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[RP] Cathédrale de Périgueux Saint Samoth l'Episkopos

Brygh_ailean
Elle regarda Frank une nouvelle fois, se demandant de quoi il parlait. Son propos habituellement énigmatique ne convenait pas aujourd'hui à son état. Franchement, elle n'était pas là.

Je ne comprends pas vos propos mon frère, j'en suis fort marrie. Si je me sieds à communier à St Front, c'est que c'est là que je vis... et que j'ai officié en tant que diaconnesse pendant si longtemps et que le père astorius est toujours là, pour ses paroissiens. Quel rapport avec le Comté ? Aucun...

Quant au spectacle de mon intronisation ? Diantre, je ne sais pas non plus de quoi vous parlez... De Paris ? La Reyne a été très affable.. Et j'ai beaucoup apprécié son geste de suzeraine attentive... Mais, vous n'y étiez pas, si ? De la cérémonie d'allégeance d'il y a un mois ? En salle du trône ? Je ne vous y ai point vu non plus... Et tout cela n'est que formalité protocolaire. Rien à voir avec moi.


Puis il lui parla du passé. Sa compréhension déjà bien émoussée eut un nouveau revers, mais l'impression générale substistait.

Je sens en vous une telle aigreur, mon frère. Une aigreur que je ne connais pas. Il eut été un temps où j'aurais cherché à comprendre mais pour l'instant, je n'en suis pas encore là. Ce temps reviendra sans doute. Je ne vous demande pas de vous apitoyer... Personne qui prétend m'apprécier ne le fait. Vous cherchez des dychotomies là où n'en est pas. Je suis et je reste... telle que fût et serait... ou presque.

Le détail près avait son importance mais elle ne tenait pas à le confier à cette homme dont le langage lui était désormais totalement étranger.

Je vais vous laisser vaquer, mon frère, je repasserais voir les carillonneurs plus tard... Ce n'est pas important.

Et pourtant si, ça l'était. Mais elle n'avait qu'une hâte : quitter ce lieu où elle n'avait pas senti la présence d'Aristote à un seul moment. Elle se releva, une main dans son dos.

A Dieu, Père Frank... Je suis désolée.
Franckshinatra
Ha... Voilà donc comment mettre fin à un dialogue gênant... Le blond accepta pourtant la sentence.
Elle était Comtesse en activité, elle était toujours diaconesse en activité, elle reconnaissait qu'aucun rapport ne pouvait être fait entre les deux... Malgré tout, elle s'étonnait de l’absence du blond à la cérémonie d'allégeance... Amusant, sinon curieux de vouloir mélanger les deux royaumes, après avoir dit qu'ils n'étaient pas miscibles...
Une formalité protocolaire, alors, le blond conviendrait de cela. Quant aux apitoiements évoqués, qui était-il pour donner dans cet exercice ? Elle avait des amis vers qui se tourner. Et il était sur qu'elle en avait beaucoup, des amis dignes.
Donc il hocha la tête, se taisant, et se relevant comme la brune le faisait. Une nouvelle sortie verbale... toujours aussi surprenante. Mais le blond, de mémoire religieuse, n'avait jamais vaqué, lui. Bah... La charge de sa couronne, sans doute, pesait sur ses tempes, et empêchait la première fille de Périgord. Mais elle avait dit la messe, alors...

Le religieux ordonné s'inclina avec respect pour le clerc civil qui avait choisi sa voie, sans pourtant vouloir l'admettre.

Et bien votre Grandeur, il me reste donc à Vous souhaiter le bon jour. J'ai en effet route à faire pour Sarlat, pour l'office à venir. Comme chaque semaine. Et vous même avez des charges qui ne souffrent aucun retard !

Les deux personnages se dirigèrent vers le grand portail que le blond ouvrit doucement, comme pour ne pas brusquer la bringue. Une bouffée d'air déjà chaud leur fouetta lentement le visage et un pigeon, surpris par la sortie, laissa choir dans son envol sa signature blanchâtre, qui s'écrasa sur la seconde marche du parvis.

Le Très Haut n'oublie jamais d'où nous venons, ma fille... Et n'est jamais dupe de nos égarements d'hommes. Je prie pour votre santé, ma fille. Et je prierai pour la paix de votre mandat comtal, votre Grandeur.

Qu'Aristote vous guide !

