un peu en rapport avec le début de la messe, mais pas tout à fait. Enfin vous verrez...

Je vais vous faire la lecture du Chapitre Quatre du Livre de la Création du Livre des Vertus.

Citation:

1- Le petit groupe décida de s’arrêter un moment. Ils s’installèrent sur une colline verdoyante, où poussaient de superbes fleurs que les abeilles venaient butiner. Une légère brise venait courber l’herbe. Les oiseaux chantaient. Les étoiles venaient éclairer les créatures pendant qu’elles posaient leurs sacs à terre et s’asseyaient en cercle. L’ambiance était maussade, car elles se posaient toutes la même question.

2- Toutes les espèces qu’elles avaient rencontrées était doté d’un talent particulier. Les vaches, créatures qui broutaient placidement l’herbe, avaient une nombreuse famille. Les moutons avaient une laine douce et volumineuse. Les ailes des oiseaux leur servaient à parcourir le monde en volant. Les chevaux, nobles et fougueux animaux, galopaient à la vitesse de l’éclair. Les poissons étaient les maîtres des vastes océans. Les cochons étaient puissants et farouches.

3- Même les végétaux étaient dotés de talents uniques. Les chênes étaient dotés d’une longévité qui n’avait rien à envier à leur taille. Le blé se multipliait à l’envi, couvrant de larges territoires. Le maïs avait ses épis, gorgés de vie. Les fruits avaient un délicieux goût sucré et les légumes des senteurs appétissantes. Et le petit groupe s’interrogeait. Mais pourquoi leur espèce n’avait-elle aucun talent particulier ?

4- Certes, les créatures du petit groupe avaient des mains, mais leur force n’égalait pas celle du cochon. Certes, elles avaient des jambes, mais elles ne les amenaient pas aussi loin que les oiseaux et pas aussi vite que les chevaux. Certes, elles pouvaient procréer, mais pas autant que les vaches ou le blé. Certes, certaines étaient barbues, mais c’était une bien piètre consolation comparé à la volumineuse laine des moutons.

5- Certes, elles étaient pleines de vie et de santé, mais bien moins que le maïs, les fruits et les légumes. Et elles n’osèrent même pas se comparer à la longévité et à la taille des chênes. Toutes ces créatures, animales comme végétales, avaient de sérieux arguments pour affirmer, tel qu’elles le faisaient, qu’elles étaient les préférées de Dieu. Leurs talents étaient uniques. Alors, le petit groupe essaya de se trouver un talent qui était propre à son espèce.

6- Son espèce se tenait debout. Mais quel avantage cela lui donnait ? "Aucun", répondirent de concert tous les membres du groupe. Leurs mains leur servaient à construire des outils, mais c’était pour compenser le manque de griffes ou d’autres organes. Ainsi, leur estomac était si faible qu’il leur fallait cuire la viande pour la manger. Et leurs yeux étaient si peu perçants, contrairement aux chats ou aux hiboux, qu’il leur fallait s’éclairer dans le noir. Leur fourrure était si peu épaisse qu’ils devaient s’abriter lorsque la pluie, la neige ou la grêle tombaient ou lorsque le vent soufflait trop fort.

7- Faisant ce sinistre constat, les créatures du petit groupe se mirent à pleurer. Ils étaient persuadés que leur espèce était le moins aimée de Dieu, qu’Il les méprisait, qu’ils étaient la lie de Sa création. Un silence pesant s’était installé, alors que tous se regardaient mutuellement, chacun cherchant dans les regards des autres une réponse à ses questions. Mais ces regards ne portaient aucune réponse. Ils étaient juste dégoulinants de larmes.

8- Mais l’un d’eux était resté à l’écart du groupe. Il regardait vers les étoiles. Tous les membres du groupe le négligeaient, le considérant comme un faible d’esprit. Il leur répondait souvent "Heureux les pauvres en esprit...", mais ne savait que rajouter à cette réplique. Pourtant, de tous, il était le seul à se demander ce que Dieu désirait, au lieu de se plaindre de son sort. Cet homme s’appelait Oane.

-Dans ce passage, on voit que l'espèce humaine se plaint et pleure de n'avoir été doté d'aucun don particulier par Dieu. Mais d'après vous chers Fidèles... Qui Dieu nomme-t-il Ses Enfants à part nous ?
N'est-ce pas déjà une belle chose que d'être les Enfants de Dieu ?
Comprenez que vous ne devez pas vous plaindre sans comprendre pourquoi Dieu ne vous a pas fait ce don.
Cela n'étant pas valable que pour cette chose là. Vous ne devez en aucun cas vous plaindre, ou geindre tant que vous n'avez pas compris le pourquoi du comment vous vous plaignez.
Il y a une chose que vous pouvez faire pour essayer de comprendre ce qui vous échappe encore, c'est de venir comme ce matin, de venir à la messe et peut être trouverez-vous une réponse.
Ou vous pouvez aussi venir me voir à la fin de la cérémonie, je pourrais peut être vous guider sur la voie de la compréhension.

Et maintenant.. La fin ! Ce pour quoi beaucoup de gens venaient finalement.... Elle invita tout les gens présents à venir partager le pain et le vin.

-Sur ce, mes chers Fidèles, je vous dis à Dimanche prochain si je ne vous revois pas avant !

Tout d'un coup, elle fut comme abandonnée seule en elle même par la petite présence qui l'avait habitée pendant tout le long de la cérémonie. La tête lui tournait légèrement et elle ferma les yeux quelques minutes afin de se calmer.
C'était assez étrange....

[HRP : Désolée si fallait pas tout faire en un post. Mais aujourd'hui j'ai pas trop de temps pour faire pleins de RPs

]
_________________

Maximin

Et oui, hélas, les enterrements faisaient aussi partie des sacrements.
Et c'étaient de loin les moins drôles ... voir tous ces gens tristes lui fendait à chaque fois le coeur.

Il se leva alors et soupira en pensant aux disparus.

Bien, Melly, vous voici diaconnesse.
Nous nous retrouverons pour la messe de dimanche ? Je vous laisse faire, et je serai aux premiers rangs ...

Il se pencha alors vers elle.

N'oubliez pas votre séminaire à Trèves.
Maintenant que vous êtes membre du clergé, il devient impératif de de compléter dans les meilleurs délais ...

Rozenn.

La Brunette retroussa le nez. La messe ? Mouarf ! Le truc qu'elle n'avait jamais fait et qu'elle n'avait jamais compris dans quel sens il fallait le faire. Groumpf..... Elle se débrouillerait.. Se rappellerait les messes du Frère Bender.
Punaise que ça remonte à loin ça wow !

Héhé... Le Séminaire

..

-Vi vi j'serais là pour la messe. Mais ouais.. Resez au premier rang, on sait jamais..... J'ai jamais fait, j'vais p'tetre avoir des trous..

-Pour le séminaire... J'fais c'que j'peux, j'suis encore entrain d'prendre mes marques en Lorraine en fait.. Alors j'prend pas trop d'temps pour faire ça encore.. J'ai un peu honte j'avoue.....
_________________

Rozenn.

L'annonce d'Uriel lui jeta comme un froid, elle venait de reprendre conscience que son travail de Diaconesse lui demanderait de s'occuper, non seulement de mariages et de baptêmes, mais aussi d'enterrements....

Elle ne trouva rien d'autre à dire que ceci.

-Prions pour que leurs âmes trouvent le chemin jusqu'au Soleil...

Comme les autres, ce f u t une prière intérieure qui commença pour la Jeunette. Les deux mains jointes et les yeux clos.
_________________

Allessia

Moi aussi j'était très triste de ces disparitions,
notre ancienne Mairesse Dame Mcchipie avait été très aimable avec moi
ma bien accueillie quand je suis arrivée avec du pain et un grand sourire
je me souviendrais toujours, de se soutien et de toute cette gentillesse pour moi...

Je regardais le Père Uriel et je prenais exemple sur lui je récitais le Crédo
en sa mémoire, ainsi qu'a tout les siens...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

_________________

Elisette

Elisette écoutait en silence depuis le début de la cérémonie à laquelle Lavania l'avait invitée. Elle avait regardé avec émotion la jeune Soraya rejoindre la Grande Famille, et s'était rappelé son baptême à elle, qu'Uriel avait officié au début de sa carrière dans le domaine. Sa marraine était là...Alistryna. Elle avait quitté ce monde il y a peu, sans l'avoir revue depuis son départ de Lorraine. Elle lui manquait tant, elles qui avaient été si proches ! Proches...Oui...Tous ses proches la quittaient l'un après l'autre. Théo...Son fils, celui qui avait été en elle, qui était une partie d'elle, qu'elle avait aimé et chéri pendant huit années...Oh ! Comme elle l'avait pleuré. Comme elle pleurait encore de voir tout le monde plaindre Fiha d'avoir perdu son fils, et l'ignorer elle alors que c'était elle qui l'avait mieux connu...Elle savait que certains la voyait comme coupable d'avoir laisser son fils seul durant ces quelques jours, mais elle l'avait tant cherché, sans arrêt, sans succès...Elle même s'en voulait tant...

Elle laissa une larme couler en entendant les dernières paroles d'Uriel, et commença à prier pour son fils bien-aimé.

Maximin

Uriel sourit à Soraya, qui avait été très agréable pendant son baptême, elle s'en repartirait avec un bien beau certificat.

Enfin, il vint pour partager le pain et le vin, moment de communion entre tous les fidèles.

Il prit alors la parole.

En ce jour aussi, je voudrais rendre un hommage à trois êtres qui nous ont récemment quitté.
Il s'agit de Dame McChipie et de sa fille Léa. Et hélas il y a aussi le petit Théo, qui s'en est allé.

La mort, injuste, frappe à l'aveuglette autour de nous, prenant sans se soucier, et ne faisant aucune concession ...

Il pria alors silencieusement pour les disparus ...

Rozenn.

Elle sourit à la nouvelle baptisée qui la félicitait. C'était une gentille attention de sa part.

-Merci beaucoup à vous. J'espère aussi que je donnerais des bons conseils à suivre. J'dis bravo si vous connaissez tout par coeur, moi j'suis obligée de réviser mes prières tous les soirs pour pas oublier ! J'ai une mémoire de poulet pour cette chose là c'est très bizarre d'ailleurs.

Et..Oh chouette... Le truc qu'elle avait finit par apprendre par coeur pour pas dire de bêtises tellement elle pouvait en dire : Le partage du pain et du vin.

Elle invita donc tout le monde à le partager ce pain et ce vin que le Frère Uriel avait déjà préparé.

_________________

Allessia

Après avoir communier, je me repris et je m'adressais au gents qui m'entourais...

Merci, frère Uriel, ainsi que Melly, pour votre gentillesse a tout les deux..

je regardais ma médaille fièrement, je la trouvai joli...

voila, alors je suis baptiser, maintenant, j'en suis bien contente..

oh mon certificat de baptême il est pour moi, je doit le garder précieusement
tout le temps que je vivrais...

je peu l'accrocher au mur dans ma chambre ca fera joli dans un beau cadre..
C'est ce que je vais faire, tout le monde pourra le voir, comme çà...

je vous remercie et vous souhaite une bonne soirée ainsi qu'une bonne nuit
a vous qui avait insister a mon Baptême...
j'embrassais affectueusement ma Marraine qui avait été présente
tout au long de la Cérémonie....

_________________

Maximin

Uriel sourit à Soraya ; il fut surpris de recevoir une bise, mais en apprécia la juste valeur.

Ce fut un plaisir pour moi.
A toutes fins utiles voici

votre certificat.

Et si jamais vous avez le moindre problème, vous pouvez toujours venir me voir à l'archidiocèse.

Il regarda la jeune fille souhaiter tous ses voeux à Melly, qui allait avoir du pain sur la planche avec sa licence ...

Maximin

Alors Uriel, recula de quelques pas et lui céda sa place derrière l'autel.

Mes Enfants,
En ce jour, Verdun a une nouvelle diaconesse.
Elle sera votre gardienne, votre guide sur le chemin d'Aristote et de Christos.

Puis il se tourna vers Melly.

Et bien maintenant, ... à vous de finir la cérémonie.

Lui laissant quand même un indice, il lui désigna le plateau avec le pain et la coupe avec le vin, qu'il avait préparé avant la cérémonie.
Il n'y avait plus qu'à faire l'offrande.

Allessia

Je faisais face notre bien aimé Diacre et je le regardais les mains joints
je lui dit....

merci frère Uriel pour cette belle médaille elle ne me quittera jamais

merci pour le cierge, oh..
Oh mais je suis Baptisé alors, ouaie, ouaie...merci, frère Uriel,

je déposais un baiser sur sa joue, heureuse d'être enfin Baptisé...
je me retournais vers notre nouvelle Diaconesse pour la félicitée..

Tout mes félicitation Diaconesse Melly, j'espère recevoir de bon conseille de votre part, merci de finir mon Baptême, je vous en serai toujours reconnaissante, je suit les préceptes de nos pères et je connais toute mes
prières par cœur, ma marraine est là pour le dire...
je suis gentille et obéissante...

je restais les mains jointe, en attendant la suite, je priais doucement dans ma tête, pour que cette cérémonie se termine et enfin...

Je vis ma Marraine par très loin de moi, et cela me rassura, j'eus moins peur de la suite....

Maximin

Alors que Soraya récitait le serment, Uriel vit la jeune fille sourire, car elle savait qu'elle allait pouvoir emprunter la Voie du Paradis.

Je te baptise, Soraya, au nom de l'Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l'amitié de tous les Saints et pour l'amour du Père de l'humanité.

Ensuite le Premier Archidiacre invita la jeune fille à se relever et alluma un cierge qu'il lui tendit.

Il entama avec conviction :

Prends ce cierge, que sa lumière guide tes pas dans l'obscurité, qu'elle dissipe les ténèbres de tes doutes ; porte la lumière, mon enfant, et éclaire les coeurs de ceux qui sont actuellement dans le noir.
Bienvenue dans la fraternité Aristotélicienne, te voici baptisée.
Puisse cet engagement te rappeler à tout instant la voie à suivre, la voie de la perfection et du chemin vers Dieu, vers son Paradis, ne t' en éloigne jamais car tu risquerais de te perdre en trahissant ton engagement solennel par une conduite déshonnête.

Se retournant, il prit et ouvrit une petite boîte, dans laquelle se trouvait une médaille :

Voici pour toi, cette médaille symbolise ton appartenance, porte-là avec fierté car tu sais maintenant ce qu'elle représente.

Il lui posa la main sur l'épaule, lui sourit et lui donna une accolade fraternelle.

Félicitations, Soraya, te voici baptisée.

Uriel se recula alors, souriant et vint rejoindra sa place derrière l'autel.

Rozenn.

Elle suivit la fin de la Cérémonie d'une oreille légèrement distraite, dans sa tête résonnaient de drôles de bruits, de drôles de sons, d'étranges choses. Comme si un vent lui passait dans une oreille, pour ressortir par l'autre, mais comme le passage est étroit, le bruit du vent qui s'engouffre quelque part...

La petite Mellyssa réussit tout de même à avoir la fin du Baptême, le moment où le Frère Uriel lui donnait la médaille du baptisé, et elle ne put s'empêcher de sourire à ce moment là. Elle était contente pour la jeune femme qui entrait dans la Grande Famille Aristotélicienne. D'après ce que lui en avait dit Uriel, elle était très pressée d'en faire partie, alors que son envie se réalise enfin lui faisait plaisir même si elle ne la connaissait pratiquement pas.

-Félicitations à vous Mademoiselle Soraya.

L logique pure et dure voulant que l'on n'est pas mariée quand on n'est pas baptisée, c'était bien une Demoiselle qu'elle avait devant le nez.
La petite Petite Ambroise reposa finalement son regard sur la Dame souffrante et sa poupée.. Elles n'avaient pas bougé à première vue....
_________________

Maximin

Uriel invita alors Melly à venir près de lui et reprit la parole.

