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[RP] Cathédrale de Périgueux Saint Samoth l'Episkopos

Josse...
Josse regarda le ciel que cette charmante Damoiselle lui montra de son doigt, des oies sauvages prirent leurs envole, le bruit de leurs ailes emplirent cet instant.

Elle se présenta:

Enchantée Messire, je m'appelle Aleen

A.. comme Ange pensa t-il !


Ce n'est pas grave Damoiselle, allez vaquez je vous en prie, je ne veux en aucun cas,être la cause d'un retard.

Sur ce, il ôta son chapeau et la salua.
Avec un espoir dans le regard, il la regarda partir !
Aleen
Aleen dévala prestement les quelques marches, se retourna et lui fit un petit signe de la main qu'elle accompagna d'un gentil sourire.

Tout en se rendant à la mine elle pensait à cette rencontre, tout dans les manières et la façon de s'exprimer de ce jeune homme lui rappelait quelqu'un....

Elle pressa le pas et toute guillerette se mit à chantonner, demain avant de repartir pour Sarlat elle viendrait assister à l'office domicical

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Aleen
En ce dimanche matin, avant de prendre la route pour Sarlat, Aleen vint assister à l'office.

Arrivée légèrement à l'avance elle s'agenouilla récita le Credo et adressa une prière personnelle au très Haut


Aristote, faites que mon retour se passe sans encombre,
Guidez moi car j'en ai bien besoin, voyez- vous je suis un peu troublée alors éclairez moi Amen


En attendant le début de la messe, la jeune femme se plongea dans ses pensées
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Elvide
La jeune femme avait chevauché une partie de la nuit,somnolente et la gorge sèche par toute la poussière des chemins. Elle parcourait les routes sans vraiment se soucier de ou elle était rendue prenant toujours la direction du sud comme point de repères. Elle avait un but certes mais n'avait point vraiment envi de s'attacher a un lieu, a ses habitants. Erzebeth avait en fait peur....peur d'à nouveau s'investir. Puis comme a chaque fois de souffrir.


Transit par le froid des nuits étoilées, elle trottait lentement sur le dos de son destrier, laissant ses yeux parcourir le paysage qui 'annonçait a elle. Une nouvelle ville, comme bien des autres. Une auberge voila ce que ses pupilles cherchaient, Juste a penser que bientôt elle pourra s'étendre et fermer ses paupières qui se font de plus en plus lourdes tout son corps en frémissait. Son estomac aussi fit aussi sentir ses besoins mais ce n'était rien a comparé au martèlement que sa tête supportait. C'est par contre son cœur qu,elle finit par écouter inconsciemment fessant arrêter son cheval tout près de la cathédrale. Posant pied a terre la belle ferma les yeux un instant pour retrouver son équilibre ainsi que ses idées.


Elle fit les quelques pas qui la séparait de la rangée de marche qui permettait de se rendre dans cette demeure divine. Ouvrant a peine la lourde porte pour écouter si cérémonie s'y déroulait elle n,entendit qu'au final le silence ce qui lui donna le feu vert pour entrer. Elle prit place dans le centre puis ferma a nouveau les yeux les mains jointes et pria longuement. Pour son père avant tout, mais surtout pour son avenir elle qui croyait au destin la voila qui demandait a Dieu de lui ouvrir une voie de lui montrer son avenir ou tout de moins un indice
Bardieu
Bardieu entra dans la cathédrale de Périgueux et commença à la visiter admirant les différentes parties du saint édifice. Le plan grec de la cathédrale va de pair avec les délires pathétiques de l'ordonnateur de la construction, Mgr Odoacre.



Bardieu admira la croix grecque de la cathédrale puis alla vers le chœur. Le froid de la pierre tranchait avec la luminosité de l'édifice. Il était extrêmement rare pour un bâtiment religieux d'être le point d'aboutissement d'autant de rayons provenant du paradis solaire était une bénédiction qu'il fallait entretenir par des prières quotidiennes.
L'autel était à la même température que l'édifice, proche du froid absolu.


