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[RP] Cathédrale de Périgueux Saint Samoth l'Episkopos

Lorelei_
Périgueux. Je n'y étais encore jamais venue, n'ayant que très rarement quitté Sarlat. Je m'arrêtais quelques instants devant l'immense bâtisse qui s'offrait à mes yeux, en détaillant chaque parcelle. Je me perdais quelque peu dans mes pensées, imaginant l'histoire de ce lieu, les gens qui avaient foulés son sol, ce qui pourrait encore s'y dérouler. Secouant légèrement la tête pour me remettre les idées en place et chasser la lassitude qui commençait à me gagner, je m'avançais lentement vers la grande porte.

La cathédrale était encore loin d'être pleine. Je levais les yeux pour regarder les vitraux et autres ornements du lieu. Voila bien longtemps que je n'étais plus entrée dans un tel lieu, la grotte du blond étant devenu mon lieu privilégié. Je m'installais en retrait, ne sachant ou était ma place et ne voulant surtout pas me faire remarquer. Je priais en silence, les yeux baissés, percevant pourtant la voix de mon Père spirituel et du Comte.

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Erwann
Ces temps-ci, toutes les terres se ressemblaient. Enfin Erwann le pensait vraiment. Poitou, Bretagne, Périgord, Gascogne... toutes ces terres étaient remplies de bouseux incultes et suffisamment crétins pour bouffer du foin. La majorité des nobles étaient des abrutis patentés et les royalistes et les Montforts la pire engeances sur cette terre. Il avait décidé de suivre sa cousine après que le Poitou ait porté à sa tête Jake le gland.
Il avait longtemps hésité, mais ne le regrettait pas vraiment. Apprendre que Davor avait commis la souillure de s'afficher avec Ventreachoux, l'adepte du Sans-Nom l'avait répugné. Il s'estimait donc heureux d’être avec sa famille, même si son coeur lui hurlait d'aller rejoindre le Ponant pour combattre la souillure qu'était Nebisa.
Mais voulait-il vraiment se battre pour un Ponant rempli de Montfort, de Jake, de Cyphus et de Sarmite ? Non il n'en avait pas vraiment envie. Mais il n'avait pas envie non plus de donner un coup de main aux royalistes. Il décida donc d'opter pour une neutralité hypocrite au coté de sa cousine.

Au fil de ses pensées, Erwann arriva devant la Cathédrale. Il devait y avoir une cérémonie importante. Enfin c'est ce qu'il pensait, mais il n'y avait pas grand monde. Il pénétra dans l'antre du Très-Haut qui devait toujours se marrer depuis la défaite des hommes en jupe à Genève. Il y avait quelques personnes. Le curé, dont la tête ne lui revenait pas, parlait avec une autre personne. Erwann s'avança dans la longue allée et aperçut une jeune fille qu'il connaissait. Il l'avait croisé à Genève. D'ailleurs, si elle n'avait pas été aussi craintive, il l'aurait surement tenté de l'attirer dans sa couche. Enfin il aurait peut-être l'occasion.

Il s'installa silencieusement, s'agenouilla et fit une petite prière dans son coeur :

"Très-Haut, entends-tu mes paroles ?
Pourquoi tes curés sont-ils si bêtes ?
Ne peuvent-ils pas nettoyer les sols ?
Surtout quand vide sont leurs têtes

Pourquoi les Montfort vivent-ils encore ?
Qu'attends-tu pour les envoyer en bas ?
On aimerait bien ne plus voir leurs corps
Car ici, ils nous rendent complètement baba

Très-Haut, pourquoi n'étouffes pas tu Nebisa ?
On ne la voit pas, mais on sait bien qu'elle est là-bas
Peux-tu l'envoyer chez le Sans-Nom avec Elfynn ?
Je t'assure qu'après ça, nous aurons tous bonnes mines !

Et fais en sorte que coule à flot le chouchen !
Amen !"

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Franckshinatra
Le maigre éthéré, seul représentant digne d'Aristote, se tenait toujours devant les premiers sièges, face à l'entrée majestueuse de la cathédrale. Certes, le grand grignols était déjà tout à sa dévotion, certes, il remarqua l'entrée discrète de sa protégée - et à propos il se plut à remercier le Très Haut d'avoir mis cette germaine sur sa route, elle saura profiter des enseignement du lumineux excellent - et certes encore, il ne put que constater que quelques péquenots étaient entrés. Un péquenot se fit moins discret, quant il décida de plier le genou, dans son coin, sans y être invité. Le blond sourit, avec une indulgence très romaine, songeant que les incultes étaient tout de même bienvenus dans la grande Maison de Périgueux.