Mes Enfants,
Melly fait partie de la grande famille d'Aristote depuis un moment, et je me rappelle avoir officié à son baptême, à l'Abbaye de Noirlac.
Mais elle souhaite oeuvrer de façon plus importante encore. En effet, elle a émis le souhait de devenir diaconesse en la belle ville de Verdun.

Le Premier Archidiacre de Trèves s'approcha du Livre des Vertus.

J'ai choisi un texte particulier pour cet événement.

Citation:

Dieu tourna ensuite Sa voix en direction d’Oane et lui dit : “J’ai fait de ton espèce Mes enfants. Je fais maintenant de vos esprits des âmes. Elles se différencient des esprits des autres espèces en ce qu’elles resteront dorénavant les seules à être de nature supérieure, à tendre vers Ma divine perfection. Ainsi, je divise le temps en sept parties, appelées “jours”, afin qu’à chaque septième jour, toi et les tiens vous vous réunissiez pour honorer votre père : Moi.”

“Mais il faudra encore que, chaque jour, toi et les tiens fassiez perdurer votre espèce. A l’exception de celle que Je n’ai pas nommée, J’ai fait de toutes les créatures vos soumises. Ainsi, vous vous en nourrirez, sans qu’elles ne se nourrissent de vous. Ce pouvoir dont vous disposez de vous nourrir des autres espèces, Je le nomme “travail”. Mais, afin que vous n’oubliiez jamais que ce pouvoir est un don de Moi, vous récompensant ainsi de ta bonne réponse, Oane, le travail sera laborieux, difficile, usant et fatigant. Mais ne te plains pas de la souffrance que cela te cause, car, en vérité, c’est un bien beau cadeau que Je te fais.”

“Afin que vous remplaciez par de nouvelles générations celles dont la vie se termine, je vous fais un cadeau bien plus beau encore. Cet amour que J’attends de vous, Je vous permets aussi de l’éprouver également envers vous, en couple. La tendresse et le désir mutuels seront les composantes de ce pur sentiment. La procréation en sera le but. Mais seul l’amour que J’aurai béni pourra permettre l’acte de chair, afin que votre espèce perdure dans Mon amour.”

Ainsi, Dieu nous aime. Nous sommes ses Enfants et il a donné une âme à notre esprit. Nous sommes supérieurs à toutes les autres créatures. Mais cela ne nous empêche pas de les respecter.
Nous pouvons aussi nous aimer. Et cela au travers du mariage. Et ainsi, nous pouvons continuer à exister, car, par cet amour naient des enfants.

Puis Uriel se tourna vers Melly.

Mon Enfant, voulez-vous servir et guider sans relâche le peuple des croyants sous la conduite du Très-Haut et l'éclairage des enseignements aristotéliciens?

Faites-vous vœux d'officier ainsi votre charge de diaconesse, de guider vos ouailles dans la voie de la vertu tracée par Christos, notre prophète?

Promettez-vous de vivre en communion avec les valeurs aristotéliciennes transmises par Christos et donc d'obéir toujours au dogme, au droit canon ainsi qu'à votre hiérarchie et de n'œuvrer que pour le salut des fidèles qui vous seront confiés?

Veillerez-vous à aider la communauté humaine à suivre la voie qui mène au Paradis solaire tout en combattant, prioritairement par la parole, toutes les hétérodoxies et les hérésies qui vous entourent?

Rozenn.

Elle fût tirée de ses légers songes par l'invitation du Frère Uriel à venir près de lui. Ne pouvant refuser, et n'ayant de tout façon pas envie de refuser, elle arriva à ses côtés et attendit ce qu'il allait bien pouvoir se produire.

Norf ! Une cérémonie de nomination ! Mais késséssa ? Les neurones de la petite Petite Ambroise étaient en ébullitions, il se passait une chose à laquelle elle n'avait encore jamais eu affaire et donc une chose qui l'intéressait au plus haut point. Son instinct de soif de connaissance et d'apprendre venait de reprendre le dessus....
Elle écoutait chaque mot de l'Archidiacre sans en oublier un seul, imaginons que même un "le" soit important dans ce genre de situation ?

Tout en étant passionnée par ce qu'elle ne connaissait pas encore, elle fut interrogée par l'officiant. Quoi de mieux à faire que de répondre me direz-vous ?

-Vi, je veux servir et aussi guider les gens qui croient dans le Très Haut et dans l'éclairage des enseignements aristotéliciens, et ça sans abandonner.

-Je fais le voeu d'officier comme Diaconesse et de guider mes ouailles dans la voie de la vertu que notre Prophète Christos il a tracée pour nous.

-Je fais la promesse de vivre e accord avec les valeurs aristotéliciennes que Christos nous a transmis, donc d'obéir au Dogme, au Droit Canon et à ma Hiérarchie, et je promet aussi d'oeuvrer très fort pour le salut des fidèles de ma paroisse.

-Voui, j'veillerais à aider la Communauté des humains pour suivre la voie qui mène dans le Paradis Solaire et j'combatterais les hétérodoxes et les hérétiques qui m'entourent, d'abord avec de la parole.

Normalement, elle n'avait rien oublié...
_________________

Rozenn.

Bah tiens.... Elle ne savait pas trop par quelle magie elle se doutait fermement de ce que comptait faire le Frère Uriel.
C'est vrai que c'est pas idiot d'un certain côté de refiler le plus compliqué aux autres. D'autant plus que la P'tite Melly elle avait toujours du mal à commenter correctement un texte. Soit disant qu'elle causait mal.... Nan mais j'vous jure, des fois les gens, c'est à se demander s'ils viennent du même monde que vous !
Genre Melly parle mal...Nan mais sans blague.

Bref, puisqu'elle n'avait pas forcément trop le choix, elle se lança dans l'explication du texte, mais ça... Le Frère il allait en entendre parler après la Cérémonie, c'était presque obligatoire mouhahaha !

-Heum... D'abord, le texte choisi par la marraine explique que pour vivre dans l'Amour du Très Haut, on peut pas le faire tout seul. Y faut voir les autres, et être avec les autres. Pour ça, y faut former une communauté solide dans laquelle tout l'monde sera lié par l'Amitié que tout l'monde doit éprouver pour les autres.

Par exemple, même si t'aimes pas untel à un niveau pas religieux, hé bah quand tu fais parti de la Communauté Aristotélicienne tu dois oublier cette rancoeur là le temps d'un "rassemblement". Comme une messe, où j'le rappelle tout l'monde doit aller ! Donc comme une messe, un mariage si par manque de chance celui que t'aimes pas est invité aussi, dans un baptême si toujours par la faute à pas d'chance... Enfin voilà.. On peut ne pas aimer son prochain dans la "vie temporelle" mais on l'aime forcément dans la "vie spirituelle".

La Communauté formée par tous ces gens qui s'aiment dans la religion, elle est guidée pour pas être détournée du droit chemin et tomber dans le pêché et rester dans la vertu. Elle est guidée par Aristote qui donne les principes du fonctionnement de la Communauté, qu'on connait aujourd'hui, car ses successeurs ont fait que de faire perdurer ce que lui avait déjà fait.

Le conseil qu'on peut tirer de cet extrait, c'est que si t'veux rester vertueuse, faut pas que tu t'détournes de l'Amitié. Donc tu dois pas restée seule dans ton coin quand t'as un problème. La Communauté, en faisant appel à l'Amitié Aristotélicienne t'aidera pour l'surmonter ton soucis. Et comme ça, pas d'risque, ou presque, de tomber dans le pêché. Hé vi... Le risque nul existe pas, la perfection c'est le Très Haut, on essaye juste de s'approcher l'plus possible du parfait, donc du Très Haut.. C'est l'but d'la vie....

Oui donc vous constaterez que parfois, la Mellyssa aimait bien causer et dire pleins de choses.....
Enfin tout ceci dit, elle se tourna vers le Frère Uriel avec un grand sourire, presque comme si elle ne se souvenait même plus de ce qu'elle venait de dire. Puis elle attendit la suite de la cérémonie.
_________________

Maximin

Alors qu'il contournait l'autel pour venir se placer face à Soraya, Melly entama sa déclamation.
C'est qu'elle s'en sortait bien, la petite, et elle ne semblait pas prise au dépourvu - un bon point en plus.

Son ami Adso lui avait assuré le fait qu'elle s'en sortirait bien, et bien qu'ayant entière confiance dans le curé de Luxeuil, il tenait quand même à la mettre à l'épreuve.
Nommer un diacre était un acte important et il fallait éviter que celui-ci (ou celle-ci), aille semer dans la tête des paroissiens des paroles dénuées de sens.

Bon, ça avait l'air d'aller. Mais bon ... faudrait encore voir pour la licence en aristologie.
Y'avait pas de feu sans fumée et encore moins de bras sans choc-aux-las.

Bref, c'était pas tout ça, mais la belle Soraya devait avoir les genoux en compote, il lui traça donc le signe de la croix aristotélicienne sur le front, et ce, à l'aide de son pouce qu'il avait trempé dans l'eau bénite puisée quelques instants plus tôt dans les fonds baptismaux de l'Eglise.

Merci Melly pour ce commentaire, car en effet, nul ne peut être parfait à part Dieu, mais cette perfection, nous devons tous essayer de nous en rapprocher le plus possible, comme le fit Christos.

Maintenant, Soraya, te voilà prête à entrer dans une nouvelle famille, dans une grande communauté de croyants et de fidèles, et à compter de ce jour, nous serons tous tes frères et tes soeurs.
Nous t'aiderons dans la détresse et la douleur, et nous serons là aussi pour partager tes joies.

Prêt à être purifiée, te voici, et tu pourras emprunter ce chemin, le chemin de la Vertu, celui qui te mènera au Paradis Solaire.
Et sur ce chemin, tu rencontreras beaucoup d'Amis et d'Amies.

Maintenant, voici le moment où tu dois prêter le Serment du Baptisé :

Uriel invita la jeune fille à réciter ces mots.

Allessia

Je récitais, le sermon d'Allègeance comme le demandais L'Archidiacre Uriel
pieusement les mains jointe...

je l'écoutais, j'aimais cette cérémonie à deux, je trouvais que la futur Diacre sans sortait bien, en prenant exemple sur notre Diacre Uriel
elle va y arrivée..

a nous faire de belle messe...

mon Baptême tirait a sa fin, il avait durer trois jours, tout le monde etait un peu fatiguer, les choeurs chantaient toujours avec une voie claire et
harmonieuse avec une très jolie musique d'église....
j'étais ravie tout ce passai bien...

oui merci pour tout c'est choses, je suis très contente de rentrée dans la grande famille d' Aristote, j'espère qu'il veux de moi, lui aussi, je ne le décevrais pas, je serais une bonne croyante promis...
_________________

Maximin

Uriel écouta avec attention le texte qu'avait choisi Lava puis regarda la jeune fille qui l'écoutait.

Ensuite, enfin, il se retourna vers Melly.

Mais ... venez donc près de moi pour vous habituer à cette place, Melly, car bientôt, ce sera la vôtre.

Alors, que pensez-vous de ce texte et que pouvez-vous nous en dire.

Alors qu'il demandait à la future diaconesse de commenter le passage, il prit un petit récipient qui contenait de l'eau bénite et fit le tour de l'autel, se dirigeant vers Soraya ...

Allessia

oui... frère Uriel je vous écoute, je regardais ma marraine et lui fis
un grand sourire....

un peu intimidé, je regardais, frère Uriel...
et je récitais le Crédo... sans perdre ce que disait frère Uriel..

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN

je dit un Amen retentissant. Mais cela fait deux crédos que je récite
sans m'en apercevoir, aujourd'hui j'étais vraiment troubler
_________________

Allessia

je pris la main de ma marraine et je la serrais très fort, j'avais un peu peur

cela me rassurais de la savoir près de moi!....
elle avait un joli poupon dans cet bras un beau petit garçon...

tout fraichement né.. qui dormait bien tranquillement...

_________________

Lavania

Lavania suivait la cérémonie et lorsqu'elle vit Zeiss se lever brusquement pour quitter l'église, elle faillit le suivre aussi. Elle resta cependant là, sans bouger, commençant à réciter le crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Une fois que tous eurent terminé, elle pu lire le passage du livre des vertus qu'elle avait choisis pour sa filleule. Avant de commencer, elle lui sourit, elle qui semblait si nerveuse.

Citation:

" Maître, que devons-nous faire pour vivre dans l’amour de Dieu? "

Alors, Christos lui répondit avec un sourire :

" Les fidèles de Dieu, ceux qui ont appris l’enseignement d’Aristote et qui veulent suivre le chemin que je vous trace, doivent former une communauté de vie. Cette communauté trouvera son sens, et permettra à chacun de vivre dans la vertu, si elle est unie dans l’amitié réciproque que chacun de ses membres se doit d’éprouver envers ses semblables. Pour vous guider, je serais le père de cette communauté, j'en érigerais les principes, et mes successeurs feront de même après moi."

Une fois qu'elle eut terminer, elle regarda Uriel, il y avait si longtemps qu'elle n'avait pas assister à un baptême.

Maximin

La prévenante jeune fille était focalisée sur la cérémonie et ne vit pas que sa marraine, Lavania et son mari Zeiss, étaient déjà là

.

Alors qu'elle avait récité la prière du pardon, il releva ses yeux vers Elou dont Melly s'occupait.
Il continua alors.

Ainsi, votre âme est maintenant pure grâce à cette confession.
Mais ceci n'est qu'un début vers la voie de la Vertu.

Nous allons maintenant réciter le Crédo, véritable profession de Foi Aristotélicienne, avec lui, nous réaffirmerons notre croyance en Dieu.

Ensuite, Lavania ou Zeiss viendront nous lire un passage du Saint Livre, un texte choisi par elle pour présenter le message aristotélicien à leur filleule.

Uriel invita les personnes présentes à la réciter et en particulier Soraya.

Il fut alors rejoint par la future Diaconesse ... d'ailleurs, il lui demanderait de commenter le passage du Livre des Vertus que serait cité pour la jeune fille.

Allessia

merci, frère Uriel...

Je m'agenouillais et je récitais le Crédo, cette très belle prière d'Aristote

je me relevais et je me mis face a notre Diacre Uriel...
les mains jointe, pieusement....

merci Diacre Uriel je viens de l'a voire, j'en suis très contente même,
j'avais peur que ma futur Marraine ne puisse venir a la Cérémonie
de mon Baptême...
je fis un grand sourire a ma futur Marraine...
et je murmurais merci d'être venus, Marraine, que Aristote te protège...
_________________

Rozenn.

Mellyssa sourit légèrement en écoutant la Dame. C'était assez amusant finalement.... La Dame savait parfaitement qu'elle allait mal, mais pourtant, elle voulait absolument me cacher, faire comme si de rien n'était, faire comme avant.
C'était amusant parce que sa maman à elle, elle faisait pareil. Elle allait mal en ce moment, et pourtant, elle ne voulait pas le laisser paraître à ses propres filles.
Ses propres filles qui malgré le fait qu'elles allaient sur leurs dix-sept ans, restaient de grandes enfants. Du moins pour Melly.

La Jeune Ambroise voulait vraiment faire quelque chose pour la Dame, mais puisqu'elle semblait vouloir le cacher, il fallait la jouer subtile, ou bien tout simplement jouer au même jeu qu'elle.
Elle sourit donc de nouveau et fouilla dans sa besace, d'où elle sortit la petite poupée de chiffon de Tati Kyonna. C'était une petite poupée "magique", dés qu'elle l'avait avec elle, elle se sentait bien notre petite Mellyssa. D'ailleurs, elle avait toujours l'impression qu'il lui manquait quelque chose quand elle ne l'avait pas sur elle.

Melly déposa la poupée de chiffon près de la Dame et chuchota.

