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[RP CULTE] Église de Verdun

Maximin
Comme le temps passait vite ...
Voici déjà plus d'un mois qu'il était à Verdun, il lui fallait repartir, maintenant.

Mais avant cela, il se rendit à l'Eglise pour prier pour ses amis et amies.


Lavania
Seule cette fois, la jeune femme se redit à l'église. Il était tard, mais elle n'arrivait pas à dormir. Elle avait enfiler sa vieille cape rouge qui avait été rapiécé plusieurs fois, mais qui parvenait toute fois à la tenir encore au chaud lors des froides journées telles que celle qui venait de se terminer.

Elle avait monté les marches de l'église une à une, prenant son temps en poussant les portes de l'église, elle se signa en entrant et s'avança le long de l'allée. Elle s'assit dans l'une des rangées à l'avant en silence. Fermant doucement les yeux et récitant la prière du pardon à voix basse.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

AMEN


Déjà, elle se sentait un peu mieux. Elle savait que certains ne lui pardonneraient pas, elle pouvait vivre avec ça... Elle n'avait pas trop le choix de toute façon, elle l'avait mérité en quelque sorte.

Elle venait d'apaiser, en récitant cette prière, l'un des poids qui l'empêchait de dormir. Mais il en restait toujours un... Bien présent. Celui-ci ne laissait pas un poids sur les épaules comme l'autre. Il laissait un vide, un très grand vide qu'elle ne parvenait pas à combler.

Elle commençait à s'y connaitre... Ce n'était pas la première fois qu'elle était confronté à ce genre de grand vide, bien au contraire...

Elle lui en avait voulu terriblement... Elle l'avait ensuite pleurer. Pleurer toutes ses larmes, mais le vide n'avait pas disparu. Ni maudire, ni pleurer ne fonctionnait, alors elle c'était mise à prier.

Pas prier pour qu'il lui revienne, elle savait que même le Tout Puissant, n'avait aucun pouvoir là dessus... Elle priait simplement pour qu'il reste en vie... Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir avait-elle entendu un jour...

Elle avait terminer d'adresser sa prière.

Amen, fut le mot qu'elle prononça en se relevant. Elle marcha l'allée dans le sens inverse d'à son arrivé, enfonça le capuchon de sa vieille cape sur sa tête et sortit de l'église. Elle descendit les marches, les yeux secs.

Regardant les étoiles, qui brillaient dans le ciel elle murmura tout bas...

Je t'aime Zeiss...
Lavania
Décidément, plus le temps passait, plus elle avait de raisons de venir à l'église. Cette fois cependant, la petite Elendra l'accompagnait, lui reposant la même question depuis le début du trajet.

- Mamaaaaaa? L,est où papa?

Elle avait discuter avec son père, monsieur le maire, ne sachant pas trop comment lui expliquer ça. C'était complexe et à son âge, il n'était pas surprenant qu'elle ne comprenne pas tout à fait bien le concept de la mort...

Papa il est parti en voyage au ciel, ma chérie. Lui répondit-elle doucement en serrant sa main dans la sienne.

- Pou longtemps? Avait ensuite demandé la petite.

Oui, ma puce... Il va rester là très très longtemps.... Avait-elle répondu en l'aidant à monté les marches de l'église.

On va lui dire au revoir toutes les deux... Ajouta-t-elle en poussant l'une des deux grandes portes, faisant entrer sa fille d'abord.

Elle la tint par la main, tout le long de la rangé jusqu'à un banc un peu à l'avant. Sa fille s'y glissa et s'y assis sans un mot, regardant tout autour d'elle.

La jeune mère était là pour sa petite, elle aimait son père. Et un jour, elle aurait sûrement regretté de ne pas lui avoir dit au revoir.

- L'est où papa? Demanda-t-elle de nouveau en regardant partout à sa recherche.

Lavania soupira, comment lui expliquer ça... Quand une idée lui vint. Elle posa son doigt à l'endroit où se trouvait le coeur de la petite.

Tu vois ma chérie... Ton papa il est juste là... Dans ton coeur....

La petite intriguée avait baisser les yeux, posant sa main sur celle de sa mère.

