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[RP] Cathédrale de Périgueux Saint Samoth l'Episkopos

Brygh_ailean
Aaaaaaaah...
Ouais, ben, non.... c'est pas du tout ce que vous imaginez. On est dans un confessionnal, bande de pervers. C'est un "ah" de soulagement intellectuel.

Cornecul, nous sommes en phase depuis le début et on se mélange dans l'incompréhension sur des chiabrenas. Les valeurs ne s'opposent pas diamétralement, mais chaque valeur est composée d'elle même et de son contraire, en proportion qui lui donne différents noms. Mornes couilles, c'est ça que je vous disais au départ… et vous m'avez drôlement perturbée mon père !

Respiration profonde.

'tain, vous savez que vous m'avez traitée de presque hérétique pour rien, là... Pfff... Enfin, vous enlevez les gros mots, pis vous aurez le fond de ma pensée en clair…

Re-respiration profonde.

Je ne saurais répondre à votre question. Pourquoi devrais-je les aimer ou ne pas aimer les gens ? A priori, le seigneur a créé les cèpes et les amanites, ils ont tout deux leurs fonctions. Je n'ai pas à les aimer intrinséquement. J'ai juste à savoir lesquels cueillir. Ca ne rend ni l'un ni l'autre moins aimable... Juste plus digeste. Je ne cherche pas à me rendre aimable, je ne cherche pas la compagnie de gens a priori aimables. Cela répond-il à votre question ?
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Thrandhuil
Il n'en fallait pas plus au curé pour partir... deux ou trois cèpes de Bordeaux... un peu de persil, une pincée d'ail... une bonne dose de cognac, on flambe...
Aaaaaaah!

hum. bon.

Il eut un peu de mal à se reprendre.
Bon. Assez parlé des valeurs, on cause de toi, ma fille. Et du salut de ton âme.
Si je comprends bien, tu ne fréquentes les autres qu'en fonction de ce qu'ils peuvent t'apporter.

nouvelle pensée pour la poëlée de cèpes...

Connais-tu le plaisir de donner? De donner du plaisir?
Brygh_ailean
Nouvel éclat de rire.
Non, mon père. Je vis en ermite depuis longtemps maintenant. Etrange pour quelqu'un qui a une vie politique, pour la plupart, mais pas pour moi.

La vision que vous exposez est justement celle de certains qui m'entourent et que je fuis. Je ne recherche la compagnie de personne ni en général ni en particulier. Je ne m'intéresse pas à ces futilités égotiques. Je croise des gens, certains resteront sur la même route parce que nous empruntons le même chemin, d'autres non. Leurs motivations leur sont propres. Je n'ai pas à en juger.

Si je peux leur apporter quelquechose, en général, ils me le font savoir très vite. Si j'ai envie d'y répondre, j'y réponds. Si je n'ai pas envie d'y répondre, j'y réponds quand même parce que c'est dans ma nature. Cela ne me rendra pas plus aimable, ni ne les rendra plus ou moins aimables à mes yeux.

Donner ? Je pense que je le fais autant par devoir que par habitude. Y prendre du plaisir... Sincèrement, non... Voilà, le souci de mon âme, mon père, l'ennui de l'âme...

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Thrandhuil
Le curé pensa, sans doute un peu trop fort:
Hum... c'est plus grave que je ne le pensais...

Il se reprit aussitôt.Ma fille, connais-tu bien le Livre des Vertus? le passage sur la rencontre avec l'Hermite, ça te dit quelque chose?
Brygh_ailean
Sourire en coin.

Je connais le livre, mais ce n'est pas mon ouvrage de chevet mon père... Je préfère les livres de droit et de stratégie guerrière... Mais il n'empêche que pour une fois en effet, je me souviens bien de cet épisode...

Entonnant la litanie du texte.

L'homme n'est vertueux que dans sa relation à l'autre... Une véritable amitié se fait entre égaux... Et nous sommes tous différents et loins d'être égaux, c'est vous qui l'avez dit ?

De nouveau hilare.