-Je dois retourner là bas... Mais elle va vous guérir elle, je suis sure.. Elle me guérit toujours moi vous savez.

Qui a dit que c'était ridicule ? Qu'il se prenne une tarte !
Enfin, elle donna tout de même son nom avant de partir, surtout si la Dame était de Verdun, il avait des chances pour qu'elle la croise de nouveau à l'église quand elle y serait diaconesse.

-Je m'appelle Mellyssa Ambroise.. Que le Très Haut il veille sur vous, et ma poupée aussi...

Et hop, elle reparti sans même attendre que la Dame lui réponde et retrouva sa place auprès d'Uriel avant de faire un clin d'oeil au Frère qui avait continué l'office pendant ce temps là.
_________________

Maximin

Uriel sourit lorsqu'il vit arriver Soraya dans l'Eglise.
Il l'invita à prendre place face à l'autel et à réciter elle aussi la prière du pardon.

D'ailleurs, il lui chuchota celle-ci :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Margaretta

Elle qui s’était voulu discrète ne voulant troubler la cérémonie.
Lorsqu’elle vit arriver une personne qui lui était inconnue. Reprenant un peu sur elle même. D’un léger mouvement de la tête.
Je vous remercie pour votre prévenance mais cela devrait aller.
Poussant maladroitement le mouchoir de son pied.
_________________

Allessia

Bonjour, frère, Diacre Uriel...

Lui dit je avec un grand sourire..

j'ai prévenus ma marraine dame Lavania
qui ne va surement pas tarder à se manifestée, comment fait-on on attends un peu ou on commence de suite...
frère Uriel me chuchotât de commencer a récité la prière du pardon

Oui... frère Uriel je vais récité la prière du pardon..

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
_________________

Rozenn.

Mellyssa s'était enfin habituée au fait de se trouver debout. Enfin son esprit s'y était habitué, ses jambes ne demandaient qu'à aller se reposer, là bas, sur le banc qui ne se trouvait qu'à quelques pieds de là où elle se trouvait.
Hé bah naaaaan !
Pour se changer les idées, elle regardait donc discrètement les gens qui se trouvaient dans l'église, mise à part la future baptisée, sa marraine, les "deux" officiants, un homme et une dame qui avait l'air mal.... euh.... très mal en point, il n'y avait pas grand monde dans la petite église.

En parlant de la Dame, son regard se focalisa dessus et plus le temps avançait, plus elle avait l'air de se sentir mal. La Petite Mellyssa ne pouvait pas rester là sans rien faire. Peut être cette Dame était-elle connue pour être toujours aussi malade, mais elle, elle ne la connaissait pas encore alors.
Tout en s'excusant très brièvement auprès du Frère Uriel, elle s'éloigna de lui pour s'approcher de la Dame en question.

-Excusez mon Frère....

Se trouvant à hauteur de la femme qui se tenait le ventre et semblait réellement souffrir à voir les larmes qui commençaient à perler sur ses joues, elle ne put faire autre chose que de demander doucement.

-Vous voulez aller prendre de l'air un peu dehors Madame ? J'aime pas beaucoup voir les gens dans des états comme ça vous savez...
_________________

Maximin

Une ride d'inquiétude marqua le front du Premier Archidiacre lorsqu'il vit son amie Elou tousser.
Il faudrait qu'il aille la voir après le baptême, s'enquérir de sa santé et lui prescrire quelques médication.

Puis elle se tint le ventre ... il allait y aller lorsqu'il constata que Melly s'en inquiétait.
Il la laissa faire, car c'était là fort bonne action.

Nul besoin de vous excuser, ma soeur, allez-voir ce que la Duchesse de Vittel a comme mal. Cela m'inquiète ...

Allessia

j'arrivais en courant a l'église un messager venait de m'apporter un message de notre Diacre Uriel .....

Il m'attendait sur le parvis de l'église et faisait les cent pas....
Bonjour, Messire Uriel

heureuse de vous voir, je suis pourtant passer tu as l'heure mais je ne vous ai point vu...

Pour cette occasion j'avais mis ma plus belle robe et mes plus belle chausses
du Dimanche...

enfin le grand jour, je vais être Baptiser, depuis le temps que je le désirais...
Il me fallait prévenir ma Marraine Dame Lavania.... j'entrais dans la grande église avec le coeur qui battait a se rompre...
_________________

Margaretta

Les yeux mis clos après avoir regardé vers l’autel, elle vit son petit miel, un léger sourire apparu sur ses lèvres.
Abaissant la tête, regardant la bague que son époux lui avait offerte, la fessant tourner avec un doigt.
Les souvenir lui revinrent en mémoire puis une quinte de toux assombri ses pensées.
Portant sa main dans un des plis de sa robe en sortant un carré de tissus blanc marqué au signe de ses terres, le porta à sa bouche.
Essayant de reprendre son souffle après avoir craché dans le carré blanc qui venait de se colorer d’une couleur rouge sang.
Baissant les yeux regardant le rouge de sa vie qui s’enfuyait sur le blanc du morceau de tissus.
Une pointe la piqua au ventre laissant tomber le mouchoir portant ses mains ou la douleur la fessait souffrir. Des larmes coulèrent sur ses joues serrant les dents elle se devait d’être forte pour celui qu’elle aimait .
Seul un mmm se fit entendre dans la chapelle.
_________________

Margaretta

Réveil matinal que Elou n’aimait pas.
Mais les seules forces qui lui restaient étaient la prière.
Une longue cape couvrant ses épaules les yeux fatigués.
La Duchesse se dirigea vers l’église de sa ville.
Posant sa main dans le bénitier l’eau froide lui ferma les paupières un instant..
Et comme si elle avait oublié ce qu’elle fessait voyant un banc libre en sautillant sur un pied elle se dirigea vers lui.
_________________

Maximin

Le Premier Archidiacre n'était pas réputé pour s'encombrer de détails.
Mais voici qu'entretemps entraient le Caporal Zeiss entrait dans l'Eglise ; Uriel salua son ami et ... il fronça les sourcils, mais oui ... c'était bien Elou, la Duchesse de Vittel.

Il se rappela du "petit miel" en taverne, une blague rien qu'à eux deux, cela remontait à si longtemps, il en rit intérieurement ...

Mais voici que revenait Melly d'être allée sonner les cloches, toute essouflée, les joues toutes roses ... on aurait dit une poupée pour enfant ...
Alors qu'elle s'asseyait sur un banc, Uriel la fixa puis lui fit un signe de tête, l'invitant à le rejoindre près de l'autel ...

Hum non, ce n'était pas une demande en mariage, cela, il le réservait pour plus tard - mais pas si tard que ça - et pour une autre personne.

Rozenn.

A peine assise qu'on lui demandait déjà de se relever. Aucune considération pour l'état de ceux qui leur sont inférieurs hiérarchiquement parlant ces Archidiacres j'vous jure !
C'est à se demander si c'était une bonne idée de devenir Diaconesse finalement...
Bref, elle se releva et vint aux côtés d'Uriel en se doutant un peu de se qu'il comptait faire.

Hé non, ce n'était pas une demande en mariage, elle n'avait aucune envie de se marier avec l'Archidiacre, hé puis elle se doutait qu'il en aimait une autre, et puis de toute façon.... Nan ça, ça vous regarde pas hinhin.
_________________

Maximin

Uriel regarda Melly. Elle semblait agacée, c'était tant mieux, car il testait sa patience.
Un diacre devait savoir faire de nombreuses concessions, garder son calme dans de nombreuses circonstances voire même répondre dans le bon droit, en défendant ses convictions, mais tout en restant calme.

Il n'avait pas fini de l'éprouver mais pour l'heure ... c'était au tour de Soraya de réciter sa prière du pardon ...

Rozenn.

Mellyssa arriva juste au moment où Uriel cherchait quelqu'un pour aller sonner les cloches annonçant le baptême de Damoiselle Soraya.
Ni une ni deux, elle releva ses jupons et couru en direction des escaliers pour les sonner. Elle qui pourtant, détestait ça, puisqu'au bout du premier tirage de corde, elle n'avait déjà plus de force dans les bras.
Vivement l'invention de quelque chose qui sonnera les cloches tout seul, ça sera vachement moins usant pour les bras et aussi les jambes..

Une fois les cloches sonnées, elle redescendit assez rapidemment en prenant soin tout de même de ne pas se casser la margoulette dans les marches et de se retrouver en boule tout en bas. Sauf que rendue à la moitié, elle entendit que le Père Uriel avait déjà commencé et n'avait pas attendu qu'elle redescende.
Elle ne put s'empêcher de lâcher pas trop trop fort quand même.

-Oh il est chié lui !

Hop, on augmente un peu la cadence de la descente, un pallier de fait en manquant de peu de se gaufrer, trois autres sans soucis et celui d'après qui manque de peu de la faire glisser. Quelles péripéties !
Arrivée enfin à l'avant dernier degré, elle se prend les pieds dans sa robe et commence à tomber vers l'avant.

[scène au ralenti, parce que c'est tellement mieux quand c'est au ralenti]

"Son pied droit se retrouve malencontreusement posé sur un bout de la robe et tandis qu'elle veut avancer son pied gauche sur la marche d'en dessus, sa robe l'en empêche violemment, étant tirée par le pied droit qui la scotchait littéralement sur la froide pierre du pallier plus haut. Totalement déséquilibrée, c'est le corps tout entier qui commence sa folle descente vers le plancher des vaches, se trouvant juste deux marches plus bas je le rappelle.
Par un excès d'activation de ses neurones certainement alertés par le petit signal clignotant rouge "waaaaaarniiiiing", les deux mains de la brunes viennent se coller contre les parois entourant l'escalier, dans ce genre de moment on aime être serrée dans son escalier."

[retour à la scène en vitesse réelle, parce que le ralenti c'est bien, mais ça va pas vite]

Mellyssa lâcha un grand soupire de soulagement. Elle n'était même pas morte !
Ce qu'on est fier d'être gaucher quand on sait que le gaucher a plus de réflexes qu'un droitier.
Merci la maman de Mellyssa d'être gauchère et d'avoir transmis ça à ta fille ! Tu viens de la sauver d'une m.... bon okay... d'un accident qui aurait bien pu lui faire mal.

Mine de rien, elle alla s'asseoir sur les bancs de l'église afin de suivre la suite de la cérémonie en reprenant la confession en cours.

-...lie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
_________________

Lavania

Lavania s'avança devant l'autel, se plaçant à côté de sa futur filleule lui souriant gentiment. Une fois que les cloches furent sonnées, Lavania écouta avec attention ce que disait Uriel. Cela faisait un bon moment qu'elle ne l'avait pas vu.

Lorsque le temps fut venu, Lavania récita en même temps que Soraya la prière du pardon.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Zeiss

Les cloches sonnent...Dur réveil...Les cloches sonnent...Pas moyen de se rendormir...Des mois qu'elles n'ont pas sonner,et c'est le jour où Zeiss décide de faire la grâce matinée que...Une minute...Si elle sonnent,là,d'un coup...C'est qu'il y a un baptême,ou un mariage...Et donc qu'il y a quelqu'un pour célébrer...Donc Uriel est à Verdun!Zeiss se leva et s'habilla rapidement tout en réfléchissant quel évènement se déroulait à l'église.Pas de mariage...Il n'y avait pas de bancs.C'était forcément un baptême...Mais le baptême de qui?Il réfléchissait...Les noms défilaient dans son esprit...Déjà baptisé...Lui aussi...Soraya!Il n'y avait que Soraya.La marraine était Lavania,et il avait déjà discuter avec la future baptisée,et l'avait trouver fort sympathique,il décida de s'y rendre.Le jeune homme avala un morceau de pain et se dirigea vers l'église d'un pas rapide.Puis,une fois devant l'édifice,il remit correctement sa chemise et entra.Il n'y avait encore personne à part Uriel,la concernée et sa marraine.Il sourit et s'assit sur un banc au hasard et eut un grand tilt dans sa tête.Il était déjà trop tard.La seule chose qu'il restait à faire était espérer que sa présence ne se ferait pas trop remarquer par Soraya.
_________________

Maximin

Arrivé à Verdun quelques heures plus tôt, le Premier Archidiacre avait rempli son agenda pour trois jours, déjà, et il avait du pain sur la planche.
Qu'à cela ne tienne, il avait le coeur à l'ouvrage.

Il avait laissé son cheval chez son filleul, Caoimhim ... en espérant que le célèbre boucher n'en ferait pas de la saucisse

.
Il rit intérieurement, s'imaginant repartir à Epinal avec quelques centaines de kilogrammes de viande fumée ...

Mais l'heure n'était pas à la liesse. Il se dirigea alors vers l'Eglise et y pénétra, voyant Soraya et Lava déjà toutes prêtes.
Se signant, il remonta l'allée centrale, salua la statue d'Aristote et mit en genou au sol face à la Croix de Christos.

Il se tourna alors vers les deux jeunes filles.

Bien le bonjour et excusez-moi, je suis légèrement en retard ... un peu de brume sur les chemins ...

Je vais avoir également le plaisir d'introniser celle qui sera votre future diaconnesse.

Bien, damoiselle Soraya, je vous invite à venir vous agenouiller devant l'autel, quant à toi, Lavania, tu peux te placer aux côtés de ta future filleule.

Il fit alors le tour de l'autel, alluma consciencieusement quelques cierges et ouvrit le Livre des Vertus.

Il envoya un villageois faire sonner les cloches.

Dong ! Dong ! DOng ! DONg ! DONG !

Chers amis, chers croyants, chers fidèles,

Bienvenue en ce jour à l'Eglise de Verdun.
Aujourd'hui, jour peu commun, si il en est, nous allons faire le baptême de Soraya, une croyante. De par ce sacrement, elle deviendra une fidèle, mais aussi une soeur, dans la Fraternité Aristotélicienne.

Mais qui pourrait se prétendre pur à ce jour ?
Personne, car nous humains, et moi le premier, sommes bien imparfaits ! Certes nous devons observer un code de conduite strict, être vertueux et aimer les nôtres, et Aimer Dieu.
Ainsi, je vous propose de réciter la prière du pardon, afin de confesser nos péchés :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Il invita alors les deux jeunes filles à la réciter après lui ...

Allessia

-Bonjour, ma future Marraine....

Citation:

Si tu as des soucis avec ta pastorale surtout n'hésite pas à venir me demander conseil.

Non je n'ai pas de problème avec ma pastorale elle est fini depuis longtemps
j'attends le baptême, je vais aller vois le frère Uriel il a du m'oublier...

Merci de t"inquiété...
je te souhaite une bonne journée
quelle te soit douce et enrichissante
que le très haut veille sur toi!...

je priais pour notre,
Seigneur regarde tes enfants qui t'aime, aide les à trouver le bonheur, l'amour, l'amitié et la paix éternel.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN

_________________

Anastazia_

Isis avait besoin de prendre l'air. Depuis son arrivée, elle n'avait pas quitter le chevet de sa sœur Chipie.

Puis était arrivé Tophe et Zeiss. Elle les avait remercié d'être là aussi.
Sa sœur voyait ainsi ses vrais amis. Ceux qui malgré tout étaient là pour la soutenir.

Arrivant devant l'église, Isis poussa la lourde porte et s'approcha de l'autel. Elle se mit à genoux comme elle le fait lorsqu'elle veut méditer. Mais là c'était une prière qu'elle adressait à dieu.

Seigneur tout puissant, je me tourne vers toi pour te demander de prendre soin de ma sœur Chipie. Bien sur, comme nous tous, elle a fait des erreurs. Mais elle n'a jamais voulu faire de mal à qui que se soit. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait. Je lui ai pardonné depuis fort longtemps. Sois juste avec elle lorsqu'elle se présentera devant toi. Prends la près de toi. Elle mérite ton pardon.