Il est partie au ciel ton papa... Mais il t'aime toujours tu sais... C'est pour ça que tu dois lui dire au revoir... Finit-elle en posant un baiser sur son front.

Elendra, s'arrêta un moment, comme si elle était plongé en grande réflexion. Au bout d'un moment, elle avait levé la tête au plafond, et levé la main pour le pointé.

- là? Papa en haut?

Sa mère avait hocher la tête, ne sachant trop quoi ajouter d'autre. Regardant la petite qui était sa fille à n'en pas douter et pourtant ses cheveux et ses yeux si clair témoignaient qu'elle était bien la fille de son père également.

La petite avait commencer à secouer sa main, faisant un au revoir au plafond en s'écriant.

- AU VOIIII PAPA!

Son cri avait fait sursauter sa mère qui se retourna pour voir s'il n'y avait pas de gens qui priait dans l'église, par chance celle-ci était vide... Elle termina sa prière et pris sa petite par la main.

Aller on y va ma jolie.

Elles avait marché en silence tout le long de l'allée, mais ce ne fut que sur le pas de la porte que la petite demanda timidement.

- Plus de papa Elendha??

Sa mère ferma doucement les yeux, et s'agenouilla devant la petite pour être à sa hauteur, la prenant doucement par les épaules.

Tu vas toujours avoir un papa ma jolie... Et tu sais... C'était difficile à dire, elle ne voulait pas lui imposer l'homme qu'elle avait choisis. Et pourtant celui-ci aimait la petite plus que tout.

Tu as encore un papa, si tu veux ma grande... Il a été le premier à te prendre dans ses bras... Il a joué avec toi... Tu es sa petite Elendra à lui aussi... Tu sais qui c'est?

Sans y penser plus longtemps, la petite avait regarder sa mère un petit sourire aux lèvres?

- Issss? Isss mon papa à moua? Comme Ake?

La jeune maman hocha la tête en prenant sa fille dans les bras, la serrant contre elle.

Si tu en a envie ma jolie... Il sera toujours là pour toi...
Sybille_von_frayner
Fihafihafiha


C’est dans le Soleil levant qui donnait naissance au jour qu'un homme de grande taille, accompagné d'un jeune page près de lui, s'approcha de l'église, légèrement fatigué sur sa monture tout en se tenant le bras gauche d'une certaine douleur. De loin, à ce temps, le soleil brûlait assez le regard pour qu'on puisse le contempler longuement afin de savoir qui c'est, et c'était inutile de s'en approcher pour le moment, son épée brillait assez fort pour prévenir les quelques petits malins de ce qu'ils pourront voir, ou ne pas voir ...
Romy, tu restes ici ... Dit-il à son page avant de sauter de sa jument, puis lui confier son épée et son chapeau.

Le baron grimpa la parvis jusque dans l’église, contemplant une décorations sobre et parfaite de l’endroit, toujours aussi fatigué. Arrivé devant l'autel, le brun au milieu de ses trentaines s'agenouilla tout en se signant, croisant ses mains devant lui tout en fixant la croix, symbole d'aristotélisme, devant lui.
Le visage du natif l'Italie se fendit d'un sourire de sérénité à ce moment, ceci faisait longtemps qu'il n'était pas venu dans une église pour lui, et lui seul, hormis les cérémonies qui étaient des plus pathétiques ... Ça faisait un mois qu'il n'assistait plus qu'à des couronnements, des mariages pour des titres ou encore, des massacres en plein église pour deux hommes de politiques qui se disputent leurs raisons. Mais après tout, c'est dans cette église qu'il fût baptisé par son parrain par la douce Bethany ... Que des souvenirs lui passèrent à la tête.

Après une longue nostalgie et un rafraichissement d'une mémoire perdue entre les pages d'une vie qui ne peut être considérée paisible, le brun ferma les yeux tout doucement, comme s'il essayait de connecter son esprit avec d'autres dimensions, plus calmes qu'une vie tantôt rose d'amour, tantôt rouge de guerres, puis se mit à réciter ce qu'il avait tant répété sans aucune vraie raison, mais cette fois, c'était la bonne ...
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.


