Je suis née en Thessalie. Descendant directe d’Achille, je suis bien
aise de connaître la Grèce. Je me suis aventuré dans bien d’autres
endroits, voilà ma fabuleuse histoire que je vais vous conter
maintenant : « Je naquis en Thessalie, mon père, le roi Achille, mourut
peu après ma naissance, à une guerre contre une ville du Proche-Orient,
à Deux, je crois, il périt contre un facièce à soufflet, du nom de
Paris, si mes souvenirs sont bons. Ma grand-mère, Thétis, une très
belle femme, qui adorait l’eau, va savoir pourquoi, m’a donné les armes
de mon père. Grâce à elles, je me suis très vite distingué dans la
cavalerie. Bien sûr, je n’avais pas n’importe qu’elle maître pour
diriger mes lectures, et le reste de mon présent savoir. J’avais un
centaure, Chiron, fils d’enchaîner. Je ne l’ai jamais supporté,
celui-là. Ce qu’il pouvait m’agacer à toujours dire à ma maman quand je
ne l’écoutais pas. D’ailleurs, une fois, j’ai donné une bourse pour
qu’une flèche lui arrive dans les sabots, je voulais juste voir comment
il se soignerait. Quand ma maman l’a appris, elle m’a confisqué tous
mes jouets. Pendant un an, je n’ai pas pu utiliser mes armes. Et
ensuite, l’animal est mort, je me suis embêté a ce fichu enterrement.
Toute fois, la vie continuait. Un ancien compagnon du divin Akhilleús,
mon père, un cocu dont le nom est Odusseús, Ulysse, est venu, et après
une brève conversation, je découvris avec émerveillement l’existence
d’une magicienne. Circé avait élu domicile sur l’île d’Aéa, je décidais
d’y aller.Bien sûr ma mère ne devait absolument, mais absolument, rien
savoir. Je décidais de partir de nuit, j’avais, le jour, rassemblé un
équipage – je savais naviguer, bien entendu, - qui m’étais fidèle,
l’argent facilite tellement les choses…Le voyage dura assez longtemps,
évidemment si j’avais pu prendre mon bateau, le voyage aurait été plus
court – mais de toute façon on aurait su que j’étais parti, donc j’ai
perdu un temps fou avec ce fichu rafiot. L’équipage s’impatienta : ils
voulaient savoir où je les emmenais. Il ne fallait pas qu’ils sachent,
pas avant que je n’ai pu les convaincre que mon idée tenait du génie.
Je leur dit donc que nous allions dans une île presque déserte.
L’histoire que je leur improvisais disait que nous allions dans une île
presque déserte, dans l’histoire, des serviteurs déguisés en animaux
seraient là pour rendre le séjour agréable. Ils acceptèrent
l’explication, sans réfléchir : c’étaient des marins, après tout.Nous y
arrivâmes après trois mois. Pendant la nuit, je furetais en espérant
trouver un palais. Ce n’est qu’au bout du troisième jour que l’un de
mes hommes disparus. J’avais un excellent prétexte pour aller cherché
le palais. La recherche ne prit pas long : le cocu m’avait bien indiqué
son emplacement. Odusseús m’avait donné une plante du nom de mõlu.
Cette plante m’a sauvé la vie : elle m’a empêché de me transformer en
pourceau. Comme quoi ce cocu a du bon. Elle nous a donné du cycéon puis
a transformé mes compagnons, je sortis mon épée. Circé accepta de
rendre à mes compagnons leur apparence initiale. Après moult discours,
elle accepta de me former et de me recommander des personnes pour
certaines autres formes de magie.Il me fallu une longue année de labeur
pour maîtriser la métamorphose et les empoisonnements, sa spécialité.