Mais ce paysan n'avait rien de plus qui méritait que le regard du blond s'attarde sur lui, et il fixait à nouveau la grand porte. Le Coms ne tarderait pas, le temps que son secrétariat lui fasse part de la cérémonie imprévue. Sans doute qu'il arriverait, avec cette fougue qui le caractérisait, à trainer malgré eux, tous ces bénis oui-oui qui lui reniflaient le fondement dans l'espoir d'être apprécier.

Et avec un peu de bol, même l'autre mangeuse de varech allait sortir de sa retraite... Juste pour montrer sa foy vraie et rutilante !

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Lubna
Lub' allait voir l’évêque de périgueux pour discutailler de ses futurs épousailles quand elle vit le curé de sarlat squatter la cathédrale...

déjà il n’étais jamais en l’église de sarlat... et les habitant eux mêmes étaient obligés d'enlever toutes les toiles d araignées... vu qu il faisait les sacrements dans une grotte qui sentait l humidité...un lieu morbide et froid à son image!


Ni une ni deux elle repartit faisant une allergie froide à cette personne mi femme mi homme... qui avait inventé un nouveau saint qu'elle avait par le passé connu tout aussi diabolique que lui!

Elle repartit sans lui parler..
Pour aller dans son bureau écrire à l’évêque...Les frissons disparaitrons des lors

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Vonafred
Il est des moments de la vie ou tout homme se souvient qu'il n'est rien sans la grâce divine, ou tout seigneur se fait humble sujet du Très Haut.

C'est vêtu de bure sombre et les pieds nus que le Comte pénétra sous la nef.
Un sourire à sa fille adoptive qu'il n'avait vu depuis des lustres et
sans intérompre le Fater tout à ses pensées,il prit humblement place aux cotés du vieux batracien couronné, son frère de coeur.

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Franckshinatra
Enfin Louis arriva, et le blond put poursuivre, le verbe haut en couleur, et le ton plus fort et sur que jamais. L'index droit filait déjà vers le firmament, tandis que le gauche, lui, balayait la foule des fidèles.

Enfants de Périgueux... Mais cela est réducteur. Enfants de Périgord ? Ma foy ne s'en contente pas non plus... NON ! Car "LUI" me somme de parler au nom de tous ses enfants !

Fallait que cela fut dit ! Les deux mains reprirent place, du coup, l'une sur l'autre, à l'endroit du cœur du maigre blond. Son visage était comme en souffrance. La douleur sourde d'un homme blessé, mais qui ne veut pas offenser la maitresse de maison, et qui termine son verre, en souriant.

C'est à vous donc, Enfants de France, qu'il me fait m'adresser ! Le Très Haut veut vous faire entendre que rien ni personne ne peut être en mesure de se substituer à sa gloire, et encore moins à sa puissance ! Et pour prouver que je ne suis que le vecteur de verbe divin - et qu'ainsi je n'ai pas d'autre pouvoir que celui de démontrer sans détour ! - voyez !!! VOYEZ !

L'éclat de voix était grandement maitrisé. tout autant dans la colère que dans l'émotion. Et pour parfaire l'ensemble, le fil de la voix du maigre prêcheur se fêla un peu, donnant de la sorte le signe de son humanité. IL venait d'ouvrir les bras, désignant les deux capitaines.

Avez-vous, mes enfants, jamais vu une telle dévotion ? Une telle humilité devant la toute puissance de "celui" qui décide ? Voyez par vous même : un homme qui aurait pu ricaner sur ses terres, au lieu de venir plier son genou trop âgé pour la bagatelle ! Et celui-ci...

L'index à nouveau en fonction, désigna le Coms.

Est-il fait comme vos précédents régnants ? Arrive-t-il ici enrubanné et donneur de leçon ? Nenni, pour sur !

Il la secoua si fort, sa tête, pour marquer l'évidence, que la mèche jusque là stable et obéissante, se fit aussitôt libre et angélique. Il poursuivit, d'une voix subitement aussi douce qu'elle fut à peine plus tôt forte. Son sourire aussi.

Enfants, par le saint amour, ne laissons pas ces humbles serviteurs du Très Haut filer seuls à la bataille contre l'hérésie coupable, et pour l'honneur du Très Haut... Mais je sais déjà le nombre à suivre ! Et tous prions pour ce qui doit être fait !