Ceci finit, il se chuchota comme par amour du lieu quelques mots davantage afin de rester le plus longtemps possible avant de relever sa dépouille extrêmement fatiguée, commençant à saigner du bras gaucher goutte par goutte. Il n'en avait qu'à faire, ce n'était pas ça qui le préoccupait ...
C'est alors qu'il sortit à pas légers de la bâtisse religieuse rejoindre le page qui l'attendait avec les deux montures, il monta la sienne puis scruta du regard une dernière fois l'édifice.

Votre bras saigne, seigneur ... lui dit-il le page
Je sais, ne t'en occupes pas.
Et la dépouille de l'homme ? ...
Je ne l'ai pas tué, ne t'en fais pas. Mon épée est trop sainte pour s'occuper de ce genre de malfrats ... Maintenant, partons.


Sans attendre, il reprit la route en direction de l'ouest Verdunois afin de rejoindre quelques affaires qu'il avait ...
Rozenn.
Mellyssa, trèèèès tard dans la nuit.. Parce qu'un pigeon c'est idiot et ça vient faire suer les gens trèèèèèèèès tard dans la nuit.
Enfin tôt d'ailleurs... Ca dépend du point de vue tout ça finalement.

Ni une ni deux, elle ne prit pas le temps de répondre au Frère Uriel. D'toute manière à une heure pareille... Sur qu'il lui répondrait pas l'Archidiacre..
Et se rendit donc à l'Eglise de Verdun afin d'y afficher, ce qu'elle avait à y afficher, sans l'avoir même lue... Plus tard qu'elle lirait, bien plus taaaard. Après avoir fait un gros dodo.




L'heure étant toujours aussi tardive, ou "tôtive" (excusez mon manque de vocabulaire, mais j'suis sure que tout l'monde il a compris ), toujours selon le point de vue, elle ne resta pas plus longtemps à poireauter le fidèle qui pourrait se pointer à l'improviste.
A c't'heure là ! Nan mais oh ! Faudrait pas pousser mémé dans les orties nan pu...

Et hop... Elle était déjà retournée dans son plumard et... *roooooonpchiiiiii*
Etonnant non ?

_________________
Ines
Les mains jointe près du visage je récitais le Crédo dans un murmure..

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN
Goeri
La matinée du premier de janvier pointait joyeusement son nez. Ô la veillée avait été tout aussi joyeuse pour les habitants de Verdun. Çà et là traînaient quelques bons amis, embrassés dans une étreinte d'ivrognes. Adossés à l'église du village, ces quelques gaillards eurent la vision d'un homme, courbé sur son bâton, sortant du bois.

-Rhaaa.... Bon Dieu, t'aurions pas vu ce qui c'est qui s'amène... !?

-O ce ne serait pas le... le... ouais le... lui là...


La discussion philosophique fut entravée par l'arrivée à proximité de l'homme.

-Ohé survenant !

-Mes sieurs, salutations


L'homme passa son chemin. Les bonnes gens se regardèrent un brin. Haussèrent les épaules et replongèrent dans leur traditionnelle ivresse. Ce qui devait être un vaillant évêque contourna le bâtiment et y pénétra. Là, il mit de côté sa vieille robe de bure, posa son bâton et renifla un peu l'air ambiant. Ce n'était pas le cierge brûlait qu'on reniflait, mais le doux parfum du cèdre, du sanglier à la braise et du vin de pays à peine renversé. Remettant le bain à plus tard, il devrait bien le faire de toute façon avant de rejoindre le conseil épiscopal, il se dirigea droit à l'auberge y raconter ses histoires de pêche et ses aventures ayant égaillé ses quatre mois à l'extérieur de la civilisation.

Monseigneur de Feugères était revenu et ce dernier se dirigeait vers la taverne la bourse pleine.
Lavania
Lavania avait entendu parlé du retour de l'évêque au village depuis quelques jours. Elle n'avait pas eu la chance de le croiser, mais espérait que peut-être en se rendant à l'église il serait présent.

Il était celui qui avait célébré son mariage plusieurs mois au paravant, elle avait toujours trouvé qu'il savait trouver les mots justes. Alors peut-être que celle fois, pourrait-il lui indiquer la voie à suivre, elle qui ne savait plus trop quoi penser.