En échange, de cette formation, je lui laissais mes anciens compagnons…
Elle me recommanda un oracle, qui était une femme, du nom de Manto.Il
me fallu faire un long voyage en Asie-Adulte. Le voyage était bien
entendu plus simple : je pouvais me transformé. La forme de un volatile
me paru convenable. Quand j’eus rencontré cette charmante femme, je la
convainquis tout de suite de m’enseigner son art. Ce qu’elle fit
gracieusement pour moi. De là, je possédais une science magique
suffisante pour rentrer chez moi sans embûche par la téléportation.Ma
mère était morte d’inquiétude. Quand elle me vit, elle me gourmanda à
grand renfort de cris. C’était disproportionné, elle me punit de
manière injuste. Je n’eu pas le droit de participer aux prochaines
batailles. Je ne comprends toujours pas pourquoi mon absence avait
excité son courroux, je n’étais parti que pendant trois ans. A présent,
j’avais de la barbe, de la vraie. Grâce à cela, je pu participer à mon
premier tournoi de pugilat et de pancras. Les tournois étaient durs,
mais ces trois ans loin de la maison m’avais renforcé. La métamorphose
me donnait un avantage, en ceci près que j’avais renforcé depuis
longtemps mes pauvres muscles de pathétique humain normal, en des
muscles animaux. Je ne finis toutefois pas premier, j’étais encore
jeune et ne possédais pas assez de techniques par rapport aux autres
adultes.Quelques années plus tard, ma mère mourut. Je fus assailli pas
la tristesse, une tristesse indéfinissable. Je cru que j’allais en
mourir, la vie perdait de son intérêt, a quoi bon vivre dans un monde
où tout le monde mourait sans raison apparente. Toutefois, une guerre
éclata. Il me fallu finir la fosse pour ma mère, la magie aide
tellement pour ce genre de menus travaux. La guerre me donnait une
raison de vivre et de mourir, car y a-t-il plus grande gloire que de
mourir en se battant loyalement ? Je dirigeais depuis un an la
cavalerie. Nous chargeâmes avec fougue. Nous étions la terreur des de
nos ennemies. Telle une lance contre de l’écume, nous frappions les
lignes ennemies, sans toutefois les repousser complètement. Le moral
des troupes était bon. Après une heure, je décidais d’utiliser la
magie. Les lances empoisonnées étaient nettement plus meurtrière. Je
remerciais Arès car à partir de cet instant ce fut un massacre complet
de nos ennemies. Les hoplites Traînaient par rapport à mes unités. Nous
vainquîmes les ennemies, nous pillâmes leurs maisons, et nous occupâmes
du butin de guerre : les femmes et les esclaves étaient assez
recherché.En rentrant, je me libérais de l’intendance, j’aurais pu le
faire plus tôt mais je ne jugeais pas cela utile, avant. Je pris la
place de commandant général des armées.A présent, il me fallait
m’occuper de la politique comme tous les autres rois. Je décidais du
bien-être de chacun. J’avais accès au trésor thessalien. Je pouvais
avoir tous les cours de magie que je voulais. Je demandais, j’envoyais
un émissaire et j’avais un magicien prêt à m’apprendre son art. Je le
fis souvent, jusqu’à savoir plus ou moins tout. Sur les champs de
batailles, ma magie, mes armes, mon cheval, mon armure et surtout mes
stratégies en combats firent que mon armée était redoutable, ce fut
l’âge d’or de la Thessalie. Ma foi, cela ne devait guère duré : un
événement devait nous mener à notre perte… Un magicien me proposa l’art
occulte de la vie. Je n’en avais jamais entendu parler, je décidais de
m’y intéresser. J’acquis la vie éternelle, une force titanesque, une
très grande endurance et l’agilité du singe. J’avais tout ce que je
voulais. Mais, les gens commencèrent à avoir peu quand ils voyaient que
je ne vieillissais pas, que les flèches dans la carotide, dans le cœur
ou dans le foie ne me tuait pas. Ou quand mon corps se raidissait mais
que je revenais dans le monde des vivants. Leurs craintes ne faisaient
que croître aux files des ans. Jusqu’au moment qui signa ma perte, je
venais d’atteindre l’âge de deux hommes réunis. Mes généraux, mes
conseillers, mes paysans, tout le monde me craignait. Ils décidèrent
d’agir en conséquence. Ils fomentèrent un complot. Qui ne fut pas sans
couronnée de victoire. Leur plan consistait à m’attraper. Puis à me
ligoter, et me passer des lances dans le corps. Cela fait, ils me
jetèrent dans le domaine de Poséidon.Je n’avais pas dit mon dernier
mot. Il me fallut prendre des hommes sous mon contrôle. Les métèques
avaient enfin une utilité. Je les envoyais dans toute la ville. Leur
mission consistait à m’apprendre les points faibles de mon système, sur
quels points les hommes libres n’étaient contents. De mon côté, je
fabriquais un fruit pour que les femmes puissent stopper le four qui
permet aux hommes de naître. Je contrôlais aussi les grades, d’abord un
petit groupe était sous mon contrôle, mais petit à petit, année après
année, je pu contrôler quasiment toute la garde. Les différentes
nécessitées de mon plan commençait à se former. Les métèques purent me
donner les informations dont j’avais besoin. Il me fallait agir
rapidement. En premier lieu faire savoir aux femmes qu’un fruit leur
permettrait d’être mieux considérées, même si elles ne valent rien.