Pourtant, à coté de l'autel, une petite colonne de fumée indiquait un début de joie, voir de bonheur. Derrière cette petite colonne d'encens se trouvait la chaleur et la joie de l'amitié aristotélicienne. Devant tant de bonheur, Bardieu récita dans sa tête le crédo.




Puis, lentement et silencieusement, il se dirigea vers la sortie du saint édifice.
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Aleen
De retour de Saumur et passant par Périgueux, Aleen voulut s'arrêter là où tout avait commencé, elle voulait remercier Aristote.

C'est très recueillie qu'elle alluma un cierge et entama le crédo Aristotélicien avec grande ferveur


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Puis le pria d'une manière un peu plus personnelle,

Aristote soyez remercié d'une part parce que je suis enfin baptisée, et d'autre part, parce que vous l'avez mis sur mon chemin, faites que notre vie se déroule selon vos préceptes, guidez-nous dans nos choix, faites que nous ne soyons jamais méchants envers notre prochain, éclairez notre chemin que je souhaite long... Amen

Puis elle se leva et se dirigea vers la sortie, Josse l'attendait devant le parvis, il n'avait pas trouvé de place pour leur jument
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P27kw
Mgr Lyonis arriva tôt dans le matinée pouir préparer un grand mariage qu'il allait officier, en effet il s'agissait de l'ancien Archidiacre.

Il s'avança vers l'autel puis posa ses affaires en attendant les invités.
Aleen
Cela faisait bien longtemps qu'elle n'était pas venue, elle profita d'une brève étape pour aller se recueillir.

Aleen était triste, elle venait d'apprendre la mort de Geoffrey, le gentil Geoffrey, le père de son fils, qui malgré leur séparation avait toujours été là pour les aider !

Et maintenant elle était sans nouvelle de Josse,

En pénétrant dans le saint lieu, elle eut un pincement au coeur, c'était là qu'ils s'étaient rencontrés, Josse l'avait abordé fort galamment il avait suffit de quelques paroles....

Que lui était il arrivé, il était toujours en retraite chez les moines, mais elle s'inquiétait car il ne devait faire retraite que trois jours et maintenant cela faisait plusieurs semaines, était-il malade ?

Aleen pria très fort Aristote pour qu'au moins elle ait des nouvelles, car rien n'est plus destructeur que de ne rien savoir.

A bout de chagrin, elle éclata en sanglots, elle ne comprenait pas pourquoi le destin s'acharnait sur elle,

Elle entendit des pas, c'était Monseigneur Lyonis, certainement il préparait une cérémonie, ne voulant pas déranger, elle s'éclipsa tout doucement

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Flex
Enguerrand de la Mirandole s'amusait à l'impatience en la Casa Aussona, car l'avancée de son recueil qui aurait du être publié en fin d'année 1458 prenait un retard d'ampleur. En effet, il lui était de plus en plus difficile de composer une fable, ou du vers ; même la prose impossible à poser sur un vélin, ne le réconfortait pas dans son chagrin. La campagne électorale pour sa nouvelle majesté de France le préoccupait de tout de son temps libre, quand il ne lui fallait pas regarder avec effroi la trahison d'un membre de sa famille d'un œil courroucé. Le jeune borgne se fit la promesse de prendre son temps pour détruire toutes les particules de ce qu'il considérait comme un traitre. Jamais de face, devise de la famille Dublith, lui portera conseil la nuit de ses noces.

Afin de regorger de vigueur pour la cérémonie du premier janvier de la nouvelle année 1459, Enguerrand parcourait ses écrits lentement, dont l'arôme des lettres se mélangeait à un alcool de sapin qu'il buvait à petite gorgée chaude. Un parchemin avait été soigneusement confiné dans un tube de cuir et scellé, tandis que sur l'autre pan de son ceinturon, Enguerrand optait pour montrer ses merveilleuses caducées fleurdelisées. Autant se faire peu, être maréchal de France avec une telle expérience et une aussi grande connaissance du domaine devenait, de jour en jour, un exercice facile à n'importe quelle tâche à réaliser. Pourtant, retiré dans la Casa Aussona depuis quelques semaines, Flex n'avait pas apprit la glorieuse venue d'un Louvelle à Castillon. Cette grande et puissante famille ainsi que la sienne furent liées par des liens désormais indestructible il y a longtemps de ça. Le borgne ne l'eut jamais avoué, mais il gardait toujours un œil vigilant sur la descendance légitime du comte de Beaumont sur Oise.

