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Kileron


RP profile

[HRP :] Bien entendu vous ne savez cela ni son nom tant qu'il ne vous l'aura point dit.

 

De plus, si je ne parle point en taverne, un grand malheur arrive... Je vais certainement me faire bien mal au séant. [/HRP]

 

 

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Se prononce Kilérön

 

Description :

 

Grand homme aux cheveux châtains et aux yeux bleus.

 

Il a un tatouage partant du bas du dos représentant des flammes qui petit à petit se transforment en plumes et en une aile à son épaule gauche. Celui ci cachant une tâche de naissance se trouvant dans le bas du dos...

 

Son pied gauche qu'il montre à peu de personne a été gravement brûlé et lacéré vers ses 5 ans. Il lui arrive parfois de ressentir des douleurs en souvenir de ce jour funeste.

 

Il se trouve sur son torse, au niveau de son cœur la cicatrice d'un coup porté... La mort frôlant son cœur... Son Avant-bras droit présente une belle estafilade...

 

 

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Curiculum Vitae :

 

- Actuelle Bon à rien...

 

 

- Ex-Garde Royal de la princesse de France Marie_Héloise, assassiné par son propre père...

- Ex-Garde du corps de la Vicomtesse d'Arnac, MarieAlice.

- Ex-Garde du corps, tout du moins compagnon de route, de Dame Kidineige.

- Ex-Caporal - Garnison de La Teste

- Ex-Sergent Chef - Garnison de La Teste

- Ex-Lieutenant Zone Est, Ost de Guyenne

- Ex-Médecin - Ost de Guyenne

- Ex-Médecin-Chef ? - Ost De Guyenne

- Ex-Tavernier Municipale de la Teste de Buch

- Ex-Intendant de la Teste de Buch

 

 

Présent qu'on lui a offert :

 

- Un superbe tablier à fleur, de la part de Mérovingien, plusieurs fois maire de Montauban ( et pas des plus nuls ! ) http://www.lost-cow-city.com/images/cow-parade-vache-tablier-tcl.jpg

 

25-12-2008 00:03 : Vous recevez un bouquet de fleurs de la part de Lysam pour Noël. ( Première fois qu'on m'offre un truc IG... Faut bien une première à tout )

 

 

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Pour toi mon amie... je garderai cela...

 

 

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Histoire :

 

 

Kileron Letrommil naquit un jour sûrement maudit de la première partie du XVème siècle. Ce jour fut le plus heureux pour sa mère depuis la rencontre avec son paternel. Paternel mystérieusement disparu à l’annonce de la grossesse de Mme Letrommil et bien vite remplacé par un autre homme.

 

Cet homme, si ce n’est pour la mère du jeune garçon, n’avait aucun amour pour la récente progéniture de sa femme qui n’était autre que Kileron. Bien entendu les enfants qui vinrent ensuite des amours de sa mère et de cet homme, connurent un sort bien plus doux à son cœur.

 

 

Sa famille venait d’un milieu plutôt aisé, pas encore noble, mais ils ne connaissaient pas le besoin, sa mère venant d’une famille d’alchimistes au sens premier du terme. Alchimie qui malgré le bon nombre de charlatanismes que cette pratique utilisait, était une affaire florissante. Discipline qui allait aussi bien de la fonte des métaux, à la concoction de potions et de la surnaturelle recherche de la «  Grande Œuvre ». Quant à son père, il descendait d’une famille de mercenaires qui sévissaient pour les chefs de Royaumes payés un jour pour assassiner l’un, le jour suivant l’autre. A leur manière, ils étaient la loi du Moyen-Orient, leur village situé non loin du sommet du Monde. Tout du moins pouvait-on contempler ses neiges éternelles d’un œil à la fois intimidé et émerveillé.

 

 

Le Gamin grandit dans une ambiance tendue, sa mère atteinte par la folie d’un amour perdu, amour qu’elle reportait entièrement sur son fils. Son père aussi froid et dur que le marbre, ses seuls moments de tendresse dévoués entièrement à la femme qu’il chérissait plus que sa vie. On pouvait se consoler du fait qu’il l’aimait et que Kileron n’en pâtissait ainsi pas énormément.

 

 

Lors de sa 6ème année, alors qu’il n’avait pas encore 6 ans révolu, sa mère un soir d’orage le fit venir dans la cave. Le petit ne comprenant pas se laissa attacher, puis une drogue le fit s’endormir… Bonté parmi les divinités célestes, sa mère lui empêcha de souffrir le martyr… tout du moins quelques temps. Elle commença par lui lacérer le pied gauche, tentant d’effacer un tatouage qu’il avait toujours eu dans ses souvenirs… Puis voyant que cela ne voulait avancer, elle prit un seau prévu à cet effet. Doutant que la marque ne voudrait s’effacer dans sa folie… Elle trempa son pied dans le liquide jusqu’au bas du mollet, le petit se réveilla et hurla de douleur.

 

 

Le cerveau est bien fait me direz vous, ainsi ce soir fut rayé de sa mémoire. Son pied le brûla néanmoins des semaines durant, l’empêchant de marcher. Un liquide poisseux lui brûlant les doigts, liquide sortant parfois des cloques sur ses chairs. Ce fut le seul moment où son père, lui montra un peu de compassion.

 

 

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Les mois passèrent… puis bientôt ce fut une année. Le jour des ces 7 ans, toujours dans un souci d’effacer les marques du démon, sa mère lui fit tatouer un magnifique dessin sur le dos. Là où aurait dû se trouver une tâche de naissance apparaissaient maintenant les flammes de l’enfer, se transformant petit à petit au fur et à mesure que l’on remontait en plume, une belle aile dessiné sur son bras gauche. L’ensemble du dessin était concentré sur la partie gauche du haut de son dos. Les flammes assaillant tout son bassin, les plumes s’agglutinant sur son épaule gauche. Ainsi dura une nouvelle nuit de douleur.

 

Peu après, son père trouva une raison pour le séparer de sa mère. Le Petiot que déjà deux frères succédaient, devait apprendre un métier. N’ayant aucun don pour l’alchimie - sa mère l’ayant essayé déjà maintes fois - son père, un sourire sadique au visage, le prit sous son aile.

 

Comment faire souffrir l’enfant que l’on déteste si ce n’est en lui apprenant à se battre sans le moindre cadeau ? De maints coups et blessures meurtrissant sa chair. Mais s’il avait bien une qualité, c’était d’avoir une cicatrisation plus rapide que la normale. Cicatrisation rapide qui malheureusement n’aidait pas sa mère à voir tous les supplices que son père lui faisait subir. Il fut maintes fois abandonné aux prémices de la mort après un entraînement dont le niveau ne correspondait jamais à ses capacités, son père finissant par le soigner pour ne point blesser la dame qu’il chérissait.

