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[RP] Cathédrale de Périgueux Saint Samoth l'Episkopos

Keyfeya
Et le monde affluait, tant de visages qu'elle ne connaissait pas, plus peut être, elle suivait les prières mais ne les récitait pas, elle éprouvait une sincère peine et elle restait en profond recueillement, pensant à Messire Ben bien sûr mais surtout à ses proches, à leur douleur, leur chagrin, à Bryn. Souvent elle avait considéré leur couple comme un équilibre, une balance, ils étaient chacun la moitié du tout qu'ils formaient.

Quand Bryn prit la parole, la distance du discours, fit comprendre à Key la mesure de sa douleur, son cœur se déchira pour Bryn, de plus elle savait qu'elle devait tenir une certaine image pour éviter que d'autres requins se jettent sur son chagrin.

Elle savait Bryn forte mais elle supposait que la présence et l'amour de Ben la rendait forte à ce point, alors jusqu'à quand tiendrait avec cette charge sur les épaules?

Puis elle revient à ses prières et répéta en son fort intérieur les dernières phrases du père Astorius.

Que l'eau apporte bénédiction au repos de notre frère


Que l'air apporte bénédiction au repos de notre frère…


Que le feu apporte bénédiction au repos de notre frère…

Amen…

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Best_lion
Best était dans le fond de la cathédrale...pour rien au monde il n'aurait manqué ça ...il souhaitait joindre ses prières à celles des autres ...il connaissait Ben depuis longtemps et savait qu'il avait essayé d'être un homme droit et de parole tout au long de sa vie et rien que pour celà, pour cette intention de vie, il se devait d'être présent ...il priait en silence...
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Astorius
Tout le monde s'était recueilli partageant avec le Très Haut une communauté de pensées dont le dénominateur commun était le vicomte de Biron…
D'aucun avait perdu un ami… d'autres un supérieur… un maitre… La Grande avait perdu son amour et plus encore…


Il se résolut à reprendre la parole.


Mes Amis… cette cérémonie touche désormais à sa fin… Le vicomte de Biron va quitter la maison de Dieu pour rejoindre sa dernière demeure…
Pour l'accompagner dans ce dernier voyage, je vous demanderais de réciter tous en coeur la prière de Sainte Illinda




puis les orgues et le choeur de la cathédrale entamèrent eux aussi leur dernier adieu au Vicomte de Biron
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curé de Périgueux… et picétou
Pattricia
Un oiseau parvient jusqu'à la cathédrale du Périgord Angoumois et dépose près du livre d'or une lettre cachetée du sceau de l'Ordre des Emuvillains.


Citation:
BenduGuesclin, vicomte de Biron, Emuvillain

Ben....

Nous, membres de l'Ordre Des Emuvillains, te pleurons alors qu'Aristote t'a rappelé à lui.
Tu as donné ta vie pour ton comté, le Périgord Angoumois.
Nous voulons te rendre un dernier hommage et te remercier pour tout ce que tu as fait.

Qu'Aristote t'accorde sa paix et t'accueille auprès de lui.

Nous gardons en souvenir de toi, ta bonté, ton sens de l'honneur, tes rires, ta joie de vivre, tes poches trouées...

Adieu à toi, notre ami !



Lubna
Porte Parole de l'Ordre des Emuvillains

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kahhlan, incarné par Stelliem
Kahhlan a écrit:


Installée dans la rangée sur le coté, Vanupied à ses cotés … elles avaient suivi le déroulement de la cérémonie …
Pour elle, durant ces instants qui paraissaient suspendus … accrochés et nourris d'un espoir qui se révélerait du miracle … celui de se dire … nan rien n'est vrai, je suis encore dans ce rêve où la mort est Reyne .. où elle nous enlève tout ceux qu'on aime … tous … les uns après les autres .. comme pour nous punir … mais de quoi fichtre de diantre hein … !!!!