A ce titre précis, le jeune vicomte avait décidé de laisser choir ses écrits pour se préparer à la cérémonie de mariage à Périgueux. Sa toilette fut un supplice : il avait déjà porté cette tenue auparavant, dans une soirée mondaine, et se trouva fort démodé de devoir reporter un vêtement, aussi soyeux puisse-t-il être, une nouvelle fois. Il se remémora d'un cadeau offert par quelqu'un, et ce fut alors un tourbillon de plaisir qui entraina le borgne dans un costume richement drapé.




Flex adorait donner du ton moderne, et de l'épice à ses tenues. Il se trouvait magnifique et ne put que décrocher son reflet que quelques heures après s'être définitivement passé le parfum de fraise qui envoutait son entourage. Prêt, et décidé à se marier, Enguerrand prit sa voiture pour se rendre à la capitale du Périgord en demandant de passé par la seigneurie de feu Ioz Deliancourt - Saint Laurent les Hommes. Quand il la traversait, Flex mesura avec peine que tout n'avait rien changé depuis la disparition dudit seigneur en Provence. Cette mélancolie ne lui laissa guère de répit car la voiture avait déjà regagnée l'église de Saint Front.

Au pied de celle-ci, après avoir descendu de sa voiture d'un air conquérant, il essuya ses bottes sur la face d'un vilain qui demandait sans doute l'aumône. Ce détail le réconforta dans son statut social ainsi que la place importante qu'il avait obtenue dans le royaume de France et plus récemment dans l'Europe de l'Est entière. A cela, le borgne se racla la gorge et prit sa plus belle voix face au lieu saint, pour réciter l'une de ses fables.


    Le corbeau qui voulait imiter l'aigle.

    « - Un aigle venait de fondre sur un mouton
    et l'enleva
    loin de là.
    Un corbeau des plus gloutons,

    vu l'affaire et voulu la refaire.
    Les yeux plus gros que le ventre,
    il plongeait sur la laine, ses pied s'emmêlèrent
    à la toison comme un pampre.

    Il ne put jamais s'en dégager,
    de sorte que le Berger
    vint le prendre et l'enlever
    puis le donna à des enfants pour s'amuser.

    Là où pygargue passe,
    termite trépasse. »


Satisfait de sa prestation, Enguerrand glissa sa main dans sa longue chevelure et bascula sa tête en arrière pour étaler sa toison brune. Il respirait l'air de la popularité auprès de ses lecteurs, un sentiment de confiance vint remplacer la boule au ventre qu'il avait du mal à faire disparaitre aujourd'hui.
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Mizuki
Elle était en retard elle le savais. Tout d'abord cette fichue robe qui n'était arrivé qu'il n'y a qu'une heure, le temps qu'elle s'aprette, lheure était déjà passée.

Décidément l'année 1459 commençait mal.

Elle sorti enfin de Riberac et pris place pour la cathédrale.

Au bout d'un certain temps, elle arriva et sorti du carrosse.
Elle regarda le ciel, et pria un moment Aristote avant de rentrer.
P27kw


Mes chers fidèles bienvenu en cette Cathédrale pour célébrer le Mariage de Flex Enguerrand de la Mirandole et Mizuki59 ici présents.

Je vais vous lire pour commencer un passage que disait Saint-Valentin, patron des amoureux:

Citation:
Dieu a créé l'homme et la femme pour qu'ils forment un couple.
Or, le Bonheur ressenti par les couples amoureux est divin, car il vient de Dieu. Si vous avez conscience que l’amour que vous vivez a sa source en Dieu, que vous vous aimez de l’Amour de Dieu, par l’Amour de Dieu, quoi de plus normal de Lui dire votre reconnaissance, en vous unissant devant lui, dans son Eglise par le sacrement du Mariage.
Dès lors, le jour de votre mariage, votre passage à l’église sera une action de grâce à Dieu : car votre amour a sa source en Dieu et ce sera Lui qui sera le centre de la célébration religieuse.