Et la bénédiction consacrée, un doigt simple et sincère.
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Astorius
Il entra avec gravité dans la cathédrale… pour la première fois de son sacerdoce, c'est le coeur lourd qu'il allait officier… Une Ame avait rejoint le Royaume des Cieux et c'est à lui qu'il revenait de célébrer ce passage dans l'Au Dela.
Il prit une porte latérale pour pénétrer dans la cathédrale car déjà le parvis grouillait de monde.
Il entendit quelques gamins cachés derriere une gargouille s'extasier devant le beau monde ainsi rassemblé…


Oui da, vise un peu celui là, je te dis que c'est un baron… ou un duc, je sais plus bien… mais en tout cas, je peux te dire que chez lui, ça brille de partout, je le sais de la part de la cousine de mon oncle, celle qu'a épousé l'Aristide, tu sais bien, celui qu'a pu de dents d'vant…

Y parait même qu'y une comtesse qui va venir…
Noooonn


Il ne put s'empècher de sourire à leur franc parler, malgré son appréhension… Ils avaient raison ces enfants… y'aurait du beau monde dans les travées de la cathédrale…
îl se faufila dans la sacristie pour enfiler ses habits de messe puis se mit à la recherche des sonneurs.
Il finit par les trouver, en pleine conversation sur les attraits comparés de la Margot et de la Ninette…


Eh bien au boulot Mes amis… c'est qu'aujourd'hui, il va pas falloir mollir des bras et des jarrets. il s'agit d'une cérémonie spéciale…

Bientôt les cloches se mirent en branle… en fait une seule se mit à sonner… la plus grosse, celle qui de son ton sourd sonnait le glas

Il se dirigea alors vers les grandes portes de la Cathédrale. Il les ouvrit en grand pour accueillir la foule des fidèles qui se pressaient sur le parvis et leur permettre ainsi d'entrer…




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curé de Périgueux… et picétou
melior
De nouveau, il fallait porter le deuil. Melior était revenue pour cet adieu. Avec son départ, elle perdait un fidèle ami, qui détestait certes la Guyenne et les Guyennois, mais qui n'avait jamais failli à cette amitié qui les liait. Si la perte était grande pour elle, elle songea néanmoins à une autre personne, pour qui elle l'était bien plus encore. Voici que Bryn se retrouvait dans la situation qui avait été la sienne, seule, avec la responsabilité d'un Comté.
La Duchesse poussa un soupir, elle aurait souhaité pour Bryn et Ben une autre destinée. Il fut un temps, où elle s'était évertuée à marier ce célibataire endurci, marier les autres était sa marotte, un peu dans le style faites ce que je dis, pas ce que je fais, car le mariage pour Melior était devenu absolument contraire à son mode de vie. Mais le vicomte n'avait en vérité pas besoin de ses talents de marieuse, qui au demeurant étaient assez piètres, mieux valait finalement qu'elle se consacrât au droit.
Même si on lui avait proposé une auberge confortable, la brune avait finalement passé la nuit à veiller, replongée dans ce passé commun avec le défunt.
Les portes de la cathédrale étaient ouvertes, et lentement elle y pénétra. Elle songea alors à son défunt époux pour qui elle avait fait prononcer une messe en ce même lieu, bien des années auparavant, elle songea aussi à Odoacre...une nouvelle missive lui était parvenue, annonçant sa mort. Odoacre...l'impossible Odoacre, le truculent Odoacre, rusé comme un renard, qu'elle était venue un jour, ici encore, troubler dans son sommeil. Désormais, elle ne le pourrait plus.
Tandis qu'elle avançait dans l'allée centrale, ses pensées revinrent à Ben.

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Brygh_ailean
[Porte Neuve.]

La maison ne désemplissait pas : une partie des gens de Biron était là, Martin, François notamment, et d'autres qu'elle ne connaissait pas. Ils s'agitaient en tout sens, faisant ce qui devait être fait. L'accorte servante dont Bryn avait tant été jalouse par le passé à la voir minauder autour de Ben, était d'une grande utilité. La jeune fille, les yeux gonflés et rougis, étaient en train de masquer la blessure du vicomte, quand la Comtesse vînt lui poser les mains sur les épaules.

Ca ira, ma fille... Allez prendre un peu de repos.

La petite aux formes généreuses laissa la place en silence.
Le vicomte reposait désormais dans ce lit de bois que la grande avait fait elle-même confectionner en ses ateliers. Le plus beau chêne de la forêt, le plus sec, les meilleurs vernis... Elle sourit : cela n'avait aucun sens, mais elle avait besoin de croire ou de savoir.


Nous sommes prêts, comtesse.

La voix de Martin la tira de sa torpeur. Elle jeta un oeil vers le secrétaire.

Merci Martin. Allez prévenir Sachiko et Pattricia. Avez-vous assez d'hommes ?

Oui, comtesse. Tous les hommes de Biron, sont là... Et je ne doute pas que d'autres se joindront à nous plus tard pour soutenir le mestre une dernière fois. Descendez, maintenant comtesse...

Encore un instant...


Le secrétaire sembla soupirer. Bryn savait à quel point il la détestait. Son maître ne serait certainement pas mort, s'il n'avait été capitaine, et il n'aurait sans doute pas été le capitaine d'une autre... qu'elle.