Un nœud à l'estomac, lorsque la Grande prit la parole et se dire qu'elle ne rêvait pas … que la douleur était bien là, devant elle, digne mais oh combien inacceptable …
Une boule dans la gorge , et ne pouvoir que réciter mentalement les prières adressées …

Puis, le temps qui semblait curieusement arrêté, repris lorsque s'élevèrent en une première partie les orgues ménageant leur puissance pour laisser parler les chœurs en douceur …
Ensuite …. ensuite écouter religieusement et se laisser porter ….

Comment ne pas se dire que Ben avait là, la plus belle allée musicale pour entrer dans sa nouvelle demeure …
La puissance montante des voix mêlées aux orgues, aux cordes et aux bois ….
Elle ne pouvait s'empêcher d'imaginer Ben, de blanc vêtu, les regardant souriant … leur adressant un dernier coucou d'une main légère et la portant ensuite à ses lèvres pour y déposer un baiser qu'il dirigeait vers Elle, Sa Grande … de lui confier dans son regard ses espoirs d'avenirs …

Alors esquiver un sourire … tout n'était pas si noir malgré les apparences …
L'avenir promettrait encore … Oui elle en était intimement persuadée ..
La perte présente était immense mais d'autres Ben reviendraient, d'autres volontés toutes aussi nobles et fortes les surprendraient encore …. et qui sait … les rondeurs naissantes de Bryn porteront elles, le fruit de cet espoir …

Une larme coula … larme d'un au revoir, larme d'un renouveau … et les rires des enfants enchanteront encore les chaumières …

Lever le regard vers Elle … Rien ne lui serait impossible … rien … et de Lui, elle gardera le meilleur … Toujours ...
Brygh_ailean
Silencieusement elle se leva et suivit machinalement le cortège qui quittait la cathédrale. Ses yeux étaient étrangement secs, et un sourire se dessinait sur ses lèvres. A quoi pensait-elle ? A Paulette... et à toute la ménagerie de bestioles minuscules que Benduguesclin avait domptée.

Bien sûr, en tant qu'aristologiste, elle savait que le soleil n'accueillait pas les puces, fourmis et autres teignes des bois. Mais elle se complaisait à penser que Ben ne serait pas seul, entouré de toutes ses princesses à six pattes. Elle rit intérieurement que c'était sans doute cette manie de s'habiller en noir et de bondir qui l'avait attiré chez elle.

Qui pouvait comprendre ce qu'elle ressentait à ce moment là ? La fierté de l'avoir connu et qu'il l'ait reconnue, elle, sombre sauvage parmi les sauvages. L'adoration qu'elle lui vouait et qu'elle continuerait à lui vouer au-delà de la mort. La joie aux souvenirs de leurs grands moments, seuls ou avec leurs amis, dans les endroits les plus étranges. La nostalgie de ce voyage à Bordeaux qu'ils ne feraient jamais. L'amusement devant l'obstination de Ben à vouloir être "Duc d'Aquitaine". Tout ces sentiments mêlés pour cet homme à la fois humble et très grand, simple et complexe, et surtout cette frustration latente de n'avoir pas forcément su lui dire... tout simplement : " Je t'aime."
Franckshinatra
Et à nouveau, plus rien... Tous n'avaient donc pas la faveur de la comtesse de retour... Elle n'avait sans doute pas le temps, cela dit, de tenir et sa couronne et sa croix de clerc non ordonné. Mais où allait donc son choix, ce jour ? Et les médisants commençaient à dires des choses peu charitables à son sujet !
Mais le blond, lui, savait fort bien que tout était au mieux pour le meilleur de Périgord !

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Franckshinatra
Décidément, cette cathédrale si tant altière dans son "hélénité ", ne servait plus qu'à pleurer les géniteurs. Mais cette fois, le blond allait donner une messe, une vraie. et cette fois encore, pour la mémoire d'un serviteur de l’Église... Un vrai !