 

 

Ainsi fut-il formé jusqu’à ses 15 ans à tuer. Il acquit rapidité, force, et dextérité. Mais il n’acquit pas l’âme sombre d’un tueur. Ainsi lorsque son père l’envoya sur son premier contrat, il ne put se résoudre à tuer la femme qui lui était destinée.

 

 

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Honteux, rejeté par sa famille, il partit de chez lui. Sa mère le laissant partir après maintes larmes. Son père dans une immense bonté lui donna de quoi se nourrir une dizaine de jours.

 

Il ne put oublier le regard de ses frères, regard à la fois peiné et rempli de crainte. Il ne put oublier l’appel de son nom par sa mère. Celle-ci en perdant presque la tête. Il ne put oublier le regard dur et glacial de son père. Il ne put oublier la malédiction que lui donna alors sa mère. Il ne put oublier les pleurs de ses frères. Il ne put non plus oublier ce que lui fit alors son père… Il ne put oublier cette dague et ce collier qu’il prit presque comme un voleur…

 

 

Ainsi il se retrouva seul sur les routes, l’argent que son père lui avait donné ne lui servant à rien car Amüor était déjà bien loin et aucune ville ne se profilait à l’horizon. Il se nourrit donc de racines et du peu de choses qu’il pouvait trouver. Suivant les enseignements de son père, qui finalement lui furent utile.

 

 

Arrivant aux abords d’un immense lac, il partit à la conquête de la mer Méditerranée avec pour seul moyen de transport un bateau fait à la main, usant de la Dague familiale pour découper le bois. . Puis inévitablement, la mer se fit houleuse, le temps changeait presque en tempête. Et il coula…

 

Un vieil homme le retrouva inconscient sur le rivage, les algues et coquillages incrustés à son corps le faisant passer pour une divinité des océans. Bien vite il se rendit compte que ce n’était qu’un jeune homme que la mer avait rejeté. Et se désolant de voir de si jeunes personnes mourir si vite, il voulut passer son chemin. Ceci aurait été le cas si le pied gauche du presque homme ne l’avait brûlé intensément, le faisant alors gémir de douleur.

 

L’homme d’abord effrayé, vit finalement en lui un humain tout comme lui, un humain dans le besoin. Et son cœur généreux le poussa à le prendre sur ses épaules et à le ramener chez lui.

 

Des jours durant il le soigna, s’occupant de lui comme de son propre fils qu’il avait perdu, pris par la peste. Puis il lui apprit le dialecte usité ainsi que des prémices de l’écriture…

 

 

Une amitié les lia, leur intimité se faisant de plus en plus forte. Un lien aussi fort que celui du sang, liant leurs cœurs. Des jours heureux s’écoulaient enfin. Mais comme tout bonheur, il a une fin, bien trop souvent triste. L’homme de par son âge tomba malade… Kileron usant de sa bourse pour payer un médecin, il fut obligé de tenter une méthode au mercure pour créer du faux or.

 

Ceci passa pour de la sorcellerie et il dû s’enfuir… S’enfuyant loin… toujours plus loin vers le Nord-Ouest il quitta le royaume où il habitait et arriva en celui de France. Ses pas le menèrent alors à Carcassonne…

 

[ La suite fait état de ses aventures IG et RP ]

 

 

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A peine fut-il arrivé qu’une brigadière du nom de Superdan, lui transmit une lettre d’aide aux nouveaux arrivant. Lettre dont il ne comprit rien, ne sachant lire alors le dialecte usité. Cette douce Dame ( blonde mais intelligente, qu’on se le dise ) lui apprit alors à parler correctement le françois, langue qu’il lui parut plutôt aisée, l’écrit quant à lui restait des plus durs à son égard.

 

Il s’intégra petit à petit à la société, usant du peu de talent qu’il avait pour confectionner des jus de raisin et autres alcools, sans alcool au final. La brigadière était très mécontente de ne plus pouvoir boire et se saouler entre deux veillées nocturnes.

 

 

Mais c’est ainsi qu’il fit la rencontre d’une douce Demoiselle… A peine commencèrent-il à parler ensemble qu’il sentit un courant étrange passer entre eux. Ce même flux qu’il sentait entre lui et l’océan. La belle dame du nom de Kahera venait de conquérir son Cœur.

 

La belle dame était alors éprise d’un homme, tout du moins le fut-elle justement. Leur relation stagnait horriblement, ne se voyant pas ni ne se parlant…Celle-ci s’éprenant petit à petit du Jeune Kileron. Elle décida alors de parler avec Messire Kalsh, qui tenta, peut être en désespoir de cause, de revenir vers elle. La dame ne savait alors plus que faire.

 

 

Durant cette période d’indécision, Kileron dépérissait petit à petit, sa douce ne voulant le voir outre mesure, une haine féroce s’insinuant en lui contre cet homme qui visiblement lui volait son bonheur.

 

 

Des españols, dont une très belle femme, furent alors de passage pour prendre des cours à l’université. Ils sympathisèrent rapidement avec Kileron qui aimait les voyageurs et l’aspect culturel et intellectuel différent de celui des françois, différence qu’il ne pouvait trouver autrement que par les personnes voyageant.

 

Ils lui proposèrent alors de partir en España avec lui, ce qu’il faillit accepter, ayant besoin d’air… Sa belle ne s’étant toujours pas décidée. Mais des amis le firent rester, entre autre par la force des liens qui les unissaient.