Déjà d'une, l'ermite de votre histoire est un crétin. Désolée, mon père... mais on dirait un semper tellement il se croit supérieur... et il aime les légumes... ouarf... un semper, je vous dis... amoureux d'un concombre tout ça... 'fin, heureusement tous les semper ne sont pas à mettre dans le même panier à légumes, mais bref. Bon, les légumes ça se mange... Ca s'aime pas... Ou alors... eurk... c'est vraiment de très mauvais goût.

Retenant une seconde son hilarité.

Je vous ai dit que je ne cherchais pas à être aimable ni la compagnie de gens a priori aimables, cela ne veut pas dire que je n'ai pas d'amis. Je pense à une surtout... ben, elle fait rien pour être aimable, non plus... elle fait très bien le contraire, même... Elle est mon égale et je l'aime, non pas pour ça mais comme ça... Vouloir plaire n'est que le reflet de l'intérêt qu'on se porte à soi-même... sans pour autant se soucier de l'autre ou de tout autre chose... Vouloir déplaire également. Les deux me dégoûtent tout autant.
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Thrandhuil
Bon.
Puisqu'on est du coté des hermites dans leur caverne, je vais te donner un autre texte à lire.


le curé glisse un parchemin de l'autre coté.

Par contre, tu me rendras ce texte. Il n'est pas, pas encore du moins, reconnu par Rome, il ne faudrait pas qu'on me prenne avec ça.
Je peux te faire confiance, n'est-ce pas?


L'Allégorie de la Caverne a écrit:

Figure-toi des hommes dans une demeure souterraine, en forme de caverne, ayant sur toute sa largeur une entrée ouverte à la lumière; ces hommes sont là depuis leur enfance, les jambes et le cou enchaînés, de sorte qu'ils ne peuvent bouger ni voir ailleurs que devant eux, la chaîne les empêchant de tourner la tête; la lumière leur vient d'un feu allumé sur une hauteur, au loin derrière eux; entre le feu et les prisonniers passe une route élevée : imagine que le long de cette route est construit un petit mur, pareil aux cloisons que les montreurs de marionnettes dressent devant eux, et au-dessus desquelles ils font voir leurs merveilles.

Je vois cela, dit-il.

Figure-toi maintenant le long de ce petit mur des hommes portant des objets de toute sorte, qui dépassent le mur, et des statuettes d'hommes et d'animaux, en pierre, en bois, et en toute espèce de matière ; naturellement, parmi ces porteurs, les uns parlent et les autres se taisent.

Voilà, s'écria-t-il, un étrange tableau et d'étranges prisonniers.

Ils nous ressemblent, répondis-je; et d'abord, penses-tu que dans une telle situation ils aient jamais vu autre chose d'eux-mêmes et de leurs voisins que les ombres projetées par le feu sur la paroi de la caverne qui leur fait face?

Et comment? observa-t-il, s'ils sont forcés de rester la tête immobile durant toute leur vie?

Et pour les objets qui défilent, n'en est-il pas de même?

Sans contredit.

Si donc ils pouvaient s'entretenir ensemble ne penses-tu pas qu'ils prendraient pour des objets réels les ombres qu'ils verraient?

Il y a nécessité.

Et si la paroi du fond de la prison avait un écho, chaque fois que l'un des porteurs parlerait, croiraient-ils entendre autre chose que l'ombre qui passerait devant eux?

Non, par Zeus, dit-il.

Assurément, repris-je, de tels hommes n'attribueront de réalité qu'aux ombres des objets fabriqués.

C'est de toute nécessité.