Les larmes coulaient sur son visage mais elle n'y fit pas attention. Elle priait pour l'âme de sa sœur. Puis sentant son cœur s'affoler , elle sorti en courant de l'église sentant que pour sa sœur la fin était tout proche.

Allessia

Bonjour ma future Marraine, je viens prier pour nous et pour ton future bébé

je récitais le crédo aristotélicien avec ferveur agenouiller sur un pris Dieu
qui était vide l'église aussi d'ailleurs été vide, pas un bruit cela me donnais des frissons, je sentais des courant d'aire dans mon dos comme si quel qu'un me soufflai dans le dos....

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des péchés,
En la Vie Éternelle.
_________________

Lavania

Lavania monta les marches de l'église tranquillement, elle n'avait pas trop le coeur à la fête, elle venait quelques fois prier afin de se sentir mieux, mais aujourd'hui, elle en avait réellement besoin. Personne ne savait qu'elle était ici, elle ne l'avait même pas dit à son mari, qu'elle n'avait pas vu depuis plusieurs jours d'ailleurs. Il lui manquait terriblement, mais il ne pourrait partager sa peine en ce moment.

La jeune femme ne se serrait jamais imaginée monté les marches afin de prier pour la mort de cet homme qui lui avait été si cher. Elle l'avait aimer, autant qu'une femme puisse l'aimer. Elle l'avait fait souffrir, plus qu'elle n'aurait jamais dû le faire, il lui avait pardonner, mais au fond d'elle, jamais elle ne pourrait se le pardonner. Aujourd'hui, elle venait d'apprendre son décès. Bien réelle cette fois...

Les larmes coulaient de nouveau sur ses joues lorsqu'elle poussa les portes de l'église. Elle se dirigea d'un pas rapide vers l'autel, ne prêtant même pas attention à savoir si d'autres gens y était. Elle se mis a genoux, joignant ses mains ensemble, fermant les yeux très très fort, faisant rouler de nouvelles larmes sur ses joues.

Elle savait que ce qu'elle était en train de faire serait la dernière chose qu'elle pourrait faire pour lui, il n'y aurait pas de funérailles d'organisées, il n'était pas baptiser. La jeune femme ne pouvait que lui adresser une dernière pensée, espérant que de là où il se trouvait il pourrait l'entendre, lui envoyer un signe peut-être... Veillez sur elle, même si elle en doutait... Après tout ce qu'elle avait fait...

Puisses-tu être bien là où tu es...
Reposes en paix, aux côtés des êtres qui te sont chers...
Puisses-tu veillez sur nous toi qui avait un coeur et une âme si pure...
Si tu m'entends, je te demande pardon à nouveau...
Pardonne moi...
Jamais je ne te l'aurai dit assez...
Je t'aime Etienne...

Sa voix se brisa en prononçant son nom, ses yeux toujours fermés laissaient coulé les larmes sur ses joues, elle n'aurait jamais imaginer un monde sans lui, bien qu'ils avaient été séparée sans se voir durant un long moment. Cette séparation ci lui faisait plus mal qu'elle n'aurait pu le croire.

Elle essayait de se souvenir, les derniers moment passés avec lui. Le jour de son anniversaire... Il lui avait fait un gâteau... À ce souvenir les larmes redoublèrent de plus belle. Elle n'avait pas pris conscience que c'était exactement ce jour qu'elle l'avait vu pour la dernière fois...

Il avait semblé si heureux, si vivant... Comment cela avait-il pu lui arriver? Elle ne savait même pas depuis quand il était partie... Avait-il souffert? Avait-il été malade au point de ne plus pouvoir sortir, ne plus pouvoir écrire une lettre? Si elle l'avait su, elle serait aller lui rendre visite, n'importe quoi... Mais il était trop tard et elle se releva résignée. Marchant le long de l'allée, dans la direction inverse qu'à son arrivée.

Elle avait marché plusieurs fois dans cette allée... Dont le jour de son mariage, dans une robe blanche... Ce fut la pensé d'aller rejoindre son mari qui lui permis d'essuyer ses larmes et de pousser les portes, sentant le vent frais sur son visage, lui faisant le plus grand bien.

Elle quitta donc l'église en prononçant quelques mots, les derniers qu'elle lui adresserait jamais.

Merci pour tout Etienne...

Spb1144

Saint-Preux dès son retour à Verdun avait prévu de se rendre de nouveau à l'église. Ses longs voyages l'avaient tenu éloigné assez longtemps des Saints Édifices. Il était tant d'y remédier maintenant qu'il avait retrouvé son foyer.
Après une dure journée à la mine, il rejoignit donc l'église et y pénétra tandis que la clarté du jour déclinait. Le chœur vide à cette heure serait propice à son recueillement. Il s'agenouilla et récita à mi-voix son crédo :

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des péchés,
En la Vie Éternelle.

avant d'adresser une longue prière au très bienveillant Très-Haut.
Il quitta ensuite silencieusement l'enceinte sacrée, le coeur et l'âme emplis d'une sérénité retrouvée.

Corto

On le voyait tout le jour, et en partie la nuit, dans l'église, brûlant mille chandelles, de l'encens, et ses lèvres de tant prier. Cette église était bien souvent déserte, il y mimait des messes pour lui seul et polissait les boiseries. Et la journée passa, comme toutes les autres. Tierce résonnait encore dans les hauteurs. Les cloches éteignaient leur écho. Et Corto, à genoux entre deux versions miniatures de Christos et Aristote, récita son crédo à voix basse. Il y avait bien d'ardeur dans cette sourdine. Merci mon Dieu de me permettre de vous prier dans Votre maison ... conclut-il, achevant de fourbir les simulacres.

Zeiss

Zeiss poussa les lourdes portes de l'église et entra.Il les referma derrière lui et constata que l'édifice était vide,cela l'arrangeait un peu.Il s'avança vers l'autel et s'agenouilla,joignant ses mains et fermant les yeux.Il se mit à chuchoter une prière inaudible.La fin de sa prière se fit un peu plus forte que le reste.

S'il te plait,préserve ceux que j'aime de la mort...Celle que j'aime...

Cette dernière phrase prononcée,une larme coula sur la joue du jeune homme.Il l'essuya du revers de la main et quitta les lieux.Ce fut la première fois qu'il priait.
_________________

Eolia

Eolia avait décidé de faire une balade, elle en avait assez de tourner en rond dans sa chambre et s'était dit qu'un bon bol d'air frais lui ferait le plus grand bien…Elle mit un petit châle sur ses épaules puis sortit de l'auberge des Angelots buveurs sans croiser personne.

Ses pas la portèrent dans plusieurs petites ruelles pittoresques bordées de maisons en pierres plus ou moins bien entretenues. Flânant ainsi, la tête ailleurs, elle déboucha sur la place de l'église. Elle s'arrêta net et leva son regard vers la bâtisse avec admiration, la trouvant fort belle, quand soudain une bourrasque lui ébouriffa les cheveux et la poussa en avant comme pour l'inviter à y entrer…

Au même moment, elle vit Zeiss qui sortait du bâtiment, le visage sombre. Elle lui fit un petit signe de tête sans avoir le courage de lui demander ce qui se passait, car elle ne le connaissait pas encore assez pour lui poser des questions si directes, surtout en voyant sa triste mine...

Resserrant son châle elle poussa la lourde porte et constata qu'il n'y avait personne à l'intérieur. Eolia s'avança près d'une alcôve qui abritait le saint patron des voyageurs et s'y agenouilla.

Mille pensées tourbillonnaient dans sa tête, déçue de n'avoir encore rien découvert dans ses recherches, mais aussi troublée par des mots que lui avait chuchoté un homme en taverne. Aussi, elle sentait comme un lien fragile qui se tissait avec ce village, un fil qui commençait à s'enrouler autour d'elle, comme pour la retenir…

Eolia murmura une courte prière demandant de l'aide au Très-Haut :

Donne-moi le courage de continuer ma quête,
ne laisse pas mon cœur prendre le pas sur ma raison,
éclaire mon chemin pour que je ne m'égare pas.
Aussi protège tous ceux qui me sont chers, ici et ailleurs…
Qu'il en soit fait selon ta volonté !

Eolia se releva pour allumer deux cierges et mis quelques écus dans un panier posé sur un banc. Elle ne possédait pas grand chose mais elle ne manquait jamais de faire un petit don pour les plus démunis qu'elle.

En sortant, elle ne put s'empêcher de penser à Zeiss…Qu'est-ce qui le rendait si sombre ?

--Breemp556

Je sollicite en ce lieu une prière de la communauté pour notre confrère et regretté Sergent Pierrenden de la Maréchaussée de Verdun décédé inopinément.

Lavania

Lavania monta tranquillement les marches de l'église, elle avait ru bon de revenir en ces lieux où elle avait célébré, il n'y avait pas longtemps de cela son mariage.

Une fois entrée dans l'église, elle profita de ce moment de silence afin de prier, espérant que tout se passe pour le mieux. Qu'elle puisse faire face à ce qui l'attendait.

Elle se leva ensuite et sorti, le coeur léger, se disant qu'elle devrait venir plus souvent.

Allessia

je priais pour notre,
Seigneur regarde tes enfants qui t'aime, aide les à trouver le bonheur, l'amour, l'amitié et la paix éternel.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN

-Bonjour, ma future Marraine, je te souhaite une bonne journée
quelle te soit douce et enrichissante
que le très haut veille sur toi!...
_________________

Lavania

Lavania croisa sa futur filleule en descendant les marches de l'église, elle la salua gentiment d'un sourire.

Je te remercie Soraya. Passe une très belle journée toi aussi et que le Très-Haut Veille sur toi également.

Elle en profita pour ajouter;

Si tu as des soucis avec ta pastorale surtout n'hésite pas à venir me demander conseil.

Sur ce, la jeune femme s'éloigna de l'église.

Healman0

Heal souriait en voyant la petite marcher a 4 pattes se demandant comme sa mere comment elle allait revenir pour la reception ...
Quand il vit sa niece cogner sa petite jambe contre un homme d'une certaine alure et inconnu au bataillon , il se hata de s'approcher d'elle quand elle commenca a pleurer ...

Heal la prit dans ses bras et lui frotta legerement sa main contre sa robe pour enlever les poils des chiens , quand l'homme commenca , d'un regard menacant il dit :

- Poussez vous !!!! Je vous l'ordonne !

Heal regarda l'homme et fronca les sourcils :

- Pourquoi ca ? Nous vosu genons ? Etes vous invitez au mariage ? Si non , je vous pris de bien vouloir partir !

L'homme essaya de regardez heal de haut mais leurs taille etait les memes ...

- Cette eglise ne sert pas qu'a feter des chose mais a prier en paix .... Les chiens ne sont pas admis , et les chose bruyante et a 4 pattes , ressemblant a un chiens non plus !

Heal fit un bisou sur la tete de sa petite niece , qui pleurait a cause de cette homme et sa voix terrifiante , quand heal le rectifia :

- Cette eglise , est heureuse d'accueillir ou plutot de celebrer le mariage de Lavania et Zeiss ! Et ces deux chiens se sont les miens ! ils ne sont pas rentrés dans l'eglise , du moins pour la ceremonie !
Cette bestiole a 4 pattes comme vous dites si bien , est un bébé , plus preciser ma niece , ou la fille des marié ! Je vous interdit de parler d'elle comme un animal !!!

L'homme devisagea healman et dit d'une voix elevé :

- Je ne sais pas a qui appartient cette enfant , enfin si mais ne vois pas ou peuvent etre passer les parents , mais je me dois de donner une correction a cette PETITE CHOSE !

Heal sursauta !

- Certainement pas , et arretez de hurler ! Pourquoi une correction et si vous toucher a elendra je vous donne un coup de poingt ou un gros coup de pied dans le c..C...
Est ce clair ?? !!!!!

- Pourquoi cette corection ? Tout simplement , car cette petite mais rentrée dedans ! Et toucher moi et je vous dnne un plus gros coup !

Heal deposa elendra par terre et se hata le plus vite possible de lui donnait un gros coup dans la tete .

- SALOP ! cria l'homme

Heal lui redonna un coup , quand l'homme se hata de lui donner un coup de pied dans la cuisse . Ainsi de suite , sous les cris de elendra et les coups de l'homme , et ceux de heal ...

Gbe

Gratien qui se tenait auprès de sa douce promise, Marges, prit la main de celle-ci pour aller féliciter les mariés.

S'approchant de Zeiss et Lavania :

Mes amis félicitations pour ce pas que vous venez de franchir. Que le très Haut veille sur vous.

Décochant un clin d'oeil à son amie, Gratien poursuivit :
Et qui sait bientôt, nous serons à nouveau réunis pour une nouvelle cérémonie. N'est-ce pas ma douce Margie ?

Déjà d'autres personnes arrivaient. Marges et Gratien s'en allèrent main dans la main vers le lieu de la réception.
_________________

Gratien du Bas Ermitage dict GBE - Aspirant-vidame de Besançon - Préfet adjoint des vidames - Garde épiscopale

Healman0

Heal finitpar s'arreter en voyant son etat et celui de son adversaire ...

- Bien ... je vous remercie .... et vous pris de vous calmez la prochaine fois ...

- Moi ! me calmez ?!

- ARRETEZ !

heal se retourna et vit une femme assez maigre arrivez en courrant , essoufflez et enervez a la fois :

- STOP ! Vous etre en train de vous battre ! Devant un enfant !

Heal plissa les yeux :

- c'est ce que je disais , j'arrete de me battre et vous de meme , sur ce aurevoir !

Heal ramassa elendra et la calma et retourna pres des autres , la levres en sang , la joue rouge et ensanglantée , un oeil fermée ....

Domi2309

De retour de son tour en Lorraine, depuis peu, L'Aspirant Lieutenant vint se recueillir comme il se devait.
Il poussa l'huis et pénétra dans l'Eglise, il n'y avait pas céamment de prélats, mais pas besoin, pour se confesser et demander pardon au Très-haut.
Il se cala sur un banc, frotta un peu la poussière, et se mit à prier.
Il récita son credo et alluma un cierge .
Il pria pour que le village puisse enfin retrouver un confesseur digne de ce nom et que les cloches puissent enfin sonner la messe à tue-tête.
Afin que les verdunnois reviennent prendre part à la cérémonie dominicale.

Elisette

Ah le banquet...Et les cadeaux aussi !

Elisette prit la main de Caoim et ils suivirent les mariés...

Healman0

Meme pas sortit de l'eglise heal annonca au cas ou personne ne le sache :

- Je precise , LAVA et ZEISS sont unis pour la vie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Heal regarda dehors et vit ses deux gros chiens faire irruptions .....

- Mince ...

- Nan mes toutous !!!! Assis !!!!!!!!

Il courrut a la sortit pour evitez que ces chiens fassent n'importe quoi mais ...
Les deux chiens etait tous les deux assis devant elendra entrain de la lecher de partout ....

- Ma pauvre petite niece c'ets tes parents qui votn etre tres content ....

Heal regardez la petite entrain de caresser les chien et de rigolez en les voyant remuez la queu ...

Heal se retourna regarda autour de lui pour voir si lava ou zeiss etait la . Oui , il vit la belle robe de lava et le costume de zeiss .
Comment allait t'il faire .... Il ne pouvait pas retrouvez leurs fille pleins de poil et toute decoiffer . Mais en tout cas elendra avait l'air de bien s'amuser .... ^^

--Elendra

La petite Elendra était debout, tenue par la main, par sa maman. Elle mettait un pied devant l'autre, baissant parfois la tête, regardant le plancher, puis jetant des regards partout, ne comprenant pas pourquoi tant de gens était rassemblé.

Elle releva de grands yeux ronds lorsqu'elle entendit quelqu'un crier. Elle ne compris pas tout à fait ce qui venait de se passer, mais cru avoir entendu le nom de quelqu'un qu'elle connaissait bien.