 

Le cœur lourd tout de même, il fit ses adieux aux hispaniques, remerciant quelques jours plus tard Alyne, Fervanskate, Superdan, Apollina et d’autres de l’avoir convaincu de rester, sa belle revenant enfin vers lui. Elle est à présent toute à lui, et les tavernes ont du mal à contenir leurs cris du soir…

 

 

Le 3ème jour de Mars de l’an de grâce 1456, Kileron demande Kahera en mariage… Venant de se disputer à ce propos, Kil ne voulant se marier, il lui fait alors une demande. Toute étonnant que cette demande fut aux premiers abords, elle la remplit de joie peu de temps après. Le jeune homme refusait effectivement de parler de mariage, alors que celui-ci économisait déjà pour une belle bague… Objet qu’il obtint quelques heures avant la dispute. Dispute qu’il simula pour mieux la ravir… Leurs lèvres se rencontrèrent encore plus passionnément…

 

 

Les semaines passèrent, Kahera et lui passaient des jours heureux… Leur mariage approchant, le jour de leurs baptêmes aussi… Bien sûr, tout bonheur a une fin. Cette fin fut le jour où Kahera leur annonça que cela était fini. Comme ça sans raison… Il apprit dans la journée que celle-ci s’était fiancée le jour même à un autre homme… Comprendra qui pourra de ce qu’il voudra… Mais faites attention à cette femme : il apprit plus tard que dès le premier jour elle le trompait…

 

 

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Quelques temps plus tard, alors que Kileron reste dans une phase dépressive de sa vie, Alyne vient lui redonner quelques peu le sourire en lui demandant d’être son parrain lors de son baptême, qui soit dit en passant n’arriva jamais. Kileron accepta avec joie cette offre et ce soutient moral qu’elle lui donnait… Loués soient Alyne et Stan alias Fervanskate, tout deux fiancé.

 

Mais la solitude pèse lourd sur ses épaules, avoir connu tant de bonheur, y avoir goûté sans modération ni protection lui donne envie de connaître à nouveau cette euphorie de l’amour. Malheureusement la Dame qu’il aimait s’en est allée, le laissant seul. Se pensant délaissé par tous, son estime de soi baissa en son cœur. Il se pensait digne d’un monstre pour ne point mériter à ce point le cœur d’une Dame, se pensant si laid qu’aucune ne pourrait jamais l’aimer. Le manque d’amour l’assaillait de toute part, tombant de déception en déception, les femmes auxquelles il s’entichait ne voulant que des hommes d’un soir…

 

 

Et puis, ce samedi 4 Juillet 1455 il fait la connaissance d’une dame qui l’émeut, elle lui parait être un ange descendu sur Terre. Très vite, son cœur se met à battre, se demandant si ce n’était pas elle qu’il attendait depuis tout ce temps… Tout va vite, si vite, trop vite peut être, leur entente trop parfaite, un baiser échangé, des cœurs partagés. S’en est-il amouraché ?

 

Un couple de jours passe, cette Dame lui faisant connaître le renouveau d’un bonheur perdu… Et puis plus rien. Le vide, l’absence, le néant. Dame Lalilea ne donne plus de nouvelle. De multiples lettres ne trouvaient point de réponse. Kileron recommençant à sombrer dans les tréfonds de son âme. 8 jours à se lamenter sur son sort.

 

L’impression de sa laideur apparente, peut-être liée à celle de son âme, revint au galop, pensant que la Dame fuit celle-ci, redevenant bonne-voyante dans un éclair de lucidité. La magie qu’il y avait eut entre eux s’estompe petit à petit,  laissant place à de la tristesse et de la rancœur. Rancœur empoisonnant encore un peu plus son cœur déjà blessé.

 

 

Les journées passent, tandis que le souvenir de Lalilea s’efface à grand coup de soupirs une autre Dame du nom de Sosaya fait son apparition… Gente Damoiselle qui s’efforce de lui redonner le sourire. Tandis qu’elle se fait la promesse de tout faire pour y arriver, le cœur lourd de Kileron, redevenu une pierre suintante de tristesse, fond doucement à la chaleur de ses dires. Sa bonne humeur constante et sa pureté apparente lui réchauffent le cœur et la vie.

 

Un soir, une danse, des lèvres qui s’effleurent… que réserve l’avenir ? Sosaya devant aller quelques jours au couvent… il l’attendra.

 

 

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Durant ces quelques jours où la Douce Sosaya ne se montra guère si ce n’est aux nonnes, il fit la connaissance de deux femmes plutôt étranges… Voici les histoires pour le moins bizarres elles aussi, qu’il vécut ces Dames.

 

 

La première, Ipanema, lui fit don d’une sorte de lézard bien étrange… Un lézard doué d’ailes qui voletait quelques instant au grès des courants d’air. Celui-ci encore jeune d’après ces dires, avait été blessé, et il lui fallait une âme charitable pour s’en occuper étant donné ses paternelles qu’il n’avait apparemment plus. Le petit être grandit bien vite, atteignant une taille supérieur à celle des ces beaux félins à l’air agile et puissant, les ailes se momifiant avant de tomber. Il voulut revoir la Dame, lui demander ce qu’il s’était passé. Mais plus rien, celle-ci avait disparu.

 

Il apprit au détour d’un marché, tandis qu’un marchand au teint d’ébène tentait de vendre du bois du même nom, que ce lézard était un Iguane. Nom étrange, il décida donc de l’appelait Raïjin. Le petit plaisantin lui mangea son pigeon, chose très peu utile. Il fit donc les commissions de lettres le temps de trouver une belle mésange…

 

 

La seconde, dont nous tairons le nom, lui fit découvrir les prémices de la drogue. Lui faisant boire quelques herbes, il ne se rendit pas compte de Morphée qui lui tendit les bras, tandis qu’un rêve des plus étranges lui survenait. La Damoiselle n’était plus elle, elle ressemblait alors à une fée… Celle-ci lui parlant à travers rêve, endormie tout comme lui pourtant. Son premier but fut de retrouver les aïeux morts de la Damoiselle, seules personnes qui pourraient le faire devenir « fée » à son tour, pouvant ainsi explorer plus librement le monde des rêves.

 

Chose faites, elle l’emmena avec lui loin dans les airs et le monde des rêves… Des créatures de légende se révélant à ses yeux durant ce moment magique…

 

Puis doucement la réalité revint à eux… des personnes entrant dans la taverne les faisant sortir de leur songe… Ils se regardèrent complices, puis accueillirent les personnes tout juste arrivées. Cette autre Dame ne fut plus qu’un souvenir le lendemain, ne revenant plus en ce monde. Etait elle donc un rêve ?

 

 

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Sosaya revint enfin, écrivant une lettre finale d’adieu à Lalilea, il parla des sentiments naissant qu’il éprouvait pour So, sentiments qui à son grand bonheur et un teint rouge tomate, étaient partagés. Comment décrire cette émotion ? Cette palpitation dans la poitrine lorsque l’espoir d’aimer et d’être aimé revient ? Seul le sombre espoir qu’elle ne fut point comme d’autre naguère, reste le mouton noir de sa vie…

 

 

Bientôt la Guyenne, ouvre bientôt ses portes, celle-ci fermée au Royaume de France se rouvre enfin, la famine criant là-bas ainsi que la désolation. Le Roy fait un appel à la population priant les bonnes âmes qui le souhaitaient de déménager au plus vite. 