Donc, foin du ménage, il l'avait déjà fait. et comme aucun péquenot, même sans couronne, n'avait jugé bon de venir faire semblant de donner le change, il était chez lui ! Et les cierges pascals brulaient, malgré la date avancée.

Le religieux ordonné, et donc, en toute puissance, allait ouvrir l'office en ce dimanche plus nauséabond que les autres, mais le sujet de son intervention n'était en rien, elle, aussi basse que les moqueries qu'il entendait ça et là. Non, lui, se contentait de servir, en bon fils d'Aristote, l’Église. Non le pouvoir, et l'éventualité de chier à nouveau un bâtard.

Les cloches... voilà... c'était donc le moment ! et le blond dut se faire à l'évidence, elles étaient plus lourdes que lui. Il lui fallut donc attendre que l'inertie entamé de sa maigre vigueur se calme avant de redescendre sur ce sol si tant terrestre.

DOOONNNNNNG! DOOOONNNNNNGGGG !!!! DONG, DONG !

Les sandales, enfin de retour en terre sainte, portèrent le blond vicaire, futur curé et délicieux ange humain, vers le parvis rutilant. Mais alors qu'il allait accueillir la foule si tant en attente de son preche, il tomba sur une forme bizarre et humide.

Non, pas un champignon... Non... du genre avec des bras et un nez qui coule. Ce morveux avait donc choisi ce jour d'hui pour se paumer ? et sa bougresse de mère ? Elle avait donc d'autres chiards à pondre, pour ne pas se préoccuper d'un qui semblait entier en tout cas de corps ? Pfff... ras le bol de ces poules pondeuses qui forniquent sans réflexion ! Mais le pauvre.. heu... ha, oui : enfant ! Il n'y était pour rien. tout au plus il pourra coller sa matrice en procès, pour négligence !

Le blond, d'une main douce et avenante, comme il est si tant coutumier du fait, fit lever le paquet de m... le doux enfançon !

Lève toi... et marche ! Cours donc vers le jupon souillé, mon petit, qui permet que tu reste ici, sans considération maternelle. Sinon, je serai dans l'obligation de te conserver devers moi... et là... Je ne garantie pas ton avenir, si tu penses à une couronne !

ton nom, d’ailleurs;.. il se dit dans notre langue ?

et le blond ange de tendre l'oreille vers le pauvre enfant à peine fini... Démoulé trop chaud, comme certains auraient pu dire... Mais le blond, lui, dans sa grande clémence, sourit un peu.

Comment ? Edmond ? Pauvre enfant, comme je te comprend... Le blond toussa un instant, pour clarifier sa gloutte, et annonça, comme un dieu de l'ancien temps devant des idiotes en plumes.

Le petit Edmond est attendu devant le parvis ! Merci à sa mère de faire diligence... Ou tout autre commensal, je ne suis pas regardant !

Bon, il était grand temps de faire sonner l'office pour de bon !
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Franckshinatra
Chers enfants de Périgord, merci...

Il fallait bien entamer le propos, et comme le blond n'y entendait rien en poésie, et que de toute façon, la grande majorité des périgourdins n'y entendait que des jérémiades masquées, il se garda bien de se prendre pour un ménestrel.

En ce jour, et dans ce bel édifice - si vide, mais qui donc en est responsable... - nous serons rassemblés pour adresser nos remerciements au Très Haut !

Oui, j'ai bien dit "merci". Car, mes enfants, il ne faut pas croire que l'obscurité lunaire soit une malédiction. Il s'agit juste d'un avertissement du Créateur, pour que nous n'oublions pas que la vie demeure le seul sésame à la paix ! Et la vie, mes enfants, est à vous par la grâce de Dieu. Charge à vous, donc, de choisir, une fois encore.

Le blond leva un doigt très romain, pour bénir l'assemblée. Puis, il ouvrit le grand livre et annonça la prière consacrée, et attendue dans un office officiel.

Que ceux qui n'ont pas honte d'être honnête répètent après moi. et que les autres s'inspirent, l'air de rien, de cet exemple, ils sont les bienvenus !