Le gros orteil, jusque là impassible, se mit à remuer. Une larme venait de s'y écraser. Il termina, avant de reprendre son souffle, et la maitrise d'un cœur qui battait trop fort, pour le peu de vigueur qu'il avait, en fermant les yeux. Ses mains jointes étaient serrées au point que les articulations blanchirent rapidement.

Je levai les yeux de la flaque d’eau où toutes ces images horribles venaient de s’offrir à mes yeux. Je tremblais de toute mon âme, les cris de souffrance des pauvres victimes résonnant encore dans mon cœur. Je pleurais de chaudes larmes, tant était horrible le sort de ces pauvres malheureux.

Alors, Dieu, d’une voix douce et apaisante, me dit: “Vois, comment risque de finir le monde que tu aimes tant. Il sera détruit par l'avide inculte. Mais n’aies crainte, car si vous vous montrez vertueux, vous pourrez éviter ces inutiles souffrances. Et que ceux qui vivent dans la vertu ne s’inquiètent pas, car jamais Je n’oublie ceux qui M’aiment.”


Il resta immobile... Chacun allait sans doute s’imprégner de la vérité.

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Cyrus
Cyrus, est venu, escorté d'une cohorte de Milites Teutoniques qui cette fois-ci ne portent pas l'uniforme blanc et noir frappé de la croix sur leur cape blanche, en la cathédrale de périgueux.
Un haubert Aux armes du Périgord Angoumois est cousu sur leur poitrine, car, ils ne sont pas là en tant que Représentant de l'Ordre, qui ne prend pas part à la guerre Fraticide du royaume de France, mais en temps que Volontaires, au service du Comté, que la lacheté poitevine a envahi, sans déclaration de guerre, avec une de ses armées.

Ils sont venus, rendre Grace au Trés Haut, et recevoir la bénédiction divine avant peut être partir se battre et certainement verser leur sang, pour un Comté qu'ils cherissent tant, si les Felons du Ponant ne revenaient pas à la raison et continuaient à persister dans leurs erreurs manifestes.

Ils prient et ecoutent l'omelie du Père franck, Aumonier des Armées
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Aleen
Elle arriva un peu retard, elle avait foi en Aristote certes, une foi inébranlable, mais en ces hommes où femmes qui se réclamaient de lui non, pourquoi d'avance condamner une femme, son amie, sans prendre la peine de la connaître ? Pourquoi prendre parti pour une petite vipère ne cherchant qu'à lui nuire ?

Cependant Aleen s'inclina devant le Père Franck, sourit au Comte, et aux participants puis s'abîma dans la prière, après tout Aristote reconnaîtra les siens

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--Le_peint


Le Peint entra dans l'édifice.
Ca puait l'aristomachin tout autour de lui.

Il dévisagea tous ces nobles, riches ecclésiastiques et autres pourritures qu'il combattait habituellement hors de ces murs.

Il s'avanca.



Il chanta pour Déos.



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Franckshinatra
Quelques jours plus tard...

Le blond en avait terminé avec ses divers offices, et malgré une pastorale des plus importantes qui s'annonçait, il restait encore un mariage à bénir. Mais la commanditaire allait-elle faire en sorte de ne pas être en retard ?

Le blond, lui, comme la date ayant été choisie et validée, était prêt : à accueillir les futurs époux et leurs témoins, et vérifier que toutes les pièces étaient valides. Puis, sur que la belle robe blanche - pour une fois - était aussi lisse que le masque de Carnaval des "sermonneurs" - qui n'osaient jamais faire honneur en personne à leurs sorte de "credo" de peur de finir en luminaire de foire - le blond se plaça sur le parvis dans l'espoir d'accueillir la fille Louanne...

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Louanne1000
[LE JOUR J]

Le grand jour était enfin arrivé,le jour J comme diraient certains et l'heure H pour d'autres.

Elle avait fait venir moult dames pour l'aider une pour la coiffure,une pour l'habillage d'autres pour les arrangements divers.

C'est avec fièvre qu'elle se leva enfin après plus d'une matinée de tortures,pire que sur un champ de bataille,son teint étaient d'un beau blanc nacré, les lèvres purpurines et les yeux brillants.

Sa houppelande était blanche comme neige qui était signe de pureté ainsi que la couronne de fleurs d'oranger mise dans son voile.