Non comtesse. Vous vous faites du mal pour rien. Allez rejoindre vos amies. Nous nous occupons de monseigneur.

Le ton était ferme. Non pour la blâmer, mais pour la faire réagir. C'est ainsi que la grande le perçut. Elle releva enfin le visage vers l'homme plus très jeune en face d'elle.

Merci Martin. Qu'aurais-je fait sans vous ?..

Ailean descendit donc l'escalier pentu de sa maison bien aimée, pour s'en rendre dans la ruelle à l'avant de la procession qui doucement se constituait.

Mac ?

La voix de Sachiko. Etrange attitude que celle de la Tresse qui semblait avoir toujours cordialement détesté le vicomte et aujourd'hui voulait braver la foule pour l'accompagner vers sa dernière demeure.
Bryn se contenta de cligner les yeux pour lui signifier que tout allait bien, tandis que derrière elle le lourd pas des hommes chargés du cercueil de Ben résonnait, martelant le coeur de la comtesse.

Melior fidèle à sa promesse, était venue aussi. Elle avait veillé avec Bryn toute la nuit, dans le silence. Etrange situation pour la brune que de se retrouver avec la duchesse en ses lieux, sans parler, elle avec qui elle avait partagé tant d'espérances sur l'avenir... Désormais envolées.

Déjà ils se lançaient des instructions à mi-voix et la bière se retrouva sur le chariot prêt à l'emporter vers la cathédrale. Un dernier regard en arrière. La brune sentit les rangs des serviteurs se resserrer. Ils étaient prêts. Aussi hocha-t-elle la tête à l'appel silencieux du cocher.


Hue dia !

Le cheval rustre et puissant, se mit en branle, à l'injonction. Le cortège suivit doucement. A sa tête une femme brune, immense, au teint diaphane et les cernes creusées marchaient à pas réguliers. Etrangère...
Seigneurabel
abel avait appris la mort de l homme qui avait ete assez bon avec lui pour ecouter ses foutes et le conseiller, il tenait a assister a ses obsequesn il se placa dans un coin pour ne gener personne , mais esperant presenter ses condoleances plus tard
Astorius
Le cercueil, porté par 6 hommes pénétra lentement dans la cathédrale. A sa tête marchait d'un pas lent la Comtesse…
Lentement les hommes remontait la grande allée quand les orgues de la cathédrale se mirent à jouer donnant encore plus de gravité à la scène
le cercueil fut enfin déposé sur le catafalque…

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curé de Périgueux… et picétou
Brygh_ailean
D'un petit signe de tête, Bryn salua son ami et confident. Confesseur aurait-on dit au sein de l'Eglise qu'il servait. Confident lui semblait à elle, plus approprié.

Elle s'approcha alors des cathèdres réservées à la noblesse, étreignant discrètement l'épaule de Mélior au passage, pour la remercier autant de sa présence que de son amitié, des heures passées.

Elle s'installa ensuite, regardant enfin en arrière vers les rangs déjà occupés, humbles et honnêtes gens. L'éloignement de Pattricia et Sachiko déjà lui manquait. Mais elle avait choisi son destin, et son destin n'était plus se tenir dans la travée.

Les serviteurs de Biron s'éloignèrent à leur tour de la bière et rejoignirent les bancs. A cet instant, elle pensa à Dazibao, leur précédent maître, mort aussi au champ d'honneur... ses lèvres se mirent légèrement à trembler, mais elle sera les dents.

Nouveau regard vers Astorius en clignant lentement des paupières. Il fallait bien commencer.
Astorius
Petit regard échangé entre Bryn et lui… petit clignement des paupière dont il compris aussitôt le sens… il était temps de débuter cette cérémonie si éprouvante pour elle…
Il s'avança donc vers l'autel juste au moment où les orgues se turent… Un noeud au ventre apparut presque immédiatement… parler en public ne lui avait jamais fait peu mais ce jour était si particulier…

Mon Dieu… donne moi la force…

Son regard balaya ensuite la foule des fidèles réunis pour rendre un dernier hommage au vicomte de Biron… s'attardant un court instant sur les visages qu'il reconnaissait.
Puis il se décida enfin à prendre la parole…


Mes amis… Nous sommes réunis aujourd'hui dans la tristesse et dans la peine pour rendre un dernier hommage au vicomte de Biron, Benduguesclin, qui nous a quitté récemment
Pour entourer également de notre Amour celles et ceux qui le pleurent…
Vous tous, Nobles, roturiers et gueux, réunis devant Dieu, je vous demande tout d'abord de vous repentir… afin d'expier tous nos péchés
Prions Mes Amis, tous ensemble… que nos prières montent vers le Très Haut

Citation:
Je confesse à Dieu Tout Puissant,
à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
et vous mes Amis,
de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nous péchés.