 

Le Roy, quel homme tout de même. Ne sachant ni son nom ni son profil physique, Kileron ne put le reconnaître en taverne. Il le prit tout d’abords pour un nouveau arrivé à Carcassonne, puis le voyant habillé se dit qu’il était paysan. Qu’elle ne fut pas sa surprise lorsqu’une des Dames de sa suite lui appris qu’il avait en face de lui le Roy de France. Jamais il n’oubliera cette rencontre, la rencontre d’un homme qui malgré son statut n’était pas imbus de lui-même, la rencontre d’un homme qui n’était au final qu’un homme, mais tellement plus…

 

Le Roy était accompagné aussi d’homme, ainsi fit-il la rencontre du Généreux Toucoul, qui lui offrit tant de verres en taverne qu’il ne put travailler 15 Jours durant. Soirée elle aussi inoubliable. Il ne se fait cependant guère d’espoir sachant pertinemment que jamais, le Roy ou ce messire ne se souviendrait de lui.

 

 

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L’ouverture de la Guyenne est enfin devenue réalité, sa douce Alyne sur un coup de tête part là bas, arrivant à la Teste de Buch. Elle lui fait alors l’humble demande de la rejoindre, chose dont il hésite, mais Sosaya le suivant, il finit par accepter. Et le lendemain, enhardis par la colonisation de nouveau terroir, ils sont déjà arrivés à destination.

 

Une fois là bas Sosaya ne donna plus trop de nouvelle, diverse raison la faisant retourner au couvent… Et comme vous vous en doutez, la colonisation suivant son cour, il fait la rencontre d’une Damoiselle.

 

 

Ils deviennent rapidement amis, lui l’aidant à trouver le bonheur, une affection particulière naquit entre eux… Il la pousse à trouver l’homme que son cœur choisira, mais alors que celle-ci se met avec Melric, un charmant jeune homme, une jalousie naquit en lui… Des nuits passionnées succédèrent, des baisers enflammés, leurs corps brûlant s’unissant… Il se rend alors compte qu’il manque ce petit quelques chose qui rendait la vie unique avec Kahera, ce petit quelques chose qu’il avait ressenti avec une amie, amie à qui il avait refusé son cœur pour Kahera…

 

Vous vous doutez de la suite, cette amie l’embrasse après une longue discussion sur eux et sur le passé. Les sentiments qu’il refoulait depuis tout ce temps à cause de Kahera revinrent au galop, le baiser n’étant la que pour confirmer.

 

Une autre discussion s’en suit, elle lui demande d’oublier, de faire comme si il n’y avait rien eut. Mais il ne peut, il sait, il a compris, il sait maintenant qui il aime depuis tout ce temps. Il comprend alors d’où lui vient son manque de fidélité…

 

Ils savent tout deux quelle bêtise ils font, elle fiancée attendant son homme, homme qui est alors son meilleur ami. Homme dont il est le témoin pour son mariage. Kil se haïssant des actes qui l’attendent, quittant alors Sosaya et Sanglora… l’une partant de Guyenne, l’autre se suicidant… Mais non, qu’importe ! Il l’aime ! C’est elle il le sait… Elle cette dame si douce et lumineuse, cette Damoiselle qui n’est autre qu’Alyne, Stan son fiancé…

 

 

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Bien des mois passent, Kileron survivant à l’absence de sa Douce et Tendre Alyne, sa garde robe prenant une ampleur certaine, ne sachant que faire de son argent… Alyne, bientôt 9 mois qu’elle fut entrée au couvent… 9 mois d’une inlassable attente, 9 mois ou sa vie fut comme figée, arrêtée… Il fait la rencontre de beaucoup de nouvelle personne, dont Saull ou même Fantasia, retrouvant d’anciens amis tel que Vroqu par exemple, la vie reprend son cour…

 

 

Le 6 Avril 1456 il décide de prendre un nouveau départ pour contrer la dépression qui manque de l’accabler. Il entre dans l’armée ce jour même. Son but est alors d’aider son prochain, chose qu’il fait au mieux, passant des accords avec la mairie pour vendre du pain peu cher.

 

Ce même soir, la lumière qui éclaire sa vie fait une apparition fugace, fugace mais assez longue pour qu’il la demande en mariage. Imaginez vous plus grand bonheur que de voir les yeux de sa belle s’illuminant de joie, un sourire naissant sur son visage, sa bouche s’ouvrant ne sachant que répondre avant que leur lèvres s’unissent passionnément et qu’un oui timide sorte enfin de ses lèvres… Arrivez vous à imaginer ce moment de plénitude ?

 

 

Non loin de deux semaines plus tard, faisant ce qu’il peut au sein de l’Ost, son Lieutenant Dame Kassandre de Montségur, le nomme Sergent ( Caporal actuellement ) de la ville de la Teste-de-Buch. Il tient à être à la hauteur de l’honneur qui lui est fait et il fera ce qu’il faut pour que cette Dame soit fière de lui.

 

Son Alyne passe inopinément, un bonheur aveugle lui faisant oublier les mois d’attente, un tendre moment avec elle, et leur première fois enfin. La première fois que leurs corps s’unissent. Le soir même il fait la connaissance d’une nouvelle arrivée, Damoiselle Avenir… Damoiselle au nom étrange… et pourtant, qui aurait cru qu’en l’espace d’une soirée elle devienne à son égard ce pourquoi elle était née : Son Avenir.

 

 

2 Jours plus tard, le 24 Avril 1456 pour ceux qui ne suivraient pas, il apprend la perte d’une amie très chère : voulant envoyer une lettre à Apollina, chose qu’il n’avait pas faite depuis des temps immémoriaux, elle lui revint, attachés à celle-ci un faire part de décès… Apollina… Ne dit-on pas que les meilleurs partent les premiers ? Quelles injustices la vie lui réserve-t-elle encore ?

 

Une grande nostalgie le prend alors, un passage sombre à son cœur et son âme le prenant. La vie perdant son goût. Il pense beaucoup à sa vie d’avant, Carcassonne tu es si loin maintenant… Stanley, Dagua, Didi, et tant d’autres lui manquent. Que deviennent-ils donc ? Il se met à se poser plein de questions. Mais une lueur d’espoir subsiste, son avenir se fait plus clair, la Dame du même nom tentant de le réconforter.

 

Décidant de ne pas se laisser abattre, il chercha alors chez lui les vieilles lettres qu’Apo lui avait écrites. Maintes heures à fouiller les livres et armoires de sa Masure, jusqu’à enfin, dans une caisse en bois à la cave, retrouver celle-ci. Il admira les magnifiques ornements que sa défunte amie lui avait fait dans chacune de ses lettres… Quelques larmes commencèrent à couler, puis se reprenant, il commença un dur travail de copie… Il ne cesserait de s’entraîner jusqu’à ce que ces dessins soient siens. Et qu’à jamais Apo vive à travers lui.