Deuxièmement, instiller la colère contre le système en place. Je dus me
transformer en femme pour passer la garde, juste qu’il ne me
reconnaisse pas, même si de toute façon mes pouvoirs les avaient
obligés à être sous mon joug mental. La métamorphose me servit surtout
pour marcher discrètement dans la ville. Je donnais le fruit aux
femelles en leur donnant les instructions. Je mis en place la révolte
et direction le palais. Pour bien que mes ennemies sachent que c’était
moi qui avait tramé toute cette histoire, je montrais mes armes. Ile ne
comprirent pas tout de suite se qui s’était passé. Je les avais
enfermé, j’avais tout le temps que je voulais pour leur raconter
comment j’avais ourdit tout le complot. Je les tuais avec la
satisfaction de voir leur visage terrifié.A présent, il me fallait
fuir. Nous avions de nombreuses colonies vers la mer. Je m’installais
sur une île silicienne du nom de Soloi. Le monde qui y vivait parlait
très mal le grec. Je dus adapter mon langage. Une fois que je pus me
faire comprendre, il me fallait me procurer de quoi vivre
convenablement. Je n’allais tout de même pas rester comme un moins que
rien. J’asservis un petit noble, ce n’était pas mon genre d’exagérer.
Je décidais de faire une petite vie confortable. Au vu du fait sans
importance que j’étais immortel, je décidais que tout les quarante ans
je déménagerais pour habiter ailleurs. Après avoir vécu une sympathique
petite vie sans ostentation, un banquet tous les mois et une grande
fête par année. Je devais partir. Si je restais on n’aurait pu
m’accuser d’être un magicien.Un fait intéressent est que les dieux
meurent et naissent selon les croyances. Par exemple, Zeus devint
Jupiter ou selon les endroits Amon-Ré. Il pouvait aussi changer de
personnalité selon les cultures voir même n’être que le reflet de
l’image précédente. Mais, mes dieux grecs ne peuvent mourir puisque
qu’il y aura toujours un croyant… Un jour, un benêt qui se prenait pour
un savant Macédonien, fit une nouvelle religion sur un dieu vaseux qui
était tellement seul qu’il a du, selon le dogme, se crée des être qui
doivent l’aimer sinon ils les punissent. Cet idiot se croyait
intelligent parce qu’il avait eu une nouvelle idée de religion. Son
"dieu" ne l’avait gâté.Le fait le plus embêtant avec cet imbécile,
c’est l’instauration de l’inquisition. J’ai été obligé de tuer beaucoup
plus de monde, il ne faudrait tout de même pas que l’on découvre mon
secret. Je ne peux plus me téléporter comme avant, il y aurait trop de
monde a contrôlé.Après de nombreux essaies, j’avais eu une nouvelle
idée. D’être un vagabond et d’essayer de recommencer une vie comme la
plupart des gens et progressivement de recouvrir mes moyens financiers.
