Sunaomi
[Dans sa demeure, quelques minutes avant l’humiliation ]
Un large sourire aux lèvres alors qu’elle se réveille enfin après cette nuit agitée.
Aujourd’hui n’était pas un jour comme les autres, et pourquoi ? ..Car il s’agissait d’un jour d’humiliation, de honte pour un certain « ami ».
Elle prend donc soin de se laver, entièrement ou presque. Les pieds hors de l’eau, elle se cale et lave son corps relativement fin et bleuis par sa rixe d’hier.
Il était important pour elle, de laisser ses pieds aussi pourris que possible pour savourer au mieux le fruit de sa victoire.
Moment de détente, marqué par une impatience certaine. Elle avait hâte de le voir à genoux devant elle, léchant cette partie de son corps tout en retenant un possible haut le cœur...Elle bouge un peu ses orteils et enfin se décide à sortir de l’eau.
Même rituel, celui de l’enlaidissement alors qu’elle voit le moment se rapprocher.
Cheveux emmêlés, visage de nouveau salis, tenue sale et puante sur la peau et elle est prête.
Une seule fois, elle avait eut le malheur de se montrer le visage propre, et cette énergumène c’était comportée d’une manière étrange...Bouche bée et air niais...vous voyez ?
[Sur la Place Publique]
Enfin il est l’heure. Elle arrive devant la place publique et s’installe sur le rebord d’un muret.
Ses mollets, ses jambes étaient propres et il allait certainement s’en rendre compte pendant qu’il s’exécuterait. C’était là, une simple provocation.
La pouilleuse se gratte la tête, crache au sol et tapote le bout des doigts sur la pierre.
Il est lent, très lent....
Mais voilà que deux individus se présentent alors qu’elle se lassait à l’instant de dévisager les nombreux passants du Cloaque.
Son « ami » s'avance accompagné, d’un autre homme.
Elle ne le connaissait pas celui là. Pourquoi l’avoir amené ?...
Pas le temps de réfléchir, qu’elle relève un peu son habit pour laisser apparaitre ses pieds crasseux et la moitié de ses jambes fines et blanches.
Il va de soit que durant le trajet, elle avait bien évidemment prit soin de trainer au mieux ses pieds dans toutes ses flaques douteuses et putrides pour une meilleur résultat.
Sourire carnassier, et malsain alors qu'elle range une mèche.
Alors, Sculo.....Prêt ?!...Moi...oui.
_________________
Créatrice de bannières.
Un large sourire aux lèvres alors qu’elle se réveille enfin après cette nuit agitée.
Aujourd’hui n’était pas un jour comme les autres, et pourquoi ? ..Car il s’agissait d’un jour d’humiliation, de honte pour un certain « ami ».
Elle prend donc soin de se laver, entièrement ou presque. Les pieds hors de l’eau, elle se cale et lave son corps relativement fin et bleuis par sa rixe d’hier.
Il était important pour elle, de laisser ses pieds aussi pourris que possible pour savourer au mieux le fruit de sa victoire.
Moment de détente, marqué par une impatience certaine. Elle avait hâte de le voir à genoux devant elle, léchant cette partie de son corps tout en retenant un possible haut le cœur...Elle bouge un peu ses orteils et enfin se décide à sortir de l’eau.
Même rituel, celui de l’enlaidissement alors qu’elle voit le moment se rapprocher.
Cheveux emmêlés, visage de nouveau salis, tenue sale et puante sur la peau et elle est prête.
Une seule fois, elle avait eut le malheur de se montrer le visage propre, et cette énergumène c’était comportée d’une manière étrange...Bouche bée et air niais...vous voyez ?
[Sur la Place Publique]
Enfin il est l’heure. Elle arrive devant la place publique et s’installe sur le rebord d’un muret.
Ses mollets, ses jambes étaient propres et il allait certainement s’en rendre compte pendant qu’il s’exécuterait. C’était là, une simple provocation.
La pouilleuse se gratte la tête, crache au sol et tapote le bout des doigts sur la pierre.
Il est lent, très lent....
Mais voilà que deux individus se présentent alors qu’elle se lassait à l’instant de dévisager les nombreux passants du Cloaque.
Son « ami » s'avance accompagné, d’un autre homme.
Elle ne le connaissait pas celui là. Pourquoi l’avoir amené ?...
Pas le temps de réfléchir, qu’elle relève un peu son habit pour laisser apparaitre ses pieds crasseux et la moitié de ses jambes fines et blanches.
Il va de soit que durant le trajet, elle avait bien évidemment prit soin de trainer au mieux ses pieds dans toutes ses flaques douteuses et putrides pour une meilleur résultat.
Sourire carnassier, et malsain alors qu'elle range une mèche.
Alors, Sculo.....Prêt ?!...Moi...oui.
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