 

[ HRP : Les différents ornements de son profil proviennent d’elle ainsi que ces quelques phrase en dessous : ]

 

 

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( '.' )

(")_(")

 

 

~~~~~~~~~~~~Citations préférée d'Apo~~~~~~~~

 

Si tu as de nombreuses richesses, donne de ton bien

si tu possèdes peu, donne de ton coeur .

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Avoir la confiance de quelqu'un est un compliment plus important que d'être aimé.

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L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines.

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"Un con qui marche, avance bien plus vite qu'un intellectuel assis."

 

[ HRP OFF ]

 

 

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Les semaines passent, la vie suivant son cour, lui ne voyant toujours pas sa luciole, ne pouvant lui apprendre sa liaison avec Avenir, celle-ci un peu sur les nerfs de devoir vivre « cachée » . Mais le 3 Mai 1456 est un jour différent, ce jour là tout s’enchaîna vite, un peu trop vite même.

 

Son Lieutenant, Damoiselle Kassandre de Montségur, le nomme Sergent-Chef. Nouveau grade avec plus de responsabilités. Il hésite au départ à accepter la promotion, ne pensant pas être à la hauteur. Mais la Dame croit en lui, plus qu’il ne croit lui-même en lui, il finit donc par accepter.

 

Le même soir sa Alyne revient d’une longue retraite, Avenir les laisse seul à seul. Il lui dit alors tout, chose qu’elle prend plutôt bien, comprenant que sa longue absence ait été dangereuse. Mais Kil, tout aussi doux et tendre fut-il avec Avenir, aime réellement sa Luciole. Et suite à un moment complice il prit la décision de quitter Avenir, celle-ci lui avoue qu’elle est enceinte. Kil en fut stupéfait… Papa ? Il allait être Papa…

 

Sa douce repart encore une fois pour le couvent, lui promettant de revenir plus souvent le voir, pour éviter une nouvelle fois qu’il lui fasse cocu. Avenir voulant savoir comment cela s’est passé doit alors faire face à la dure réalité, Kileron la laissant, désolé de devoir faire cela. C’est maintenant à son tour… Enceinte… Elle aussi… Kileron manque de tourner de l’œil… Des jumeaux parait-il ? Que faire ? Non, il a pris sa décision, qu’importe le reste, si besoin il assumerait ses actes. Si père il doit être par trois fois, père il sera. Elle lui apprend alors qu’elle est expulsée des Royaumes, mais qu’elle reviendra pour lui si il le veut…

 

C’est l’esprit embrumé qu’il se couche ce soir là, le sommeil ne venant que difficilement…

 

 

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Moins de deux semaines plus tard, le 16 Mai 1456, il finit par quitter Alyne, voyant celle-ci en taverne pour la dernière fois ou presque. L’histoire passée avec Avenir l’a fait réfléchir, et il ne veut pas revoir la même chose recommencer encore et encore, devant faire du mal à celle qu’il aime malgré tout plus que lui-même. Il se retrouve alors de nouveau seul… mais libre. Etrange sensation que donne le fait d’annoncer à la personne que l’on aime que tout doit cesser, étrange sensation que de se retrouver à nouveau seul, à nouveau libre, mais si déprimé…

 

Peu après, incorporant l’armée du Sénéchal Airwolf, il se dirige sur les routes de Guyenne pour nettoyer celle-ci des brigands qui s’y trouvent. Premiers meurtres, premières réelles victimes. Tous les enseignements qu’il a reçus refaisant surface, tuant presque avec Jubilation. Il se dégoûte lui-même de l’attirance que lui procure le sang. De cette sensation de pouvoir qui le traverse lorsqu’il donne un dernier baiser à ses victimes agonisantes. Bien triste habitude non ? Donner un baiser mortuaire aux personnes qui meurent par sa faute…

 

Ses pas le menèrent alors à Marmande, charmant village où il y fait la rencontre de Laurra, une femme exceptionnelle, une femme unique en son genre. Qui était réellement la manipulée du manipulant ? Sûrement aucun des deux, l’étant à tour de rôle. Tout du moins si une femme mérite son cœur, c’est bien elle. Ce fut une des premières fois qu’il désira de tout son être conquérir une telle femme… Mais celle-ci lui ressemble trop sur bien des points, et Kileron a eu une enfance rapide, lui laissant beaucoup d’immaturité sur certain point. Laurra et lui, leur union n’est pas une chose qui puisse marcher à son grand regret.

 

Il restera cependant sa Douce Friandise si elle le souhaite, terme qu’elle utilisait pour parler de lui, terme qu’elle préférait prendre plutôt que de l’appeler rat comme la plupart des humains qu’elle côtoie. Douce Friandise qui un soir lui aura fait un doux massage, qui il l’espère, restera en sa mémoire. Douce Friandise, qu’un cadeau de sa part scellera une union muette. Son cœur goûte une nouvelle fois au chagrin, causé par la seule Dame qui pourrait réellement lui convenir… Marmande l’a conquis, il pense rejoindre cette ville, y déménager rapidement, des projets plus fous les uns que les autres…

 

Son séjour s’allongeant, il se fait des amis à Marmande, parmi ceux-ci Djiinn, Ombres, Alexandre, Macmich… Il se présente même sans le faire réellement exprès au poste de maire, puis finit par être accueilli au sein du conseil municipal…

 

Alcofybras, comme il aime ce nom, personne très intelligente, autant que lui ou presque, mais très peu ouverte d’esprit, il le considère comme un ami, bien que l’inverse ne soit vrai. Et de par une provocation des deux parties, celui-ci lui plante une épée dans le cœur. Tout du moins crut-il lui planter dans le cœur. La lame manquant de peu les veines caves, se contenant de perforer le poumon gauche. Kileron n’en est pas moins affaibli, affaibli d’avoir offert son corps à la mort, embrassant celle-ci, enfin celui-ci, au passage… Il se mit alors aux drogues dites douces que sont l’alcool, et beaucoup moins le pavot. Ceci pour soulager sa douleur. L’armée, il ne lui reste que cela…Dernière lueur d’espoir à ses yeux.

 

 