Au même moment, deux gros trucs poilus se retrouvèrent devant elle. Deux grosses langues mouillés léchaient son petit visage. Dans l'église on entendit alors le petit rire de la fillette, elle étira les bras pour repousser la grosse tête lorsqu'un langue venant de l'autre côté s'abattit sur son autre jour.

La jeune fille, laissa échapper un petit cri amusé et libéra sa petite main de celle de sa mère, tombant immédiatement sur les fesses, voyant les deux gros chiens s'approcher d'elle, la poussant avec leur gros museau.

Elendra, étira ses deux bras, les passant autour du cou de la grosse bête, cachant son visage dans sa fourrure toute douce. Elle s'amusait si bien qu'elle ne se rendait pas compte que tous les regards étaient posés sur elle, et que sa mère se demandait dans quel état elle allait elle allait devoir amener sa fille à la réception...

Lâchant le chien, elle se mis à marcher à quatre pattes, imitant ses deux gros toutous, un peu empêtrer dans sa petite robe blanche qui n'était pas la meilleur tenue pour ce genre de jeu.

Elle se retrouva tout à coup, au pied d'un grand homme à l'air menaçant qui venait d'entrer dans l'église, la petite ne l'avait jamais vu. Sa petite lèvre se mis à trembler, révélant que les pleures n'étaient pas bien bien loin...

Caoimhim

Caoimhim écouta la fin de la cérémonie le sourire aux lèvres, le stress des mariés avait l'air de les avoir quitté et l'ambiance se détendait, ca sentait la fête!!!

Mais de rien, ce fut une joie,et même un honneur! Biensûr que nous vous suivons, le jour ou tu me verras refuser un banquet n'est pas prêt d'arriver!

Il s'approcha d'Eli, lui prit la main et lui sourit

Lavania

Tout s'était déroulé à la vitesse de l'éclair! Lavania venait tout juste d'entendre les témoins prêter serment que déjà, Monseigneur Huet venait d'annoncer le moment le plus magique du mariage... Le traditionnel: "Vous pouvez embrasser la mariée"

Elle avait les yeux un peu humides lorsque son époux se tourna vers elle et lui sourit. Les larmes commencèrent à couler tranquillement de ses yeux, lorsqu'il prit son visage entre ses mains. La jeune mariée ferma doucement les yeux, lorsque les lèvres de son nouveau mari se posèrent sur les siennes, faisant rouler ses larmes de bonheur sur ses joues. Jamais elle n'avait sentit autant d'amour dans un seul baiser et elle savait que maintenant, grâce à ce baiser, ils venait de s'unir pour la vie, ce qui la fit sourire. Elle glissa ses mains le long des bras de son mari et pris ses mains dans les siennes avant que le baiser ne se termine.

Déjà, Monseigneur Huet leur annonçait qu'ils étaient désormais mariés, après tout ce temps, toutes ces épreuves, Zeiss et Lavania était mari et femme... Et rien n'y personne ne pourrait rien y changer.

Lavania prit doucement la feuille que Monseigneur Huet leur tendait, rendant ce mariage bien réelle.

Nous vous remercions Monseigneur d'avoir célébrer ce mariage, malgré les bouleversement actuelle de notre chère Lorraine. Elle lui sourit et se tourna vers les invités, sans lâcher la main de Zeiss.

Nous vous remercions d'être présent, c'était un grand moment pour nous et nous sommes contente de l'avoir partager avec vous.

Elle se tourna vers Cao et Eli avec un grand sourire.

Merci à vous deux, merci à toi Cao pour ton baptême encore une fois. Merci Eli pour être à l'écoute de Cao.

Vous êtes tous les bienvenus, à la réception qui se tiens au Milk Shake. Nous serions ravis de vous y voir.

Tenant toujours la main de son époux, elle s'avança dans l'allée, direction le Milk Shake, accueillant sa fille qui s'accrocha à ses jupes rendu au bout de l'allée, avec un grand sourire. Elle tendit le certificat à son mari et pris la main de la petite, marchant ainsi avec elle, toute la petite famille réunit.

Réception: (Une vie de rêve à Verdun)
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=30052379&sid=7KXrGxK8SNEDe3RhpZvh4pRMj#30052379

Eolia

Eolia arriva à Verdun toute fourbue d'avoir tant marché. La route avait été longue et elle se réjouissait de pouvoir se reposer un peu et reprendre des forces pour la suite de son voyage.

Avant toute chose, Eolia souhaitait rendre grâce au Seigneur de lui avoir accordé un périple sans mauvaise rencontre et sans incident. Elle se rendit directement à l'église du village pour y faire acte de prière.

Devant le parvis, elle vit de nombreuses personnes ainsi qu'un couple de jeunes mariés tout rayonnant de bonheur. Un mariage… Elle arrivait dans le village sous de bons augures, quoi de plus magnifique que la célébration de l'amour !

Eolia se faufila discrètement par la porte et trouva rapidement les cierges. Elle en prit deux, alluma le premier en remerciant le Très-Haut d'avoir guidé ses pas aussi sûrement. Elle approcha la flamme du deuxième cierge qu'elle alluma en mémoire de son ami Will, parti bien trop tôt rejoindre le Seigneur, et qui devait garder lui aussi un œil bienveillant sur elle depuis les cieux…

Eolia se releva après avoir fait une brève prière, puis elle décida de partir à la découverte de Verdun et surtout de trouver un endroit où manger et se reposer.

Goeri

Monseigneur Huet sourit devant la foule animée qui exprimait sa joie. Il se tourna vers l'autel où il compléta un pli, apposa sa signature ainsi que son sceau. Il le prit et le tendit vers le couple nouvellement marié.

Voilà mes enfants, vous êtes mariés !

Citation:

Certificat de mariage de Zeiss & de Lavania

Nous, Monseigneur Huet de Feugères, Évêque de Metz, certifions devant le Très-Haut que nous avons célébré :

Le mariage de Zeiss et de Lavania, le vingt-huitième jour d'août de l'an 1457, en l'église de Verdun. Les témoins furent Caoimhim & Elisette.

Devant Dieu et devant les hommes,

Fait à Verdun, le vingt-huitième jour d'août de l'an 1457.

Monseigneur Huet de Feugères,
Évêque de Metz

N'y a-t-il pas un banquet de prévu!?

Mgr Huet se mit à rire en se dirigeant vers la sortie où il fut apostrophé par un jeune garçon lui demandant pourquoi leur chorale n'avait pas chanté...

Oh tu sais gamin...humpf...hum... voilà 4 écus à partager avec tes copains.

L'évêque s'en fut, tout sourire en direction de la forêt...

Elisette

Elisette s'approcha en même temps que Caoimhim lorsque ça leur fut demandé. Elle adressa un sourire discret à Lavania, puis à Zeiss, sur le point de devenir époux et épouse.

Oui, je le jure.

Elisette

Elisette regardait Caoimhim qui prenait à son tour la parole.

Caoimhim a écrit:

Oui, je le jure.

Goeri

Monseigneur Huet se tourna vers les promis

Par les pouvoirs qui me sont conférés, par l’autorité du Tout Puissant et avec la bénédiction du ciel, je vous déclare en toute légitimité unis par les liens sacrés du mariage ! Il est temps de sceller le tout par un baiser. Zeiss !

Zeiss

Zeiss regardait Lavania lui passer à son tour la bague au doigt,cette alliance qui avait une histoire,connue seulement par les mariés.Il la regarda relever la tête le sourire aux lèvres,ce qui le fit lui-même sourire.Ce fut au tour des témoins de prêter serment.Le jeune homme rendit son sourire à Elisette alias "Zezette".
Ensuite,il regardait Huet et écoutait la phrase tant attendue.Une phrase attendue depuis le début du mariage par l'assemblée,attendue par les mariés depuis trop longtemps déjà.
Cela faisait plusieurs mois qu'ils attendaient ça,et enfin ça arrivait.Le destin leur avait donner beaucoup de difficultés,mais ils avaient su surmonter tout les obstacles.
Ce jour,Toi et Moi disparaissaient et laissaient place à Nous.

Vers la fin de la fameuse phrase,Zeiss tourna la tête pour regarder à nouveau sa futur femme,il regardait ses yeux quelques peu humides.
Après un sourire,il pris délicatement le visage de Lavania entre ses mains et l'embrassa tendrement.Il avait mis tout son amour dans ce baiser qui scellait leur union.
_________________

Goeri

Lorsqu'ils eurent complété l'échange, Huet s'approcha du couple. Il les savaient fébriles...

Caoimhim, témoin de Zeiss, et Elisette témoin de Lavania, approchez-vous.

Huet sentait que les promis avaient peine à se contenir.

Mes enfants, lorsque l'on vous demandera si ces deux jeunes gens se sont échangés les alliances, répondrez-vous par l'affirmative? Jurez-vous d'avoir assisté au mariage de Zeiss et de Lavania ?

Marges

"Sur la place chauffée au soleil"... on entendit des pas en cadence, une course... légère et enjouée.. Gratien et Margès arrivaient en courant, se tenant par la main... cette fois-ci, c'était sûr, ils seraient les derniers.... à entrer dans l'église...
Ils ralentirent leur course en approchant de l'édifice, puis s'arrêtèrent à distance... d'ailleurs, ils eurent juste le temps d'apercevoir Saint Preux gravir les derniers degrés et y pénétrer.

Ils y étaient. Se posant un instant pour reprendre leur souffle, ils se regardèrent, haletants et souriants. Lorsque leur respiration se fut apaisée, Gratien déposa un tendre baiser sur les cheveux en désordre de sa promise. Vous y êtes à présent, ma mie ? lui demanda-t-il doucement en la regardant.

Margès lui sourit en remettant un peu d'ordre dans sa tenue. Oui, mon doux ami, allons-y, je vous prie. répondit-elle en se rapprochant de lui et ils se dirigèrent, main dans la main, vers l'église de leur village pour assister à la fin de la cérémonie qui unirait à tout jamais leurs amis Zeiss et Lavania.

Heureux de partager avec tous les participants ce grand moment d'émotion, ils ne pouvaient s'empêcher de penser à leur propre vie... se faisant tout petits, ils prirent place sans bruit au fond de l'église, se serrèrent l'un contre l'autre et se laissèrent envahir par la solennité de l'instant.

L'émotion était à son comble, les alliances venaient d'être échangées ; Lavania et Zeiss se regardaient intensément ; ils étaient mari et femme à présent... tous se sentaient émus au spectacle de leur bonheur.

"Ainsi certains jours paraît - Une flamme à nos yeux - A l'église où j'allais - On l'appelait le Bon Dieu - L'amoureux l'appelle l'amour - Le mendiant la charité -
Le soleil l'appelle le jour - Et le brave homme la bonté" (J. Brel, Poète-Chanteur, Troubadour d'un siècle futur)

Les mots du prêtre Huet résonnèrent alors dans l'édifice, invitant chacun à se souvenir du serment échangé par les deux jeunes gens.

Zeiss

Zeiss prit l'anneau qu'il avait déposer dans la main de Huet avant la bénédiction,que le jeune homme trouva belle.Il prit délicatement la main de Lavania,lui donnant une légère caresse avec le pouce,et passa l'alliance à son doigt.

Il lâcha ensuite sa main,regardant sa futur femme avec amour.
_________________

Lavania

Lavania regardait Zeiss, il venait de prendre l'anneau dans sa main après la bénédiction de Monseigneur Huet, une bénédiction qui avait fait sourire la jeune mariée.

En ce moment, elle savait que les témoins se trouvait non loin, mais elle n'avait d'yeux que pour l'homme qu'elle aimait. Elle s'était juré, comme toute bonne mariée qui se respecte, de ne pas pleurer, elle avait tenu le coup jusqu'à cette instant.

D'ailleurs ses yeux était toujours secs, pas une seule larmes à l'horizon. Zeiss prit délicatement sa main et la caressa doucement avec son pouce, ce qui fit manquer un battement de coeur à la pauvre jeune femme. Elle baissa les yeux, toujours secs, voyant l'alliance à son doigt et les releva vers son mari les yeux remplis de larmes, pas des larmes de tristesses, mais bel et bien des larmes de joies. Elle ne put s'empêcher de lui sourire, essuyant ses yeux, avant de prendre la bague qu'elle avait donné à Monseigneur Huet pour la bénédiction.

Elle pris à son tour, la main de Zeiss, elle le regarda une dernière fois dans les yeux avant de glisser doucement la bague à son doigt. Elle releva les yeux le regardant avec un grand sourire, trop contente pour laisser couler de nouveau ses larmes. Souriant comme une petite fille à qui on viens d'offrir sa première poupée.

Tophe69

Tophe s'était eclipsé discrètement de la cérémonie avec sa petite fille, car Elendra ne tenait plus en place dans l'église.
Elendra et Tophe avait joué un petit moment sur le parvis de l'église, pendant que la cérémonie suivait son cour.

Tophe sentit qu'il etait tant de reprendre place dans l'eglise,

Apres quelques minutes à raisonner Elendra qui preférait largement le grand air que les vieux banc en bois de l'église;
La petite fille et son grand père reprirent leur place dans l'assemblé aussi discrètement qu'ils l'avaient quitté.

Tophe écoutait Monseigneur Huet et ne lâchait pas des yeux sa fille et son gendre.
Faisant doucement quelque petits commentaire à sa petite fille, qui était encore bien petites pour comprendre par elle même qu'elle assistait au mariage de sa mère.

Tophe esquissa un sourire voyant les regard de Zeiss et Lavania; lorsque Monseigneur Huet, demanda aux enfants de coeur d'apporter les alliances.

Il écoutait attentivement la bénédiction des anneaux de bonheur, en souriant bêtement (ouais, je dois bien l'avoué).

Il attendait avec émotion l'échange tant attendu tout en serrant sa petite fille contre lui.
_________________

Caoimhim

Caoimhim s'approcha du couple de mariés a la demande de Monseigneur Het pour assister a l'échange des alliances.

Il faillit s'étouffer en répriment un fou rire lorsque Lavania d'aperçu que les alliances n'étaient pas les bonnes... Il finit par retrouver son sérieux juste a temps pour la bénédiction qu'il écouta avec attention;

Comme les paroles de Monseigneur sont toujours justes et belles! Il doit petre inspiré directement par Dieu et ses prophètes!

Il se recueillit, profondément ému par la solennité du moment.

Tarmalek

Tarmalek venait d'arriver a verdun il ne savais ou aller, il marchais dans la ville inconue quand il arriva près d'une église, il décida d'y entré pour prié.

Seigneur Dieu Très Haut me voici ici devant toi, je te demande de veillez sur moi et de me protégé dans cette ville inconue, guide mes pas et pose ta main sur moi. Mais Seigneur que Ta volonté sois faite et non la mienne. Amen.

Tarmalek sortis de l'église doucement sans faire de bruit puis se dirigea vers une taverne.

Elisette

Mauvaises alliances..? Scène unique ! Et pour le moins amusante, même si Elisette essayait de cacher au moins ses sourires.

Mais c'était malgré cela un moment des plus émouvant. Là, sa grande amie s'uniait pour la vie avec son filleul. Elle avait douté, longtemps et fort qu'ils n'étaient pas fait l'un pour l'autre, surtout que Lavania ne l'était pas pour Zeiss, celui qu'Elisette essayait de protéger comme elle le pouvait. Mais elle s'était enfait rendue compte de son mauvais jugement, et savait désormais qu'il ne pouvait trouver mieux. Ils seraient bien heureux ensemble, et c'était précisément cela qui touchait les invités, sans voix.

Goeri

L'évêque sourit devant la situation. Il prit les anneaux dans sa main droite et ferma le poing. Présentant son poing devant tous,

Au nom Dieu, Créateur de l'humanité, au nom de ses archanges et de ses saints, au nom des prophètes Aristote et Christos... Je vous bénit , Zeiss & Lavania.
Qu’il vous guide sur le chemin de l’Amour, le chemin du mariage.
Qu’il fasse s’aiguiser en vous le désir de ne faire plus qu’un.
Qu’il vous donne la sagesse de discerner pour que votre Amour grandisse
dans la joie de la vie et la simplicité.
Honorez Dieu par votre Amour, honorez Dieu par votre union, honorez-le par tous vos actes.