En marchant en direction de l'église, elle se remémora sa journée d'hier. Elle avait passé par toutes sortes d'émotions, de la tristesse la plus grande, à la colère la plus cruelle pour ensuite relire une vieille lettre et reprendre espoir. Sourire comme elle n'avait jamais sourit de puis ce jour. Elle y avait cru... Elle avait cru en son retour.

Mais comme chaque fois où elle avait le malheur de retrouver espoir, elle s'était réveiller ce matin. Le matin qu'elle espérait être le bon...

Elle l'avait chercher... Mais bien entendu... Il n'était pas là... Et elle avait fait quelque chose qu'elle s'était refuser depuis longtemps.

Elle avait pleurer... Il n'était toujours pas revenu... Qu'est-ce qui devait arriver dans ses moments là? Que devait-elle faire? Il la forçait à être plus forte qu'elle ne l'était...

Une solution c'était donc imposer à elle. Monseigneur Huer était de retour? Soit, elle irait le voir...

C'est donc, quelques jours après la nouvelle année que la jeune femme monta les marches de l'église et pénétra dans l'édifice.

Monseigneur? demanda-t-elle à voix basse, lorsqu'elle eut refermer les grandes portes derrières elle.
Goeri
Un de ces silences... pur... Que les échos de la foi emplissant l'édifice, le froissement des draperies par le vent s'engouffrant par la porte entrouverte et les cliquetis des quelques volatiles s'étant infiltrés à l'insu du bedeau.

Monseigneur de Feugères, cet homme plein de grâce et de ayant gagné le respect de tous, était près de l'autel. Une proximité telle qu'il reposait, en fait, dessous ledit autel. Un bras derrière la tête, l'autre pendant, las, à ses côtés. Là, une coupe renversée et ce qui fut son contenu imbibait à présent la riche robe de l'évêque. On aurait dit un nourrisson tant la situation en était attendrissante. Huet était revenu de taverne en soirée et c'était mis en tête de donner la messe de minuit. Sans public, il s'était endormi en plein sermon et c'est ainsi que nous le retrouvons à l'aurore.


Monseigneur.... Monseigneur.... Monseigneur.... Monseigneur.... Monseigneur.... Monseigneur....

Un vague écho parvint aux oreilles de l'évêque de Metz. Ouvrant l'oeil, il posa naturellement sa main gauche au front qu'il massa douloureusement.

Qui ose profaner le sommeil sacré du maître de ces lieux... ?
Lavania
Qui ose profaner le sommeil sacré du maître de ces lieux... ?

Une voix sortie de nulle part, prononçant des mots plus qu'effrayant. Profaner le sommeil sacré du maître de ces lieux...

Déjà qu'elle sentait mal de venir profaner tout court. Profaner le sommeil de quelqu'un c'était encore pire, mais là profaner le sommeil sacré de quelqu'un, ouille ouille ouille... Et encore! Ce n'était pas tout! Profaner le sommeil sacré du Maître des lieux... Valait mieux s'enfuir avant qu'il ne la voie!

N'importe qui qui aurait lu dans ses pensées en ce moment aurait pu croire qu'elle se moquait de la voix qui venait de parler, hors c'était tout à fait le contraire, en l'entendant elle avait sentit un frisson la parcourir.

Une partie d'elle lui disait de partir avant qu'il ne soit trop tard, mais une autre la retenait en ce lieux de culte. Elle était venue, elle ferait fasse

Oups, j'aurais peut-être pas dû venir, s'était-elle dit avant de faire un pas en avant malgré tout, regardant partout autour d'elle, cherchant d'où venait la voix qui s'était adresser à elle.

Bonjour... Je suis désolée d'interrompre votre sommeil sacré... Maître de ces lieux... Mais je cherche à parler à Monseigneur Huet... Je... Je m'appelle Lavania... Il ... Il a célébré notre mariage, à mon époux et à moi... il y a quelques mois déjà... J'étais simplement venue... lui demander conseil... Mais je peux repasser plus tard vous savez...