Petit raclement de gorge, et vlan... On y allait comme en quarante... Mille Quatre Cent Quarante !

Prions, enfants d'Aristote bien-aimés, pour la sainte Église Romaine, et son serviteur :
Que le Très-Haut lui donne la paix et l'unité,
qu'il la protège dans tout l'univers, et ici même ;
Qu'il nous accorde une vie comtale calme et paisible,
pour que nous rendions grâce à notre seul régnant : Lui-même !


A Priori, les fidèles entendirent les mots du blond. Du moins, il voulait s'en rassurer, et il poursuivit.

Logos éternel et tout-puissant,
dans Christos et Aristote, tu as révélé ta gloire à tous les peuples.
Protège l’œuvre de ta clémence !
Que ton Église universelle répandue par tout l'univers
demeure inébranlable dans la foi et la raison,
par Christos et Aristote nos prophètes.
Puissent Foi et Raison guider les oiseaux sans directions,
et que Saint Odoacre le justicier, nous protège tous !

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Franckshinatra
Le maigre vicaire avait un visage radieux, mais son sourire était humble. Les mots, quel outil amusant. Certains imaginaient les maitriser, et en abusaient pour le plus grand délice de ceux qui se contentaient d'écouter avec sagesse. D'autres encore se fichaient bien de ne rien maitriser du tout, et annonçaient, encore et encore...

Et la prière assurément sera entendu !

ajoutons, néanmoins un épilogue, voulez vous ? Enjoignons le Très Haut de bien vouloir nous offrir la grâce de suivre les exemples de ceux qui sont à notre tête.
Nous serons, ainsi, certains de marcher toujours dans la lumière, de servir le Créateur avec fidélité et désintérêt, et dès lors, d'être accueilli le moment venu sur l'astre de tous les repos mérités !

Puis, bras écartés, comme le signe du don de foy, le blond adressa son sourire à tous, avant de descendre les trois marches qui séparaient le chœur de la nef. La communion serait simple, et désintéressée, elle aussi. Le pain sentait bon, et le vin ne manquerait pas de rendre espoir !
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P27kw
Cela faisait quelque temps qu'il ne c'était pas rendu dans la Cathédrale de Périgueux, mais bientôt un nouveau mariage sera officié dans celle-ci, il décida alors de remettre un peu d'ordre et un peu de ménage.
Franckshinatra
Le blond curé, ne reculant devant aucun déplacement, retrouva vite le chemine de la grande Périgueux. Chaque fois, son cœur s'emballait, au souvenir tendre d'une mère abbesse qui avait eu la bonté de lui enseigner l'art de jouir des écritures... et chaque fois, son cœur battait en remerciant le saint Hélène qui avait fait don de son petit séminariste à la sainte.

Aujourd'hui, donc, il était à nouveau ici, pour une préparation. et laquelle ! Nettoyer le chemin vers la lumière, n'était-ce donc pas le plus beau des ouvrages ? Et quand il s'agissait de deux enfançons, à peine débourrés, mais déjà fiers et convaincu de la force de la seule Foy convenable... Qui donc aurait eu la bêtise d'en sourire, sinon les ânes disposés au bucher salvateur ?

Donc, il était question de pastorale, et le blond était prêt ! enfin presque, car il trouva la cathédrale ouverte, à tout vent ! Encore une fois ! Par la sainte croix !!! Était-il donc concevable que n'importe qui pouvait venir ici, et user du lieu sans un minimum de considération ?

Le blond dut, contre toute attente, reprendre ce lieu de culte en main... Une fois de plus ! Mais cette fois, il était sur que la défroquée ne reviendrait pas jouer un rôle d'emprunt !

Une fois le lieu préparé, le curé de Sarlat, fort de sa position, se tenait sur le parvis à guetter les deux enfants de la marraine-maire.