Elle descendit les escaliers dans un calme qu'elle était loin d'éprouver,grimpa dans une voiture attelée à quatre chevaux,Sa houppelande était blanche comme neige qui était signe de pureté ainsi que la couronne de fleurs d'oranger mise dans son voile.

La voiture stoppa aux pieds des marches,elle faillit en bondir pour monter quatre à quatres les marches quand elle fut stoppée net dans son élan par un regard noir et foudroyant d'une des dames d'honneur qui tenait le rôle de sa mère ayant perdu la sienne très jeune ainsi que son père,il ne lui restait que deux soeurs une près d'elle mais l'autre Marie qu'elle n'avait plus revue depuis près de dix ans.

elle chassa bien vite ses tristes pensées pour ne laisser place qu'au bonheur qui devait entrer dans sa vie.

C'est donc avec grand calme quelle commença à monter les marches quand elle vit un grand prélat,blond éthéré lui faisant rappeller une fable antique "Lombarde" un prélat érudit et collectionneur baignant dans la lumière liquide et blonde d'un automne romain.Rrayonnante cette lumière mais inquiétante sa présence lui donnant le sentiment qu'elle avait deux être en un et cela la mettait mal à l'aise.

Elle s'en approchat effectuant une révérence.

Mon père!
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Franckshinatra
Les craintes du fragile constitué s'envolèrent juste sur le fil... Il fallait bien avouer que la fille savait faire son entrée ! et le salut ayant été humble et pénitent, le blond descendit deux marches, en signe de paix. Son sourire s'accentua définitivement quand il nota l'odeur douce et chaude de la future mariée. Le parfum de terres tièdes en automne, celui là-même qui ne se contentait pas d'attendrir le barbare, mais qui donnait un gout subtil à tous les desserts de Périgord !

Ma fille, relevez vous. Je ne suis que vostre guide !

La main fine, et veinée de bleu, se leva et invita la jeune femme à se redresser, tout en saluant de la mèche les duègnes qui suivaient. Puis il invita les présents à s'avancer dans le choeur, avant de montrer l'emplacement des deux promis.

Voici vos sièges, ma fille... Vos témoins seront derrière, au premier rang. Vos invités, seront libres de se placer comme ils le souhaitent. A ce propos, comme ils sont encore en chemin, j'ai une ou deux questions en suspens, que je voudrais vous poser.

La première n'est pas idiote, vous en conviendrez vous-même : avez vous songé aux anneaux ?


Le blond curé la regardait, comme un père regarderait une enfant maladroite, sans pour autant pouvoir la gronder... Et toujours ce sourire solaire !
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--_angelique_


(chez Gerbeau est Nuage)
Maman allait bouge toi on vat être en retard
Angelique regardait sa mère se preparer... Nuage avait une façon de rouler ces cheveux qu'Angelique aimait, mais là elle voulait etre au mariage et sa maman etait trop longue

Maman allez veut voir tonton Ludo et tatie Lou


(Dehors devant l'église)

Angelique etait devant l'eglise sa maman l'avait habillé d'une jolie robe pour aller au mariage des ces amies...La gamine sortait pour la première fois dans un mariage..Elle etait emue..

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Fille de Gerbeau et Nuage
Nuage84
Nuage avait beau se depêcher...Elle serai en retard c'est sur... Sa fille etait impatiente ...
Nuage etait arrivée avec sa fille devant le lieu saint..
Elle regarda sa fille fièrement


Allez ma belle tu promet de pas bouger ni de parler pendant la céremonie...
Elle replaça une mèche de cheveux de sa fille et elles rentrèrent mains dans la main..

Nuage rentra doucement se signa , signa sa fille et se faufila au fond de l'eglise en salutant de la tête et d'un sourire les gens qu'elle conaissait..
Elles prirent place sur un banc Angelique serra la main de sa mère elle etait impressionée et Nuage sourit

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Sherynne
Jour J .. encore un mariage .. et toujours pas le sien... peut être jamais..

La brunette monte les marches tout en tripotant sa médaille de baptême. Sa capitaine et amie se marie, c'est un grand jour et comme elle a la chance de pouvoir y assister, elle ne va pas louper l'événement.

Elle pousse la porte et aperçoit en grande discussion Louanne et le curé. Ne voulant pas les déranger, du moins pas encore, elle se glisse entre deux rangées de bancs après avoir trempé son index gauche dans le bénitier et s'être signée.

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