Dee solum Dominum illabere Micans nitore perpeti !

Qu'il en soit ainsi !

L'évêque ouvrit sa main et la présenta devant les mariés. L'échange pouvait maintenant être bel et bien conclu.

Goeri

Huet vit Lavania sortir une alliance de sa poche. Il fit un geste las en direction de l'enfant tenant les alliances qu'il avait lui-même choisi. L'évêque prit note en lui-même de discuter plus profondément avec les mariés avant la célébration.

Zeiss

Voyant le garçon s'approcher avec des alliances,Zeiss fronça les sourcils.Il n'avait pas du tout penser à parler des anneaux avec l'évêque.
Il écoutait Lavania qui expliquait rapidement la situation,puis Zeiss prit la parole pour appuyer celles de sa futur femme.

Effectivement,nous avons nos alliances...

Zeiss retira la chaîne qui pendait à son cou et retira l'anneau qui y était accroché.Il la posa dans la main de Huet,à côté de celle de Lavania.
Il rangea la chaîne dans sa poche et fit un sourire à la jeune fille.

Il espérait que Monseigneur Huet ne serait pas trop mécontent au sujet des alliances,ce qui serait tout de même normal.
_________________

Lavania

Lavania écoutait Monseigneur Huet, comme toujours, de ce côté là, rien de nouveau. Elle fut cependant un peu déstabilisée en entendant ses paroles.

Apporter les alliances? se dit-elle en baissant les yeux pour voir le petit garçon qui apportait les anneaux. Elle due attendre que Monseigneur les découvre pour se rendre compte que quelque chose clochait.

Mais ce sont pas nos anneaux ça! S'exclama-t-elle en fronçant les sourcils. Aussitôt, elle se rendit compte de la bêtise qu'elle venait de faire et essaya de se reprendre le plus rapidement possible.

Heu... Je veux dire... Vous avez dû vous tromper Monseigneur, ce ne son pas nos alliances... On les a avec nous les nôtres....

Elle retira la bague qu'elle avait au pouce, l'alliance qu'elle allait passé au doigt de Zeiss dans quelques instants, une fois qu'il lui aurait passé la sienne. Elle déposa l'alliance dans la main de l'évêque, une fois que celui-ci eu tendit la main, puis se tourna vers Zeiss attendant qu'il sorte la sienne.

Elle espérait sincèrement qu'il l'avait toujours sur lui, pas qu'elle n'aimait pas les alliances que Monseigneur avait trouvé, elle ne savait où d'ailleurs, mais les leurs étaient tout de même symbolique....

Goeri

L'évêque attendit un instant. Un moment symbolique montrant que l'universalité des fidèles approuvait le geste que le clerc allait poser.

Puisqu'il en est ainsi, que l'on m'amène les alliances et que s'approchent les témoins!

Un jeune garçon s'approcha, un linge refermé dans les mains. Entre les fiancés, et devant Huet, il s'arrêta, tendant le linge devant lui. Mgr Huet découvrit le linge. Deux anneaux, modestes, mais finement taillés s'y trouvaient.

L'évêque posa ses mains au-dessus des anneaux et murmura quelques mots

Le mariage unit deux âmes, ces anneaux en sont le symbole. Par ma main, Dieu a béni ces alliances afin qu'elles vous soient rendues. N'oubliez jamais que l'union de vos corps et âmes vous unit aussi à Dieu.

Huet se recula d'un pas

Que les alliances soient données aux promis. Que l'échange soit alors conclu !

Spb1144

Comme à l'accoutumée, Saint-Preux arriva fort en retard à la cérémonie de mariage de ses amis.
Longtemps éloigné de Verdun, il se félicitait par avance de retrouver sa vieille ami Lava La Sublime, son fidèle Zeiss et surtout la petite Elendra, sa filleule, qu'il voyait trop peu.

Comme elle a du changer, se dit-il tandis qu'il gravissait les marches de l'église qui résonnait des crédos des fidèles réunis.

Il trouva l'édifice bien rempli, et ne voulant pas troubler la cérémonie déjà bien avancée, il se trouva une place libre sur un banc en retrait.
Par chance, tous les convives placés devant lui, parmi lesquels il reconnu des visages amis et d'autres bien moins sympathiques, ne lui cachaient pas totalement ce qu'il se déroulait près de l'autel.

Lavania était bien sûr sublime, comme toujours. Enfin, elle prenait la voie de la stabilité, elle qu'il avait parfois connue si déchirée et inconstante, allant parfois jusqu'à la gronder affectueusement.
Ces souvenirs le faisaient sourire tendrement lorsque, soudain, il entraperçu une enfant qui ne pouvait être que sa Little E.

Grand Dieu, peut elle être déjà si grande ! Suis-je parti si longtemps !
Il n'en voyait pas plus pour le moment. Même si la cérémonie était parfaitement réussie, il lui tardait qu'elle s'achevât pour vite aller embrasser les mariés et sa filleule.

Saint-Preux Bellecombe de Rubempré
"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*"*

Allessia

-Bonjour, ou pourrais je m'adresser pour demander le Baptême

merci
_________________

Lavania

Lavania souriait, mais fut surprise par les paroles de Huet se tournant vers Zeiss un peu inquiète, puis jetant un coup d'oeil dans l'assemblé. Elle ne voyait pas quelqu'un qui aurait pu vouloir s'opposer, mais tout de même, c'était un moment plutôt stressant qu'elle avait oublier.

Pourvu qu'on ai pas réussit à se rendre jusque ici pour que tout ça s'écroule se dit-elle.

Allessia

je priais pour les deux épousés qu'ils trouve le bonheur et que leur vie soit comblé par de beaux enfants, qu'elle soit faite de joie et d'amour en partage.
Seigneur regarde tes enfants qui s'unissent devant toi aide les à trouver le bonheur, l'amour, l'amitié et la paix éternel.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN
_________________

Goeri

Huet sourit, satisfait de leur réponse, s'adressa à l'assemblée.

Sous peu, nous scellerons cette union devant l'oeil bienveillant de Dieu. Cette union alliera ces deux enfants dans la gloire de leur Créateur et les rendra dignes de poursuivre la Création de par leur amour.

Que si l'un d'entre nous, ici présent, doit s'opposer à cet union, qu'il parle en cet instant ou se taise à jamais.

Goeri

Zeiss

Healman0

Lavania

Ellebasi

Xaba

Xaba écoutait la cérémonie, il regardait Lava qui était sublime dans sa robe de mariéé et Zeiss était vétu d'un jolie costume.

Lavania

Shendus

Zeiss

Anais_ambrosia

Caoimhim

Citation:

Caoim!J'ai peur!

Tophe69

Tophe regardait sa fille et celui qui desormais était son gendre,
Tophe etait à la fois fier et heureux de ce mariage.

la voix légèrement tremblante de bonheur Tophe repris le credo;

Citation:

Goeri

Citation:

Zeiss

Xaba

Xaba venait assister au mariage de Lavania et de Zeiss, il l'avait promis.

Il rentre dans l'église et s'assoit, il fit un sourire à Heal et recite le Creto.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Elisette

Healman0

Heal etait revenus 4 jours plus tot de vacances car les curés l'agacait et le mariage etait la !
Il etait vetus legerement , D'une chemise blanche assez legere et d'une paire de braie noire , il avait mis ces bottes fetiches !
Dans ces bras ont apercevait un tout petit bébé sans nom ... ^^
Habillez d'une belle robe blanche avec des petite fleurs roses pales le bébé etait tout sourire . Autour de son pôignet on pouvait apercevoit une corde ou plutot une laisse avec au bout deux gros chiens brossait et tout propre avec un cadeau dans la gueule ^^
Heal etait tout content a l'idée de revoir tous ces gens et aussi de voir sa belle soeur et son ami zeiss ( je l'ai bien ecris car c'est important la ^^ )
se marié !

- Je suis en retard ! Mais l'important c'est que je sois la !!! Bon alors !
Il regarda autour de lui , il n'y avait pas beaucoup d'animaux ...

- coucou vous !

Heal alla s'assoir et mettant ca fille dans un berceau il lach la laisse des chiens qui se dirigerent vers la porte .

- je reviens tout a l'heure le cadeau c'est pas tout de suite ! ^^

Heal salua ces copains et fit un clain d'oeil a lava :

- Tu es superbe ! Avec des poils de chiens tout a l'heure ce sera encore mieux :p ^^

Puis il ecouta le discourt de Huet tranquilement .

Goeri

Le prélat attendait, souriant, aux abords des portes grandes ouvertes. Il salua joyeusement les paroissiens, murmurant quelques mots d'encouragement aux mariés, et discutait vivement avec les fidèles venus faire un tour.

Oui oui, c'est bien la forêt. Quelque peu humide les nuits pluvieuses, mais bon... Vous devriez essayer. J'y ai passé deux mois cet hiver, bien mieux que le monastère pour une retraite. Enfin, à vous de voir si vous appréciez la proximité des Créations de Dieu.

Huet fit volte-face et se rendit droit à l'avant. Il indiqua aux mariés leur place à la vue de tous puis refit les rangs parmi les enfants de chœur qui s'étaient quelque peu dispersés depuis les dix dernières minutes.

L'évêque s'installa derrière l'autel et attendit que tous prennent place et que les derniers retardataires viennent rendre grâce de par leur présence...

Mcchipie

Mcchipie avait revêtu une élégante robe confectionnée par une amie couturière de talent, à l'église de Verdun. Ses amis, Zeiss et Lavania, allaient s'unir pour le meilleur comme pour le pire. Elle était heureuse pour ces deux la. Elle se savait discrète ces derniers jours, mais elle ne savait comment dire a ses amis, qu'elle les aimait. Elle avait peur de montrer ses sentiments. La seule personne à qui elle parlait sans détour était SL. Son meilleur ami, Tophe aussi avait droit à ses confessions. Il savait lui donner des coups de pieds au derrière, virtuels certes, mais qui la réveillaient et la remettaient sur le bon chemin. Elle ne savait pas comment lui exprimer sa gratitude, même si elle savait qu'il le savait. Les paroles non dites, ne sont pas moins existantes. Elle avait préparé un présent pour le jeune couple, elle leur offrirait à la réception qui suivrait l'office. C'est avec un sourire rayonnant qu'elle pénétra dans la petite église.

Elle salua le père Huet et se signa.

Bonjour mon père, comment vous portez vous? En voila une belle journée ensoleillée. Le soleil à l'air d'avoir été invité à la cérémonie.

Elle lui sourit avec gentillesse. Elle observa autour d'elle découvrant Lavania, belle comme un cœur dans sa robe blanche sublime. Elle en fût émue et détourna les yeux pour ne pas montrer sa faiblesse, et fit une courte prière demandant au très haut de protéger ses amis, de protéger leur bonheur.

Lavania

Lavania n'avait cesser de remercier Elisette tout le long du trajet jusqu'à l'église, sans son aide précieuse, elle n'y serait jamais arrivée. Cela faisait du bien d'avoir une amie sur qui compter, même lorsqu'elle se fait réveiller au petites heures du matin!

Tout en marchant vers l'église, elle s'était répété encore et encore diverses phrases qu'elle pourrait bien dire à son futur époux lorsqu'elle le verrait. Elle n'arrivait pas à trouver quoi dire exactement, ne savait pas ce qu'il convenait de dire... Ce qui était peut-être tout à fait normal car, après tout, ce n'était pas comme si c'était la deuxième fois qu'elle se mariait!

Lorsqu'elle vit l'église se dresser devant elle, dans toute sa hauteur et sa splendeur, elle sentit ses jambes devenir molles et attrapa le bras d'Elisette.

Oh lala, Eli... Tu t'imagines Zeiss il est là... Je vais le voir bientôt...

Le stresse qu'elle avait relativement réussit à contrôler ces derniers jours venait d'atteindre son maximum, le moment entre: "Ok, mon futur époux est là, il m'aime." et "Oh mon dieu! J'espère qu'il a pas disparu! J'espère qu'il a pas changer d'avis!"

Elle tremblait comme une feuille à l'idée de monter les marches de l'église. Pourtant, elle l'avait fait des centaines de fois, avait même plusieurs fois assister à quelques mariages, mais jamais au grand jamais elle n'aurait cru que c'était aussi stressant!

Tout à coup, le doute se mit à emplir la future mariée!

Eli! Ma robe elle est correct? Et mes cheveux ça va? Demanda la jeune mariée d'une voix tremblante à sa demoiselle d'honneur.

Et s'il aimait pas la robe?! Tu crois que c'est trop les fleurs?! Eli!!!

Voyant les marches arrivées à grand pas, elle suivit les conseils de sa grande amie et prit une grande respiration, elle monta chacune des marches fermant les yeux au début, puis sentant qu'elle arrivait en haut, les ouvrit.

Devant, elle se dressait les deux grandes portes, à l'intérieur, tout près, elle put voir Anaïs qui semblait fulminer, Phen de bonne humeur comme toujours, Cao même. Qui venait tout juste de se faire baptiser et qu'elle devrait penser à remercier, Monseigneur Huet était présent également. Tournant un peu la tête, elle put voir son père avec sa fille dans les bras, la petite Elendra qui semblait s'être vêtu pour l'occasion. Cela lui fit chaud au coeur de la voir si belle et si heureuse.

Une main se posait sur la joue de la petite, une voix familière parvint aux oreilles de la jeune mariée, une main caressait doucement les cheveux de la petite...

Il venait de tourner la tête, jetant un seul coup d'oeil vers l'entrée, lorsque leur regard se croisèrent.

Le coeur de Lavania cessa de battre pendant un moment, son emprise sur le bras d'Elisette ainsi que sur son bouquet qu'elle tenait dans l'autre main, se resserra et elle ne put que murmurer le nom de son futur époux, sans pouvoir détacher son regard du sien.

Zeiss....

Elle avait cru que le stresse ressentit au bas des marches était le plus grand stresse de sa vie, mais décidément, elle n'avait encore rien vu. Elle sentait des petits chatouillement dans son ventre et ne put s'empêcher d'y poser sa main afin de les faire taire.

Il était devant elle, c'était le grand jour... Le jour qu'elle attendait depuis si longtemps... Le rêve d'une petite fille, mais jamais elle n'aurait cru que ce jour pouvait être si merveilleux et encore, il ne faisait que commencer.

Elle se tenait là, en haut des marches de l'église vêtu de sa robe blanche qu'elle avait soigneusement cousu à la main, un ruban rouge décorant le tout, ainsi que chacune des fleurs qu'elle avait passé à broder sur la robe, en ces soirées qu'elle avait passées seule, attendant le retour de l'homme qui se tenait là, devant elle, bien réel.

Dieu sait qu'elle avait rêver en ces soirées, mais jamais elle ne s'était imaginer que cela se passerait ainsi. Elle s'adressa à Elisette, sachant qu'elle saurait sûrement quoi faire dans une telle situation.

Oh, Eli... Il est là... Je dois faire quoi?