Considère maintenant ce qui leur arrivera naturellement si on les délivre de leurs chaînes et qu'on les guérisse de leur ignorance. Qu'on détache l'un de ces prisonniers, qu'on le force à se dresser immédiatement, à tourner le cou, à marcher, à lever les yeux vers la lumière : en faisant tous ces mouvements il souffrira, et l'éblouissement l'empêchera de distinguer ces objets dont tout à l'heure il voyait les ombres. Que crois-tu donc qu'il répondra si quelqu'un lui vient dire qu'il n'a vu jusqu'alors que de vains fantômes, mais qu'à présent, plus près de la réalité et tourné vers des objets plus réels, il voit plus juste? si, enfin, en lui montrant chacune des choses qui passent, on l'oblige, à force de questions, à dire ce que c'est? Ne penses-tu pas qu'il sera embarrassé, et que les ombres qu'il voyait tout à l'heure lui paraîtront plus vraies que les objets qu'on lui montre maintenant?

Beaucoup plus vraies, reconnut-il.

Et si on le force à regarder la lumière elle-même, ses yeux n'en seront-ils pas blessés? n'en fuira-t-il pas la vue pour retourner aux choses qu'il peut regarder, et ne croira-t-il pas que ces dernières sont réellement plus distinctes que celles qu'on lui montre?

Assurément.

Et si, repris-je, on l'arrache de sa caverne par force, qu'on lui fasse gravir la montée rude et escarpée, et qu'on ne le lâche pas avant de l'avoir traîné jusqu'à la lumière du soleil, ne souffrira-t-il pas vivement, et ne se plaindra-t-il pas de ces violences? Et lorsqu'il sera parvenu à la lumière pourra-t-il, les yeux tout éblouis par son éclat, distinguer une seule des choses que maintenant nous appelons vraies?

Il ne le pourra pas, répondit-il; du moins dès l'abord.

Il aura, je pense, besoin d'habitude pour voir les objets de la région supérieure. D'abord ce seront les ombres qu'il distinguera le plus facilement, puis les images des hommes et des autres objets qui se reflètent dans les eaux, ensuite les objets eux-mêmes. Après cela, il pourra, affrontant la clarté des astres et de la lune, contempler plus facilement pendant la nuit les corps célestes et le ciel lui-même, que pendant le jour le soleil et sa lumière.

Sans doute.

À la fin, j'imagine, ce sera le soleil - non ses vaines images réfléchies dans les eaux ou en quelque autre endroit - mais le soleil lui-même à sa vraie place, qu'il pourra voir et contempler tel qu'il est.

Nécessairement, dit-il.

Après cela il en viendra à conclure au sujet du soleil, que c'est lui qui fait les saisons et les années, qui gouverne tout dans le monde visible, et qui, d'une certaine manière, est la cause de tout ce qu'il voyait avec ses compagnons dans la caverne.

Evidemment, c'est à cette conclusion qu'il arrivera.

Or donc, se souvenant de sa première demeure, de la sagesse que l'on y professe, et de ceux qui y furent ses compagnons de captivité, ne crois-tu pas qu'il se réjouira du changement et plaindra ces derniers?

Si, certes.

Et s'ils se décernaient alors entre eux honneurs et louanges, s'ils avaient des récompenses pour celui qui saisissait de l'oeil le plus vif le passage des ombres, qui se rappelait le mieux celles qui avaient coutume de venir les premières ou les dernières, ou de marcher ensemble, et qui par là était le plus habile à deviner leur apparition, penses-tu que notre homme fût jaloux de ces distinctions, et qu'il portât envie à ceux qui, parmi les prisonniers, sont honorés et puissants? Ou bien, comme le héros d'Homère, ne préférera-t-il pas mille fois n'être qu'un valet de charrue, au service d'un pauvre laboureur, et souffrir tout au monde plutôt que de revenir à ses anciennes illusions et de vivre comme il vivait?

Je suis de ton avis, dit-il; il préférera tout souffrir plutôt que de vivre de cette façon-là.

Imagine encore que cet homme redescende dans la caverne et aille s'asseoir à son ancienne place : n'aura-t-il pas les yeux aveuglés par les ténèbres en venant brusquement du plein soleil?

Assurément si, dit-il.