Mes enfants récitons à présent le Crédo tous ensemble pour ne jamais l'oublier la base de notre Dogme.

Le Père Lyonis prit le parchemin où il y avait marqué le Crédo puis commença à le réciter avec les fidèles:

Flex
« - Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN »


La réaffirmation de la foi dans laquelle il venait de s'engager était profonde et intense. Le borgne fit joindre ses mains, et écoutait attentivement l'évêque. Le père Appérault obtenu son attention puisqu'il évoqua le Saint Valentin, ainsi qu'un extrait y afférant qui le toucha. Par dessus son épaule il aperçut entre temps la vicomtesse Mizuki pénétrer dans l'édifice, elle portait un bleu éclatant - qui a du couter très cher. Enguerrand fit la moue, et n'espérait ne pas devoir payer la note vestimentaire ; ruiné, et endetté jusqu'au cou, il ne mangeait même plus à sa faim.
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P27kw
Il était heureux que chacun mete du sien à réciter cette prière. Après que tous le monde eut finit, il continua.

Chère assemblée, je vais à présenter décrire la vie des futurs époux.

Le Père Lyonis dirigea son regard vers l'époux pour commencer.

Alors vous m'avez préparé pour vous-même et ta future épouse une petite description je vais donc la lire.
"la description de la vicomtesse de La Rochefoucauld : Mizuki a été longtemps la veuve du défunt et sublimissime comte de La Rochefoucauld, dit Niguilouti. Elle est compétente en économie, mais ne savait point reprendre gout à la vie bien qu'elle est la femme la plus respectée du comté du Périgord.
Moy - même : Je suis l'investigateur de la Casa Aussona, puissant domaine de France, dont les entreprises de ses membres sont aussi grandiose que la mesnie. Je suis un bourguignon à jamais, mais j'adore le Sud car j'y trouve tout ce qu'un poète aimerait obtenir pour son inspiration."

Après la description brève de la vie des futurs mariés, il paraît logique de vous décrire icilieu l'histoire de leurs rencontre:
"La vicomtesse de Ribérac et moi sommes rencontrés lors d'une chasse dans mon propre domaine. Une chasse spéciale puisqu'elle consistait à trouver la succube qui hante mon bosquet. Madame de La Rochefoucauld était présente dans mon groupe, et nous nous sommes liés d'amitié bien que nous sommes rentré bredouille. Cette rencontre a marqué le début d'une longue histoire, chaque jour apportait sa brique dans la construction de notre vie, marquée par l'union du mariage. Cette décision est mûre - tout autant que la vicomtesse en question - et réfléchie."


Après cette description de leur vie et de leur rencontre, il regarda et puis leur dit

Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos. et , est-ce bien ainsi que vous voulez vivre dans le mariage ?
Flex
Qu'il était aisément tenté de répondre "non". D'un ton sec, tout le monde le pensait, et tout le monde dirait de le faire dans une boutade. Même pour le borgne, cette réponse lui traversa l'esprit : ce serait à nouveau amusant, mais pas dans ses projets. Il fallait tout de même rester un minimum sérieux, et ce jour l'est d'autant plus qu'enfin le jeune vicomte réussirait un mariage -maudit des dieux qu'il demeure.
Au delà de l'aspect festif qu'on retrouvait partout dans ce genre de situation cocasse, Enguerrand hocha plusieurs fois de la tête avant de répondre.


« - Oui-dah je le veux. »
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Mgr Lyonis dirigea son regard vers les futurs époux puis leurs dit

Vous allez devoir réciter ce que je vais vous dire à . Et ensuite l'autre futur conjoint posera la même question vous donnerez votre réponse et vous lui demanderez la même question:

Le Père Lyonis se tourna vers la fiancée

Bien ma Fille nous allons commencer par vous vous allez répéter après moi en signe de voeux : "Moi, je te reçois comme époux et je serais ton épouse. Je promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de notre vie."
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