Pour cela, je décidais de ne pas utiliser, pas tout le temps, mes
pouvoirs magiques.Un jour, je décidais de combler ma solitude avec des
enfants. Je n’avais pas envie de me remettre avec une femme, la
dernière fois ça m’avait fait mal. De toute, façon les femmes ne
servaient qu’à porter les enfants puisque se sont les hommes qui font
les enfants, mais maintenant certaine décident de ne plus porter
d’enfant pendant qu’ils sont dans leur four. Je pris un bout de mon
cheval Buphalo, il était mort pendant que j’étais encore roi. Avec ça,
je fis le premier enfant. Pour le deuxième, j’utilisais une flamme
ardente. Le premier, je le nommais George Ecuyer, il devint un bon
cavalier. A cinquante ans, il prit sa retraite, je lui en veux toujours
d’avoir arrêté. Quand je pense qu’il aurait pu mourir en combat, alors
que là il mourra gentiment dans ses pantoufles de laines. Autrement, il
eu trois beaux garçons mais il décida d’adopter la fille de son frère,
même s’il ignorait qu’il avait un frère... Le deuxième est plus grand
que George mais il aime les femmes. Alexandre Clerc aime tout ce qui se
fait de mieux, l’alcool, les hommes et à mon plus grand désarroi les
femmes. Il est allé en Asie, a une fois de plus engrossé une femme,
mais cette fois-ci c’était une asiatique.C’était donc ma première
descendance. Il se trouve qu’Alexandre possède moins de moyens que
George pour mes vacances. Dernièrement, tous mes petits enfants, il y
en a beaucoup grâce à Alexandre, ont eux même des enfants, sauf les
plus jeunes enfants d’Alexandre, Martin, le fils de George et ma petite
fille.La mère de ma petite fille étant tombé malade, il me fallut me
déplacer pour la misérable femme d’un autre. J’ai aussi fait la
connaissance personnelle de ma petite fille qui s’appelle 101112v, je
crois qu’elle couche dehors – quand elle est chez elle -, c’est
sûrement à cause de son nom. Elle était tout à fait quelconque, elle a
les yeux bridés - mais pas trop – elle avait des charmes moins
développées que ses petites camarades. Elle était maladroite comme
Fanfon. Evidemment, elle n’a pas marché sur les traces de son père
adoptif, elle avait rejoint les archers et n’était que Caporal. Elle
avait tout de même réussit à créer des arcs. Elle m’a même fait
l’honneur d’appeler son premier arc Freng. C’était très gentil de sa
part, sauf quand on se dit que si c’est le premier, c’est celui qui ne
bénéficie pas d’expérience et que donc c’est le plus mal fait. Je
suppose qu’à cette maudite époque d’hypocrite on prétend pour consoler
les gens que c’est l’intention qui compte.Dernièrement, elle a attrapé
la peste bubonique. Si personne ne peut la soigner je le ferai…Il se
trouvait que personne n'en était capable. Un médecin femme qui
prétendait être médecin. Un barbier chiurgien, aussi un misérable
femmelle, qui s'occupe des infections - comme la peste. Ce médecin
disait, je l'ai su avec la mantomancie, que c'était le rat qui donnait
la peste - alors que ce sont les puces -, elle a demandé un à un
apothicaire sous ses ordres, elle est médecin chef, de faire une
stupide potion qui ne marche pas, évidemment. J'ai du utilisé ma magie
pur la guérire, dans mon infini bonté, j'ai mis en route le processus
de soin de la peste pour les autres. Ma petite fille a soufert pendant
l'opération.
Julie était en taverne, elle buvait de l'eau bien sûr, quand elle
rencontra un petit prestigitateur qui se mit à lui faire la cour. Pour
l'impressionée, il se dit grand mage, il n'a fait que deux cent ans
d'études magiques, il fait apparaître une ridicule couronne de fleur.
Je ne puis accepter le fait qu'il dise qu'il n'essayait pas de changer
l'histoire alors que même les actions non magiques peuvent changer
l'histoire. Je pris possesion du corps de ma Julie pour transmettre une
histoire abracadabranque qui serait un parfait exemple d'action qui
change grandement l'histoire. Et puisque le petit presdigitateur lui
avait donné des fleurs, je décidai de faire mieux. Je lui envoyai par
magie, la plus belle couronne de lys blanches.Ces fleurs étaient
imputréscibles, leur blancheurimmaculées, quand elle le reçut la tête,
elle aprécia tellement qu'elle se mit à porter sa belle couronne.
A Lausanne, je fus élu sénateur à la justice. C'était un poste pas vraiement occupant.