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curé de Périgueux… et picétou
Confucius
Ayant reçu la triste missive, Confucius se glissa entre les allées de la cathédrale. Enfin il trouva un siège, ni trop près ni trop loin de l'autel ou allait se dérouler la cérémonie: un peu comme sa relation avec l'ancien capitaine. Bien qu'étant encore jeune, il se sentait triste d'être plus d'enterrement que de mariages et espérait que les temps à venir seraient meilleurs. D'un coup d'oeil à la salle, il remarqua que le vicomte était très apprécié vu le nombre de personnes attroupés pour lui rendre hommage. Il n'osa pas parler à ses compagnons d'infortunes, préférant garder le silence pour se recueillir. Il leva toutefois la tête quand la cérémonie commença...

"A Ben..."chuchota-t-il pour lui même avant d'entamer la prière.

Je confesse à Dieu Tout Puissant,
à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
et vous mes Amis,
de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nous péchés.

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Miquette
Mimi arriva discrètement, elle perdait encore un ami et pas des moindres, ce jour était empli de tristesse.
Elle se mit dans un coin de la cathédrale, bien remplie, et pria pour lui.

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Kildara
Kildara était installée au fond de la cathédrale lorsque le cortège funèbre arriva.
Elle avait apprécié le vicomte et se devait d'être là, non pas pour l'étrange situation mais d'abord pour Bryn puis évidemment pour Ben.

C'est en silence et presque invisible qu'elle récita la prière lorsque la messe débuta.
Brygh_ailean
Bryn repéta silencieusement les paroles dans sa propre langue, la seule qui avait encore un sens pour parler au Très Haut en cet instant.

Tha mi ag aideachadh do Dhia uile-chumhachdach, Do na Naoimh uile, agus dhùibhse,`Athair, Gu’n do pheacaich mi gu trom le m’smoaintean, Le m’ bhriathran, is lem’ ghniomhannan, Le m’ choire fhéin, le m’ mhór choire fhéin. Air an aobhar sin tha mi a’ guidhe air na Naoimh uile, agus oirbhse ‘Athair Ùirnuigh a dheanamh ris an Tighearna ar Dia air mo shon.

Elle confessa silencieusement tous les péchés, connus ou inconnus, dont elle devait faire ainsi repentance, elle pensa au péché que représentait sa souffrance source d'acédie, elle confessa d'avoir trop aimé cet homme qu'elle perdait à jamais, de l'avoir aimé trop mal sans doute, trop fort assurément. Elle se confessa de son orgueil infini de se sentir si seule au monde, alors qu'elle était entourée de tant d'amis. Puis elle releva la tête, le regard brillant tandis qu'une nouvelle agitation prenait place en ses entrailles. Elle sourit triste et en même temps, éblouie.
Keyfeya
Keyfeya avait vu le parchemin déposé par le père Astorius à Périgueux, en lisant ces mots, elle fut fort affligée, de ses derniers souvenirs elle avait apprécié l'homme qui avait défendu Périgueux et le Comté, n'ayant pas retrouvé ses souvenirs plus anciens, c'est le frisson qui lui parcourut l'échine qui lui permit de dire qu'elle estimait cet homme plus que ce qu'elle semblait penser.

Elle avait donc passé une robe noire pour la circonstance mais avait gardé une rose blanche dans ces cheveux, qui représentait pour elle en ce jour, la pureté de l'âme de l'homme qui venait de quitter les siens.

Elle entra dans la cathédrale en pensant au vide de l'absence qui creusait dans les cœur des proches, des amis, de Bryn bien sur, elle connaissait leur attachement. Elle resta en retrait, elle connaissait sa place, il s'agissait ici de l'enterrement d'un noble, nombre de grandes gens allaient être présentes.

Elle aurait aimé voir Bryn, avant, pour la laisser parler si elle en avait eu envie mais elle espérait en son cœur que la jeune comtesse avait su trouver oreille attentive pour elle, et épaule sincère pour la consoler.

N'étant pas baptisée et ne connaissant pas les prières, en son fort intérieure elle en dit une personnelle, avec ses mots à elle, pour Messire Ben, pour Bryn et les proches.

Indépendamment de sa volonté, une larme roula sur son fier visage, elle la laissa couler, tout à ses pensées.

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Mariceleste
Mari arriva un peut en retard a la Cathédrale, mais elle avait de quoi, car cela lui était difficile d'y venir surtout pour dire adieu pour toujours a un ami.

Arrivée devant la grande porte les yeux remplie de larmes prête a couler le longs de ces joue elle hésita.

Mari n'avait pas le droit d'hésiter Ben était son ami et sa compagne aussi, elle prit une grande respiration et se glissa discrètement a l’intérieur.

La cérémonie venait juste de commencer, elle chercha du regard des personne connue et aperçu ça nièce Mimi, elle alla s'assoir a ces coté.

Elle resta discrète sans dire un mot et se mit a prier.

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