Elle s'arrêta de parler, ayant peur d'en avoir trop dit. Elle attendait, prête à quitter l'église à tout moment.
Goeri
Bonjour... Je suis désolée d'interrompre votre sommeil sacré... Maître de ces lieux... Mais je cherche à parler à Monseigneur Huet... Je... Je m'appelle Lavania... Il ... Il a célébré notre mariage, à mon époux et à moi... il y a quelques mois déjà... J'étais simplement venue... lui demander conseil... Mais je peux repasser plus tard vous savez...

L'évêque, couché, ouvrit grand les yeux. Combien de temps avait-il pour sortir de sous la nappe recouvrant l'autel et se soustraire au regard de Lavania ?

Huet ferma les yeux, roula hors de sous la table et se releva, feignant de ramasser la coupe.


Ah bonjour Lavania ! Hahaha ! Haaaaa... Bonne blague n'est-elle pas ?

Huet prit équilibre, s'appuyant sur l'autel et combattant le tournie.
Lavania
Lavania vit sortir l'évêque de sous l'autel. Enfin sortir... Il avait plus rouler de sous la table, pour ramasser une coupe. Elle le regarda, son visage marquant un grand étonnement. de tous les endroit où elle avait cru entendre venir la voix, elle ne se serait jamais ô grand jamais douté qu'elle puisse venir de sous la table.

Son étonnement fut un peu plus grand lorsqu'elle entendit les paroles de l'évêque, elle eut même la vague impression qu'il avait de la difficulté à tenir sur ses jambes, mais qui était-elle pour juger un membres de l'église?

Hoo! Bonjour Monseigneur! Je dois avouer que je ne me serais jamais imaginé vous voir sortir de... de sous l'autel... lui répondit-elle en souriant.

Est-ce que je vous dérange? Je peux revenir une autre fois vous savez... S'empressa-t-elle d'ajouter, en pointant la sortie.
Goeri
De sous l'autel. C'est une manière de voir les choses... Et si nous disions que l'autel était sur moi plutôt ? Ne croyez-vous pas que cela faisait plus de sens ?

L'évêque sourit maladroitement

Laissons là la discussion hautement philosophique, j'imagine fort bien que vous voilà pour une raison tout autre ? Eh puis, je m'ennuie fort de ces temps-ci. Vous savez, les autels sur les épaules, voilà qui n'est pas un gai passe-temps...

Huet voulut s'approcher d'elle et chercha donc sa crosse un instant. Il la vit couchée au sol, en travers de l'allée principale. Il fronça les sourcils et décida de rester en place plutôt que de tenter un mouvement qui pourrait le perdre.

Allons donc la belle, dites-moi donc ?
Lavania
L'autel sur l'évêque... Voilà une question qui méritait tout de même qu'on y réfléchisse. Ce n'était pas fou en soit... Restait simplement à savoir, qui état arrivée en premier... L'évêque ou l'autel...

Elle fut toute fois ramener à l'ordre et couper dans sa réflexion par les paroles du dit évêque. Il n'avait pas tort, elle n'était pas tout à fait venu pour répondre à cette question ci.

Elle remarqua un froncement de sourcil de la part de l'évêque en direction de l'allée et se tourna discrète, enfin le plus discrètement qu'elle pu afin de voir si quelqu'un n'entrait pas dans l'église, mais elle ne vit rien. Pourquoi se froncement de sourcil alors?

Bien entendu, si elle avait vu la crosse de Monseigneur elle le lui aurait apporter, ou alors s'il la lui avait demandé, mais comment aurait-elle pu le savoir? Ne le sachant pas, elle ignora ce petit détail et reporta son attention sur le pourquoi de sa présence.

Oui, je suis venu vous voir à propos de... de mon mariage... Je... J'aurais quelques question pour vous... Ou alors une seule... Elle baissa les yeux un moment, puis les releva.

Je me demandais si... dans le livre des vertus, ou ailleurs... On ne parlait pas de... ce qu'on doit faire si... si la personne qu'on a épouser est absente... Elle s'arrêta un moment, mais senti le besoin de se justifier et poursuivit donc.

J'ai tout essayer ce à quoi je pouvait penser... Voyage, prière... et plein d'autres choses qui ne me vienne pas à l'esprit en ce moment, mais... Elle ne savait pas trop quoi ajouter d'autre et se tut donc, s'il voulait en savoir davantage, il le lui demanderait sûrement.
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