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Il fait alors la rencontre d’une subalterne, Dame Leanna8, Dame qui l’aide à se soigner. Dame qui de par sa douceur et sa bonté le conquit savamment. Quelques jours durant il lui ouvre son cœur, son cœur meurtri et gangrené par la vie. Durant ces quelques jours il conquiert le sien, presque si simple, et pourtant si beau à la fois. Il s’est attaché à elle comme un rien… Il retrouve le goût de la passion, et de la vie. Elle lui offrit les clés de sa chambre, ne sachant où coucher, lui de son cœur…

 

 

Mais déjà, sa blessure plus grave cette fois ne commençant qu’avec peine à cicatriser, il doit repartir, repartir en compagnie de Leanna, repartir reprendre Agen, ville qui vient d’être prise par les voisins de la Guyenne, Cahors venant juste après… à nouveau la route, des meurtres aussi. Meurtres souvent à tort, des innocents, mais les ordres sont les ordres, et les guyennais sont prévenus… Ses habitudes ne changent pas, il embrasse chacune de ses victimes…

 

Agen, si peu de temps passé là bas et pourtant déjà beaucoup de changements. Bien évidemment il fait la connaissance de plusieurs Damoiselles qui tombent amoureuses de lui, mais qu’importe. Il est avec sa Leanna, et aussi mystérieux que cela soit, il l’aime éperdument. Tout du moins le croyait-il…

 

Celle-ci le laissa bientôt, entre autre à cause de sa trop grande possessivité. Une grande haine prit alors son cœur, haine qui le rongeait chaque instant. Il lui avait ouvert toutes les portes de son âme, mais celle-ci les avait bafouées… Qu’importe, il fit taire sa haine, restant ami avec elle. Mais les Dames deviendraient des objets tout comme elles même l’utilisèrent par le passé à leurs fins. Il eut une rapide aventure avec Sylowan, chose dont il voulait au départ blesser Leanna… puis qu’importe se dit-il ? Celle-ci l’avait laissé, à quoi bon faire une telle idiotie ? Il se mit donc à côtoyer les femmes en général…

 

 

Sur ces sombres pensées il retourna, suivant toujours son Sénéchal, à Marmande. Cahors ayant été reprise en même temps qu’Agen, ils n’avaient pas eut besoin d’y aller. Le cœur lourd il rejoint les tavernes, Laurra est partie en voyage, point de réconfort possible en ce sens… l’âme vide il attend que l’armée rentre à la Teste.

 

 

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C’est là que Fanta fait son apparition… Fanta… Comment y penser sans soupirer son nom ? Comment oublier ces doux moments partagés ? Comment oublier leurs corps si souvent mêlés ? Elle aussi fiancée, mais qu’importe, la passion, l’amour, tout est là… Même les chamailleries de vieux couple… Il a juste fallu ce déclique… Ce quelque chose qui leur à fait comprendre qu’il n’était pas que des amis…

 

Ce quelque chose fut leur passage à Marmande. Ville triste et mélancolique quelque peu étrange où le mystère aime y faire son nid. Il revenait tout juste d’Agen qu’une Damoiselle nommée Lovelye lui sauta dessus, au sens propres mais presque figuré aussi… Fantasia, fut quelques peu outrée, et partie les laissant seuls ensemble. Mais ne voulant les laisser seul ensemble, une pointe de jalousie en elle, elle revint un peu plus tard tandis que la Dame se préparait à violer, au sens propre du terme, Kileron. Dame Fantasia coupa court à toutes les soi-disant envies de la Demoiselle, et déposant un baiser sur la joue de son ami, se prit un soufflet de la dénommée Lovelye, femme qui était un peu trop possessive…Fanta amusée embrassa Kileron, tendrement langoureusement, comme un vrai baiser… ce qui le troubla et stupéfia Lovelye . Celle-ci partit en colère, et fut même jugée en procès après, tandis que les deux futurs tourtereaux restaient ensemble en taverne.

 

Ce fut une chose semblable à l’histoire avec Alyne, ils parlèrent du passé de leur moment ensemble… Lui revint à la mémoire ce jour où Fanta avait attenté à sa vie, tentant de se noyer. Il avait été là pour elle, pour la sortir des flots… C’était avant qu’il ne parte avec l’armée… Son cœur se serra à ce souvenir… Son cœur manqua de se briser lorsqu’elle lui dit qu’elle regrettait de ne pas être morte ce jour là. Son âme manqua d’imploser lorsqu’il l’entendu dire qu’elle lui en voulait de l’avoir sauvée…

 

Les ténèbres reprirent son cœur, sa main sortant agilement la Dague qui l’attendait dans sa botte. Il pouvait réparer cette erreur si c’était ce qu’elle souhaitait. « Pas cap » dit-elle ? Le connaissait-elle si mal ? La pointe en argent s’enfonça doucement dans la chair tandis qu’il lui redonnait le baiser qu’elle lui avait donné plus tôt. Il la regarda agoniser… Lorsque qu’une force aussi grande qui l’avait tenu lui-même en vie, la fit sortir pour aller à une autre taverne. Taverne ou elle se fit soigner, heureusement.

 

 

Kileron se referma un peu plus sur lui-même, devenant encore plus désagréable pour son entourage. Fantasia lui en voulait, normal non ? Il avait voulu la tuer, réparer son erreur, mais elle tenait de toute évidence plus à la vie qu’elle le lui laissait entendre… Ils se revirent encore en taverne, tous deux quelques peu gênés.

 

Et puis cela se fit, il l’embrassa à nouveau, goûtant pour la troisième fois à ses lèvres… Elle ne comprenant pas ce geste, ni celui qui avait porté sa Dague en elle… Elle lui demandait des explications, il lui mit la main sur son cœur, les doigts découvrant doucement la cicatrice qui y régnait aussi… Qu’y comprendre ? A nouveau un baiser, cette fois chacun y répondant, la passion montant d’un cran entre eux deux… Puis la vie continua son chemin, les entraînants dans les délices des plaisirs et de l’amour…

 

 

D’un commun accord ils laissèrent cette relation secrète, se promettant de continuer leur vie sans se soucier de l’autre, Fanta étant mariée… Elle lui demanda de la laisser, de trouver une belle, mais il s’accrocha…

 

 

Il dut bien trop tôt repartir pour la Teste, Fanta continuant son chemin pour retrouver des amis un peu en dehors de la Guyenne. Retournant sur Bazas ville qui ne l’avait pas tellement marqué, si ce n’est la rencontre du Lieutenant Isambre qui était une charmante personne, il s’ennuya quelques temps. Puis fit la rencontre d’une Damoiselle Millie avec qui il eut une nuit des plus torrides, ne retrouvant tout de même pas la passion et l’amour qu’il avait eu avec Fantasia…

 

