ryoka

Physiquement:

Jeune homme d'une vingtaine d'années.
Cheveux châtains qui ont tendance à onduler et yeux marrons en amande.
D'allure plutôt fine, il pèse 65 kg pour 1m75. Il n'est pas très grand mais cela reste quand même dans la moyenne de l'époque (et c'est pas un nain ni un hobbit bordel !).
Voilà, sinon il est imberbe et a les traits fins ce qui le rajeunit. Il arbore fièrement un air niais sur son visage lorsqu'il rêve. 
De manière générale il n'est pas toujours très propre.



--- Le jour ou un duc fourcha sur le prénom de Ryoka ---

Le jeune homme sourit lorsqu'il entendit le duc écorcher son prénom. Il est vrai que ce n'était pas un prénom très commun. Voire pas du tout en fait. Il était persuadé que ses parents avaient dû jouer à un jeu avec des lettres sur des jetons pour trouver comment l'appeler. La réalité était plus simple, ils ne s'attendaient pas à voir débarquer deux bonhommes en même temps le jour de l'accouchement. Ils avaient prévu un prénom de garçon et un prénom de fille, et ils donnèrent au premier né le prénom du garçon. Le second n'arrivant que quelques minutes plus tard n'avait pas de prénom, du tout. Ils laissèrent le soin à l'accoucheur de lui trouvé un nom. Ce dernier était très bon dans son domaine, l'un des meilleurs. Il pouvait faire accoucher tout et n'importe quoi quand il le voulait selon ses dires. Mais il avait un secret qu'il n'avait jamais révélé: il était illettré. Voulant protéger sa réputation, il écrivit quelques lettres qu'il connaissait sur un bout de papier: R Y O K A. Il ne chercha pas plus loin. Constatant que c'était lisible et audible, il donna le papier avec la justification suivante: ce prénom désigne celui que l'on attendait pas dans le dialecte d'une civilisation lointaine. L'explication tenait la route et a pu satisfaire les parents qui n'y firent pas vraiment attention. 
Cet homme n'a jamais su qu'effectivement, le nom qu'il avait donné signifiait vraiment quelque chose, il voulait dire "intru" dans une langue qui serait bien plus tard le japonnais. 




[à modifier]

Acte I, la naissance, la Touraine.
Ryoka est le second extirpé de deux jumeaux nés en Touraine le 9 septembre 1441 de Fri d'Anclair et de Laure Hibleton.

Acte II, l'exil, le Lyonnais Dauphiné.
C'est à l'âge du huit ans que le duo fraternel fut conduit par leurs parents vers une vie moins chère et plus confortable dans le Lyonnais Dauphiné.
Il découvrit alors les joies d'une société qu'il aimait et se fit ses premiers amis.
C'est à l'age de douze ans qu'il retrouva sa mère morte perchée sur arbre par peur d'en redescendre, qui avait préféré mourir en haut plutôt que d'affronter une descente périlleuse, et on la comprend.
Le reste de la petite famille vécu une petite vie tranquille jusqu'au décès du papa, en 1459, qui coula comme une pierre au fond du port de Lyon après un plongeon de haute voltige orchestré par un malheureux mendiant qui traînait par là, et dans lequel il se prit les pieds. Le mendiant lui, cul de jatte et borgne va bien ne vous inquiétez pas.
A la suite de ce dernier drame, le frangin Bartholomé fut seul héritier des biens que possédaient les parents et décida de les gérer avant de partir pour la Touraine, là ou tout avait commencé.
Le jeune Ryoka se fit offrir par son frère une jolie petite maison sur Dié dans laquelle il vécu seul avant de décider de partir retrouver la Touraine à son tour.

Acte III, le retour en Touraine, le rejet.
Arrivé en Touraine avec son frère Barth, il tente de retrouver sa famille et de s'inclure au paysage Tourangeau. Malheureusement, il n'est pas le bienvenu, et comprend vite que sa famille est rejetée du Duché, ainsi que lui et son frangin qui venaient d'y mettre les pieds. Après une fuite pleine de bêtise de la part de la fratrie, ils se font renier par leur famille qui scie complètement leur branche de l'arbre généalogique. 

Acte IV, le retour en Dauphiné, le repos.
C'est dans ce duché que les deux zouaves coulèrent des jours heureux en compagnie des habitants de ce duché. Ryoka s'établit pendant un an à Montélimar et Barth à Lyon. Ainsi séparés, ils profitèrent de la vie chacun de leur côté avant que Ryoka ne décida de rejoindre une amie en Savoie pour la revoir, sur un coup de tête. 

Acte V, la Savoie, la vie.
C'est dans ce duché que Ryoka découvrit des paysages et des personnes toutes plus intéressantes les unes que les autres. Tel un enfant qui découvrirait la vie pour la deuxième fois, il tomba sous le charme de la ville d'Annecy et du duché tout entier qui débordait de vie.