Et s'il lui faut entrer de nouveau en compétition, pour juger ces ombres, avec les prisonniers qui n'ont point quitté leurs chaînes, dans le moment où sa vue est encore confuse et avant que ses yeux se soient remis (or l'accoutumance à l'obscurité demandera un temps assez long), n'apprêtera-t-il pas à rire à ses dépens, et ne diront-ils pas qu'étant allé là-haut il en est revenu avec la vue ruinée, de sorte que ce n'est même pas la peine d'essayer d'y monter? Et si quelqu'un tente de les délier et de les conduire en haut, et qu'ils le puissent tenir en leurs mains et tuer, ne le tueront-ils pas ?

Sans aucun doute, répondit-il.
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Brygh_ailean
Tirant le texte sous le claustrat, la grande lut attentivement les quelques premières lignes avant de s'esclaffer.

Ouais... J'imagine. L'homme et la caverne... C'est avec ça que mon précepteur m'a appris le grec... A l'époque il n'était traduit nulle part... Bref, euh... Pas reconnu par Rome... De l'irréalisme de notre perception du monde... C'est pourtant la seule vérité, elle n'a simplement pas besoin d'être su... On vit mieux même à ne pas le savoir. Au royaume des sages, les simples d'esprit sont rois... fin un truc comme ça.

Glissant le texte de nouveau sous le claustrat.

Mais sincèrement, je ne vois pas le rapport avec mon ennui...

Et dans un dernier froncement de sourcil.

Ah ouais, si... Certains veulent me trucider parce que je leur assène des vérités qu'ils ne sont pas prêts à entendre... Ouais, de la castagne ! Eurf... Pardon mon père... J'adore la castagne... C'est péché ?
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Thrandhuil
Ceux qui sont dans la lumière doivent savoir se mettre à portée de ceux restés dans la caverne... parce que eux ont la connaissance du passage vers la lumière.

Non, la castagne n'est pas péché, du moins, pas à Marseille -là-bas, c'est un mode d'expression normal. Ici, je ne sais pas...

Le péché, c'est d'afficher une supériorité parce qu'on a reçu cette connaissance, c'est de mépriser ceux de l'ombre.

La castagne, elle vient de l'ignorance. Celui qui a le savoir ne doit pas s'en servir pour dominer les autres. Mais attention, le chemin est étroit, la condescendance n'est pas jolie non plus...

Tu aimes le Beau?
Brygh_ailean
Eclate de rire.

C'est marrant hein... J'ai sorti ça à un prof à l'Université de l'Ordre des Dragons, et je me suis faite virer... N'y allez pas padre... S'rait pareil pour vous, je pense.

La connaissance est un don donné à chaque homme. Personne ne peut prétendre avoir vu la lumière... Nous en aurions le chapeau tout brûlé. Nous avons juste chacun notre angle pour voir les ombres... Et il existe deux sortes de personnes :

Ceux qui veulent bien partager. Parfois dans la joie, parfois dans la peine, dans la souffrance ou la facilité. Qu'importe, le résultat est qui seront tous que plus riches, intérieurement. Auront-ils pour autant le pouvoir ? Le chercheront-ils même ? J'en doute... Ils mettront juste leur connaissance à profit de tous...

Ceux qui ne veulent pas partager ce qu'ils distinguent, persuadés effectivement qu'ils sont au dessus du lot et que leur secret les y maintiendra. Il n'est pire infâmie à mes yeux que de ne pas vouloir partager la connaissance que l'on a, car contrairement à tout le reste, donner ne nous prive pas. Quelle pingrerie, alors... Certains disposent d'une véritable connaissance, d'autre d'absolument aucune. Leurs égos les étouffent mais ils ont l'illusion d'un pouvoir sur les autres.

Le beau ? La juste proportion de toutes choses ?

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Thrandhuil
Et tu trouves ça bien, de pouffer sur ton comte parce qu'il a un peu de mal à compter les caillous?
Tu trouves que c'est une bonne manière de partager ton savoir?

Quelle horrible définition du beau! pabô, pabô!


Un contre coup du choc curé-armée, peut-être... l'avait besoin de se remettre les idées en place, le curé.

Plop.

glouglouglouglouglou


Hum... alors?
Brygh_ailean
Nageage dans la confusion la plus totale.