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Franckshinatra
Dix heures allaient sonner, et le blond décida de faire sonner, lui aussi, la cloche lourde et grave de la cathédrale. Un office serait dit ici, grace à lui... Comme toujours, aux moments les plus difficiles, il était toujours là pour les fidèles, et tous ceux qui craignaient que les remparts civils soient moins fins que l'épais mur inviolable de la foy !

DOONNG ! DOOONNNNNGG ! DOOOoOoOOOoOOOooONG !

Il fallut bien dix minutes pour que le blond retrouve terre, les deux sandales bien fichées sur le sol, tant l'inertie de la cloche avait jouer de la grande maigreur du blond, qui était resté accroché à la corde... Une fois libéré de ces mouvements verticaux, le blond fila rapidement en al sacristie, et troqua sa robe noire, pour sa magnifique chasuble blanche, celle-même qu'il avait reçu de la mère abbesse qui fut, naguère, l'autorité religieuse de cette cité. Et son étole, rouge sang, terminait le tableau.

IL retrouva sa place sur le grand parvis, mains croisées sur le noued de sa ceinture de corde, et pour une fois son visage n'avait pas le sourire solaire qu'il arborait d'ordinaire.

Non, il avait une sorte de gravité mêlée de peine, derrière son sourire pourtant sincère... La guerre était devant, et il faudrait s'attendre à des pertes terribles. et le blond ne souhaitait pas qu'il en fut un seul qui ne fut combattant sans être béni de manière très officielle !

Et cette bénédiction, il la donnerait ce jour !

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Yodea
Contrairement à ses habitudes, Grignols avait délaissé sa chapelle privée pour se rendre à la cathédrale. Le rassemblement du ban provincial n'y était pas étranger.

Quittant donc le campement, son esprit divaguer entre cette guerre et le sacre de la reyne. Dernières ripailles en l'honneur de la souveraine avant de défendre les terres de France face au barbare breton.

Il laissa son cheval sur le parvis ainsi que son équipement. Même en période de guerre, il ne pouvait se décider à rentrer dans un lieu sacré en portant une quelconque arme. Voyant le père Franck sortir, il vint poser genou devant lui.


Mon Père, benissez moi et veuillez m'apporter le pardon pour le sang que je vais faire couler contre mon gré pour protéger ces terres que quelques fous envient
Franckshinatra
Un hénissement courtois, venant d'une monture fort distinguée. Le blond plissa un peu les yeux pour reconnaitre, finalement, un homme de talent et de sincérité. Ha, aucun doute, de grands hommes ont fait ce comté ! Le maigre prélat, se départant un peu de la sévérité inhabituelle qui fardait son visage, s'avança vers Grignols, qui se tenait déjà un genou en terre. La main fine et veinée de bleu se posa tout naturellement sur le crane du coms de naguère.

Mon fils, sois assuré que le Très Haut est derrière ceux qui se dressent pour protéger les faibles et tous les fidèles de cette terre. en conséquence, il me commande de bénir quiconque aura la volonté de le servir, fusse au péril d'une vie... Fusse en en ôtant !

Puis son pouce dessina le signe de ce qu'il entendait comme celui de la bénédiction : d'aucun aurait vu une croix... Le blond, lui, y voyait bien plus que matière à chicore dans les couloirs mols du Saint Siège... Il s'agissait ni plus ni moins que la matérialisation du choix de l'Eglise quant à ses lieutenants.

Yodea, fils aimé du Très Haut, tu es béni, désormais. La tache qui t'attend ne sera pas, au final, une mission simple, mais n'oublie jamais que le Très Haut dans sa clémence pour ses fidèles serviteurs, n'autorisera jamais que la Foy soit bafouée et déshonorée par de fourbes paysans.

Mais relève toi, mon fils, et accepte de siéger devant, pour cet office qui concerne tous nos valeureux combattants de la Foy.

Le curé montra les sièges réservés aux grands du comté. Celui du Coms était tout prêt, lui aussi. Et le curé l'était tout autant. Messe serait dite !
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