Anais_ambrosia

28 août ! Jour-j ! Ana en temps normal aurait eu grandement la flemme, mais cette fois-ci, elle était assez motivée. Pourtant, il fallait qu’elle se dépêche. Elle devait se coiffer, s’habiller, passer du dissolvant sur ses ongles…euh…non, couper ses ongles, se faire encore plus belle qu’elle ne l’était déjà quoi ! Où avait elle déposé sa robe et le cadeau pour les mariés ? Elle regarda un peu partout dans la maison et trouva sa robe bleue et sa petite cape posée sur une chaise. Ni une ni deux, elle enfila la robe et retourna dans sa chambre pour se coiffer convenablement. Parce que la blonde était peut être dotée d’un fort caractère, elle savait tout de même être coquette, voire très coquette, voire même trop. Une fois ses longs cheveux blonds coiffés, elle se dépêcha de manger un ou deux fruit en guise de petit déjeuner. Puis elle prit une partie du cadeau pour Lava et Zeiss, puis l’autre partie du cadeau et sortit dehors pour voir si la charrette qu’elle avait demandé au paysan habitant à côté était prête. Il faut dire que son cadeau n’était pas foncièrement léger et la veille elle avait payé le vieux voisin et son petit fils pour que ce dernier emmène le cadeau dans sa charrette en direction de l’église. Une fois le cadeau chargé dans la charrette elle ordonna au gamin de partir en lui disant qu’elle le retrouverait devant l’église. Rapidement, elle se dirigea derrière sa maison et scella Absynthe avant de partir en direction de l’église.

Il ne lui fallu pas longtemps pour atteindre le bâtiment aristotélicien. Là-bas, l’évêque était déjà présent ce qui n’était pas étonnant, fallait bien préparer « la maison » pour l’évènement. Non loin de la porte où il se trouvait, on pouvait également apercevoir Zeiss le futur marié, son témoin Cao, Phen, Tophe avec une petite fille et pis d’autre gens. Visiblement les filles n’étaient pas encore arrivées. La charrette non plus d’ailleurs. Elle pesta en descendant de son cheval, attacha ce dernier et se dirigea vers les gens déjà arrivés.

Bonjour tout le monde, dites, vous avez vu passer une charrette avec une espèce d’ahuri notoire dessus ? Il se trimballe avec mon cadeau pour Zeiss et Lava !

Oups…Zeiss était présent. Zeiss était le marié. Tant pis, il savait qu’un cadeau était destiné à sa douce et lui mais il ne savait pas quel était le cadeau. En attendant il fallait se débrouiller pour savoir où était le ptit fils du vieux voisin. La blonde n’eut pas à chercher longtemps. Quelques minutes plus tard on entendit les sabots des vieux ânes presque aveugles qui tiraient la charrette. Triste convoi mais Ana avait la flemme de tout porter avec Absynthe. L’adolescent qui en fait était à peine plus jeune que la Ambroise n’avait visiblement pas l’impression de débarquer en retard. Ana allait le lui rappeler.

Pep’ le nain ! Tu n’as pas l’impression d’arriver en retard hein ? Je t’ai payé toi et ton vieux pour vos services, la prochaine fois je vous payerai moitié moins, pourtant c’était pas si compliqué !

Remarquez la subtilité avec laquelle la blonde s’exprimait. Le langage chez Ana était aussi variable que la météo. Bref revenons à nos charrettes. La jeune femme ordonna à l’adolescent qui en fait était presque aussi grand qu’elle de se ranger à côté de l’église et d’attendre la fin de la cérémonie. Elle proféra quelques jurons aussi, histoire qu’il comprenne que s’il lui venait à l’idée de se carapater, la blonde se ferait une joie de cramer la charrette. C’est après une quinzaine de minutes de violence que la paix dans les chaumières et le romantisme du mariage revint. Parce que...faut pas déconner non plus, c'était un mariage, et puis tant de violence devant une église...ça s'fait pas. Bien sur ce n'était que de l'intimidation et l'intimidation ça marchait souvent. Alors, Ana sourit aux invités présents, comme si elle n’avait rien fait et se mit à parler avec les convives présents en attendant que Lava et Eli n’arrivent. De toute façon, y avait que l'ahuri qui méritait de se faire râler dessus en ce jour si beau.

Tophe69

Tophe et Elendra avaient courus toutes la matinée tout les deux à la recherche de la tenue d'Elendra. Il avait fini par lui trouvez une petite robe blanche, brodée de quelques petits papillon bleuté et de petites chausses bleu tres clair.

Quand a Tophe avait revêtu ces plus beaux vêtements neuf,

Ils arriva à l'église en courant avec sa petite fille dans les bras, tellement peur d'etre en retard
Il s'apercu vite qu'il n'était pas le dernier.

Bonjour monseigneur
Bonjour Zeiss,
Bonjour mes Amis

Elendra, tu dis bonjour ma puce ?,
La petite fille, répétât gentiment.
Baaha Jourrr

Tophe sourit,
Ma fille ce fait désirer, on dirait !
Phen, Cao, je suis vraiment content que vous soyez des notres en ce grand jour de bonheur.
Ca va Zeiss, pas trop Stressé
_________________

Zeiss

Peu après son arrivée,Zeiss vit les gens venir petit à petit,un par un.

Salut Caoim!Content de te voir!Je pense bien être prêt...
Phen,ça faisait longtemps,effectivement!
Ah,Tophe!Moi?Stressé?Non,je tremble juste comme une feuille!

Zeiss fit un sourire à tout ce beau monde,heureux de les voir présent pour son mariage.
Il caressa la joue d'Elendra en lui faisant un beau sourire.

Ca va toi?

Le jeune marié passa sa main dans les cheveux de la petite et jeta un coup d'oeil à l'entrée.
_________________

Goeri

Il était temps, Huet tapait du pied à l'avant. L'évêque n'était pas nerveux, enfin... il ne le dirait pas. Ajustant frénétiquement sa robe, observant les alentours, replaçant les objets sur l'autel, il finit par se dire en lui-même qu'il faudrait bien faire sonner les cloches.

Dans son empressement, il en oubliait les cierges.

Il revient rapidement sur ses pas, disposa à la hâte une rangée de cierges le long de l'allée centrale puis les alluma un par un. La lumière vacillante des hommes à l'intérieur, la lumière immuable du Soleil à l'extérieur, voilà bien à propos. Enfin, il se dirigea vers la sortie.

Mgr Huet sortit donc sur le parvis, question d'observer un peu le brouhaha au marché. Il y vit Zeiss, Caoimhim et Phenixo qui s'amenaient. Il retourna vivement à l'intérieur et

aggrippa les longues cordes et les tira de tout son poids. Enfin, il retourna aux portes

Ah bonjour, bonjour Zeiss. Quel jour pour vous ! Entrez donc que l'on puisse avoir un marié à tout le moins, faute de votre épouse ! Ah Caoimhim ! Entrez donc à votre tour ! J'espère bien que malgré la rapidité de la cérémonie, vous en ayez compris la signification la plus profonde. Nous en rediscuterons. Et vous, Phenixo, salutations. Entrez pareillement !

Zeiss

Zeiss s'était levé tôt pour ce jour.D'habitude,il arrivait en retard pour ce genre d'évènement,mais là,c'était spécial,interdiction de ne pas être à l'heure.
Il s'était habillé du mieux qu'il pouvait pour ce jour spécial,sûrement le plus important de toute sa vie.

Le jeune homme ouvrit les grandes portes de l'église et découvrit monseigneur Huet avec quelques enfants regroupés et isolés dans un coin de l'église.
Il s'avança lentement vers l'évêque,encore plus nerveux qu'il ne l'était déjà devant le bâtiment.

Bonjour monseigneur.Les enfants...
_________________

Caoimhim

Caoimhim arriva le coeur léger, c'est vraiment un beau jour pour un mariage! Il avait revêtu son plus bel uniforme et portait un gros paquet sous le bras.

Il arriva a l'église un peu avant l'heure de l'office et vit Zeiss et Monseigneur en grande discussion, il s'approcha et les salua

Bonjour Monseigneur, décidément, c'est la semaine des sacrements! Merci encore d'avoir fait si vite, j'aurais vraiment été triste de ne pas pouvoir être le témoin de mon ami!

Il se tourna vers Zeiss

Alors, Prêt?

Phenixo

Phen avait passé la matinée a confectionner ses cadeaux et a se préparé. Il avait mis ses plus belles braies, lavées de la veille, tout comme sa chemise et le reste de ses vêtements. Il arriva a l'église muni d'un long paquet alors que les invités commençaient a se rassembler. Il entra avec un brin d'apréhension, c'était la première fois qu'il assistait a ce genre d'évènements, et cela le rendait tout drôle. Il vit le futur marié et décida d'aller le saluer.

Zeiss, mon ami, cela faisait longtemps. je suis content de te revoir, d'autant plus pour une occasion comme celle là. Alors, stressé ?

Goeri

Mariage de Zeiss & Lavania
Vendredi 28 août 1457

Monseigneur Huet s'en vint de bien bonne humeur vers l'église de Verdun. C'est qu'aujourd'hui, c'est jour de festivités. C'est en effet un mariage de deux hardis paroissiens qui se déroulera entre les murs de l'église du village. Le prélat s'arrêta par trois fois au marché pour prêcher quelque peu, les bonnes âmes du village le méritent bien.

L'évêque ouvrit les portes de chênes, bien lourdes pour le premier gueux venu, mais peu digne de mention pour ce valeureux clerc. Oui, Huet avait la force de l'ours et la finesse du loup. Il portait d'ailleurs ce dernier sur son blason, mais là n'est pas le point. Il fournit donc très peu d'effort pour pousser lesdites portes et fit signe aux jeunots qui le suivaient, admiratifs. Huet avait ramassé quelques enfants en chemin, leur promettant une poignée de deniers contre un chant qu'il espérait mélodieux durant la cérémonie. Non, il n'est pas aisé d'être l'idole d'une génération, mais le Salut des fidèles, que cela est gratifiant.

Il tendit quelques écus à l'un d'eux, lui faisant chercher quelques bouquets de fleurs pour agrémenter les hauteurs de l'édifice. Il le vit déguerpir vers l'extérieur, ne sachant trop s'il reviendrait un jour. Huet haussa les épaules en souriant. Être gamin, il n'y a rien de plus beau.

Pour la balance, disons simplement que l'évêque n'est pas homme d'extravagance en terme de décoration... Se doutant bien que s'il tentait de poser quelques draperies aux colonnes, il en entendrait parler durant quelques mois, il se contenta d'étendre un linge, humble, mais immaculé, sur l'autel. Il y dispersera quelque fleurs si jamais le garçon venait qu'à revenir...

Huet observa, satisfait de sa mince installation. Il se retourna et siffla vivement. Les enfants couraient un peu partout dans l'édifice, l'un était même monté en chaire et déclarait un sermon farfelu à la petite assemblée sous lui. Au bruit strident, tous accoururent aux pieds de Huet. Quel homme cet évêque. Il les dirigea vers un coin de l'église et les mit en rang. Leur demandant ce qu'ils savaient chanter, l'un d’eux se mit à déverser des paroles grivoises qu'il avait dû apprendre de son ivrogne de père...

Eh bien les enfants, vous me ferez un aaaaaahhhhhhhh prolongé lorsque je vous ferai signe, ça vous va?

Huet se retourna vers l'autel où il installa son nécessaire en attendant l'arrivée des mariés et de la parenté.

Goeri

L'évêque vint placer deux annonces quant aux célébrations à venir dans les prochains jours.

Annonce de baptême a écrit:

Annonce du baptême de Caoimhim

26 août 1457

nef de la cathédrale de Nancy

Maîstre Caoimhim

Uriel

Monseigneur Huet de Feugères

Annonce de mariage a écrit:

Annonce du mariage de Zeiss & Lavania

28 août 1457

église de Verdun

Zeiss

maîstresse Lavania

Maîstresse Elisette

Maîstre Caoimhim

Monseigneur Huet de Feugères

Adelphe

Adelphe entra dans l'église et se mit sur un banc les main croisées sur son front et prier à Dieu.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Goeri

À la suite de vive discussions en taverne. Monseigneur Huet alla finalement placarder une annonce à la porte de l'église de Verdun.

bans de mariage de Zeiss & Lavania a écrit:

Bans de mariage

Allessia

-Merci mon Dieu de me permettre de vous prier dans votre maison.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

_________________

Giova

Apres une ballade en Verdun ,village magnifique et fort accueillant,
le Franc arriva devant l'Eglise , lieu Saint endroit parfait pour se reccueillir en toute sérénité.

Il y entra silencieusement ,voyant que l'edifice se trouvait plongée dans un grand silence , il se demanda ou pouvaient se trouver les Aristoliciens .

L'office ne se faisait plus icelieu, Giova resta pensif en la Force des croyants.

Il se dirigea en l'autel puis se signa devant celui-ci avant de prendre place sur un banc .Il ferma les yeux et se plongea dans la confesse de son Ame ....

**Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.**

Après s'être confessé à Dieu, le Franc prit son livre des Vertus .
Celui ci l'accompagna dans tout ses deplacements ,ouvrage qu'il ne pouvait quitter en ce monde .
Il l'ouvrit et tomba sur la page "de l'extrait de la vie de Christos, le prophète"

Citation:

Alors, comme Jeshua continuait à marcher, sans regarder derrière, il vit soudain devant lui l'image d'une grande ville. Cette cité était magnifique, les tours et les murailles ne cachaient pas sa richesse et les maisons, ornées d'ors et de pierreries, semblaient briller de mille feux. Un dôme dépassait, qui devait être celui du palais du maire. La douce voix de la créature sans nom dit à Christos :

«Vois cette belle ville, et contemple sa richesse ! Si tu voulais, tu pourrais en devenir le maire, avec les talents que tu possèdes. Car en vérité, tu as été capable de jeûner durant toutes ces journées, ainsi que de résister à la fatigue et aux femmes ; ta force de caractère pourrait t'emmener très haut ! »

Alors Christos lui répondit, sans se mettre en colère : «Va-t-en, Esprit malin, qui veut me perdre dans l'orgueil, l'envie et l'avarice. Je résisterai aussi à ces péchés-là, car il est petit, celui qui cède à ses pulsions. »

Alors la créature sans nom dit : «Dieu nous a fait ses enfants car nous sommes les plus forts de ses créatures. Parmi nous, je suis sa préférée, car je suis le plus fort de nous tous. J'ai compris que le fort devait dominer le faible, comme vous, les hommes, dominez les vaches, les cochons et les moutons. Dieu nous a donné Sa création pour nous apporter les mille plaisirs du corps et de l'esprit que nous méritons. Y a-t-il un meilleur moyen de Lui rendre hommage autrement qu'en sachant apprécier les plaisirs de Sa création ? »

Mais Christos lui rétorqua : «Va-t'en, tentatrice! Ta présence parmi la création est une injure faite à Dieu. Sache que tu n'es pas Sa préférée. Il t'a reléguée dans l'ombre, car tu t'es détournée de Sa lumière. Il ne t'a laissé la parole qu'afin d'éprouver la foi des humains. »

Et il ajouta : «Dieu nous a fait ses enfants car nous sommes les seuls à savoir aimer sans rien attendre en retour. Il ne t'a pas donné ce titre, vile créature, car tu n'as pas de cœur, car ton âme est noire comme le jais. Certes, le monde, créé par Dieu, est source de mille plaisirs. Certes, c'est lui rendre hommage que de savoir les apprécier à leur juste valeur. Mais ces plaisirs doivent être dégustés et non dévorés. Seule la vertu, telle que nous l'a enseignée le prophète Aristote nous permet d'apprécier les plaisirs du monde sans tomber dans le vice et le péché. »

Il conclut enfin : «Car le péché est la négation de la perfection divine. L'abandon total aux mille plaisirs s'accompagne du détournement de l'amour de Dieu, alors que le goût simple et mesuré de la création divine ne peut se faire que dans l'amour de son créateur. Alors va-t-en! »

Aussitôt, la créature sans nom, qui rampait à ses côtés, disparut, le laissant aux portes du désert. Il avait traversé ce pays de tentations durant quarante jours.

Prenant une petite pause, le Franc referma le Livre puis le posa pres de lui .
Dans la minute qui suivit , son esprit se plongea dans une longue meditation se rememorant son passé , ses missions et bien d'autres .....

le Franc etait destiné a servir la Sainte Eglise ,vie qu'il avait choisie avec fiertée pour porteger la veuve et l'orphelin ,les opprimés ,les clercs et defendre les valeurs Aristolicienne.