Pouffer sur mon Comte ? Qui compte des cailloux ? Padre vous avez picolé ou quoi ?

Elle essayait de se remémorer des scènes. Elle imaginait Planta alignant sur son pupitre des petits cailloux et les comptantr du bout des doigts. Horrible vision... Zap ! Changement de chaine.

Rappelez-moi quand j'ai pouffé sur le Comte... Et c'était quoi ces cailloux ? Parce que là, ça m'échappe totalement...

Moment d'hésitation.

Pis passez-moi cette bouteille, vous allez vous faire du mal... Tsss....Vous croyez que je ne reconnais pas le cri d'une bouteille pleine le soir au fond d'un confessionnal... Re tss...
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Thrandhuil
Mouarfff!
Moi, me faire du mal en déplopant. Moi, le meilleur déplopeur de Marseille!!
en plus, tu as mauvaise ouïe: elle n'est pas pleine..

Hum... pardon.


et le curé de faire tourner...

Tiens, c'est un petit vin rosé qui vient des coteaux de Forcalquier, mon pays de naissance... Tu m'en diras des nouvelles.

Hum. Bon. Bref... oui. Le Com. Je parle des cailloux pour sa mine qui s'effondre. Je te rappelle que tu es dans un confessionnal; tu ne vas pas dire que tu n'as pas pouffé...
Brygh_ailean
Ouah, punaise ! Abordage du sujet qui fache...

Ah ben, je crois pas que j'ai pouffé, mon père... Parce que si y'a bien un sujet qui ne me fait pas pouffer du tout, c'est la mine d'or et la communication déplorable qui accompagne chaque pas vers les enfers... Enfin, je devrais ptêt pas dire ça ici non plus, hein !

Inconsciemment sa voix monte dans les octets. La passionnaria... ouais c'est pareil que chieuse mais ça fait plus classe, c'est tout. Donc la passionnaria reprend le dessus.

Je ne pouffe pas. Je m'esclaffe parfois devant les conseillers qui prennent le comte pour un con... euh... te, je vocifère contre le fait qu'on prenne les sarladais pour des buses et qu'on alimente les rumeurs les plus hystériques par une communication minimaliste... et je me cogne en plus d'aider à rédiger des trucs qui soient lisibles et crédibles. Alors, non, mon Père, je ne pense pas pouffer... A moins que ce ne fût dans un instant de découragement. C'est possible aussi, ça...

Bougonnant.

Oui, je sais... Tempérance, tempérance... Tsss... Sarlat, c'est la capitale de la tempérance, c'est bien connu...

Tout à un autre sujet.

Y s'laisse boire le rosé. L'avantage en plus dans une cathédrale c'est qu'il reste frais, hein ! Même le vin s'améliore à proximité du Très Haut... Euh... N'importe quoi.
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Thrandhuil
Exact: repasse donc...

C'est bien la peine de monter sur tes grands chevaux, quand en plus tu dis des bêtises: point n'est besoin de hache pour couper du bois, quand c'est la mairie qui les fournit.

A ton avis, dans tes relations avec tes collègues du Conseil, péches-tu plus par manque de tempérance ou par orgueil?
Brygh_ailean
Pétée et pas que de rire.

Arf... vous ne connaissez pas la situation financière de Périgueux mon père... Le coup de l'aiguisage est une calamité pour cette ville déjà totalement dépeuplée et ruinée... Une ancienne maire de mes amies pensait même à supprimer tout simplement ce troc compte tenu de son coût. Je n'ai pas dit de bétises.. rhoo... Je pense juste qu'il est inutile d'en parler... Je n'ai pas la parole divine... Dieu m'en préserve... Justement, tiens ! Les autres conseillers sont à même de rebondir...

Fermant les yeux pour prendre conscience que le monde tourne.

Vous auriez pas du fromage pour aller avec le rosé... Vachte ! Eppur si muove... Manque de tempérance... Manque de marjolaine... Pourtant... tain, Elayne n'arrive même plus à me fournir...
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