Puis Deux jours plus tard, passant par la capitale vide de monde, il fut à la Teste, retrouvant après plus de deux mois son village…

 

 

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L’armée part en vrille, plus rien ne va, les soldes mettent un temps fou à arriver… Les guerres intestines sont courantes, il en a marre. Il décide de quitter l’armée, mais son Sénéchal l’en empêche, refusant jour après jour ses nouvelles lettres de Démission. Pourtant son contrat est caduc depuis longtemps, les soldes ne devraient pas mettre plus de 2 semaines à arriver, or il attend depuis bientôt deux mois… Isambre le convint de rester encore un peu, l’état Major lui ouvrant ses portes… Il hésite, mais espérant naïvement pouvoir changer les choses, il reste encore un peu… Il sera donc affecté à la Zone Est, composée de Cahors et Montauban.

 

 

Tandis qu’il commence à faire ses valises, attendant une escorte qui ne viendra jamais, les liens d’amitié qu’il entretenait avec Madcat, la tribun de la Teste, s’épaississaient doucement jusqu’à ce qu’un baiser soit échangé. Ils savent tout deux que cet amour est différent, et qu’il ne devrait pas continuer une fois parti, mais sans même l’avoir fait une fois, il s’attache un peu trop à elle. Serait-ce là un amour platonique ? Ou Fraternel ? Tout du moins se font-il confiance. Base d’une relation à longue durée…

 

 

Il fait alors la rencontre de Lacapricieuse, appelé communément Caprie, dame sympathique dont la sensibilité exacerbée reste pour ainsi dire presque toujours à l’intérieur de son être, laissant simplement apercevoir une coquille dure et froide comme la pierre. Ceci ne marcha pour ainsi dire pas avec Kileron, il sut dès leurs premiers instants que sa vie n’avait pas été de tout repos. Et que son comportement envers lui n’était que la résultante d’un lourd passé…

 

Pouvait-il aussi bien la comprendre qu’il le pensait ? En tout cas, se sentait-il proche d’elle par certain point… Mais qu’importe Capricieuse comme elle était, rien n’était envisageable, pas même une cohabitation. Seul un conflit leur permettait de réellement se découvrir…

 

 

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Il quitte quelques jours plus tard la Teste de Buch, dernière fois qu’il la voit avant longtemps… une larme coule alors qu’enfourchant sa belle il part avec Choubard, dit Choubi, en direction de Bazas. Lieu où il retrouvera son Commandant actuel, Dame Isambre, pour finir la route à ses côtés. Madcat, Fanta d’amour, Caprie même, Saull, Arshess, Miles ou Aurélien… Tant de noms qui resteront dans son cœur… Tant de personnes qu’il espère revoir plus tard. Avec eux reste une grande partie de sa vie, de son âme et de son cœur. Son corps partant bien loin d’eux.

 

Il fait une petite halte à Marmande, lieu où il voit une nouvelle fois Laurra, Isambre se doit de rester une journée de plus. Ils repartiront donc le lendemain. Laurra, étrange femme, étranges sentiments, qu’importe. Elle a toujours le collier qu’il lui a donné. Bijou de famille lui restant de son passé. Tant qu’elle l’aura ( Laurra ) ils seront liés…

 

 

Direction Agen ou ils restent à peine le temps de voir une amante ou deux, puis Montauban. Il atteint Montauban le 6 Août 1456, petite ville de bûcherons aux airs sympathiques… Enfin arrivé, il dépose ses affaires, choisissant minutieusement une maison à son goût. Puis allant en taverne, fait la connaissance plus approfondie de quelques un de ses soldats. Les villageois sont plutôt accueillant, mais lui non. Il est dans une passe plutôt déprimée de sa vie ainsi se fit-il distant…

 

Il apprend à apprécier le maire et quelques autres villageois, mais déjà, prenant quelques sous sur lui, il accompagne Son commandant à Cahors, ville adjacente. Cahors, ville animée malgré toutes les perturbations endurées. Il y fait entre autre la rencontre d’une Dame qui lui plait tout de suite, Dame Kidineige. Une grande dame pour faire au plus simple. Il retourne cependant bien vite à Montauban, ne pouvant apprécier à leur juste valeur les tavernes remplies de monde. Là bas il continuera à faire la connaissance des Montalbais, entre autre Kindjal, Fantik, et peut être quelques peu  Sindbad.

 

4 Jours plus tard, soit le 10 Août 1456, il donne sa démission à l’Ost, bien vite acceptée par le Commandant. N’ayant été payé depuis de nombreux mois, la duchesse ayant aussi refusé de rembourser le coup de son déménagement, il dépose les armes. Certains verront cela comme de la lâcheté, mais il en a simplement marre d’être pris pour un idiot, de la chair à canon même pas payée… 976 écus dont 226 écus de solde et 750 écus dû au déménagement. Voilà ce que le duché lui doit encore. Mais il ne peut espérer revoir au mieux que les 226 écus, même si le total lui revient de droit…

 

 

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Errant sans but à Montauban, il décide de tenter de reprendre sa vie en main. Dame Kidineige lui donne une lueur d’espoir. Il décide donc de la rejoindre au plus vite à Cahors, décidant de déménager par la même occasion. Ne voulant voyager seul pour Cahors, risquant de se faire brigander il attend une opportunité…

 

Celle-ci ne se présente pas encore, mais à la place une charmante Damoiselle, Dame Phoenixianne. Une entrevue des plus sympathiques, un moment agréable. Un couple de pommes partagées sous un arbre du nom dérivé du fruit, dit pommier. Puis un dîner à deux, côte à côté, faisant chauffer leur repas au dessus du feu. Et puis le drame : Un baiser volé. Il la repousse gentiment, comme il avait dû le faire auparavant avec Xena21, Niwiel et ..Douce.. ; Elle lui offre alors un collier, joliment dessiné. Soit il le gardera, promesse d’une réunion future. La demoiselle devant repartir finir son mandat de CM.

 

Par chance, un ex-subordonné est de passage à Montauban ; ex-subordonné dont le nom lui rappelle la ville, messire Montalban. Le contactant, il accepte gentiment de l’escorter lui et le peu de fortune qu’il a encore, jusqu’à Cahors. Ne dit-on pas que l’union fait la force ?

 

 