Vie palpitante qui lui fut offert de part son choix il voyageait dans tout le Royaume et le Saint Empire ou il pouvait se joindre au peuple toutes provinces.

Giova reprit ses esprits ,vit que le temps passait bien vite
le moment etait venu pour lui de reciter le Credo avant de reprendre son chemin .

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN
_________________

Maximin

Alors qu'il allait remballer ses affaires pour se rendre à Toul, une silhouette se profila dans l'embrasure de la porte : McChipie.

... Uriel, j'aurais besoin de vous voir ...

D'abord interloqué, il prit cela sur le ton de la plaisanterie.
Ainsi donc elle était ambassadrice, il en avait entendu parler ... soit ...

Bonjour Excellence.

Tu me vouvoies, maintenant ?
A moins que ... ces nouvelles fonctions t'y obligent ?

Merci beacuoup pour le don, MC, c'est vraiment gentil de ta part, je t'en suis éminemment reconnaissant.
Saches que ton nom sera cité lors des messes à la Garde Episcopale ... je sais que tu ne demandes pas cela, mais c'est ainsi, ce sera un moyen pour nous de te remercier ...

Et me voici déjà reparti ... ce soir pour être exact ... un petit tour de Lorraine avant de me poser un peu ...

Maximin

(hrp : il suffit de cliquer sur l'image pour avoir la traduction française)

Maximin

Le dicra allait maintenant terminer sa messe par le partage.

Il prit un quignon de pain et le rompit, puis il versa le vin dans la coupe.
Enfin, il invita les fidèles à venir communier.

Je vous remercie d'avoir assisté à l'office.

Allez en paix, maintenant !

Un pâme sourire s'afficha sur son visage ... il eut espéré voir davantage de monde ... mais soit ... telle était la vie ...

Avant de rassembler ses affaires pour partir, le soir-même, car il avait encore beaucoup de choses à faire, il alla saluer Pierreden.
Lui donnant l'accolade, il le prit par les épaules.

Pierreden ! Je suis heureux de te revoir en bonne santé !
Tout va bien pour toi, j'espère ? Encore plus depuis la naissance !!
Remets mon bonjour à Aza, cela fait des lustres que je ne l'ai pas vu non plus ...

D'un signe de tête, il remit également ses salutations au sieur qui venait d'arriver.

Mcchipie

Mcchipie se rendit à l'office verdunoise consciente du retard qu'elle accusait à cause de son travail à la mairie et aux ambassades.

Elle n'avait plus une minute pour elle mais elle aimait cela, elle n'aurait pour rien au monde cesser ces activités.

Elle salua le mari de sa filleule adorée et le diacre.

Bonjour Messieurs. Comment allez vous?
Uriel, j'aurais besoin de vous voir, vous ou quelqu'un de la GE, j'ai un don à faire

Elle se recueillit ensuite sur un banc dans un instant de pure prière.

Sylvestre

Sylvestre ! Sylvestre !

Ledit Sylvestre avait pris les habitudes de son maître et somnolait, lui aussi, dans sa couche. Il maugréa à la voix de la jeune servante l'appelant.

Grumble... Humpf... Elle a beau avoir les plus belles miches du coin, elle n'en reste pas moins la plus casse-pieds du village...

La jeune servante entra sans demander son reste, ouvrant la porte à la volée. Elle lui fit le plus grand sourire en lui annonçant qu'il devait aller voir à l'église qui prenait la liberté d'y jouer de la clochette.

Ah ben ça la belle, ce vieux rabougris, il peut bien y aller lui-même si ça lui chante ! D'ailleurs, j'avais prévu visiter la fille du forgeron cet après-midi. J'ai pas que ça à faire, gagner mon Salut !

Il se leva, enfila, bottes, capes et chapeaux, et sortit sans jeter outre regard à la jeune fille... Son allure de fier homme, il ne le gardait que devant les autres domestiques du palais. Ce doux agneau n'avait d'autres moyens d'existence que le pain et le toit que lui offrait l'évêque. Il fit donc détour par l'église avant de poursuivre ses activités habituelles, quoique douteuses.

De l'extérieur, Sylvestre ne voyait personne à l'intérieur. L'évêque avait dû rêver. Puis, s'approchant des portes grandes ouvertes de l'église, il perçut une voix. Cette voix semblait être portée par la liturgie aristotélicienne. Le Credo ! Sylvestre entra silencieusement et se tint debout, songeur...

Il écouta l'homme devant. Il ne le connaissait pas. Sylvestre était venu à Verdun en même temps que monseigneur Huet. Ce dernier l'ayant ramassé mal en point non loin de Joinville. Enfin, sa bure, ses paroles; il n'y avait de doute, cet homme était un clerc.

Maximin

Uriel désespérait de voir venir quelqu'un à la messe lorsqu'une personne fit son apparition.

C'était Pierreden ! Cela faisait ... au moins 4 mois qu'il ne l'avait vu ...
Il avait célébré son mariage avant de quitter Verdun, cela paraissait si loin déjà ...

Je vais vous lire un passage du livre des Vertus, soyez attentifs, car il va vous apprendre beaucoup de choses sur notre belle religion Aristotélicienne.

Livre I – Préhistoire, partie IV
"Les humains avaient découvert l’acédie. Ils avaient dédaigné l’amour de Dieu pour lui préférer les choses matérielles qu’Il avait créées. Ils avaient pris goût à une part du divin, en oubliant qu’il fallait aimer l’ensemble. Oane n’était plus là pour les guider, lui qui avait été le seul à comprendre ce qu’était l’amour du Très Haut. Maintenant seuls, privés de leur guide, les humains ne savaient plus différencier la vertu de l’erreur.
Certains se mirent alors à manger plus que la faim ne le leur demandait, y prenant un plaisir qui ne faisait que s’amplifier.[…]
C’est alors que la gourmandise brisa les liens qui unissaient les hommes et les femmes. Chacun gardait pour soi les fruits de son propre labeur et refusait de le partager. Le fort produisait plus, mangeait plus, buvait plus, et devenait plus fort encore. Le faible produisait moins, mangeait moins, buvait moins, et s’affaiblissait. La communauté des hommes et des femmes se divisait à cause de leur goût immodéré des choses matérielles, qui les conduisit à l’avarice.
Alors, l’homme et la femme se firent orgueilleux. Le fort se mit à mépriser le faible, qui ne pouvait pas se nourrir autant qu’il le souhaitait. Comme la Créature Sans Nom, ils pensaient maintenant que le rôle des forts était de dominer les faibles. Celle-ci vit donc que l’heure de sa revanche était venue. Elle se mut dans l’ombre et s’approcha alors de ceux qui étaient ainsi méprisés, car ils n’avaient plus assez pour se nourrir. Elle leur demanda: “Pourquoi vous laissez-vous faire ainsi, pourquoi ne pas renverser les rôles?”
Et le faible se mit à envier le fort. Le fort, satisfait de sa situation, ne voyait pas le faible se demander pourquoi il était moins bien loti que lui. La Créature Sans Nom exultait de joie, car elle sentait l’heure de sa gloire arriver. Elle murmura à l’oreille du faible et attisa son envie. La colère gronda dans le coeur du faible, qui se révoltait intérieurement contre cette injustice. Elle lui demanda pourquoi il liait ce sentiment dans son esprit et ne le laissait-il pas s’exprimer?
Alors, l’homme et la femme frappèrent leurs frères et leurs soeurs. Prenant couteau et hache en main, chacun frappa l’autre en une tempête de violence et de destruction. Ils venaient d’inventer la guerre, qui atteignit son paroxysme lorsque chacun se mit à brûler la maison et à dévaster les champs de l’autre. La Créature Sans Nom vint à nouveau près de ceux qui l’écoutaient et leur dit que la violence et la haine leur permettrait dorénavant de dominer leur prochain."

Le Diacre fit une courte pause avant de reprendre :

Mes Amis, ce texte décrit ce que devint la cité d’Oanylone, la ville construite par les premiers humains que Dieu venaient de reconnaître comme ses enfants.
Et parfois j’ai l’impression, moi, de voir des villes qui deviennent ainsi ! Et, ça je ne pourrais jamais l’accepter. Il est de mon devoir d'avertir du danger qui guette ...

Car, oui, Oanylone fut détruite par le Créateur dans un cataclysme effroyable.
Vous souhaitez donc qu'un jour votre ville subisse le même sort ?
Souhaitez-vous que vos âmes au jour de votre mort soient envoyées en Enfer, dans cette lune où les Princes-Démons exercent les pires sévices ?

Non, mes Amis. Non ! Réagissez ! Il est encore temps.
Aidez les simples d’esprit à progresser !
Aidez les nouveaux arrivants à s’intégrer au sein de notre communauté !
Partagez vos connaissances, votre bonne humeur, votre amitié et que cette ville devienne le village fort accueillant.

Je compte sur vous tous, mes biens chers enfants. Ne vous abandonnez pas à l’orgueil ni à la colère, mais faites preuve de don de soi et de tempérance.

Ce qu'il avait vu ces derniers temps n'était pas pour le rassurer ...
des guerres, de la misère, ... heureusement, il restait encore de l'espoir.

Pierreden

Ayant entendu les cloches sonner à nouveau, Pierreden prit la direction de la chapelle du village.
Depuis son récent retour de campagne militaire hors des frontières de la Lorraines, il ne s'était pas aperçu que la petite église avait été rénovée.
Il avait du une fois y chasser un étranger qui l'utilisait pour abriter ses loups.
Un moment,il avait cru que la venue de l'évèque dans leur communauté aurait redynamisé l'édifice, mais tout cela c'était soldé par la construction d'un luxueux palais pour son confort et quelques prêches sur le marché.

Enfin aujourd'hui les cloches sonnaient à nouveau, et un peu de recueillement après les combats de ses dernières semaines, ne ferait pas de mal.
Et puis une autre idée plus privée trottait dans sa tête.

Quand il entra, il vit le Diacre Uriel de dos qui commençait à réciter son CREDO.
Il se joignit à lui.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Maximin

Le diacre se demanda si la cloche avait bien sonné.
Personne !

Les amis Verdunnois était-ils donc si affairés que pour ne point aller à la messe ?
A moins que l'effondrement de la précédente église ne leur eût fait peur et qu'ils auraient cru que Dieu les avait délaissés ?

Uriel ne savait répondre à ces questions.
Fidèle à ses convictions, il commença donc sa messe seul ...

Il remonta l'allée centrale en direction du choeur et s'agenouilla face à la croix de Christos pour se relever et aller prendre place derrière l'autel.
Baissant la tête, il récita la prière de la confession :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Enfin, il entama le crédo :

Goeri

Dong ! Dong ! DOng ! DONg ! DONG !

Les cloches ? Qui donc pouvait sonner les cloches ? Il n'y avait de curé à Verdun depuis longtemps et lui-même, l'évêque, somnolait joliment dans sa couche. C'est qu'il y avait de l'insistance dans ces Dong ! Huet ne put se convaincre de ne rien entendre bien longtemps, il ouvrit l'oeil. Aux abords du lit, une jeune servante.

Monseigneur ?

L'évêque balança ses pieds hors de la couche et s'installa en position assise. Il prenait du mieux, il est vrai. Le médecin du village lui prédisait encore 5 à 6 mois... Huet n'appréciait pas ce genre de charlatan et projetait plutôt un quatre à cinq semaines de repos encore.

Qui donc est au clocher ?

La jeune fille y alla d'une légère saluade puis se rendit au balcon où elle tenta d'y voir une silhouette dans l'entrée de l'église, de l'autre côté de la place.

Il porte la bure, monseigneur, mais je ne reconnais son visage, la pénombre le couvre.

Monseigneur la contempla alors qu'elle était accoudée à la balustrade puis fixa rapidement ses pieds alors qu'elle revint.

Eh bien, va donc voir ce fainéant de Sylvestre, qu'il aille voir ! Ça lui fera du bien de discuter à un clerc plutôt que de conter fleurette au village pour une fois !

Goeri

Monseigneur Huet déplia la missive que lui envoya Uriel et lut attentivement. Alité depuis quelque temps pour faiblesse, il ne put répondre au besoin du diacre itinérant. Il fit donc venir son fidèle Sylvestre à son chevet.

Va mon brave, va donc afficher ces bans aux portes de l'église

Sylvestre prit la direction de ses appartements où il enfila cape et bottes. Il sortit du palais, mais ne sut, à priori, pas par où passer pour se rendre à l'église. Quelqu'un avait retiré les indications !

Ah ! Ce doit faire plus de vingt et un jours que personne ne s'y soit rendus... Se dit-il.

Il prit donc un bout de bois qu'il plaça au coin de la rue et y inscrit : [CULTE] Église de Verdun.

Devant les portes, il prit un petit marteau, ainsi que quelques clous et mit en place l'annonce suivante...:

[b]
mis en annonce par {jhana} le 12/02/10 à 17h30

Anastazia_

Isis était à Verdun depuis quelques jours. Elle n'arrivait pas à entrer dans l'église. Elle s'arrêta à la porte. Mais c'est comme si quelque chose l'empêchait de pousser la lourde porte. Elle en conclue que c'était ses souvenirs qu'elle avait ici et qui lui revenait en mémoire.

Puis, elle se décida à entrer dans le lieu saint. Elle alla vers l'autel et s'agenouilla. Elle ferma les yeux et pria

Dieu, je te demande de protéger tous ceux qui me sont chers à mon cœur. Et tu sais aussi de qui je veux parler. Je te demande de le protéger plus particulièrement car je crains toujours quelque chose pour lui. Mais je voulais aussi te remercier de m'avoir permis de retrouver le bonheur auprès de Wseb. Maintenant, je sais que je suis heureuse. Je te remercie encore.

Isis resta encore un moment pour prier et elle sorti de l'église le cœur plus serein. Elle pouvait maintenant rentrer sur Épinal l'esprit plus tranquille.

Maximin

La Lorraine, enfin !
Il était désespéré de n'avoir plus vu ces paysages depuis longtemps.
Mobilisé par la Garde Episcopale en Champagne, en Artois, en Flandres, ils s'étaient enlisés dans une situation presqu'inextricable, frôlant chaque jour le risque de se faire tuer par une armée rebelle.

Il n'y avait pas eu que du positif dans cette mobilisation et le moral des troupes était bien bas.
Mais la vue des forêts lorraines lui avait donné du baume au coeur.

Arrivé de bon matin à Verdun, le village commençait à s'activer, il le traversa pour se rendre à l'Eglise, laissant son ami le sergent Domi rentrer enfin chez lui.
Croisant sur la route de nombreuses personnes telles que Xaba, Gratien, Margès, McChipie, Adelphe, Tophe, Caoimhim, Healman, Pierreden et beaucoup d'autres, il arriva sur la petite place et fronça les sourcils.

Ce qui'il vit lui fit un choc ...
L'Eglise ... il y avait eu un accident ... l'édifice s'était en partie effondré et il restait bien peu de cette ancienne structure.
A regret, il constata que cette page de sa vie était bel et bien tournée et que comme le disait l'adage, il fallait aller de l'avant.

Il entra dans l'édifice et se signa, salua la statue d'Aristote et se dirigea vers la croix de Christos, devant laquelle il s'agenouilla.

Le Diacre Itinérant avait du service à reprendre en Lorraine ! Et c'est par Verdun qu'il allait commencer.
Il prépara l'intérieur de l'édifice, alluma quelques bougies et ouvrit son livre des vertus puis il sonna donc les cloches !

Dong ! Dong ! DOng ! DONg ! DONG !

Se rendant sur le parvis, il attendit que les premiers paroissiens répondent à l'appel d'une cloche qui avait un peu pris la poussière !.

Support us

[RP CULTE] Église de Verdun