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Que faire d'une vie de tisserand ou de prêteur ? Je ne veux vivre
derrière un comptoir ou des gages que de pauvres gueux se saigneront
pour me rembourser. Les écus, les pistoles, les ducats... je n'en ai
que faire.
Mon destin, c'est la route.
L'aventure est ma seule richesse. J'en boirai jusqu'à la dernière goutte, j'en dévorerai jusqu'à l'ultime épluchure.
Toi que la vie a nanti, je n'ai que faire de tes leçons.
Toi qui n’oses bouger de ton confort, je ne t'envie point.
Toi qui te crois puissant, je te plains de tout mon cœur.
Toi qui a un cœur, je te crois puissant.