Le 19 Août 1456, il emménage à Cahors, le lendemain il est enfin déclaré érudit par le conseiller ducal, Dame Kidineige l’ayant aidé à payer la somme convenue. Puis les champs ne tardent pas à suivre, blé pour le premier, maïs le second. Il se fait une petite réserve de nourriture en prévision d’un départ inopiné. Puis aidant au mieux sa nouvelle ville, se met à s’occuper du verger, apprenant à connaître les Cadurciens.

 

( Suite à venir, à étoffer )

 

Les relations avec une Montalbanaise s’étoffe, passant d’un rejet réciproque de l’autre à une attirance mutuelle. A l’origine de se revirement de situation une longue conversation jusque tard le soir avec cette Damoiselle. Kindjal entre en son cœur. Elle voulait au départ lui donner une leçon, entrant en son jeu il le retourna contre elle, l’agrippant en ses filets, soudainement lesté par cette même femme. Une relation complexe voit le jour, celle-ci en concubinage avec Messer Sindbad. A croire qu’il aime les histoires compliquées.


Entre temps, il décide de partir avec Dame Kidineige rejoindre la cour du Roy, une chance exceptionnelle qu’elle lui offre. Il accepte, les yeux pétillants. Le Roy, revoir ce Roy qui lui avait tant plu auparavant. Kindjal quand à elle laisse Sindbad, voulant aller quérir les nonnes, mais elle n’arrive à se résoudre à le voir partir ainsi. Vint alors une promesse muette qu’un baiser scella entre eux, ils se retrouveront plus tard et seront ensemble. Elle l’attendra, et inversement.

 

Il prend la route le 25 Août 1456, mais Dame Kidineige rate le départ, il fait donc marche arrière, le lendemain ce fut à nouveau difficile. Une soirée trop intense en taverne avec Kinjdal, il en oublie de prendre la route. Finalement, après quelques jours tumultueux, il parte le 28 Août, le voyage commençant enfin.

 

Leurs Anges Gardiens veillent sur eux, aucun problème sur la route. Ils s’en vont rejoindre une Damoiselle du nom de Marie Alice, son tendre et son frère. Les groupes fusionnent, Marie Alice prenant le commandement des opérations. Une grande femme qui devint assez proche de Kilérön. Mais ce n’était rien comparé aux liens qui allaient naître entre lui et une petite fille de 7 ans.

 

Marie_Héloise.

 

Qu’il le veuille ou non, son nom restera gravé à jamais en lui. Une petite enfant, un nourrisson de la vie, mais tant de bonté, de gentillesse et d’intelligence. Jamais encore son cœur n’avait réussi à se rouvrir comme il le fit avec elle. Elle était toute comme sa sœur, il était son protecteur. Une relation ambiguë voyait le jour, plus que de l’amitié, point de l’amour.

 

Le voyage continuait, le cortège grossissant au fur et à mesure que le Roy voguait sur les routes. Marie Alice fut appelée à d’autres Horizons, Kidineige se faisant trop peu présente il décida de la suivre, laissant la petite Marie_Héloise, lui promettant de revenir au plus vite. Ce fut la dernière fois qu’il la vit.

 

Peu de temps après, son père Lévan III, Roy du royaume de France mettait à mort sa sœur jumelle Mahaut_Helene, la faisant brûler au bûché. Dans un souci d’équité et de développement de sa jumelle il fit de même de Marie_Héloise. La princesse ne fut alors plus, son rayon de soleil venait de s’éteindre.

 

 

Lorsqu’il l’apprit, une rage sourde naquit envers ce Roy usurpateur et arbitraire. Mais il était aussi son Roy et une personne qu’il admirait. Une violente tempête faisait rage en lui, et en tout état de cause il décida de laisser Marie Alice et de retourner à Montauban, retrouver sa douce et préparer une vengeance physique. Une folie destructrice l’habitait maintenant, mais heureusement les doux soins que sa belle allait lui prodiguer, finirent par panser son cœur meurtri.

 

Le temps passait, égale à lui-même, il fit la rencontre de Lysam, une charmante jeune femme à l’esprit fort bien construit. Un jeu intime naquit entre eux, mais seul l’amitié les liait, de longues soirées à philosopher, et des yeux pétillants l’un pour l’autre. Une sorte de traque entre le chat et la souris, amusant, agréable. Kindjal qui faisait preuve d’une jalousie exacerbée n’apprécia point du tout bien entendu.

 

 

Le duché de Guyenne était dirigé par des incapables en puissance, il décida avec l’aide de Jeroen, Rochelle, Trunks, Enorig et d’autre encore de monter une liste de personne compétente et de se présenter aux ducales. Ce qu’ils firent. Mais le trou dans l’économie était d’une importance légendaire : - 80 000 écu, et les voisins tels des rapaces dont la voracité n’a d’égale, vinrent pour se partager la Guyenne. Il commença avec l’aval du régent à organiser la défense. Il fit un boulot monstre, pour finalement redonner le tout à l’ost qui s’était faite décimé. Même étonnant qu’il reste un gradé vivant.

 

Il décida de laisser la Guyenne, marre d’être pris pour un con, marre de se démener pour un duché mort depuis déjà longtemps. Kindjal venait en plus de le quitter, parfait dans un sens, il n’aurait aucun remord à s’en aller. Accompagné de Lysam, ils partirent donc sur les routes du Royaume de France.

 

 

 

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Généalogie :

 

Roch_BigKid, frère de sang.

Fervanskate, dit Stanley, Frère de coeur.

S3th80, dit Arschess, Cousin éloigné.

Cerise_de_Peyrac, Sœur de cœur.

 

Avenir, mère de deux de ses enfants.

Alyne, mère d'un de ses enfants.

 

 

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Femmes qui furent importante en ma vie :

 

Kahera, couple cassé, morte.

Lalilea, morte.

Sosaya, en vie.

Sanglora, couple cassé, morte.

Alyne, couple cassé, morte.

Avenir, éradiquée.

Elle, en train de crever.

Cerise de Peyrac, mon tit fruit, en vie.

Laurra, folle :D , en vie.

Leanna, en vie.

Sylowan, couple cassé, morte.

Lovelye, violeuse, en vie.

Senorita_Fantasia, couple cassé, en vie.

Millie64, je ne l’oublierai pas elle, en vie.

Canou43, violeuse, morte Huhu

Louveepine, en vie.

Madcat, ma belle rose, en vie.

Xena21, en vie.

Niwiel, en vie.

..Douce.., en vie.

Phoenixianne, en vie.

Ajowan, en vie.

Kindjal, en vie.

Kidineige, en vie.

MarieAlice, en vie.

Marie_Héloise, morte, tuée par son père le Roy.

Lysam, divertissante, en vie.

 



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Poésie, diverses et variées.

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